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    Mrs. America
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    fan_de-cinoche
    fan_de-cinoche

    14 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 29 mai 2020
    Cette série est évidemment passionnante sur le plan historique, indiscutablement.
    Contrairement à la propagande des militants de l'organisation de Phylys Shlafly, il semble qu'elle soit plutôt juste sur la plan factuel. Rose Byrne, Sarah Paulson et les autres sont excellentes. La BO marque bien son époque.
    Toutefois, il y a un gros hic : c'est Kate Blanchett. Il se trouve qu'elle et moi avons un gros différend quant à son talent de comédienne. Contrairement à elle, de façon évidente, je ne la prends pas pour une bonne comédienne. Et là, une fois de plus, elle passe totalement à côté du rôle. Regardez les images de la vraie Schlafly: beaucoup plus ouverte, souriante, avenante, chaleureuse. Bref, bien plus dangereuse que l'espère cette pimbêche coincée que nous fait, une nouvelle fois, Blanchett.
    En fait, elle joue exactement comme dans Cendrillon (excellent film de Kenneth Branagh où elle campait une marâtre tout à fait acceptable). Là, elle reprend exactement les mêmes mimiques. Il y a même un moment spoiler: , dans le dernier épisode, où elle en reprend presque une robe
    !
    Et malheureusement, dénaturer l'une des héroïnes, fut-ce par militantisme, c'est nul, parce que ça oblitère la crédibilité de l'ensemble de la série.
    Reste un cours d'histoire passionnant spoiler: mais déprimant
    qui donne envie de (re)lire Betty Friedan et Gloria Steinem.
    helenirina
    helenirina

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 17 mai 2020
    Un passage de l'histoire des EU que je ne connaissais pas, superbement mis en lumière par cette série. Les actrices sont époustouflantes, le scénario souvent subtil (tout tient parfois dans ces petits rien qui mettent tellement en lumière les rapports humains). L'occasion, pour moi, de découvrir des femmes extraordinaires comme Gloria Steinem, pleines de force, de courage, d'ouverture d'esprit, de tolérance; des exemples ! Plus qu'une série, un hymne à l'humanisme.
    LucyYy
    LucyYy

    6 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 20 juin 2020
    Aborder l'ERA ou Equal Rights Amendment, par le point de vue d'une anti-féministe est très intéressant. On jongle entre les deux camps de ces femmes qui s'opposent sur cette proposition d'amendement pour l'égalité des sexes. On remarque que la ligne entre certains personnages s'amincit, que ces femmes complexes et opposées se retrouvent sur certains points. Il est très drôle de constater que Phyllis Schlafly, fervente opposante à l'ERA, se révèle finalement être féministe ; elle revendique ses opinions politiques, travaille et a du tempérament. Les côtés historique et biopic de la série apportent de la culture générale au spectateur, et montrent un pan peu connu de l'Histoire américaine: les luttes féministes des années 70-80. Il faut s’accrocher par moments car le réalisateur part du principe que le spectateur est déjà calé sur le contexte socio-politique de l'époque, or il arrive de se perdre entre les différents partis politiques, entre les différentes personnalités et de ne plus se souvenir qui est "pour" ou "contre" l'ERA. Mais pour l'intelligence des propos, l'importance du débat égalité hommes/femmes, la brillante interprétation de Cate Blanchett, cette série est définitivement à voir!
    Cece
    Cece

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 27 mai 2020
    C'est une série superbe ! On a envie de se battre avec ces femmes qui revendiquent leurs droits ! Je trouve cette série très inspirante et intéressante.
    Yves G.
    Yves G.

    1 250 abonnés 3 261 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 30 mai 2020
    Mère de six enfants, épouse d'un notable de l'Illinois, Phyllis Schlafly a milité de tous temps dans les rangs des Républicains se présentant sans succès à trois reprises, en 1952, en 1960 et en 1970 aux élections à la Chambre. Spécialiste des questions de défense, anticommuniste chevronnée, c'est sur un tout autre terrain qu'elle deviendra célèbre dans les années soixante-dix : l'anti-féminisme. "Mrs. America" raconte le combat qu'elle mènera, face aux grandes figures féministes de l'époque, contre l'Equal Rights Amendment, un projet d'amendement constitutionnel reconnaissant l'égalité des sexes.

