Derniers Avis : Die Hard : belle journée pour mourir - Page 10

Mais où est passé la désinvolture de Bruce Willis ? Où sont passées les petites phrases savoureuses et l’humour ? Où est passé le scénario plus mince qu’un jambon beurre SNCF ? Ce cinquième opus est une honte et ridiculise d’un coup la franchise à succès. Balourd et vain et dire qu’un 6ème est en préparation….

Ayant encore en mémoire les critiques globalement négatives que le film avait récoltées à sa sortie, je n’ai pas placé, du coup, la barre trop haute et n’est donc pas été vraiment déçu du spectacle. C’est vrai cette aventure (la 5ème) de John McLane est de loin la moins réussie, notamment au niveau du scénario qui multiplie les scènes d’action ahurissantes pour faire perdre de vue au spectateur la très grande légèreté du scénario. Mais finalement, le plus décevant est quand même le personnage de John McLane lui-même qui est loin, mais alors très loin, du personnage bad-ass super cool qu’il était dans les 4 premiers volets. Ici on se retrouve avec un personnage vraiment fade qui peine, comme tous les autres personnages il faut le dire, à exister dans une intrigue où si l’on remplace le nom (John McLane) et la célèbre réplique « Yippi-Kai, mother fucker », on pourrait se retrouver avec n’importe quel film d’action hollywoodien. Alors, pour les fans de la franchise, je comprends que la pilule soit assez dure à avaler. Personnellement, même si j’aime la franchise, je n’ai pas été plus déçu que ça – encore une fois peut-être parce que j’étais prévenu du ratage – et j’ai donc passé un agréable moment de détente devant un film d’action à qui je ne demandais que de me distraire sans prise de tête. Mission accomplie donc. Un film d’action très industriel, qui fournit une distraction peu exigeante, mais qui je le conçois décevra les fans de cinéma de qualité (évidemment) et les fans de la franchise « Die Hard » qui ont raison de crier à la trahison. Espérons que le volet 6, en préparation, sera d’un autre calibre.

Je trouve le film mal rythmé surtout les dialogues. Le reste est pas mal, sa se regarde avec des scènes d'action plutôt bien faites même si je m'attendais à plus d'humour comme dans les précédents volets. 12/20

