C'est comme ça qu'on l'aime. Lorsque sans fard, ni potiche, ni humour "théâtral", il plonge au cœur de l'âme humaine pour y sonder l'insondable. Lorsqu’avec plaisir, il s'amuse à troubler les mondes les plus aseptisés en les tâchant de mystère et d'émois pervers savamment distillés. Lorsqu'enfin, avec talent, il exprime le malsain et l'incertain au sein de films de plus en plus osés. Focus sur François Ozon, maître du malaise.
Au Sommaire
- "Regarde la mer", un malaise écoeurant
- "Sitcom", un malaise provocant
- "Sous le Sable", un malaise funèbre
- "Dans la maison", un malaise voyeuriste
- "Jeune et Jolie", un malaise troublant
- "Une Nouvelle amie", un malaise ambivalent