C’est ce qu’on peut appeler l’amour vache entre les deux. Isabelle Morini-Bosc et Gilles Verdez passent leur temps à se disputer sur le plateau de Touche pas à mon poste, et une fois n’est pas coutume, ils se sont à nouveau écharpés autour d’un sujet jeudi 5 décembre 2024. Alors qu’Isabelle Morini-Bosc lisait sur son portable une description de la hyène tachetée, Gilles Verdez l’a accusé d’être une menteuse, ce qui n’a pas du tout plu à la chroniqueuse.
"T’as menti en plus"
Alors qu’Isabelle Morini-Bosc lisait un descriptif des caractéristiques de la hyène tachetée, Gilles Verdez l’interrompt. "Mais tu n’as pas lu jusqu’au bout, t’as menti en plus", l’accuse-t-il. "Elle ment j’en ai ras-le-b** moi à la fin, ici on dit la vérité", s’énerve-t-il ensuite. "Elle n’a pas lu la fin. Son truc est démenti puisqu’il y a entre parenthèses, quasiment autant qu’un requin blanc", explique le chroniqueur en prenant le portable des mains d’Isabelle Morini-Bosc. "Oh alors tu parles moins fort", lui demande-t-elle. "Il y a des millions de gens qui vont croire que la hyène tachetée est supérieure au requin blanc", continue Gilles Verdez.
"C’est pas possible au bout d’un moment"
Très énervé, Gilles Verdez balance le portable d’Isabelle Morini-Bosc sur la table. "C’est pas possible au bout d’un moment", ajoute-t-il. Un geste qui n’a pas du tout plu à la chroniqueuse. "Elle a pris ses médicaments ce soir ?", demande Jean-Michel Maire qui décide de s’en mêler. La chroniqueuse était en tout cas bien énervée pour annoncer son coup de gueule du soir : une étude démontrant que les élèves français sont les moins bons d’Europe. Malheureusement, elle a bien du mal à expliquer cette histoire puisque Jean-Michel Maire a décidé de l’interrompre à tout-va. "On était à la hyène", lui dit-il, provoquant un fou rire général sur le plateau. "Mais c’est n’importe quoi", réagi Gilles Verdez au coup de gueule de la chroniqueuse. "Mais tu fais pas le commentaire derrière !" "Arrête de gueuler", lui demande-t-elle alors. Une chose est sûre, ces deux-là se disputeront toujours !