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    Hier soir à la télé : vous avez aimé De battre mon cœur s'est arrêté ? On vous recommande...

    Hier soir sur 13ème Rue était diffusé De battre mon cœur s'est arrêté. Vous avez aimé ? Alors, découvrez sans plus attendre nos trois recommandations qui devraient vous plaire tout autant.

    Le film qui a inspiré Jacques Audiard : Mélodie pour un tueur"Un film noir méconnu, baignant à première vue dans une atmosphère scorsesienne - Harvey Keitel, décors new-yorkais, caïds et petites frappes - mais dont il se dégage rapidement une grâce toute singulière, notre héros faisant de la musique (Bach et des tubes des années 1950 émanant de son poste radio cassettes) le seul échappatoire à ses pulsions irrépressibles pour le sexe et la violence. Même si la narration paraît décousue, le désespoir, lui, s'amène doucement, à pas feutrés, tout en nuances. Harvey Keitel y campe l'un des rôles les plus marquants de sa carrière, un personnage borderline à la mesure d'un Bad Lieutenant ou d'un Mr. White." Guillaume Martin

    Le triomphe de Jacques Audiard, récompensé à Cannes et aux Césars : Un prophète. "Jacques Audiard a formidablement réussi à réinventer le genre ultra balisé du film de prison grâce à un scénario malin (les permissions de sortie faisant partie des nombreuses bonnes idées du film) et une ambiance carcérale très réaliste. Doté d’une interprétation haute gamme, Un prophète a également révélé plusieurs comédiens talentueux comme Tahar Rahim bien sûr, mais aussi Reda Kateb, Adel Bencherif ou encore Karim Leklou." Laurent Schenck

    Les retrouvailles Romain Duris / Niels Arestrup : L'Homme qui voulait vivre sa vie. "Eric Lartigau, le futur réalisateur de La Famille Bélier, livre avec L'Homme qui voulait vivre sa vie son film le plus sombre mais aussi l’un des meilleurs drames français sortis en 2010. L’histoire est particulièrement originale et lorgne autant du côté du portrait d’un homme mal dans sa peau que de celui du thriller voire du film d’aventure. Romain Duris campe à merveille cet avocat passionné par la photographie qui, après avoir commis l’irréparable, choisit de tout laisser tomber pour "vivre sa vie"." Laurent Schenck

     

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