Avis : Dans Paris - Page 10

Un sujet pénible (la dépression) traité à la manière Pialat c'est-à-dire réaliste,pas gaie;avec en toile de fond, le soutien familial et plus précisément celui du petit frère et les rapports difficiles parents -enfants.Très bonne interprétation de tous les comédiens (qui se mettent à nus ...) mais les jeunes peuvent retourner à l'école de diction.Excellente bande-son

Bof bof... franchement, on dirait que le réalisateur ne savait pas comment nommer son film et il a mit au hasard "Dans Paris"... il y a quelques petites scènes qui se laissent regarder mais dans l'ensemble, le film n'a rien d'excellent.
Au niveau du son, mauvais montage, il y a des moments où on ne comprend rien à ce que disent les acteurs, j'ai été obligé de remettre plusieurs fois pour comprendre ce qu'ils se disaient et en réalité ça n'en valait pas la peine. Ce film est creux, il ne m'a rien apporté...

Les personnages sont bien, chacun dans son registre. Mention spéciale à Louis Garrel. Mais le film est bavard et n'est qu'une copie de la Nouvelle Vague dans le scénario, les dialogues comme et la façon de filmer. La Nouvelle Vague ne date pourtant pas d'hier et il est pathétique qu'un réalisateur croie faire quelque chose de nouveau ou de différent en singeant des films d'il y a plusieurs décennies.

Une ballade tellement rafraichissante "Dans Paris". Courez-vous promener dans ce film inventif et joyeux !

Je suis sortis au bout de 3 quarts d'heures, mais je suis resté une demie heure de trop pour quand même donner la chance à ce film.
Il n'y a rien dans ce film, mais rien du tout, à part un esprit malsain. Je me suis suis ennuyé dès la première minute du film.
On peux dire que ce film ne fait pas rêver.
Duris a un rôle certe difficile car il ne fait rien de rien. On ne reconnait pas la fraicheur de ses compositions de ses autres films.
Mon conseil est de ne pas perdre son temps à aller voir ce film. Il ya mieux à faire.
Ciao

Du Grand N'importe Quoi!!!!! Ce qui m'interresse dans ce film où j'ai péniblement tenu une demi-heure avant de fuir, c'est de comprendre comment des humains normalement constitués peuvent apprécier un tel moment de vide, mais un vide prétentieux! allez voir n'importe quel autre film!!!

Chiant .... des le debut jusqu'a la fin.
Aucune histoire.
Aucun scénario digne de ce nom. Romain duris ne semble plus vraiment a sa place dans les roles de post-branché en quête de MOI-MOI-MOI. Un film pour les bobos sur les bobos.

Seul Guy Marchand tient un peu la route sur ce radeau cinématographique.
J'ai été à 2 doigts de sortir de la salle. On peut vraiment faire une économie de son temps en n'allant pas voir ce film.

Un film avec Romain Duris est toujours relativement particulier. Celui-ci l’est encore plus que les autres. Un film de la vie parisienne du XVème arrondissement, porté sur une famille en perte de vitesse. Quelques scènes sont véritablement à retenir. Johanna nous livre une représentation des plus théâtrale ; comme quoi lorsque l’on « débute » au cinéma dans des films d’auteur, on peut être prêt à tout ! Il y a du phrasé, des belles paroles… etc. A noter la force de la scène où les deux acteurs principaux chantent l’un et l’autre à l’eau bout du téléphone.

Je comprend tout à fait les personnes qui n'ont pas apprécié ce film! J'ai vu ce film pendant que je vivais à peu près la même situation que celle que vit Romain Duris dans le film je me suis donc retrouvé ainsi dans l'autre (en dehors qu'il s'appel Jonathan dans le film) dans sa folie pour la vie que j'ai déja vécu. La performance de Louis Garrel peut être prise au ridicule ou au contraire très bien, moi j'ai aimé. De plus Romain Duris est éxcellent en jouant se sentimental complétement perdu! Les méssages c'est que la tristesse des tiens doit être ignoré car il y a des tristesses que tu dois gérer seul! Pas mal je trouve et vrai! Un film qui fait vraiment sourir, penser et pleurer (scène du téléphone). Excellent film à voir!

un film plat, long, aux dialogues souvent peu naturels et qui ne va nulle part. Si c'est ça le renouveau du cinéma d'auteur français, on est mal barrés. restent un climat intimiste et une complicité entre acteurs assez symphatique (excellent guy marchand)mais c'est réellement insuffisant pour contrer l'ennui qui nous étreint.
dommage.