    Diffusée depuis le 16 avril sur Canal plus, la mini-série "Mrs America" s'est achevée avant-hier avec son neuvième épisode. Une belle brochette de stars y raconte une page du féminisme américain mal connue de ce côté-ci de l'Atlantique : les années soixante-dix, coincées entre le libéralisme de la décennie précédente et le retour en force du conservatisme durant la décennie suivante. L'époque est marquée par une cause : la ratification de l'ERA votée par le Congrès en 1972 mais qui nécessite l'approbation des trois quarts des États fédérés américains pour entrer en vigueur.

    Le combat se déroule entre deux camps que tout oppose. D'un côté, Phyllis Schlafly, impeccablement interprétée par la souveraine Cate Blanchett, sa mise en pli impeccable, ses tailleurs et ses lavallières collet-monté, et sa cohorte de petites mains gloussantes qui la secondent indéfectiblement dans son arrière-cuisine où elles confectionnent un bulletin qu'elles postent à tous ses supporters. De l'autre, les féministes new yorkaises et washingtoniennes, terriblement tendance (ah ! les lunettes Aviator de Rose Byrne !), que les combats des années soixante ont rodées aux manoeuvres politiciennes.

    Les deux camps ne sont pourtant pas si monolithiques qu'il n'y paraît. Et l'avantage de cette série de près de neuf heures est le temps qu'elle prend à en décrire les dissensions internes.
    Du côté de Phyllis Schlafly, le personnage joué par l'excellente Sarah Paulson incarne les contradictions de l'anti-féminisme : cette femme au foyer découvre dans l'engagement militant l'ivresse des responsabilités et d'une autonomie qu'elle refuse paradoxalement aux .
    De l'autre côté, c'est la diversité, pas toujours facile à coaliser, qui prévaut avec "l'intersectionnalité" des luttes féministe, noire et lesbienne. D'ailleurs ce camp-là n'a pas, contrairement à l'autre, une seule figure de proue, mais plusieurs qui ont chacune leur épisode : Gloria Steinem (Rose Byrne), l'éditrice en chef de la revue féministe Ms., Shirley Chisholm (Uzo Aduba), afro-américaine candidate malheureuse à l'investiture républicaine en 1972, Betty Friedan (Tracey Ullman) , féministe vieillissante dont la célébrité acquise une décennie plus tôt avec la publication de son livre-manifeste "The Feminine Mystique" s'étiole, Bella Abzug (Margo Martindale), qui préside sous Carter la Convention nationale des femmes avant d'en être brutalement évincée.

    L'Histoire ainsi racontée a une résonance particulière avec notre époque. Elle permet de mesurer les progrès accomplis depuis quarante ans pour la promotion des droits des femmes. Mais elle donne à réfléchir aussi sur leur fragilité.

    La série a néanmoins un défaut structurel. Elle ne tient pas le plateau égal entre les deux camps. Comment d'ailleurs le pourrait-elle ? Notre cœur et notre raison penchent sans hésitation en faveur des féministes tant les thèses défendues par le camp de Phyllis Schlafly nous révulsent.

    Sa conclusion dans son dernier épisode est un modèle d'ambiguïté. Ronald Reagan, après avoir emporté la primaire républicaine à la surprise générale, écrase Jimmy Carter, inaugurant une révolution conservatrice aux accents étonnamment trumpiens. Mais Phyllis Schlafly, jugée trop clivante, est écartée des responsabilités auxquelles elle aspirait (elle se voyait ambassadrice à l'ONU ou secrétaire à la Défense). Le dernier plan la surprend dans sa cuisine, seule, pelant des pommes pour le dîner familial sempiternellement servi à dix-huit heures. Glaçant.
    elriad
    elriad

    375 abonnés 1 772 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 9 juin 2020
    Comme toujours, Cate Blanchett s'empare avec brio du personnage réel de Phyllis Schlafly, une femme ultra conservatrice opposée aux droits des femmes, de l'avortement et des homosexuels, qui s'est battue dans les années 70 contre l'ERA en mobilisant des centaines de femmes au foyer dont elle s'est servie pour servir sa carrière. Entre Christine Boutin et Ludivine de la Rochère, cette femme odieuse a consacré sa vie contre le féminisme jusqu'en 2016 où elle est morte après avoir soutenu la candidature de Trump. Cate Blanchett est impressionnante dans ce personnage, sachant que ce rôle est à l'opposé de ce qu'elle est dans sa vie, ardente défenseur des femmes. Petit bémol,un peu longuette et verbeuse, la série aurait pu se passer d'un ou deux épisodes car la dramaturgie reste peu évolutive...
    GéDéon
    GéDéon

