Derniers Avis sur Spirit, l'étalon des plaines

Le premier grand film de chez Dreamworks ! Spirit est un très beau film où son histoire touchante brille par la mise en scène original pour un film d'animation. Contrairement aux dialogues, c est à la voix off de nous présenter et décrire l'histoire comme ci ce dernier tenait d'une histoire d'un Conte. Au delà de ça, c est un film historique retraçant, d'un point de vue "victime aveugle" de chevaux sur l'histoire américaine, plus précisément sur les amérindiens. C est un film touchant et d'une maitrise impeccable. Un beau film

Un chef-d'œuvre. Plus qu'un dessin animé, c'est une source d'inspiration, de poésie et de partage. Il y a une profondeur tout à fait magique et pleine de bon sens que les personnes sans compassion ou simple d'esprit pourraient ne pas ressentir. Ce film nous apprend sur l'amour, le respect de l'autre/l'étranger, le partage. Que partir loin de chez soi, à "l'aventure", n'est pas simple, la vie est dure et pleine de surprises. Des déceptions jusqu'à des magnifiques rencontres.. Là où on se sent le mieux c'est proche des personnes que l'on aime. Un vrai message plein d'espoir et de force. Ce film nous fait traverser toutes les émotions possibles et c'est bien là le vrai talent des scénaristes/producteurs. C'est un film qui traverse les générations. Je le montrerai à mes futurs enfants. Il faut le regarder avec toute son attention pour se plonger au plus profond des sentiments que nous procurent les personnages avec une sincérité et un réalisme incroyable.

Un chef d'oeuvre tout simplement, de l'animation des chevaux, aux chansons très agréables de Bryan Adams, en passant par la musique épique et émouvante d'Hans Zimmer, qui signe à mon avis ici une de ses meilleures compositions, tout est fait pour passer un bon moment.

L'action est présente, on ne s'ennuie pas. Quelques touches d'humour viennent parfaire le tout quand c'est nécessaire. La narration, que d'aucuns pourraient trouver niaise, apporte selon moi une réelle valeur ajoutée en créant une âme humaine au personnage principal et en ajoutant une dimension plus romanesque au récit.

A voir absolument.

Petit film d'animation sympathique sur la liberté et les relations hommes/animaux. Scénario gentillet, prenant mais très conventionnel. Plaisant à regarder mais je n'ai pas été transporté comme certains Disney réussissent à le faire. Trop niais à mon goût et des chansons anecdotiques. Quant à l'animation elle-même, elle est correcte mais sans plus.
Pas mal.

Un dessin animé très émouvant avec une excellent morale à la fin, quelques passages amusants mais c'est vraiment le genre du film

Film à la fois émouvant et entraînant du début à la fin. Un des meilleures dessins animés.

Je recommande

Un film d'animation pour toute la famille avec une histoire touchante sur le désir de liberté. Le dessin est excellent pour faire comprendre ce que ressentent les chevaux même si cela peut être qualifié d'anthropomorphisme. Parmi les tuniques bleues, on peut reconnaître Custer avec sa chevelure longue blonde et ses méthodes brutales. En opposition, l'indien lakota est présenté comme un personnage positif, ami des chevaux.

Un de mes dessin animé préféré si c'est pas mon préféré ! Pleins d'amour, d'histoire de bienveillance ! Un film hyper sensible et à la fois très drôle. Jnai beau être aujourd'hui adulte, il me fait le même effet qu'à mes 10 ans

Alors que DreamWorks était en train de tout exploser avec "Shrek" au début des années 2000, "Spirit, l'étalon des plaines" est un autre long-métrage de la firme sortie à cette époque. Celui-ci a certes moins fait parler de lui, même s'il a quand même eu son petit succès, mais il pouvait être intéressant au vu de ce qu'il propose. Rien que le fait qu'une grande majorité des films d'animation de cette époque se lançait à fond dans la 3D, mais que celui-ci propose une animation en 2D m'a intrigué. Malheureusement, bien que ce ne soit pas un projet honteux, je suis loin d'avoir été conquis par le film. Déjà, car cette envie de proposer de la 2D est finalement une ruse. La grande majorité du projet est en 2D et l'animation s'avère plutôt jolie, on retrouve quelque chose d'assez fluide et des décors sympathiques, sans être exceptionnel pour autant. Mais ce projet a eu l'idée de sortir, de temps en temps, quelques plans en 3D pour les mouvements d'animations compliquées, ce qui permet donc d'avoir une plus grande liberté visuelle. Et cette idée est complètement ridicule quand on y pense. C'est un point de vue personnel, mais il faut choisir, soit on fait de la 3D, soit on fait de la 2D. Le fait de mélanger les deux est très déstabilisant pour différents points. Celle-ci est très moche pour commencer, mais aussi, car ils ont essayé de superposer de la 2D et de la 3D. L'un des premiers plans du film est d'ailleurs fait comme cela, avec un décor en 2D et un aigle en 3D qui vole au-dessus. Et c'est vraiment ignoble, on sent qu'il y a un gros souci et le rendu est vraiment très moche. Et c'est globalement l'un des gros points qui m'a empêché d'apprécier le film. Sachant en plus de cela que l'histoire ne m'a pas vraiment pris, je n'ai pas trouvé le scénario vraiment prenant et les personnages suffisamment attachants. J'aime bien l'idée de certaines thématiques abordées, mais l'histoire est vraiment très bancale. Même si au final, le film s'en sors quand même plutôt bien. Avec sa durée plutôt légère, on ne s'ennuie pas trop et on se laisse quand même aller jusqu'à la fin du film. C'est plutôt bien rythmé et le tout se regarde sans déplaisir. Donc hormis une écriture banale et de gros soucis au niveau de l'animation, je pense que les plus jeunes pourront apprécier. C'est le genre d'histoire très facile à faire apprécier à de jeunes enfants, je pense donc que la cible du film a réussi à être touché. Pour conclure, pas aussi incroyable que beaucoup le pense.

