Avis sur Hugo Cabret

Quand on aime certains films du cinéma actuel, encore beaucoup plus tous ceux du cinéma des années 50 et presque autant la centaine de films muets que l’on peut encore trouver, comment ne pas adorer Hugo Cabret? Quand en plus on aime la poésie, que celle ci est si rare au cinéma, comment ne pas remercier chaleureusement Scorsese pour ce cadeau somptueux? Aucun cinéphile ne devant ignorer le rôle joué par Meliés, le véritable inventeur du cinéma en tant que distraction par le rêve, ce film ne peut recevoir que des louanges. Seuls les consommateurs de sensations y perdront leurs temps. A la seconde vision, ce petit bijou est encore plus émouvant puisque les connaissances antérieures procurent une émotion plus grande. Lorsque l’on pleure au cinéma, il faut préparer un mouchoir, l’histoire des petits orphelins des années 30 est déjà bien triste à elle seule. Outre son scénario, Hugo Cabret est un somptueux livre d’images que Meliés aurait forcement adoré.Que n’aurait -il pas crée avec les nouvelles techniques de synthése? Tout ce qui touche les mécanismes horlogers est admirable, seuls les zooms accélérés qui se terminent sur des gros plans ainsi que les poursuites sont un peu lourds; Scorsese n’a pu se retenir de céder à la mode du moment. Il n’y a pour ainsi dire aucune grave erreur historique (papa Georges a vraiment assisté à la première projection cinématographique publique), les détails inventés sont sans préjudices sur l'esprit et rendent hommage au cinéma et au livre; Seul la paternité de l’automate aurait due revenir à Robert Houdin. C’est un film à part qui doit faire partie intégrante de toute vidéothèque familiale afin de le montrer aux enfants de l’âge de Hugo et de Isabelle.

On pouvait avoir peur car l'idée même que Scorsese réalise un film pour "enfants" etait destabilisant surtout que celui ci était en 3D. Tout était de mauvaise augure pour ce film et j'avoue eu avoir eu quelques réticences à le voir. L'erreur fut grande car c’était sans compter sur le génie de Scorsese. Scorsese aime le cinéma et nous le montre. Un film magnifique, porté par des acteurs talentueux en particulier Ben Kingsley troublant de ressemblance avec le vrai George Méliès, une histoire magnifique, simple mais tellement captivante et émouvante que l'on retombe littéralement en enfance : il y avait longtemps que je n'avais pas ressenti ça ! Une ode au cinéma des années 20 avec les premiers effets spéciaux, les premières couleurs et surtout le vrai amour du cinéma. Un pur bijou que nous taille Scorsese au fil de son histoire qu'il nous conte à merveille, une véritable déclaration d'amour au cinéma et c'est sans nul doute un des meilleurs films de Scorsese. Mon Dieu que ça fait du bien ce genre de film ! N'ayons pas peur des superlatifs : un pur chef d’œuvre.

Martin Scorsese est une vraie encyclopèdie vivante à lui tout seul! Dès que vous lui parlez de n'importe quel film, attendez vous à des heures de discussion! il est intarissable dans ce domaine donc rien de surprenant de voir Marty à la rèalisation de "Hugo Cabret", un formidable hommage au père de l'art du film, au crèateur de la mise en scène et au premier cinèaste au monde qui se disait, se savait et se voulait artiste! Son nom: Georges Mèliès! Illusionniste, venu du thèâtre, ce dernier construisit à Montreuil le premier « atelier de poses » , ancêtre des studios et y employa, avec des trucages photographiques en tous genres, les ressources du thèâtre: acteurs, dècors, costumes, scènarios, maquillages, machinerie, bref la mise en scène! Par là, Mèliès se trouva en opposition avec Lumière, qui prenait « la nature sur le vif » . Scorsese nous le rappelle d'ailleurs dans le film! S'il abandonna viite le plein air pour les re-crèations en studio, avec une rigueur de dessinateur, il n'abandonna pas pour autant la rèalitè! Ses grandes spècialitès furent surtout les fèeries mais ce fut un film de science-fiction, "Le voyage dans la Lune", qui lui assura une gloire universelle et, pour un temps, la fortune! Ce succès fit aussi triompher la mise en scène dans le monde entier, marquant ainsi le vrai dèbut de l'art et de l'industrie du film! Malheureusement dèpassè par l'èvolution du cinèma, Mèliès se trouva après la guerre de 14-18 complètement ruinè et tomba dans l'oubli! il en fut rèduit à vendre des jouets et des sucreries dans une gare parisienne, gare que l'on voit pour ainsi dire durant toute la projection de "Hugo Cabret". Passè un plan d'introduction somptueux, Scorsese n'a rien perdu de son talent et c'est encore gagnè pour lui au niveau de la rèalisation avec une 3D visuellement impressionnante! Ambiance, dècor, histoire, personnage...tout est un enchantement pour la rètine comme ce train qui entre en gare et dèraille, jusqu'à passer à travers la devanture du bâtiment! Un hommage particulièrement intèressant pour tous cinèphiles qui se respectent où chaque dètail compte! Mais pour le jeune public qui cherche à voyager dans l'imaginaire, leur faire connaitre Mèliès, c'est une bonne chose et on remercie Marty pour cela! Très esthètique et remarquablement interprètè (mention au jeune Asa Butterfield avec ses yeux bleus dèlavès), voilà un favori de Noël par excellence, entre fèerie et rèalitè, magie et mystères, auquel le spectateur initiè s’amuse à identifier les clins d’œil cinèphiliques qui traversent l’ècran...