    50 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 8 janvier 2023
    Une saison (2020, soit 9 épisodes). Série terminée.
    Le combat dans les années 1970 aux Etats-Unis pour l’adoption de l'Equal Rights Amendment, opposant féministes et conservateurs. Cette série brosse le portrait des figures emblématiques qui se sont battues pour ou contre l’inscription de l'égalité des droits entre les sexes dans la Constitution américaine. Dans un rôle à contre-emploi, Cate Blanchett interprète Phyllis Schlafly, une farouche opposante au mouvement de libération de la femme. Même si l’on est censé connaître le contexte culturel et politique de l’époque, quelque clés de lecture n’auraient pas été superflues pour une meilleure compréhension des événements. De même, le choix de se concentrer à chaque épisode sur l’une des protagonistes ne permet pas de s’attacher aux personnages. On passe ainsi du coq à l’âne avec une approche très superflue de la diversité des courants de pensée (lutte pour le droit à l’avortement, reconnaissance des lesbiennes, prise en compte des minorités afro-américaines, etc.). Bref, une série instructive mais insuffisamment poignante au regard du sujet évoqué.
    orlandolove
    orlandolove

    111 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 30 mars 2021
    Une excellente bande son, ainsi que des costumes et des décors très soignés nous immergent totalement dans l'époque. De quoi pleinement profiter de cette série dense, un peu décousue parfois, mais le plus souvent riche en enseignements... Les actrices sont formidables.
    Harma
    Harma

    21 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 2 septembre 2020
    Excellente mini série qui est basée sur l'histoire vraie des droits des femmes dans les années 70 et l'ERA. À voir absolument.
    fafat07
    fafat07

    12 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 4 octobre 2020
    Passionnante série... du rythme, des personnages charismatiques et un excellent jeu d'acteurs... j'ai juste adoré...
    Pamolico - blog
    Pamolico - blog

    9 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 29 mai 2020
    Cette série frappante oppose féministes et antiféministes dans la lutte sans merci qui déchira les États-Unis dans les années 1970 : adopter ou non l'ERA ? Le jeu des actrices est brillant, la reconstitution historique, plus que crédible, malgré quelques impasses dues aux nombreuses ellipses : Gloria Steinem regrette cette volonté de ne montrer qu'une seule facette du combat (femmes contre femmes) et on la comprend... Critique entière ici : https://pamolico.wordpress.com/2020/05/29/mrs-america-dahvi-waller/)
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 25 août 2020
    Jamais je n'aurai imaginé que cette histoire couvre autant de décennies, commençant en 1970, et ayant des répercutions en 2020. J'ai apprécié ce démarrage de la série avec ce débat d'idées entre antiféministes et féministes. Malheureusement, ce sera très court et finalement peu exposé, ce qui pour moi est décevant. Ensuite, on passe aux rapports sociaux familiaux des protagonistes permettant une bonne contextualisation des personnalités où on peut remarquer leur situation aisée et de confort. La part donnée aux femmes de basses conditions et dans des situations difficiles est totalement absente. Puis la série va alors s'attacher à montrer une histoire d'une guerre politique des deux camps, où le partisanisme prime face à une réflexion de fond. Les coups bas, les mensonges, les déformations de propos et les jeux avec les médias prennent place dans cette lutte. Les personnages ont des caractères très différents. Les hommes dans la série sont relayés tellement en arrière plan, qu'ils sont quasi inexistants, comme si cet ERA n'avait été qu'un crêpage de chignons d'intellectuelles. Rare sont les moments de faiblesses des personnages. Au final une seule femme dans le lot vivra une évolution, un changement de point de vue. La BO est agréable et colle bien à l'époque. Les décors et costumes sont superbes. Mais j'ai éprouvé peu d'émotions et d'attachement aux personnages. Le final de la série est glacial. Une série fortement intéressante.
    Moutiou1209
    Moutiou1209

    8 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 8 décembre 2020
    Excellente série historique et d'actualité.
    Une excellente prestation des actrices et acteurs...
    Série passionnante et belle mise en scene . Vraiment je conseille cette série à tous.
    Une plongée dans le système des institutions américaines.
    Bravo
    Marika1004
    Marika1004

    7 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 1 janvier 2021
    Série très intéressante qui montre bien le combat des deux côtés : féministes et conservatrices. Il y a du rythme. Le rôle des actrices est vraiment au top.
    Pierricdrai
    Pierricdrai