Après Die Hard 4 : Retour en Enfer de Len Wiseman sorti en 2007 qui avait à la fois emballé et déçus certains fans de la saga Die Hard, John McClane, le flic le plus coriace de New-York, revient six ans après le quatrième opus dans une nouvelle aventure explosive et spectaculaire. Mais le problème c’est que le film fut un désastre critique et qu’il est une catastrophe à tous les niveaux massacrant ainsi la plus grande franchise d’action des années 1980 et 1990. John McClane se retrouve une fois de plus au mauvais endroit au mauvais moment quand il se rend à Moscou pour y trouver son fils Jack, qu’il avait perdu de vue depuis plusieurs années. Mais ce qu’il ignore c’est que Jack est un agent hautement qualifié de la CIA envoyé là-bas en mission pour empêcher le vol d’armes nucléaires. Avec la mafia russe à leur trousse et la menace d’une guerre imminente, les deux McClane vont vite découvrir que leurs méthodes radicalement différentes vont faire d’eux des héros. Ce Die Hard 5 s’annonçait au départ sur le papier comme un des meilleurs film de la saga d’action avec une aventure réunissant John McClane et son fils Jack qui partaient en Russie réduire en cendre Moscou, et oui j’attendais ce film en me disant qu’un Die Hard ne pouvait être raté. Mais je me trompais malheureusement. Projet donc très alléchant sur le papier, l’excitation est montée d’un cran quand est arriver le premier teaser, véritable petit bijou selon moi, où l’on assistait à un déballage de scènes d’action avec explosions et mitraillages à la pelle sous le son de L’Ode à la Joie de Beethoven ainsi qu’à la vue très sexy de Yuliya Snigir rendant ce teaser juste jouissif à souhait ! Et quand le film est sorti aux Etats-Unis ce fut l’incompréhension la plus totale qui soit : Die Hard : Belle Journée pour Mourir est un ratage total. Cinquième volet de la saga, ce Die Hard 5 « est une belle manière de ruiner la franchise Die Hard. Terrible » disait . Tout est dit car en effet ce cinquième opus est une belle grande catastrophe ! Nous n’assissions même plus à un Die Hard car l’âme qui a fait le succès de la saga s’en est allé très loin et nous avons donc droit à un film d’action basique mal produit, réalisé, interprété et qui n’a rien mais alors que dalle à raconter ! La franchise Die Hard et son héros John McClane sont morts et enterrés avec ce Belle Journée pour Mourir, le titre dit tout. Réalisé par John Moore, le réalisateur du paraît-il nullissime Max Payne, était je l’avoue le seul petit détail qui me faisait peur sur ce film. J’avais raison. La réalisation pitoyable de Moore fait que ce Die Hard n’est plus un Die Hard, regardez juste la course poursuite dans les rues de Moscou, grosse comme une maison en plus, où des voitures se font détruire par un gros camion militaire qui vol en plus parce que osez lui faire traverser un pont à pleine vitesse pour le faire aller sur la route d’en bas il fallait le faire. C’est juste irréalisable, on n’y croit pas une seule seconde au scènes d’action de John Moore, celles de Die Hard 4 sont à côté dix fois mieux réalisées ! La réalisation n’étant pas à la hauteur d’un Die Hard, le scénario l’est encore moins. Mais qui nous a pondu ce script ?! Deux types sont dans Moscou en train de tout casser et essaient d’empêcher le vol d’uranium à Tchernobyl par les méchants les plus débiles de la saga afin de fabriquer des armes nucléaires. Voilà à quoi se résume Die Hard : Belle Journée pour Mourir : une histoire banale, inintéressante, sans âme et vraiment classique de chez classique. Les rebondissements on les connaît par cœur : on se doute bien que la fille est du mauvais côté quand nos héros emmène leur copain russe la retrouver, que les méchants leur tendent une embuscade et surtout que les deux McClane vont se tirer sans trop de difficulté de leur situations périlleuse. Le suspense est mort dans ce film. De plus l’aventure ne dure qu’1h35 ce qui est très court pour la franchise, la fin est raté, c’est bâclé, on nous laisse là tranquille à Tchernobyl avec nos deux gars en sang et entourés de flammes. Super !!! Et le plus navrant c’est que même la réplique culte de Bruce Willis, le fameux « Yippee Ki-Yay pauvre con » est assassinée, balancée comme ça juste pour le plaisir des fans ou du réalisateur. Comment détruire une franchise à succès ? Appelez John Moore. Mais vous pensiez peut-être que le pire était passé et que le film possède un point positif ? Et bien a part le regarder pour rigoler tellement c’est mauvais et voir plein d’explosions, le film est une belle daube américaine. Le pire du pire est atteint au niveau des acteurs. Bruce Willis n’incarne plus John McClane, l’acteur semble avoir perdu l’âme de son héros qui l’a fait connaître au yeux du grand public. McClane apparaît ici comme un vieux flic pas loin de la retraite, qui fait que de se plaindre qu’il est en vacance et qui balance des vannes tout le temps et c’est lourd à la fin. Ce qui lui a été reproché par la critique c’est son air absent, de « je m’en fou totalement du film dans lequel je joue » et ça c’est vrai parce que l’acteur n’y est plus du tout. Willis a perdu l’un des personnages les plus mythiques du cinéma en massacrant en même temps l’une de plus grandes franchises d’action du cinéma des années 1980 et 1990. Après Jai Courtney qui joue le fils de McClane est trop lisse, le personnage n’a pas assez de psychologie et ce type de protagoniste on l’a vu des centaines de fois : le mec qui n’aime plus son père sous prétexte qu’il n’était pas là durant son enfance et qui se réconcilie avec lui à la fin. Et ensuite les méchants sont incroyablement mauvais et nuls, le personnage Sebastian Koch est le pire méchant que peut posséder la saga, projet machiavélique nul, psychologie inintéressante et sa mort est ridicule. Yuliya Snigir certes très sexy est aussi inutile que le personnage de Radivoje Bukvic qui n’est qu’un espèce de bourrin qui sert à rien, comme ce film d’ailleurs. Donc en résumé réalisation pitoyable, jeux d’acteur catastrophiques, scénario débile et ambiance Die Hard inexistante. Die Hard : Belle Journée pour Mourir était donc le cinquième volet de la saga, le volet de trop car massacrant toute cette magnifique franchise lancée par John McTiernan en 1989 avec le chef-d’œuvre Piège de Cristal. La retraite pour John McClane n’est plus très loin, surtout que la production a annoncée un sixième épisode qui pourrait prendre place à Tokyo et pour le moment intitulé Die Hardest. En espérant que ce soit le dernier et qu’il rattrape les dégâts de John Moore et conclue pour de bon cette grande saga qui aura connu des hauts avec Piège de Cristal et Une Journée en Enfer et le fond du gouffre avec Die Hard : Belle Journée pour Mourir. Alors Yippee Ki-Yay ? Non pas cette fois.

