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    13 Reasons Why, Marvel's The Punisher, Stranger Things... : l'année Netflix vue par les réseaux sociaux

    Des rires, des pleurs, des retrouvailles, du frisson, de l'ultra-violence, de la folie et une volée de pénis : voici, en bref, ce que vous avez pu vivre sur Netflix en cette belle année 2017. Florilège.

    Beth Dubber/Netflix

    Les premiers flocons caressent vos vitres embuées, le fumet de la dinde et de la raclette chatouillent délicatement vos narines... Oui, le réveillon approche, et avec lui, tradition oblige, les habituels bilans de fin d'année. Sur Netflix, 2017 fut riche, que ce soit en découvertes, en renouvellements, mais aussi en longs métrages originaux, qui ont constellé une année dont le maître-mot fut le binge watching.

    Un sujet de conversation tout trouvé pour le soir du réveillon : l'une des séries les plus commentées de l'année, 13 Reasons Why. Localisé au cœur des tortueux couloirs lycéens, le show coup de poing évoque avec brio des thèmes délicats :

    Au niveau des retours très attendus de l'année, Stranger Things se place là. Les bambins d'Hawkins ont fait grand bruit avec une saison 2 de qualité sortie en octobre dernier. Et les spectateurs n'ont pas boudé leur plaisir de retrouver les Dustin, Eleven, Steve... et Hopper, qui nous a gratifié du meme de l'année Netflix #HopperDance :

    "Plus je regarde Stranger Things et plus j'ai envie d'épouser Hopper. Pas David Harbour, mais Hopper, bon avec les enfants et il sait danser !"

    Années 80 encore, la première série originale allemande Netflix Dark a dépoussiéré le thriller fantastique avec un scénario complexe aux frontières du réel :

    Années 80 toujours, GLOW, ses paillettes et son lycra, ont plongé les spectateurs dans le monde merveilleux du catch féminin, avec Alison Brie en tête d'affiche d'un show résolument féministe :

    Son combat, Okja, réalisé par Joon-Ho Bong, l'a mené du côté des abattoirs et de la défense animale. Le long métrage, sélectionné au Festival de Cannes, demeure assurément l'une des œuvres les plus engagées de l'année, qui a fait réagir dans les chaumières et les assiettes :

    "Après avoir vu Okja"

    La lutte s'est aussi opérée en coulisses, par les fans de Sense8, à coup de pétitions et de hashtags. Faute de saison 3, les spectateurs ont malgré tout réussi à décrocher un épisode final de deux heures. Ça valait bien un feu d'artifice nocturne :

    Brute de décoffrage, le Punisher Frank Castle n'a pas de temps à perdre avec des pétitions, et a de son côté décroché la palme de la série la plus violente de 2017. On n'en attendait pas moins du bonhomme :

    Les cartels colombiens ont également fait un retour remarqué cette année sur la plateforme, avec la saison 3 de Narcos. Sans Escobar, mais avec des hommes qui n'ont rien à envier au sanguinaire narco-trafiquant :

    Les psychopathes, c'est aussi l'affaire des agents Ford et Tench, à l'origine du profilage dans MINDHUNTER, série produite par David Fincher inspirée de faits et de personnes réels :

    Terminons avec l'adolescence, thème de Big Mouth, qui n'hésite pas à montrer les affres de cet âge ingrat dans un show parfois cru mais souvent vrai :

    Pénis toujours, American Vandal. Ce pastiche de la série documentaire Making A Murderer s'est également essayé au voyage initiatique au cœur de l'adolescence, par le prisme du lycée cette fois. Ce mocumentaire délirant a réussi son pari haut la main, et a surpris son monde par le sérieux de son enquê(quê)te :

    "J'ai entièrement bingé American Vandal la nuit dernière. Ça, c'est ma tête toutes les 5 minutes"

    En résumé, une année 2017 riche, et qui va s'enrichir du long métrage Bright et de la saison 4 de Black Mirror les 22 et 29 décembre.

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