Avis Into the West

Une excellente série, pour ceux qui s'intéressent un tant soit peu à la conquête de l'ouest américain, où l'on suit une famille de colons et une famille d'indiens tout deux fictives mais qui vont, au fil des années, être témoins des principaux événements historiques de cette conquête, de la découverte du passage vers la Californie par Jedediah Smith en 1826, jusqu'au massacre de Wounded Knee en 1890, en passant par la ruée vers l'or et l'arrivée du chemin de fer. Beaucoup d’événements mais aussi de personnages historiques comme Jedediah Smith donc, Le général Custer, Sitting Bull, et Crazy Horse pour ne citer que les plus connus. Beaucoup d'émotions aussi quant à la violence perpétrée contre les indiens qui ne peuvent que constater leur impuissance face à l'arrivée en masse des blancs. À voir !

Pour ceux qui aiment les westerns comme Deadwood, c'est du lourd. On y voit très clairement le déclin du peuple amérindien et la folie collective des blancs dans la conquête de l'ouest.
A ne pas rater.

C'es tout simplement magnifique...Les paysages snt splendides..une réelle reussite..on est plongé en pleine aventure de l'Ouest américain..De plus, à la prod nous avons un certain...Mr Spielberg !!

On a ici affaire à une énième reconstitution de la Conquête de l'Ouest.
Mais bon, je n'ai pas vu l'intérêt des amerloques à récidiver.
C'est ennuyeux, barbant et d'une longueur tuante avec des épisodes d'1h30, dénués de tout rythme, d'émotions pour la vie de ces colons anonymes et apathiques.
Je me faisais moins chier devant les vieux épisodes sclérosés d'Il était une fois... les Explorateurs (vous vous souvenez le dessin animé des années 80 qui expliquait le pourquoi du comment).
Préférez revoir au choix, Il était une Fois dans L'Ouest de Sergio Leone ou Retour à Cold Mountain du sieur Minghella.

Cette série s'appuie sur des faits historiques. Elle s'intéresse à deux visions, celle des indiens et celle des blancs. On voit des aspects intéressants de la vie des indiens, en particulier la chasse aux bisons et les risques associés à cette chasse. Les guerres avec le général Custer sont montrées dans toutes leurs atrocités. C'est juste un peu dommage que les événements passent si rapidement dans les épisodes car le spectateur aimerait suivre davantage la vie des personnages.

J'étais passé à côté et franchement une très bonne surprise cette série ! De la Conquête à l'industrialisation et colonisation de l'Ouest, acteurs au top, bon rythme, paysages à couper le souffle, reconstitutions historiques très au point... foncez si vous aimez l'Ouest américain (ou pas)

« Into the West » nous immerge dans l’épopée de la conquête de l’ouest. Encore une fois, Steven Spielberg nous offre du grand spectacle où tout frôle la perfection. Doté d’une galerie de personnages et d’acteurs de qualité, d’une reconstitution fidèle, cette série est un pur régal. A un détail près : le rythme n’est pas toujours présent et les épisodes de 1h30 tirent, parfois, quelque peu en longueur. C’est le seul défaut de ce petit chef d’œuvre.

Un seul bémol : qu'on ne nous fasse pas savoir que le massacre de Sand Creek a été condamnée par l'armée.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Sand_Creek

Les séries modernes sur la conquête de l'Ouest étant assez rares, je me suis précipité sur "Into the West", une série produite par Steven Spielberg et diffusée en 2005. Cette mini-série est une épopée historique qui suit deux familles, les Wheeler et les Lakota, à travers plusieurs événements marquants de la conquête de l'Ouest américain. Les points forts de la série sont un souci du détail dans la représentation de la vie et des modes de vie des pionniers et des Amérindiens à cette époque, ainsi qu'un casting de qualité. Les points faibles sont une réelle lenteur dans le déroulement de l'intrigue (chaque épisode dure 1h30) et, dès le début, une représentation du chamanisme qui peut être insupportable dans une série qui se veut réaliste. "Into the West" raconte l'histoire d'un grand remplacement, celui des Amérindiens par des colons principalement blancs, qui ont été "détruits" par la technologie, la maladie, l'alcool et l'extermination des bisons. La série aborde des thèmes relevant de la sociologie, de l'ethnologie et de la géopolitique, ce qui en fait une œuvre franchement intéressante pour qui s’intéresse de près ou de loin à la conquête de l’Ouest.

Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.