C’est triste de finir une série qui avait si bien démarré comme ça. Pourquoi ne se sont-ils pas arrêté avant je ne sais pas car produire un film comme ça n’a aucun intérêt. Le scénario est vite recherché, les dialogues minimisés, l’histoire père-fils à oublier et après action sur action : le but du film faire tout péter, tout exploser, c’est sans intérêt. On peut avoir de l’action et quelque chose derrière mais la non, c’est vide. Ce film est franchement nul et ça s’appelle pourtant Die Hard mais rien à voir avec Piege de Cristal je vous assure.

le 5eme volet de la saga die hard , Bruce Willis est bon ( moins que dans les autres die hard ) , Jay Courtney est crédible en jack mc clane , Mary Élisabeth Winstead est de retour en Lucy mc clane , le film est spectaculaire mais plus court que les autres opus ( 1h34 contre 2h env pour les autres ) un die hard bon

quelle déception... Les 3 premiers sont géniaux, le 4 est franchement pas mal, tous les espoirs étaient autorisés et, et et.... De la daube, Bruce ne fait rien, le scénario est juste vomi par un pingouin... Triste à voir.

Déjà que le film est vraiment pas terrible, mais le pire dans tout ça c'est que ça n'a rien à voir avec die hard, normalement John Macclane est seul (le coup du fils n'est pas raté pour autant) dans sa merde, et il se démerde avec les moyens du bord (en l’occurrence là il a de la bonne artillerie).
On a l'impression de voir un vulgaire film d'action où on débranche le cerveau et on le remet à la fin. Nan mais sérieux le scénario est inexistant, on pourrait résumer ce film en quelques phrases tant les scènes d'action sont omniprésentes. On est très loin des premiers die hard qui avait la finesse d'avoir un bon scénario bien ficelé lié à de bonnes petites scènes d'action. Autant le 4ème était pas mal et restait dans l'esprit mais celui pas du tout, il va falloir redresser la barre car si je ne me trompe pas il y a un 6ème en préparation...

Une belle journée pour crever fut l'un des films les plus décevants de 2013. Malgré ça, je lui accorde une note généreuse de 3/5 car il y a tout de même certains des aspects importants des Die hard comme John McClane au mauvais endroit au mauvais moment, un yippie kay yay bien placé (même si dans ce film c'était moins bien), de l'action en grande quantité et un nouvel adjuvant important (Al Powell-Piège de Cristal, Samantha Coleman-58 minutes pour vivre, Zeus Carver-Une journée en enfer, Matthew Farell-Retour en enfer et Jack McClane«son fils» dans celui-ci). Ce qui fait en sorte que je n'aime pas vraiment ce 5e opus de Die Hard c'est, entre autre, le mauvais scénario, le méchant, le manque de cascades et le fait que ce soit en Russie que ce passe l'action. Par contre, je trouve que ce film est tout de même digne d'intérêt et il vaut le coup d'être écouté.

