Avis : Hugo Cabret - Page 2

C'est certainement le plus beau film que j'ai vu cette année,Martin Scorcese est un génie il rend hommage à ce grand magicien George Méliès en mélangeant la fiction à l'histoire( Georges Méliès est vraiment mort dans la misère,il finira sa carrière comme fabriquant de jouet ).

Ce film est d'une très grande beauté visuelle,c'est la meilleur 3D cette années et la plus réussit avec Les aventures de Tintin: Le secret de la Licorne. Au niveau 3D Hugo Cabret est au dessus de tout celles qui sont sortie cette année en 2011.

Non seulement l'image visuelle est réussit mais le scenario également,car Martin Scorcese ne s'éloignera jamais de son sujet.

L’interprétation des acteurs est sublime particulièrement Asa Butterfield,Chloe Moretz,l'hilarant Sasha Baron Cohen et son chien un magnifique Doberman,Emily Mortimer,Helen McCrory dans le personnage de la femme de Méliès et évidemment l'excellent Ben Kingsley interprétant un George Méliès plein d'émotion et d'attendrissement.

En ce qui me concerne celui ci est le film de l'année;Tout est beau et magique avec un excellente histoire.Merci Martin Scorcese de nous avoir fait tant rêver en regardant ce magnifique film.

Le 21e siècle a vu la renaissance de Martin Scorsese, réalisateur de légende qui a sans doute réalisé ses meilleurs films en s’offrant les services de Leonardo DiCaprio, son nouvel acteur fétiche. C’est dire si ce bon vieux Marty a surpris son monde en annonçant qu’il s’attaquait au roman "L’Invention d’Hugo Cabret", clairement destiné aux enfants… éloignant ainsi le metteur en scène de son univers mafieux habituel. Un choix déroutant pour un film qui ne l’est pas moins. Difficile en effet de ne pas se montrer critique envers ce "Hugo Cabret", tant le film mélange les genres sans réelle cohérence. En effet, la première partie du film s’intéresse au destin du jeune orphelin, dont la quotidien semble tout droit sorti d’un roman de Dickens. Malheureusement, le rythme assez peu soutenu de cette (longue) amorce et le manque d’originalité de ce portrait m’ont conduit à me désintéresser du jeune Hugo et m’ont fait craindre un film interminable et gamin. Le principal défaut du film réside d’ailleurs dans sa mise en scène imparfaite, avec des longueurs effarantes et des erreurs de montage à la limite de l’acceptable. Mais Scorsese se ressaisit à mi-parcours et dévoile enfin les raisons qui ont suscité son intérêt : Georges Méliès, l’un des pères-fondateurs du cinéma et l’inventeur des effets spéciaux. En s’intéressant à l’histoire incroyable (et vraie) de cet homme hors du commun, le film gagne non seulement en profondeur mais surtout en émotion. Les amoureux du 7e art seront beaucoup plus émus par les images du "Voyage dans la Lune", la reconstitution du studio de tournage de Méliès ou son retour sur le devant de la scène que par l’histoire de l’orphelin… au point même que le film ne vaut que par ce magnifique hommage du maître Scorsese à l’une de ses idoles. C’est le paradoxe d’un film qui divisera également par ses choix esthétiques, le Paris des années 30 représenté par Scorsese semblant davantage sortir de la fin du 19e siècle (on pense notamment à Jules Verne). Concernant le casting, on appréciera, sans pour autant être ébloui, les prestations du tout malheureux Asa Butterfield dans le rôle-titre, de l’excellente Chloe Moretz en acolyte, de l’épatant Ben Kingsley en Georges Méliès, de Sacha Baron Cohen en inspecteur de gare, Helen McCrory en épouse protectrice ainsi qu’une pléiade de 2nds rôles sympas mais sous-exploités (Jude Law, Ray Winstone, Christopher Lee…). Enfin, une fois n’est pas coutume, l’utilisation de la 3D apporte un vrai plus au film (les flocons de neige ou les labyrinthes de la gare sont magnifiés). "Hugo Cabret" reste malgré tout la réalisation la moins réussie de Scorsese depuis de longtemps (depuis "Gangs of New York" en fait)… à moins que le ton enfantin employé ici ne m’ait dérouté au point de ne pas apprécié à sa juste valeur un film qui a le mérite de faire découvrir aux enfants un véritable génie méconnu. Et si la (pesante) première partie du film et son cachet conte de Noël permettent au jeune public d’adhérer plus facilement à cette intrigue, alors soit…