Bien trop bonnes notes. Cela se laisse regarder, mais la série est empreinte d'une morale Ancien Testament et d'une définition de la famille qui en dit plus sur les origines des créateurs de la série que sur l'histoire américaine. Dans la même lignée cette tendance à victimiser la minorité oppressée - l'indien il est gentil, le blanc il est méchant - devient extrêmement lassante à la longue. De manière ironique, car c'est en essayant de dédouaner l'indien, sont mises également en évidence les causes-même pour lesquelles la situation a toujours été inévitable: les chefs ne "donnent pas d'ordre" aux leurs, il n'y a que l'homme blanc qui fait cela - rendant donc, n'est-il pas, tout traité inutile...; "les jeunes essaient juste de faire leurs preuves" - en d'autres termes en habitant près d'indiens, les pauvres familles de colons risquaient à n'importe quel moment de se faire violer, scalper et tuer hommes, femmes et enfants par des bandes de jeunz qui essayaient d'attirer l'attention. Idem pour l'atmosphère de provocation constante, qu'on peut retrouver même aujourd'hui sur les sites conflictuels, comme le Moyen-Orient... A l'époque, comme aujourd'hui, on parlait karcher et on faisait intervenir l'armée... Le reste c'est du déjà vu, une civilisation de chasseurs/cueilleurs disparait faute de ne pas avoir pu s'adapter à l'agriculture et l'élevage, sans parler d'alphabétisation (pour pouvoir réclamer la propriété des terres par exemple). Pour le débat moral, il ne faut pas oublier que la question de qui était là avant ne se pose que dans les salons en sirotant du thé, sur le terrain c'est la loi du plus fort qui prédomine toujours. La série avait les bases pour faire réellement un film éducatif scénarisé sur l'histoire, mais préfère à chaque pas la voie du geignement sur le sort des indiens. Long et indigeste - probablement comme mon commentaire. Pour ceux qui ont lu jusqu'au bout: http://en.wikipedia.org/wiki/File:Pastis1.jpg

Bonne mini série produite par Steven SPIELBERG via le département télévision des Studios DreamWorks pour la chaine TNT.

Excellente série, très bien interprétée, émotions et paysages superbes, très bonne reconstitution. L'histoire est originale avec un double regard indiens/blancs sur une époque qui finit et une autre qui commence. A voir !!!!!!

L'angle sous lequel est montré la conquête de l'ouest est intéressant. On voit bien les ambivalences de chaque communauté et la complexité des situations qu'elles affrontent. Le temps long de cette conquête et les souffrances qu'elle a engendré sont bien restituées. Mais on reste souvent à un niveau superficiel : il y a foisonnement d'événements et on passe très vite à autre chose. C'est dommage. A partir du 3ème épisode les acteurs changent sans qu'on voie la nécessité de faire jouer un même personnage par un autre acteur. Le propos aussi s'essouffle.On ne s'y intéresse pas autant.
En conclusion je dirais que la promesse des 2 premiers épisodes n'est pas tenue.

que dire de cette magnéfique série,six episodes de1h27 chacune et que du bonheur du debut jusqu'a la fin ,un regal pour les yeux,les acteurs,les paysages et le charmes et des personnages attachant et une histoire boulversante du conflit entre les indiennes et les blanc qui veulent toujours étre les meilleurs,je la conseille vivement a ous les fans du cinéma et du westerns

Une très belle mini série qui relie l'épopée de deux familles typiques de l'époque, à l'histoire de la conquête de l'Ouest. Esthétiquement magnifique, le travail porté sur chaque détail de cette saga est irréprochable, d'une très grande rigueur et nous permet de nous immerger dans l'histoire du peuple amérindien. Car plus que les colons américains, ce sont bien les indiens et le traumatisme qu'engendra leur disparition progressive qui est au coeur de l'oeuvre produite par Spielberg. Un vrai travail de mémoire, didactique mais ne délaissant pas la mise en scène, très belle dans son classicisme atemporel. Le peuple américain s'est fondé à partir d'un massacre, nous rappelle cette mini série. Grand mélodrame, mais aussi bel tentative d'americana et de relancées westerniennes, l'oeuvre s'avère par moments bouleversante et fait preuve d'une grande homogénéité. C'est classique, le ton didactique de l'entreprise pourra en rebuter quelques uns. C'est pourtant une très belle oeuvre lyrique, servie par des acteurs excellents et une histoire (au sein de l'Histoire) passionnante. Personnellement, je suis conquis.