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    Augustine
    Bande-annonce Augustine
    7 novembre 2012 en salle | 1h 42min | Drame
    De Alice Winocour
    |
    Par Alice Winocour
    Avec Vincent Lindon, Soko, Chiara Mastroianni
    Presse
    3,9 23 critiques
    Spectateurs
    2,6 833 notes, 155 critiques
    VOD
    noter :
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    Synopsis

    Paris, hiver 1885. A l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, le professeur Charcot étudie une maladie mystérieuse : l’hystérie. Augustine, 19 ans, devient son cobaye favori, la vedette de ses démonstrations d’hypnose. D’objet d’étude, elle deviendra peu à peu objet de désir.

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    Augustine Bande-annonce VF 1:25
    Augustine Bande-annonce VF
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    Film d'époque sur le traitement de l'hystérie au 19ème siècle, "Augustine" est un projet ambitieux porté par Vincent Lindon…
    mardi 22 mai 2012

    Acteurs et actrices

    Vincent Lindon
    Rôle : Le Professeur Charcot
     Soko
    Rôle : Augustine
    Chiara Mastroianni
    Rôle : Constance Charcot
    Olivier Rabourdin
    Rôle : Bourneville

    Critiques Presse

    • Critikat.com
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • Les Inrockuptibles
    • Transfuge
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    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

    Meilleures critiques les plus utiles
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    989 abonnés 4 072 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2013
    La seconde moitié du XIXème siècle est celle du positivisme scientifique triomphant qui crée une atmosphère très particulière au sein des élites traditionnelles qui voient dans le progrès technique galopant une remise en cause de leur prédominance et un coup de grâce définitif possible à la pérennité de leur statut . Dans ce contexte teinté tout à la fois de folle espérance et de méfiance, la médecine parait bien à la ...
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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 novembre 2013
    Comme tout le monde le sait (ou devrait le savoir) à la fin du XIXème siècle, au temps de Maupassant (d'ailleurs dénoncé pour son machisme), les médecins qui comptent alors dans leurs rangs un certain Pasteur ou le professeur Charcot du film sont en proie à de grandes avancées dans leur domaine. C'est justement le sujet du film, et ce qui le rend particulièrement passionnant à mes yeux. Au même titre que le médecin on est à la fois ...
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    dejihem
    dejihem

    113 abonnés 649 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 novembre 2012
    Ce film a les mêmes qualités que "Les blessures assassines", de Jean-Pierre Améris : il saisit très bien l'esprit et la psychologie de l'époque. Les médecins vus comme des dieux, la mauvaise condition faite aux femmes. Il saisit aussi très bien le carcan social, une certaine pression... et le niveau des connaissances scientifiques. Question jeu des acteurs, Vincent Lindon joue un jeu très hiératique ; la jeune actrice Soko est absolument ...
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    titicaca120
    titicaca120

    340 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2013
    cette fin de 19 eme siècle où les médecins n'avaient pas grand chose pour vous soigner.
    heureusement encore qu'ils ne l'opèrent pas sinon les séquelles seraient terribles.
    une magnifique interprétation du duo d'acteurs dans cette ambiance glauque et austère.

    Photos

    Secrets de tournage

    Histoire vraie

    Le film Augustine est tiré d'une histoire vraie : en 1873, la jeune fille entre à l'hôpital de la Salpêtrière et devient l'une des patientes les plus célèbres du professeur Charcot et de l'établissement. Elle s'évadera de l'hôpital en 1885.

    Vers le fantastique

    Dans le film, Alice Winocour a fait le choix de s'éloigner d'un point de vue trop naturaliste sur le thème de la folie pour privilégier un aspect plus fantastique : "L’hystérie, en soi, est tout sauf naturelle. Le corps se met à faire des choses qu’il ne peut pas faire normalement", explique-t-elle. Comme références, elle cite les films de David Cronenberg et de David Lynch.