Un très beau film avec une belle morale qui change des autres films de chevaux qui sont complètement clichés.

L'écurie DreamWorks (Fourmiz, Le Prince d’Egypte, La Route d’Eldorado, Shrek) est toujours dans les bonnes faveurs du public, présent pour sa générosité et sa vaillance, tandis que les studios Disney ne cessent de galoper. Pourtant, ce n'est qu'une affaire d'endurance et de confiance dans une histoire qui mérite le détour. Kelly Asbury et Lorna Cook s'emploient à ne laisser aucune faille dans l'aventure des hautes plaines et à hauteur de chevaux sauvages, qui vivent en harmonie et dans le respect de la nature. C'est sans compter sur la présence inattendue de colons, venus transformer l'Amérique à l'image d'une Europe mère, trop loin pour que l'on identifié cette souche. Le récit est purement de l'ordre du patrimoine des États-Unis, au sommet de la conquête de l'ouest. Mais ce portrait atteint rapidement ses limites, au détriment de qualités essentiellement visuelles.

Nous démarrons ainsi avec la naissance d'un jeune mustang, innocent comme jamais et prêt à prendre le relais de leader et protecteur dans sa horde, dès qu'il aura atteint sa maturité. Spirit est donc prêt au sacrifice et ce sera notamment à travers son regard que le spectateur sera invité à interpréter ses sentiments. Nous ne sommes pas dans un parler à tout-va, les animaux sont loin d'être loquaces, laissant ainsi de la place à une mise en scène assez subtile par moment, qui n'abuse pas pour autant des voix-off, ne servent qu'à recontextualiser la situation. Ce sont bien des chevaux, qui évoluent logiquement dans la complicité des êtres humains, allant des soldats du nord à une tribu d’autochtones.

Cette rencontre se solde malgré tout sur un désaccord, où le mustang se verra rapidement être isolé, dans un enclos comme dans les rangs d'une armée, rigidifiée par ses codes d'honneur. Mais qu'y a-t-il d'honorifique dans cette conception d'apprivoisement ? Au fur et à mesure que l'horizon de Spirit s'agrandit, l'étau se referme sur sa destinée, compromise par ses valeurs d'autrefois, où il ne fait pas confondre la sauvagerie et ma liberté. Ce dernier apprend ainsi l'amour aux côtés d'une jument, en parallèle d'une amitié naissante avec un jeune indigène, initialement captif d'un colonel, a priori sadique. Ces leçons de vie n’ont rien de révolutionnaires, car tout ce qui gravite autour de la guerre civile et la construction de chemin de fer est vain ou approximatif. Le scénario n’est pas le fort du film, qui est avant tout présent pour démontrer un talent d’animation.

« Spirit » emprunte son aura à son titre significatif et à son rythme implacable, lorsque le héros galope à fond. L'étalon sauvage finit ainsi par dépasser l'adolescent indomptable qu'il est pour vivre en harmonie avec un environnement hostile et qu'il aura bien fait d’apprivoiser à son tour. La force de trouver des ailes, non pas pour conquérir les cieux, mais bien pour s'envoler vers un respect commun, chose que le récit ne cessera de rechercher tout au long du voyage initiatique. En revanche, les chansons n’accompagnent pas pleinement l’ascension, qui aurait mérité plus de développement ou à défaut plus d’efficacité dans son appel à la liberté.