    5 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 28 février 2021
    Au début des années 1970, Phillys Schlafly est déjà une femme au foyer très active malgré ses six enfants. Engagée politiquement en ayant déjà tenté de se faire élire au Congrès des États-Unis, elle est une fine connaisseuse de la question de l’armement et des relations entre USA et URSS en cette période tendue de guerre froide. Elle essaie donc légitimement de faire entendre sa voix. Voyant qu’elle n’est pas prise au sérieux sur ce sujet considéré comme « masculin », elle joue d’opportunisme et s’engage, via son mouvement Stop ERA, dans un combat contre la ratification de l’ERA (Equal Rights Amendment) qui vise à établir une égalité entre les sexes notamment en ce qui concerne le droit des femmes à travailler comme les hommes.
    Outre ce personnage évidemment historique, la série s’intéresse aux différentes figures du féminisme américain de l’époque. Tout d’abord, Gloria Steinem, égérie de la cause qui est encore vivante et toujours active (elle a prononcé un discours remarqué lors de l’investiture de Donald Trump aux élections américaines). Elle est un peu l’image fun et glamour du mouvement. Shirley Chisholm (première femme politique noire à s’être présentée aux élections présidentielles de 1972), Bella Abzug, une autre figure politique et Betty Friedan (journaliste auteure d’un livre sur la valorisation des femmes dans la société) complètent le tableau de ces féministes aux caractères bien trempés.
    Mais leurs différences de point de vue et les compromis qu’elles devront faire pour optimiser les chances de ratification du traité seront de grandes sources de conflits entre elles. Et à ces luttes fratricides vient donc s’ajouter le talent d’oratrice de Phillys Schlafly qui va porter préjudice à leur message. Portée à l’écran par une Cate Blanchett parfaite, elle va rallier à sa cause la parole des femmes au foyer se sentant menacées par l’ERA, coupable selon elles de dénigrer le mode de vie qu’elles représentent. Et contrairement aux guerres intestines du mouvement qui les oppose, ces femmes ont trouvé en Phyllis Schlafly leur porte-parole incontestée.
    La première qualité de « Mrs America » est d’abord d’ordre pédagogique : on appréhende très bien la réalité sociale de l’époque et la fracture morale naissante au sein de la classe politique américaine. Il faut pour cela une mise en scène précise capable de présenter clairement les dissensions existantes dans le camp féministe et le rôle qu’a joué Phyllis dans ce contexte. Ainsi, le fait que chaque épisode présente la vision et le parcours d’une d’entre elles en particulier est assez habile. Les actrices doivent aussi incarner ces femmes de manière crédible et là-dessus, rien à dire, elles sont excellentes.Et enfin, il faut une retranscription fidèle des mœurs de l’époque : on pense ainsi à ces femmes au foyer de milieu plutôt aisé, bien blanches et bien catholiques, dont le mode de vie nous paraît d’un autre âge.
    Enfin, la série fait l’effort de rester plutôt neutre dans ses positions même si certains éléments factuels ne poussent pas le spectateur à prendre fait et cause pour Phyllis. De même, les contradictions de celle-ci sont largement exposées car elle prône un mode de vie pour les femmes qu’elle est incapable de tenir elle-même. A ce titre, la fin très réussie sera un retour de bâton assez brutal et cynique. La série fait tout de même l’erreur de sortir durant un épisode de son rôle parfaitement tenu jusqu’alors qui était de nous conter la grande Histoire. Elle se penche soudainement sur la vision d’une proche de Phyllis qui doute de ses convictions et qui se juge subitement déconnectée du monde qui l’entoure. Ce positionnement à travers un personnage totalement fictif n’était pas franchement nécessaire tant les acquis des femmes depuis cette époque nous semblent heureusement normaux et suffisent à considérer comme archaïque la vision qu’a Phyllis de la condition féminine. Mais si la manière est maladroite, l’objectif était sans doute de montrer à quel point ces femmes ne connaissent rien du mouvement féministe qu’elles diabolisent par principe. Elles suivent ainsi la sainte parole de leur leader sans autre esprit critique que les valeurs dans lesquelles elles ont été éduquées.
    Au final, on assiste à une très bonne reconstitution d’une période qui explique formidablement bien comment le conservatisme moral s’est inséré dans le monde politique américain et a été repris par le parti républicain en la personne de Ronald Reagan. Ce « Mrs America » est donc une réussite qui, à défaut d’être jubilatoire, est instructif, bien joué, bien mis en scène et donc très plaisant.

    Pour d'autre critiques, rendez-vous sur mon blog :
    seriephiledudimanche.jimdofree.com
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