Derniers Avis : Diamants sur canapé - Page 10

Sorti en 1962 et pointant à la 304ème place du top Allociné, Diamants sur Canapé est un film avec Audrey Hepburn dans lequel elle joue une croqueuse de diamants qui n'a de cesse de passer son temps à chercher l'élu de son coeur, celui qui pourra satisfaire tous ses besoins. Considérant ce rôle comme le plus difficile de sa carrière, étant très introvertie et devant se forcer à jouer le rôle tout inverse, Audrey Hepburn partage l'affiche avec un convaincant George Peppard. Bien que le film ne frise jamais le chef d'oeuvre, cette adaptation de la nouvelle de Truman Capote réussit cependant à nous tenir en haleine jusqu'à la fin.

Une jeune femme bavarde et menteuse cherche à épouser un homme riche à tout prix, tout en passant son temps avec un écrivain amoureux d'elle.

Voici une comédie dramatique Américaine d'un autre temps.

En effet, malheureusement des comédies haut de gamme de ce niveau plus personne n'est capable d'en faire.

Le récit et surtout la fin du film semble classique voir traditionnelle, tellement cela a été fait par la suite.

Il y a un mélange entre l'humour et le drame qui est assez subtil et qui m'a beaucoup plu.

Ce film donne le sourire, mais que serait il devenu? Sans Audrey Hepburn qui telle un rayon de soleil illumine l'écran à chacune de ses apparitions, elle est tout simplement éblouissante et magnifique.

Un film romantique pleins de charmes et d'élégance!

" Diamants sur canapé " est vraiment une comédie sentimentale de haute tenue. La plus grosse qualité de ce long métrage est, pour moi, le duo irrésistible que forme Audrey Hepburn et George Peppard. La première campe avec subtilité une femme bien déterminer à trouver un milliardaire, alors que le second s'avère bien remarquable dans le rôle d'un écrivain qui est désesperement tomber amoureux de la belle Audrey.
Le tout est emmener par une superbe mise en scène de Blake Edwards qui nous offre quelques séquences bien romantiques ( le dernier plan du film le prouve bien ! ), mais aussi par une magnifique BO de Henry Mancini ( " Moon River " est une superbe mélodie ).
Du grand cinéma en somme et qui se déguste bien agréablement.

Dolly est une femme malicieuse, souriante, enjouée, élégante, et vivant dans un quartier chic de New york. C'est un personnage attachant, qui rêve de bijoux de luxe et de se faire une place parmi la bourgeoisie, mais spoiler: au final elle se fera prendre par son propre jeu et tombera amoureuse d'un homme d'une condition modeste, avec qui elle eu le feeling dès le départ
. Eh oui, l'argent ne fait pas forcement le bonheur (ça dépend pour qui), il se résume à peu de chose parfois comme trouver l'amour de sa vie... Le décor est somptueux, lumineux, et les vêtements que portent les comédiens sont classes.
C'est une romance touchante interprété avec brio par Audrey Hepburn qui a avoué avoir eu le rôle le plus difficile à jouer dans sa carrière, car Dolly est extravertie, tandis qu'elle est son contraire : introvertie de nature.

Une pure merveille, romance sur teinte de folie et de légèreté masquant la souffrance, l'angoisse, la vraie. Pour entendre les réalités de ceux et celles qui portent de masques, trompent leur monde par des défenses montrant une image maîtrisée d'un soi social acceptable. Malgré tout toujours quelque part conscients qu'un jour ils devront se défaire de ces masques, sans savoir alors comment vivre/survivre.Hepburn sublime.

L'histoire d'une belle femme qui veut enfin avoir sa part de brillant dans sa vie.
Mais sa méthode n'est pas forcément la meilleure.
Sans doute le meilleur Blake Edwards, beaucoup d'humour sans chercher les gags dans les fonds de tiroirs pour meubler, beaucoup d'émotions grâce à un scénario parfaitement abouti sachant ménager des surprises, un film très moderne vu les mœurs des protagonistes.
Et une chose rare chez Blake, une certaine émotion et un grand final très réussi.
Mais évidemment, la plus grande réussite, c'est la divine Audrey.
Un excellent classique qui reste un film contemporain.

Comédie sentimentale réalisée en 1961 par Blake Edwards.
Ce film présente les aventures amoureuses de Paul, jeune écrivain fraichement emménagé dans l'immeuble new yorkais où réside Holly, jeune fille "reine de nuit".
Ils vont rapidement s'apprécier du fait de leurs ressemblances car ils sont jeunes, beaux et insoucients. Tous deux profitent à leur façon des largesses de leurs ainés qui, pour passer un peu de temps en leur compagnie, leur donnent de l'argent.
On retrouve dans ce film plusieurs éléments de l'univers cinématographique de Blake Edwards.
La critique de la société américaine, où tout s'achète avec des dollars, est discrète et habilement atténuée par les situations burlesques.
Tout cela est un jeu : les adultes ne sont pas dupes de l'amour qu'ils achètent mais acceptent cette situation.
Les jeunes veulent acquérir les symboles de richesse mais devront d'abord y renoncer pour vivre leur amour.
L'habileté de Blake Edwards est de savoir enchaîner les situations tout en variant le ton.
Cette alternance narrative décrit les états d'âme d'Holly : contente d'avoir près d'elle Paul car il ressemble à son frère Fred, malheureuse quand elle pense au devenir de son frère, fanfaronne excitée lorsqu'elle donne une soiré,
heureuse lorsqu'elle se promène avec Paul en couple amoureux.
Là semble être l'origine de son errance : ayant perdu ses parents, elle a été recueillie avec son jeune frère par un fermier Texan.
Les soirées arrosées lui permettent d'évoluer dans un monde festif et d'oublier sa condition réelle. Mais son attirance pour les symboles de richesse (bijoux Tiffany) lui font penser que son bonheur réside dans un mariage fortuné.
Malheureusement la médiocrité de sa position sociale l'en empêche, et seul Paul lui propose de l'épouser car il l'accepte telle qu"elle est.
La scène où elle retrouve son chat perdu montre qu'elle a enfin décidé d'assumer ces responsabilités.
Donc au final la morale est sauve, bien que l'on ait parlé de prostitution, d'alcoolisme et de traffic de drogue ...

