Derniers Avis sur Immortel (ad vitam)

Un film très futuriste, avec des personnages de Bande-Dessinée où Linda Hardy ancienne (Miss France 1992), montre des débuts de comédienne très prometteurs. Thomas Kretschmann en incarnant un Etre Divin, montre qu'il a un certain sex-appeal. Dans cet univers cosmique, Enki Bilal réussi à adapter au cinéma, sa célébre BD éponyme.

Bilal a osé transformer son œuvre pour en faire une nouvelle, encore plus belle et réussie, innovante et originale.
Dans mon top 20 des plus grands films

Ce film est génial est ce qui on pas compris pourquoi les effets spéciaux faisait plastique et bas c'est normal soit c'est pour dire que le monde du film est glauque et pour les personnages c'est pour montrer leurs froideur et aussi le fait que les gens veulent tellement changer d'apparence donc font de la chirurgie esthétique qu'il ressemble plus au humains bref voilà pour l'esthétique des personnages du film maintenant l'histoire du film et génial les personnages sont géniaux les dialogues sont bien écrit les décors sont beaux les messages du film sont intéressent et la fin et cool donc oui j'ai adoré ce film !

Alors évidemment c est peut-être très ambitieux de restituer l environnement de Bilal à l écran et avec des moyens mesures encore plus délicat ... c est sans doute parce que j aime ces bd et trouvent que le challenge est délicat sur j apprécie ce film et son esthétique. Il est également clair pour ceux qui ne sont pas des amateurs des bd que le scénario peut également dérouter ... mais bon ... pour ma part j étais satisfait de voir cette réalisation.

Ce film de science-fiction réalisé par Enki Bilal est l'un des films les plus inhabituels que j'ai vus ces derniers mois et ce n'est pas peu dire. Pour commencer l'histoire concerne un monde futuriste rempli de personnes génétiquement modifiées tandis qu'au-dessus de cette ville se trouve une pyramide flottante remplie de dieux égyptiens et cela pour une raison quelconque. Il raconte l'histoire d'une jeune fille qui veut être humaine sans savoir exactement ce qu'elle est mais qui est visée de toutes parts chacun ayant son propre programme y compris un dieu égyptien fringant. L'action en direct est fusionnée avec l'animation et je ne parle pas seulement des effets spéciaux mais aussi de la moitié des personnages qui sont animés et mal animés. L'animation est ce style horrible et bon marché que l'on voit souvent dans les dessins animés pour enfants et côte à côte avec des acteurs en prises de vue réelles elle est ridicule. Le principe d'Immortel (ad vitam) est solide et les acteurs étaient meilleurs que ce à quoi je m'attendais mais le film Roger Rabbit a fait un meilleur travail de fusion entre l'action réelle et le dessin animé et c'était dans les années 1980. De plus il expliquait pourquoi il y avait plein de dessins animés ce film était tout simplement mauvais...

oh que c'est beau ! Bilal est déjà connu comme une maître de la bande dessinée mais il sublime celle-ci dans ce long métrage mélangeant le dessin animé 3d, les acteurs réels dans ce qui est, à mes yeux, le chef d'œuvre du cinéma de science fiction

L'univers de Bilal est absolument génial. La promo à la sortie d"IMMORTEL a été "bien" faite. Il n'est donc pas étonnant de que tant de gens se soient précipités et aient été si enthousiastes dès la sortie du dernier film de Bilal. Pourtant, même s'il est difficile de critiquer ceux dont on admire l'oeuvre, les aficionados Bilaliens et cinéphiles éclairés ne peuvent qu'être déçus. Pour au moins trois raisons :
- La première est que Bilal n'a pas pu ou pas voulu intégrer dans son film la dernière partie de la bd. Or "le 32 décembre" était la phase qui donnait tout son sens aux trois premiers actes de "la tragédie Nikopolienne". De surcroît, plusieurs personnages et éléments de l'histoire pourtant essentiels à la cohésion de la trame ainsi qu'à l'atmosphère tragique et onirique de la bd ont été "éliminés". Cela donne ainsi l'impression tout à fait justifiée à de nombreux spectateurs de voir un magnifique puzzle auquel il manque plusieurs pièces-clef.
- La deuxième raison réside dans l'ajout de péripéties et d'éléments (le requin) superflus, hyper convenus et étrangers à la bd. Impardonnable pour celui qui nous a habitué à tant d'innovations.
- L'adjonction aux personnages réels des créations 3D (trop imparfaites techniquement) enlèvent non seulement à l'oeuvre son unité, mais son atmosphère.

A la base, j'ai toujours été fan des bd d'enki bilal, pas forcément pour les histoires en elles mêmes, mais pour son esthétique magnifique et pourtant si verdâtre, grisatre et "sale", et là, suite à un déménagement familial, en fouillant le tas de dvd, voila que je tombe sur ce film, et j'ai immédiatement reconnu la pate de bilal sur le dos du boitier, je me suis dit, tiens bizarre, un film sur une bd de bilal ? vraiment ?
je me suis donc jeté dessus goulument, quoiqu'avec un peu d'appréhension quand même, car voilà un univers qui est compliqué à transcrire sur un écran.

Et malheureusement, le mélange acteurs réels et personnages en CGI, ben, en 2004, c'était vraiment pas encore ça malheureusement, ça le fait pas, j'ai beau avoir essayé d'être indulgent tout le long du visionnage, difficile de faire comme si ça allait, il fallait soit faire tout le film en CGI, soit au moins utiliser des acteurs réels pour les personnages humanoïdes, mais le mélange tel quel, bah, il passe pas, dans l'absolue, un film d'animation eut été probablement le mieux adapté à une oeuvre graphique de bilal...