    Le choix Soko

    Au début du projet, Alice Winocour pensait confier le rôle d'Augustine à une inconnue, et ne désirait donc pas rencontrer Soko. Mais c'était sans compter sur la force de persuasion de la jeune chanteuse, qui désirait vraiment interpréter ce personnage : "(...) j’ai harcelé Grégory [son agent] qui les a harcelées à son tour (...) ça a duré huit longs mois (...) jusqu’à ce qu’elles [la réalisatrice et la productrice] acceptent que je vienne, mais c Lire plus

    Infos techniques

    Nationalité France
    Distributeur ARP Sélection
    Récompenses 1 prix et 9 nominations
    Année de production 2012
    Date de sortie DVD -
    Date de sortie Blu-ray 12/03/2013
    Date de sortie VOD 07/03/2013
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage 9 anecdotes
    Box Office France 159 791 entrées
    Budget -
    Langues Français
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 119412

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    Commentaires

    • I'm A Rocket Man
      Biopic plutôt intéressant mais qui traine en longueur tout de même ! Heureusement que le casting est excellent ! Vincent LIndon est fidèle à lui-même c'est à dire juste et émouvant et alors que dire de la jeune Soko ? Elle est juste bluffante et impressionnante dans ce film et ces deux magnifiques acteurs sauvent le film de l'ennui mortel.
    • Olif
      Trés bon film, une histoire crédible au balbutiement du vaste territoire de la psychiatrie, un duo d'acteurs en symbiose, une mise en scène solide 3.5/5
    • titicaca120
      j'ai bien aimé cette ambiance glauque le jeu des acteurs et ce manque de savoirde la médecine. belle prestation de la jeune augustine.
    • quetedugraal
      je me suis ennuyé malgré la belle prestation de Vincent Lindon
    • luxe
      Trop ennuyeux.
    • defleppard
      Dès les premières secondes, j'ai senti un ennui qui allait devenir incommensurable au fur et à mesure du film. J'ai arrêté rapidement. 1 demi-étoile.
    • Fragments Immobiles
      J'ai vu ce film pour Lindon qui se trompe peu dans ses choix... dans ce "peu", il y a manifestement celui-là !C'est médiocre, c'est copié, c'est mal joué, on comprend à peine ce qui est dit, l'histoire est totalement fausse.... Et ce culot d'utiliser la musique de Dracula de Coppola en 1ère musique du film....Faudrait qu'on découvre comment cette Winocour a réussit à trouver les financements pour ce canular ! En tout cas, ce n'est pas peu dire sur le fonctionnement du cinéma français !
    • Jean-Pol Cardin
      J'ai découvert un film où la médecine avait beaucoup trop de pouvoir et des fois dépassait les limites d'humanisme, hautin, prétentieux etc., etc., voilà un film basé sur l'étude d'hystérie de l'époque, où l'on mêlait un peu de tout comme patient. Lui Charcot chercheur présomptueux et grand maître devant ses sous-fifres et autres personnels, manière obscène de traiter des patientes, et convoitant la reconnaissance par ses pairs. Je l'ai visionné jusqu'au bout, car les films sur la médecine ancienne et leurs manières de la traiter ou tenter d'en découvrir la cause, mon toujours intrigué, mais ce film m'ont laissé un mal à l'aise dans sa conception des événements et l'indifférence des patientes qui étaient plus des cobayes qu'autres chose. Voilà mon opinion et elle ne vaut surtout pas plus de 3 étoiles sur 5.
    • Nelly M.
      Plus que la lourde introduction (ce crabe, ces verres de vin), c'est le fil entre Charcot et sa patiente, sous l'oeil de lynx de l'épouse (impeccable Chiara Mastroianni) qui captive. L'hypnose émane d'un spécialiste, pas de Charcot. On se croirait dans une arène avec spectateurs gourmands des débordements féminins. Le regard éhonté du médecin alors que la créature se fait applaudir dévoile l'essentiel (la démonstrative Stéphanie Sokolinski s'avère parfaite pour ce rôle). On peut dès lors savourer la mise en scène, éclairages (lumière quasi biblique sur le visage de Vincent Lindon), costumes d'époque (les affriolants dessous de coton blanc !), ne rien perdre des chuchotements ni des changements de place du mal, avancer dans l'intimité encore masquée d'Augustine et son sauveur, quoique de plus en plus copains sans le montrer. Une avancée médicale certaine à l'époque où l'hystérie féminine se diagnostiquait, silence sur le reste. La chute d'escalier a le mérite de relativiser la supposée guérison de la demoiselle. Surprise que l'affaire faite (soi dit en passant drôlement "à la hussarde" pour une cinéaste !), Augustine s'éloigne telle une souris qui aurait volé du gruyère. Les expressions des époux culminent à ce moment-là, dans le style échevelé de leurs...