John McClane est mort...c'est une certitude. Le flic le plus "dur à cuire" de sa génération n'est plus que l'ombre de lui-même. Au mauvais endroit au mauvais moment ? Une situation impossible ? Un équipement plus que minimaliste ? Un handicap sévère ? Non, non, non et non. Dans cet opus, aucun des traits caractéristiques de notre héros n'est respecté. Il va au devant des problèmes, se retrouve dans des histoires presque banales tant elles sont vues et revues, son équipement est vite constitué d'armes lourdes avec lesquelles il fait le ménage, sans réel handicap par rapport aux 3 films qui précédent. C'est un shoot 'em up inconsistant que ce "Die Hard : belle journée pour mourir". Fans de la saga : s'abstenir.

Depuis la première trilogie Die Hard du debut des année 90, je n'arrive plus à accrocher aux films cette licence. Alors dans ce dernier épisode, on retrouve toujours des éléments fidèles à la série (la nonchalance de John McLane, la mort du grand méchant avec une chute en slow motion, le célèbre "Yi-pi-kaï"...). Mais malgré tout, ca ne passe pas... Les dialogues entre le père et le fils sont d'une platitude totale, les gunfights invraissemblables et les deux personnages principaux n'arrêtent pas de faire des chutes du haut d'immeubles sans jamais se casser (en cumulé sur tout le film, ils doivent bien chuter de 200m). Bref, décevant...

Boom, Boom, Bof
Sans grand intérêt, Bruce Willis y parodie le personnage des précédents épisodes.

Je trouve que c'est un film assez fidèle au concept. Notre héros est au prise avec des méchants malgré lui et s'en sort toujours miraculeusement et relativement indemne. Il y a tout plein d'action, des revirements de situation et on ne s'ennuie pas une seconde. Le scénario laisse parfois à désirer mais de toute façon c'est le genre de film où il est préférable de mettre son cerveau au neutre et ne pas trop réfléchir...

Pourquoi... Pourquoi avoir fait Die Hard 5 ?! Ce film est... comment dire... l'opus de trop. Les scènes d'actions sont cools, mais le scénario est aussi pourri que les dialogues. Extrêmement décevant. On est loin des quatre précédents Die Hard. Ce film gâche la saga, c'est une tâche dans l'univers Die Hard.

On attendait une bonne bouse, un viol de la franchise et bien on l'a eu et en beauté. C'est qu'ils ne font pas les choses à moitié chez la Fox. Sans se demander pourquoi le premier "Die Hard" est le film d'action ultime, ils choisissent un de leurs pires tacherons pour le réalisé, utilise le mot fuck pour justifié le R-rated, déglingue tous les codes de la série, et font de Bruce Willis un petit vieux chauve qui balance des blagues bien pourries. Ah et ils n'ont pas mis de méchant comme ça au moins... Celui que l'on pensait être le méchant au début est le roi des méchants pas charismatiques, car quand il apparait on le voit manger une carotte... et faire une espèce de danse après avoir craché sa haine des américains ( cliché quand tu nous tiens. Bruce Willis est cette fois accompagné de son fiston qui sait tenir une arme comme lui, contrairement aux précédents films. Peut être est il trop vieux pour assurer les gunfights tout seul ? Toujours est il que sa présence est fantômatique voir anectotiques. Mais ce qu'il y a de bien avec Bruce Willis c'est que quand il tourne un mauvais film et que lui même n'y croit pas et bien ça se voit tout de suite. que raconter sur le scénario si ce n'est qu'il est atroce même pour un film d'action ou l'on attend pas une grande histoire. Mais le pire de tout, c'est la mise en scène... caméra à l'épaule dégueulasse, photo dégueulasse aussi et montage tout aussi dégueulasse, il est difficile de faire pire dans la base même d'un film que sont ces trois outils. "Die Hard" c'est un film qui se prend pas trop au sèrieux sans être débile mais qui doit en grande partie son statut à une mise en scène chirugicale, dynamique et à un montage fluide. L'autre intêret réside dans son scénario qui possède de vrais enjeux et scénaristiques et émotionnels. Mais surtout "Die Hard" bien qu'intemporel reste quand même typique de son époque, il est très difficile de le transposer au XXIe siècle.