Hugo Cabret c'est le film qui ne livre rie nde ses secrets dans la bande-annonce.
On pouvait s'attendre à un film pour enfants de 6 ans, avec des péripéties créées dans lebut de remplacer un somnifère mais tout cela n'est pas présent dans Hugo Cabret.
Bien sûr toute cette mièvrerie aurait pu être présente si il n'y avait pas un obstacle à cet objectif : Martin Scorsese.
On ne vous présente plus le bonhomme, réalisateur culte, auteur de films cultes, avec des acteurs cultes, des scènes cultes et des répliques cultes. Ce qui frappe tout d'abord est la réalisation, absolument magnifique et chiadée, et la 3D, bluffante, jamais gênante, servant complètement le film : c'est sa meilleure utilisation dans le domaine du cinéma.
On suit avec attachement le destin de Hugo Cabret, orphelin vivant dans une gare à Paris, et qui va découvrir un secret, que son père n'avait pas résolu.
La première moîtié du film est prenante, présentant les personnages. Tous les cateurs sont vraiment excellents dans leur rôle, à commencer par Asa Butterfly, puis Chloe Morëtz (absolument irrésistible), Ben Kingsly (son rôle se révèle petit à petit) et Sacha Baron Cohen (qui hérite des scènes les plus comiques). La seconde partie est un véritable hommage au 7e Art, notamment à Méliès.
Les décors sont très trvaillés, la 3D embellit vraiment le tout et offre une perspective hallucinante, pour notre plus grand bonheur.
Un film touchant, prenant, véritable ode au cinéma, dont on ressort avec le sourire et les yeux pleins d'étoiles. Un très bon film de Noël.

La question qui se pose lorsque l'on va voir Hugo Cabret c'est : que vaut Martin Scorsese dans l'univers des films familials ? Aprés visionnage, il est clair que Scorsese est aussi à l'aise dans les films de gangsters, d'adulte que dans le registre du film familial. Hugo Cabret est, en fait, un magnifique hommage rendu à Georges Méliès et à ses films. De plus, Scorsese se sert de son film pour sensibiliser les spectateurs à l'importance de la sauvegarde des films anciens qui constituent le patrimoine historique du cinéma. Pour en revenir au film, Hugo Cabret est visuellement trés beau. Le Paris des années 30 est admirablement reconstitué. Le casting est irréprochable. Que se soient les premiers rôles ou les seconds, les acteurs sont très bons (en particulier Ben Kingsley, magique en Georges Méliès). La 3-D est bien faite (pour une fois) et la musique est correcte. Martin Scorsese signe ici un très bon divertissement. Hugo Cabret est une aventure qui plaira aussi bien aux plus jeunes qu'aux plus grands.

Martin Scorsese, éclectique comme jamais, s'exerce au conte enfantin...et ça fonctionne à merveille. "Hugo Cabret", d'un point de vue réalisation, est tout simplement excellent. Ce n'est certainement pas dans ce registre que je préfère Scorsese, mais il faut avouer, c'est un très bon film, que je conseille toutefois à une clientèle d'enfants, qui passeront un meilleur moment que nous autres adultes de toute évidence en rêvant pendant deux heures. L'histoire est passionnante, les décors sont somptueux, bienvenue dans ce monde minutieux, celui d'Hugo Cabret.

Un véritable cri d'amour de Scorsese au septième d'art qui pour le coup ne fait pas de "Scorsese". Il s'adoucit un peu pour ce film hommage à George Meliès et au début du cinéma en général et m'a plus fait fait penser à ce que fait Jean-Pierre Jeunet. Une belle petite histoire tout public.

Ce premier film en relief de Martin Scorsese est excellent. Le scénario est passionnant, très bien ficelé et travaillé avec une part de mystère et de magie. Les personnages sont très attachant et les acteurs joue admirablement bien et sont très inspiré. Les musiques sont très bien choisit et colle parfaitement a l'ambiance du film. Les images sont belles et la mise en scène est sublime ! Une très belle aventure qui plaira aux petits et aux grands.

Un des meilleurs films que j'ai vu depuis "Out Of Africa".

Bon, ba c'est un film pour enfants quoi. Sauf que là c'est bien fait ! C'est ni niais ni inregardable pour ceux qui ont plus de 10 ans ! Parce que là c'est du Scorsese, superbement bien filmé, avec une photographie et des décords sublimes, qui donnent à cet "Hugo Cabret" un grans charme esthétique. Plus qu'un conte pour enfants d'ailleurs, ce film est une grande déclaration d'amour au cinéma, un superbe hommage de la part de son auteur qui à choisit de montrer les débuts du cinéma, avec l'un de ses plus grands pionniers, Georges Méliés, magistralement intérprété par Ben Kingsley. A travers une trés belle histoire pour enfants, Scorses mélange avec brio les différents thèmes du film, l'histoire de l'automate, le théme du temps, du changement, l'hommage au cinéma, tout celà enboité dans un "film de noel" riche et sublime à voir et à suivre, car, comble du bonheur, le suspens et là ,et nous tient en haleine tout le long du film pendant que Scorsese nous montre les débuts du cinéma et les superbes oeuvres dont l'homme est capable, l'automate et le voyage dans la lune. Bref un véritable chef d'oeuvre, autant pour petits que pour grands.