"Hugo Cabret" contre toute attente se révèle un beau conte au sens propre comme au figuré !!! Cette belle histoire sur le retour de Méliès est portée par des acteurs convaincants (en particulier le jeune Asa Butterfield impressionnant de vérité) et aussi... de très belles images !
En effet, les vues de la gare et de tous ses habitants qui lui donnent vie, sont très agréables à regarder et le spectateur sous la lorgnette de Hugo, n'en perd pas une miette !
Un très bon divertissement ayant même une portée philosophique, plutôt pour adultes...

Je me méfie sans doute trop des films qui ont de trop bonnes critiques, ou récompensés lors de festivals. En effet, Hugo Cabret m’avait été chaudement recommandé mais j’avais un doute dessus, malgré le fait que j’apprécie Scorcese habituellement. Au final il faut avouer que les bonnes critiques sont méritées, et que c’est un vibrant hommage au cinéma, surtout celui de Mélies que j’ai ainsi pu découvrir.
Le synopsis n’est a priori pas passionnant, disons que le film se vend mal et qu’en prenant le parti d’emblée de promouvoir le cinéma il aurait été mieux perçu je pense. En effet, le début est assez long et inutile. Du coup l’histoire se lance trop tard, les longueurs lassent vite, surtout que l’acteur principal n’a pas assez de charisme pour rattraper le tout. Il n’est pas mauvais, mais les autres acteurs sont bien meilleurs, surtout que le casting est bon. De plus, il est assez étrange de voir un film en VO quand il se passe en France (belle reconstitution d’ailleurs).
Du reste on a droit à de très belles images, très soignées, portées par une belle histoire filmé un peu comme dans un rêve (d’où un hommage encore plus appuyé au père des effets spéciaux). On oscille entre un Amélie Poulain avec les références parisiennes et un Oliver Twist (encore avec Ben Kingsley). L’automate me gène un peu car il ne semble pas tant trouver sa place dans le film, une peu comme Jude Law présent juste pour son nom, et le rapport avec Houdini n’est pas assez marqué. A part ça la mise en scène est sobre mais efficace, les musiques sont bonnes et bien utilisées, les FX restent sommaires comme pour rendre encore un hommage à Mélies, de même pour les décors et les costumes (sublimes). Le rythme se tient malgré les longueurs mais je le trouve un peu trop haché pour qu’on accroche vraiment, dommage. Néanmoins, comme beaucoup avant moi, je conseille ce film à tous, mais surtout aux aficionados du cinéma, une page d’histoire pas chiante c’est rare et rafraichissant.

On nous l'avait annoncé comme un film pour enfants, une histoire de Noël, une œuvre de commande pour le grand Martin Scorsese, et pourtant... J'ai rarement eu l'occasion de voir quelque chose d'aussi beau, émouvant, époustouflant qu' « Hugo Cabret », la plus belle déclaration d'amour que l'on pouvait faire au cinéma et à Georges Méliès. C'est drôle, alors que des dizaines d'émotions m'ont traversé et que je m'apprêtais à écrire des centaines de choses, je me retrouve un peu bête, comme s'il y avait trop de choses à exprimer. Je me contenterais donc de dire que c'est visuellement merveilleux, que cet hommage au cinéma muet est à la fois éblouissant de modernité technique et narrative, tout en évoquant brillamment tout ce qui faisait l'émotion et l'inventivité du septième art à l'époque, comme en témoigne plusieurs scènes citant subtilement aussi bien le slapstick que le burlesque. Mais c'est surtout un univers entier que le réalisateur des « Affranchis » retranscrit à travers cette gare, ces commerces, ses personnages décalés souvent délicieux. On dirait un parfum enivrant, élégant, à la fois doux et apaisant que porterait une femme sublime et délicate. Traité presque comme une enquête vue à travers le regard de deux enfants aussi avides d'émotions que de cinéma (les deux marchent ensemble, me direz-vous), le résultat est presque miraculeux, comme si Méliès avait transcendé un metteur en scène qui est pourtant juste l'un des plus grands de sa génération... Une oeuvre inoubliable, assurément le dernier (et l'un des seuls) grand film de 2011.