Caractéristique du cinéma nouvelle vague, Dans Paris enchaîne le meilleur et le pire. Le manque de crédibilité et de sens de certaines scènes succèdent à des instants authentiquement poétiques. Il en ressort un scéario bancal, à la limite du foutage de g..., parsemé çà et là de rares pépites émotionnelles.

J'ai voulu partir la première demi heure du film tellement je trouvais celà mauvais, mal joué et l'effet théatral tant dans la mise en scène que dans le language horripillant.
L'histoire entre Romain Duris et Alice est chiante comme la mort, en plus stylisé de manière nouvelle vague que je hais de tout mon coeur, genre on fait n'importe quoi c'est à vous de comprendre, les sens cachés.
Ca s'arrange lorsque Romain Duris rentre chez son père. Là à part les batiffollements amoureux stylisés insupportables de Louis Garrel, l'histoire est sympa et bien.
En fait la personne qui sauve tout ce film c'est tout de même Guy Marchand qui est vraiment un excellent acteur.
La critique presse a adoré personnellement j'ai trouvé que le film avait certains moments de grace mais que l'ensemble était tout de même décevant.

Fidèle à une veine française qu'on reconnait trop rapidement. Rien ne m'a touché, ni le rapport fraternel, ni parental, ni parisien, ni la dépression de Duris qui singe à la française la perte de soi, dans ce geste de pseudo-suicide dans la Seine sombre et moche. C'est une qualité de voir les cotés sans paillettes de Paris, mais on reste malgré tout dans un appartement offrant une vue superbe sur la tour effeil toute proche...
Un film qui n'est pas intello, mais un film très formel.
Du coup : Louis Garrel (pas le personnage) parasite le film par son jeu d'acteur trop théatreux pour faire honnète, et son personnage m'a paru inutile au film. Les autres acteurs sont formidables, sachant dire une prose rimées sans que notre oreille ne siffle (contrairement au phrasées de Garrel. Désolé Louis.)
PS : et les 10 clins d'oeils aux grands réalisateurs français sont un peu lourds... ne peut-on pas inventer un peu plus ??
Mais qq scènes très bonnes (qu'on aura vu dans la bande annonce...)

Quatre étoiles, une pour Romain Duris (impécable, juste et émouvant), une pour Louis Garell (futur pointure du cinéma d'auteur), une pour Christophe Honoré (encore mieux que Ma mère ou 17 fois Cécile Cassard)et une pour le plaisir que ce film apporte. Entre (vraies)tristesses et (fausses) joies, Dans Paris est un de ces films ténébreusement beau où le silence en dit long et où le spectateur ressort sans voie.

J'étais un peu dans l'expectative, j'avais entendu beaucoup parler de ce film (critiques etc).

J'ai été agréablement surpris, les références à la Nouvelle Vague s'immiscent très bien dans un film de notre temps. On est pas loin des films d'Eustache, des premiers Godard. Les deux frères et leur apparente opposition fonctionnent bien : Louis Garrel sautillant, plein de vie, Romain Duris prostré. Sans parler de Guy Marchand étonnant. Si tous les films français actuels avaient cette tenue, cette inventivité, ça serait déjà pas si mal. Qu'est ce qu'il y eu de véritablement nouveau, créatif depuis la Nouvelle Vague ? A mon avis, pas grand chose... En tout cas, nier l'immense inventité de cette période, comme le font une immense partie du public (souvent par inculture) et quelquefois même des critiques, me semble bien dommage.