Dans "Hugo Cabret", Martin Scorsese s'est lancé dans une histoire "pour enfant" où l'on suit Hugo Cabret (Asa Butterfield), un jeune enfant orphelin qui tente de réparer un automate légué par son père. Dans cette aventure, il croisera notamment le chemin d'une jeune fille (Chloë Grace Moretz), son père (Ben Kingsley) et du chef de la gare (Sacha Baron Cohen). Le casting est donc assez impressionnant, ajouté à cela Jude Law qui joue le père d'Hugo. On pouvait s'attendre à une histoire envoutante pleine de mystères venant de la part de M. Scorsese car il y avait vraiment de quoi faire. Malheureusement, bien que l'intrigue autour de l'automate s'épaississe pendant une partie du film, la vérité se révèle décevante et même prévisible au bout d'un moment. On ne s'ennuie pas mais on n'est pas non plus captivé par le film malgré les efforts pour faire revivre une gare parisienne, avec tous ses recoins inexplorés et ses passages "secrets".

Scorsese qui s'attèle pour la première fois à un conte pour enfants. Sur le papier, il y avait de quoi trembler de tout nos membres. Comment Scorsese adepte du thriller et du film noir allait s'y prendre? C'est simple, en signant une lettre d'amour au cinéma, notamment à celui de Georges Méliès ainsi qu'au muet. Cependant, cette lettre aussi belle soit-elle est marquée par quelques taches d'encre au niveau du scénario.
Démarre après une (longue!) introduction, la première partie et c'est là que les défauts se font remarquer. Scorsese aurait pu allier plus d'immagination, plus de rebondissements quant à la trame scénaristique. Ainsi, on suis le jeune Hugo (joué par l'excellent Asa Butterfield) aller ici et là, faire des rencontres avec une jeune fille, Isabelle, et son "père" Georges Méliès, etc. De ce fait, on alterne passages passionants et platitude déconcertante.
Puis vient la seconde partie, ou, dans l'esprit du cinéphile, l'hommage prend tout son sens avec l'histoire (quelque peu fabulée) des Studios Star de Méliès et comment ce dernier fit ses nombreux courts métrages, avec plusieurs extraits de ses oeuvres tels le célèbre "Voyage dans la Lune". On peut souligner que dans cette partie, l'amour que porte Scorsese au cinéma fait figure de premier plan et que le fait de garder et de sauver les films toutes époques confondues se révèlent être un bien nécessaire à la sauvegarde du patrimoine cinématographique.
A la fin de la séance, on sors quelque peu émerveillé par cette rétrospective, mais avec du recul, si on enlève tout l'hommage rendu à Méliès, la quête du héros se révèle bien pauvre.
Une petite déception qu'est ce "Hugo Cabret", dans le fait que le film est horriblement plat par moment. Malgré un très bon casting et des plans juste subblimes, la quète principale aurait mérité plus ample fantaisie, plus de rebondissements de la part de Martin Scorsese.
Cependant, ce film reste un bon divertissement ou les enfants en sortiront moins c*ns qu'après les multiples explosions de blockbusters tel "Transformers" ou les dessins animés abrutissants signés Disney.