Un chef d'œuvre, tout simplement. La meilleure situation qui puisse se produire vis-à-vis de ce film, c'est bien de le revoir dès lors que vous en avez appris un petit plus sur la vie et toutes les extraordinaires choses qu'elle englobe. S'ajoute à cela la nostalgie qui vous fait monter les larmes car vous vous souvenez de vous, enfant, entrain de regarder ce film, de la façon la plus innocente qui soit. Comprendre les si simples mais si importantes morales que veulent transmettre tous ceux et toutes celles qui ont participer à la réalisation de ce film, c'est tout simplement fabuleux, irrémédiablement. S'ajoute à cela la bande originale dont les chansons qui m'ont d'ailleurs comblées d'émotions sont interprétées par Bryan Adams. Cet interprète/compositeur prête sa voix autant bien à la version originale qu'à la version française, preuve d'un investissement purement sincère. Sans parler de cette musique, si émouvante, composée par Hans Zimmer, qui m'a donné, qui me donne et qui me donnera à jamais un sentiment d'épanouissement..

Spirit, l'esprit libre et indomptable est synonyme d'émancipation pour tous ceux qui savent encore donner un sens au mot liberté. Les significations, aussi bien historiques que mythiques sont mises en valeur par des paysages magnifiques ainsi que par le peu de dialogues englobant ce film. Et c'est bien entendu l'une des caractéristiques qui lui donnent un sens très profond et très intime. La plupart des dialogues sont merveilleusement remplacés par l'expression faciale remarquable des étalons qui traduit somptueusement bien ce qu'ils pensent et ressentent. Et ce, d'une façon tout à fait remarquable dans le cas du protagoniste principal. En ce qui concerne Petit-Nuage, nous arrivons très bien à déceler les véritables intentions ainsi que la véritable nature du personnage en très peu de temps grâce à son rire, ses jeux de dance avec les chevaux, ses sacrifices envers eux, son dévouement ainsi que ces interactions orales et physiques avec l'étalon qui traduisent un sentiment de compréhensions réciproques entre l'Homme et l'Animal autant bien au niveau sentimental qu'au niveau de leur confiance.

Il existe des scènes particulièrement importantes et profondément touchantes au sein de cette histoire. Je peux notamment évoquer la scène déchirante spoiler: [ où Spirit et Rivière font leur adieux à Petit-Nuage. La scène où l'étalon et l'homme traduise un Adieu digne de ce nom est tout simplement déchirante. La musique sublime la scène d'une façon magistrale. L'étalon prenant l'initiative de faire un geste d'affection envers Petit-Nuage, ce dernier serrant de tout son cœur Spirit dans ces bras avant de lui dire "Tu me manqueras mon amis" de la façon la plus belle qui soit.]
Cette scène m'a très honnêtement transporté et fait vibrer au plus profond de moi-même.

Montrez ce film à vos enfants, et dite leur que ceci, c'est ce qu'il y a de mieux à créer au sein de votre vie.

Il est triste de constater que les gens qui rédigent les critiques négatives sur ce film d’animation n’ont même pas le vocabulaire adapté pour argumenter les défauts de ce film.
Quand ils disent que l’animation de ce film est mauvaise, on se demande s’ils ont la moindre notion de ce que peut impliquer une si jolie et une si raffinée utilisation des techniques 2D et 3D employée pour donner vie à un galop délicat couplé au vol gracile d’un aigle en amont.
L’animation en elle même de ce film, surtout pour l’époque est parfaitement réussie.
Parlons à présent du scénario, l’histoire est simpliste certes, trop « dysneienne » (mot souvent employé par des ignares qui manquent de respect à 80 ans d’un cinéma qui aura convaincu enfants comme adultes à travers les générations). On ne parlera pas de génie pour une telle histoire, mais comment ne pas se laisser porter par les diverses subtilités scénaristiques glissées à travers un support 2D parfaitement maitrisé. De l’absence des paroles des animaux aux conditions d’époque de l’Ouest américain en passant par la (niaise pour certains certes mais réussie) relation de frères d’une autre vie, liant le jeune indien et le mustang. Que l’on accroche pas c’est une chose, après tout le concept est fait pour toucher la jeunesse, en revanche, pousser le simplisme du film pour le transformer en soit disante ineptie c’est manquer cruellement de réalisme. Quant à la prestation de Bryan Adams, il faut savoir que bien que le film n’ait pas eu le succès qu’il méritait les musiques elles ont largement touchées la génération des années 2000. Ses musiques servent le support avec finesse et poésie pour donner vie aux émotions d’un personnage sans parole.
En résumé, Dreamworks peut être fier de ses partis pris, une belle ode à la liberté qui portera vos enfants.

Je pense être le seul à ne pas avoir aimé ce film, inutilement long avec une animation pas fortement agréable à suivre ; ainsi qu’un récit non passionnant et ennuyeux.

Non pas à voir, mais à contempler. Cette animation est à tous les niveaux une réussite de la société Dreamworks. Un magnifique hommage aux paysages Nord-Américains et aux sublimes mustangs. Un vrai bonheur que ces images, ces chansons, cette ôde à la liberté.