Ce film s'apparente à une pièce de théâtre, on passe d'une pièce à une autre, on change d'étage, de moments dans la journée. Les décors permutent tout en restant dans le même lieu.
La direction d'acteurs est excellente : la soirée donnée par Holly est une belle prouesse et un grand moment comique.
Le comique de situation et de répétition renforce cet aspect théatral et rappelle les films muets burlesques.
Audrey Hepburn est absolument charmante et magnifiquement habillée par Hubert de Givenchy. Ses apparitions hypnotisent la caméra. Ses parures vestimentaires, son maquillage, ses coiffures, ses lunettes rappellent pourquoi elle est devenue une icône mondiale. Et effectivement elle a beaucoup d'allure, un je ne sais quoi qui la rend si différente.

Sublime, féerique, comique, triste : un amas de sentiments pour un film mémorable.
Audrey Hepburn est sensationnelle.

Une comédie pétillante et adorable. On n'évite pas certains poncifs de la comédie américaine des années 50-60, mais Audrey Hepburn sauve le film. Tour à tour énervante, renversante, émouvante, elle garde un naturel incroyable. On y croit vraiment.

Audrey Hepburn monopolise complètement ce film mais on s'en fiche: elle est tellement délicieuse qu'elle efface tout les défauts du film, comme les seconds rôles par exemple (ben oui ils sont un peu transparents du coûts...). On appréciera aussi dans ce film l'humour frais et un peu délirant qui était la marque de fabrique du regretté Blake Edwards.

Une comédie romantique intelligente. Un scénario simple mais qui repose sur une psychologie des personnages poussées! Un duo d'acteurs qui fonctionne bien, surtout Hepburn qui éblouit encore une fois New York (chez tiffany's) et surtout la caméra! Une comédie romantique comme il en existe trop peur aujourd'hui... Une réalisation soignée malgré l'exercice de style, des seconds rôles savoureux bien que mal distribué, et des quiproquos tordants!

Diamants sur Canapé accumule certains clichés d'époque dont un japonnais joué...Par un acteur américain et caricaturé au possible, je dirais même abruti. Un prince charmant au jeu d'acteur aussi rigide et froid qu'une statue de l'île de Pacques. C'est en gros, une adaptation d'un conte de fée Disney en 1961, avant les révoltes hippies et donc assez conventionnel. Trop chic, trop neuneu parfois. J'ai tendance à dire non mais la rébellion bourgeoise m'a plu ce qui vaut à ce film assez efféminé une assez bonne note. Mais pour retranscrire la poésie de l'auteur du bouquin c'est un film raté: Ce film a été réalisé pour que les gens haïssent Truman Capote.

Une magnifique Audrey hepburn une belle histoire d amour portée par la sublime musique d Henry Mancini moonriver

Assez décevant. Je m'attendais à une comédie romantique et je me retrouve avec un pseudo drame pas super divertissant. J'en attendais surement trop vu le pataques fait autour de ce film mais je l'ai trouvé assez moyen, ennuyeux même parfois, mais bon, je n'ai pas compté les minutes alors... A noter la (superbe...) réplique d'Audrey Hepburn vers la fin "je suis une grosse truie"... Bien sûr, on y croit, si on confond les terme "squelette" et "grosse truie"... Un personnage moyennement sympathique et très superficielle (admirons le maquillage parfait au saut du lit...), j'ai trouvé. Un peu dérangée sur les bords d'ailleurs. Bref, pas plus enthousiasmant que ça ce film, j'ai trouvé qu'il ne méritait pas plus que ça son statut de "chef d'oeuvre".

Adapté d'une nouvelle de Truman Capote sur l'insatisfaction perpétuelle d'une jeune femme, Holly, "Breakfast at Tiffany's" est une comédie mélancolique, à laquelle pensais-je était attribué un style et un ton éthérés. Si l'on ne ressent rien de cela dans la réalisation, la mise en scène est assez légère malgré quelques moments lourdaux, et possède une bonne interprétation notamment de la comédienne principale squelettique, Audrey Hepburn transformée en symbole idyllique féminine. Le long métrage ne suscite pas l'engouement et l'attachement par le sujet qu'il apporte, avec cette galerie de personnages désaxés bourgeois , mais laisse passer un moment agréable avec sa scène finale éblouissante et sa musique "Moon River" reconnue d'Henry Mancini. Cependant, il faut retenir que ce film de Blake Edwards est très largement survalorisé.