Sinon, avec Bilal aux commandes, on retrouve heureusement malgré tout plutôt bien son ambiance esthétique, horus lui il passe pas trop mal, contrairement aux autres persos, mais par contre, faut avouer que le scénario lui, bah il est franchement brumeux par moment, on se perd un peu en route, alors que dans les grandes lignes c'est plutôt simple, mais ça manque tellement de rythme qu'on décroche un peu par moments, ce qui me chiffonne un peu, car contrairement à ce qu'hollywood peut sortir comme adaptations moisies d'oeuvres litéraires ou bd, là on a bilal lui-même aux commandes, on ose espérer justement quelque chose de plus abouti, sans doute que sous forme de trilogie il y'aurait eu plus de place pour une bonne adaptation, 2h ou 3h ça limite rapidement pour développer une histoire complexe.

Bon, après, je ne vais pas jeter le bébé avec l'eau du bain, je ne déteste pas le film, j'aime assez son esthétique globale, à part les persos en CGI, je coup je ne peux pas le noter en dessous de 3, et puis je suis content qu'il y ait eu quelqu'un d'assez courageux pour financer un film sur l'univers de bilal, il faudrait voir si au jour d'aujourd'hui, avec les évolutions techniques, les approches narratives plus pêchues, il n'y aurait pas moyen de faire mieux, avec peut-être un scénar un poil moins brumeux aussi, après, faut avouer que comme pour Dune, ce genre d'oeuvre n'est pas facile à transcrire selon ce que les canons hollywoodiens habituels nous ont formaté...

Enki Bilal, à l'instar de Frank Miller, possède un véritable génie créatif et visuel mais y a-t-il pour autant suffisamment de matière pour un long-métrage ? Un film de science-fiction qui fait penser à la fois à "Dante 01" de Marc Caro pour son côté planant et son scénario alambiqué, peu facile d'accès et "Le cinquième élément" pour sa vision futuriste de New-York. Dans l'exercice extrêmement délicat d'adapter soi-même son oeuvre , une réalisation esthétiquement intéressante mais qui manque cruellement de rythme et même tout simplement de ressort dans sa mise en scène pour un résultat qui laisse indifférent. Une étrange sensation.

Un chef d’œuvre de la science-fiction, même si je n'ai pas tout compris à l'histoire. Immortel impressionne par son originalité et son ambiance sombre et futuriste-apocalyptique. Un film organique, graphique, moderne, onirique, culte, totalement expérimental et pourtant accessible. Un visuel qui rend vraiment hommage aux dessins de BD. Le casting vraiment bien choisi avec notamment Thomas Kretschmann et Linda Hardy dans les rôles principaux. Le dieu Horus m' a particulièrement plu

Un vrai bijou. J'ai adoré ce film, pas temps pour l'histoire que pour l'esthétisme, l'ambiance : entre Blade Runner, le 5ieme Élément et Sim City.
De la SF française qui n'essaie pas de faire comme les américains, mais au contraire d'apporter son originalité à l'édifice.
Merci pour ce film entre divertissement et oeuvre d'art : encore !

Des dieux égyptiens nus extraterrestres d'une dimensions parallèle arrivent à new-york du futur en pyramide-vaisseau spatial pour jouer au monopoly. Oui ce film est bizarre ! Mais il est vraiment bon. Le mélange images de synthèses/acteurs réels passe bien, les décors, l'univers, l'histoire, tout est bizarre, intriguant. Une ambiance et une expérience bien différente des films habituels. A voir !

Je m'attendait à un vrai film de science-fiction mais je suis tombé sur ce dessin animé... Arnaque. Déjà, il y a de belles images, mais cela ne suffit pas pour faire un bon film. Un univers en animation joli à regarder, mais pas de cœur. Ca manque de "je ne sais quoi" pour que ça décolle. Peut-être d'un vrai scénario, compréhensible et cohérent. Bref, un film d'animation-réel auquel je n'ai pas accroché. Vraiment particulier comme film.

Vraiment laid, surtout le monstre rouge. L'image de synthèse est mélangée au réel, ce qui rend le tout très étrange mais elle est tellement bas de gamme ! Surtout les dieux égyptiens. Le scénario est moisi. Un dieu a 7 jours pour regagner son immortalité. Il prend le corps d'un détenu qu'il utilise pour féconder une femme avec des cheveux et des larmes bleus. Pas du tout aimé l'histoire, les dialogues, les personnages, l'univers. Rien et encore moins les coiffures de Jill. Le film a un air d'inachevé.

Un dessinateur qui adapte ses propres BD au cinéma, c'est suffisamment rare pour le souligner. Et comme il n'y avait qu'Enki Bilal qui pouvait adapter son propre univers de manière fidèle, cela tombe bien qu'il soit "derrière" la caméra. Principalement tourné en images de synthèse, "Immortel (ad vitam)" a des arguments visuels de poids : chaque plan, chaque scène fait merveille de par les décors futuristes et les expressions faciales des personnages. Les prises de vues réelles sont bien couplées à l'animation si bien qu'on s'immerge très rapidement dans cet univers particulier et presque onirique. L'intrigue, bien que restant longtemps nébuleuse et peu claire, est au niveau du reste : décalée et originale. Malheureusement tout n'est pas parfait : la magnificence des images cache des personnages assez froids, inexpressifs, auxquels on a du mal à s'attacher, et il y aussi quelques scènes où on s'ennuie franchement, à cause d'un manque de rythme récurrent (mais rarement handicapant) dans le long-métrage. Malgré ces défauts, "Immortel" demeure une curiosité qu'il faut voir au moins une fois. Peut-être l'apprécierez-vous, peut-être pas, mais qu'on se le dise : de la SF française qui n'est pas un naufrage, ça ne se manque sous aucun prétexte !