Etonnant de retrouver l'ami Scorsese dans ce divertissement formaté de type « Joyeux Noël ! Venez dépenser chez nous les 10 euros par personne que coûte le seul film que vous vous risquerez à aller voir en famille cette année »... Pourtant c'est bien le cas : Scorsese est aux manettes de cet "Hugo Cabret". Or, tenez-vous le pour dit : ça ne se voit jamais à l'écran. Où est la patte ou l'esprit du cinéaste new-yorkais ? Personnellement, si on me disait que le film avait été fait par un autre et qu'on a rajouté le nom de Scorsese qu'après coup, j'y croirais sans problème... Enfin bref, pour prendre du plaisir à cet "Hugo Cabret", il faudra donc le voir non pas comme un film d'auteur mais comme un spectacle formaté pour Noël. Soit... Et pourtant, même en le regardant comme un produit commercial, pour moi ça a coincé. En effet, je trouve que, un peu à l'image des multiples horloges et automate présents dans l'intrigue du film, la mécanique de cet "Hugo Cabret" a beau être bien huilée, elle m'a surtout apparue comme étant affreusement déshumanisée. Avec tout son buis-buis numérique en 3D, j'ai d’ailleurs même cru un instant que le film était fait avec cette infâme performance-capture et que je regardais une suite du nauséeux "Pole Express"... Il faut dire que le traitement qui est fait du Paris de la Belle époque n'aide absolument pas non plus. Coloré, propret, clinquant, avec tous les clichés possibles : Disney n'aurait pas fait pire. Et ce n'est ni les personnages ni l'intrigue qui, à mon sens, relèvent le niveau. Quel honte d'ailleurs de solliciter un casting d'une telle qualité - Ben Kingsley, Sacha Baron Cohen et Chloé Moretz ! - pour au final ne leur offrir que des personnages lisses et creux dignes du pire des "Harry Potter" ! Mais après tout, ce manque de substance est totalement logique avec ce traitement "conte de Noël commercial" dans lequel s'englue le film... Après un tel descriptif, vous pourriez du coup vous demander pourquoi avoir mis 2 étoiles malgré tout. Eh bien disons que la seconde partie sauve un petit peu la mise dès qu'elle ouvre ENFIN sur le dévoilement de son intrigue. Après une heure d'ennui abyssal, Scorsese dévoile le dessous de son film, fait de clins d'œil et d'hommages aux débuts du cinéma. Pour le coup, le film raconte enfin quelque chose, transmet enfin une émotion même si elle est un peu trop surfaite. Même si, pour ma part, j'ai trouvé cette déclaration d'amour faite au cinéma d'autant, carrément trop emprunt de pédagogie, j'avoue que malgré tout elle est venue comblé un vide qui m'oppressait jusqu'alors. Enfin, à partir de là, j'ai trouvé le film sympathique. Enfin, j'y voyais un sens et j'y sentais une démarche. Au final, que m'est-il resté de cet "Hugo Cabret" ? A dire vrai, pas grand-chose... La deuxième moitié n'était certes pas désagréable mais j'avoue avoir ressenti dans la bouche comme un arrière goût de produit formaté qui ne me laissera pas un souvenir impérissable. Après, c'est Noël, peut-être ferez-vous le cadeau d'être indulgent à l'égard de l'ami Scorsese. Mais bon... A 10 euros la place, cela peut faire un peu cher le cadeau...

Je n'ai pas lu en détail les embrouilles des précédents posts, mais si vous êtes un vrai amoureux du cinéma, vous ne pouvez décemment pas vous "en foutre de Georges Mélies", comme un certain l'a écrit. J'en reviens et je suis encore émerveillée ! Magnifique, merveilleux ! Encore un film sur l'amour du cinéma selon Scorcese (après Shutter Island). Plein de poésie, de féérie, de magie, de rêve, de tendresse, de moments d'émotion. Tous les acteurs sont parfaits, surtout le jeune Asa Butterfield, que je ne connaissais absolument pas et qui est merveilleux. Un film parfait pour Noël. Courrez-y si vous aimez le cinéma !

Un film qui aurait pu être réussi si l'histoire s'était avérée un tant soit peu intéressante. Dans la même veine que oliver twist , avec en plus le fameux hommage au cinema permettant de se faire lêcher le derrière par les critiques. Honnêtement, si ce n'était pas scorsese derrière la caméra , quelles critiques aurait eut ce film ?

Une merveille, une beauté éblouissante... de nombreux termes pourraient être utile pour décrire ce bijou cinématographique que nous offre le talentueux Martin Scorsese. Loin de ses précédents films (Aviator, Shutter Island...), le réalisateur de génie signe un conte poétique et visuellement sublime (voir même bluffant) baignée d’un univers enfantin, fait de magie et de cinéma. Le tout dans un Paris fantasmée, proche de celui des rêves...
Le réalisateur s’entoure d’un beau panel de comédien pour donner vie aux personnage du roman " L’Invention d’Hugo Cabret " rédigé par Brian Selznick. Jude Law, Christopher Lee, Ray Winston, Sacha Baron Cohen, de nombreux comédiens de talent au service d’un film retraçant l’histoire du cinéma. Le film est d’ailleurs, sans le vouloir, un immense paradoxe. En voulant raconter l’histoire de George Méliès, père méconnue des effets spéciaux traditionnel, Scorsese utilise la 3D et les images numérique. Un léger comble, mais qui prouve l’amour que le réalisateur porte au cinéma d’antan et au cinéma moderne. Dans le fond, Hugo est un film fait pour les amoureux du septième-art, avec autant de passion et de poésie que The Artist, avec la beauté visuelle d’un Secret de la Licorne.