    • Nelly M.
      Plus que la lourde introduction (ce crabe, ces verres de vin), c'est le fil entre Charcot et sa patiente, sous l'oeil de lynx de l'épouse (impeccable Chiara Mastroianni) qui captive. L'hypnose émane d'un spécialiste, pas de Charcot. On se croirait dans une arène avec spectateurs gourmands des débordements féminins. Le regard éhonté du médecin alors que la créature se fait applaudir dévoile l'essentiel (la démonstrative Stéphanie Sokolinski s'avère parfaite pour ce rôle). On peut dès lors savourer la mise en scène, éclairages (lumière quasi biblique sur le visage de Vincent Lindon), costumes d'époque (les affriolants dessous de coton blanc !), ne rien perdre des chuchotements ni des changements de place du mal, avancer dans l'intimité encore masquée d'Augustine et son sauveur, quoique de plus en plus copains sans le montrer. Une avancée médicale certaine à l'époque où l'hystérie féminine se diagnostiquait, silence sur le reste. La chute d'escalier a le mérite de relativiser la supposée guérison de la demoiselle. Surprise que l'affaire faite (soi dit en passant drôlement "à la hussarde" pour une cinéaste !), Augustine s'éloigne telle une souris qui aurait volé du gruyère. Les expressions des époux culminent à ce moment-là, dans le style échevelé de leurs soirées... Ce qui frappe chez Alice Winocour est le sens du détail.
    • albasiaa
      Tout à fait d'accord avec Veganforanimalrights et j'ajouterai qu'entendre tout le temps la respiration d'Augustine énerve!
    • angelabassompierre
      ça fait presque oh my god en moins drôle. l'hystérie de l'époque de Charcot, parodie, ça allait.
    • M&D
      Soko est incroyable...
    • Christo89
      De même que Cronenberg faisait à ses débuts des films fantastiques qui cartonnaient en vidéoclub chez les teenagers et qui étaient en fait des oeuvres ultra personnelles et géniales, winocour fait semblant de faire un film historique sur Charcot et les débuts de la psychanalyse et livre un grand film d'auteur. Un des meilleurs films français de 2012 selon moi. On en ressort impressionné par des scènes et des images extrêmement fortes dont on sait déjà qu'elle resteront longtemps. A montrer à tout ceux qui pensent qu'on vit dans une époque de création molle (en tout cas en France et dans le jeune cinéma).
    • Christo89
      Magnifique film, très réussi. De même que Cronenberg faisait à ses débuts des films fantastiques qui cartonnaient en vidéoclub chez les teenagers et qui étaient en fait des oeuvres ultra personnelles et géniales, winocour fait semblant de faire un film historique sur Charcot et les débuts de la psychanalyse et livre un grand film d'auteur qui restera. Un des meilleurs films français de 2012 selon moi. On en ressort impressionné par des scènes et des images extrêmement fortes dont on sait déjà qu'elle resteront longtemps. A montrer à tout ceux qui pensent qu'on vit dans une époque de création molle (en tout cas en France et dans le jeune cinéma).
    • Jean-Luc Debord
      Sans oublier la tenace confusion entre les intentions des personnages et celles de l'auteur. Mais on n'en est pas à une contradiction prés...
    • Jean-Luc Debord
      Quand on lit certains commentaires et certaines "critiques", on s'interroge...Animaux "maltraités" (doit-on rappeler aux spectateurs d'où vient la viande qu'ils mangent ?). Cigarette. Sexe. Névrose. Très malsain tout ça. Très cinématographique, surtout, comme critique. Et d'où vient ce mépris envers les petits films subventionnés par le CNC ?
    • Veganforanimalrights
      Le Film Français dans toute sa splendeur : voyeur, malsain, sexiste - sous prétexte évidemment du contraire -, spéciste, mal joué, mal filmé. Et d'abord meurtrier : dame Winocour n'hésite pas à ébouillanter des crabes et décapiter des poules pour les "besoins" dramatiques de son chef-d'oeuvre. Bravo décidément. Et bien sûr, les critiques (français), dès qu'il s'agit de films français, sont à genoux, criant au génie. Vendus !
    • Sarah K.
      En plus, Lindon clope cigarette sur cigarette !!! Y a que le cinéma français pour laisser voir et montrer à l'écran sans aucun complexe l'addiction de ses acteurs. On se croirait dans les années 70's avec un écran enfumé du début jusqu'à la fin du film... A l'image de ce film et de son histoire qui s'évanouissent en fumée.
    • Mr M.
      j'ai dormi pendant le film!! lol soporifique malgré que j'aime Freud!!
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