Lorsque j'ai vu pour la première fois la bande annonce de Hugo Cabret pour radar à débilité (oui j'ai un radar à conneries) s'est affolé, une clef en forme de coeur dans un film pour enfant, en 3D, je flaire la niaiserie sans pareille. Et lorsque je vois que c'est réalisé par Scorsese, j'ai pensé qu'il avait complètement perdu la boule. Mais bon les bonnes critiques m'ont quand même poussé à le voir et puis de toute façon, c'est pas comme si je n'allais voir que des bons films au cinéma.
Alors je vais commencer par le point fort du film c'est la photographie, il y a un grand travail pour animer tout ça, c'est plutôt joli, des beaux angles de vues, une mise en scène plus inspirée que pour Shutter Island, même si par moment c'est pas forcément des plus virtuose, pourtant le début il y a un mini plan séquence plutôt pas mal.
Après l'histoire, je ne suis pas rentré dedans, j'ai trouvé ça un peu faux, et surtout sans subtilité. Et s'il n'y avait pas Christopher Lee je n'aurai pas frémi de tout le film.
On sait bien que Scorsese c'est un grand cinéphile et là il a voulu s'attaquer au muet, à Méliès, bon alors honnêtement entre le français qui parle du cinéma américain des années 20-30 et l'américain qui parle du cinéma français des années 1900, je choisis l'américain, dont la démarche moins extrême, et peut-être plus intelligente, semble moins idiote. Mais bon, c'est vraiment trop, le message le cinéma c'est beau, ça fait rêvé etc, oui je veux bien, lorsque c'est en filigrane, nuancé, mais nous balancer ça pendant toute la dernière heure du film, mouais, mais non. Tout ceci en fera peut-être rêver certains, mais pas moi, je trouve ça un peu facile en fait, surtout qu'on parle de Méliès, mais ça aurait pu être n'importe qui d'autre, ça n'aurait rien changé, c'est profondément dommage je trouve.
Alors bon il y a des bonnes idées (qui sont peut-être dans le bouquin, j'en sais rien), genre Sacha Baron Cohen qui n'est pas juste un vilain vilain, il a un coeur, mais bon, j'adore ce mec dans Borat ou Brüno, mais je ne le trouve pas crédible dans les autres films, Sweeney Todd ou celui là, il surjoue, il en fait trop, c'est caricatural, c'est peut-être fait exprès, mais j'ai mal pour lui quoi. Alors bon il s'en sort mieux au fur et à mesure que le film avance.
Après la 3D est pas mal rendue, même si bon par moment ça sort de l'écran, sans doute pour retrouver le côté spectacle de l'arrivée d'un train en gare la Ciotat, mais lorsque je vois ça j'ai toujours l'impression d'être au cirque, à la fête foraine et pas au cinéma. Surtout que je trouve ça assez gênant visuellement. Je note aussi plusieurs plans où la 3D ne marche pas, ce qui ne m'était arrivé qu'une seule fois avant.
Ouais je suis déçu. Enfin déçu n'est pas le bon mot, vu que je m'attendais à une bouse, mais ça manque d'âme, je ne sais pas si c'est la technique utilisée pour filmer tout ce beau monde, mais je trouve ça très convenu, très artificiel, sans âme, sans émotion.
Comme dit il reste la photographie.
Dommage.
Et ça un côté tellement too much que j'en suis venu à douter de la sincérité de Scorsese qui en fait vraiment trop.
Après la musique sait se faire discrète et est plutôt pas mauvaise, et ne vient pas surligner de manière pompeuse les scènes d'émotion, c'est déjà ça de gagner.
Il veut nous parler de la magie du cinéma, mais je n'y vois aucune magie ici, les personnages je n'y crois pas trop et tout ça, c'est bien capilotracté, et le pire dans tout ça, c'est qu'il me semble ne pas avoir vu de Méliès, et avant de voir le film enfin il y a quelques temps j'avais eu envie d'en voir, je m'étais procuré ses films, mais là j'ai même plus envie d'en voir, tout ceci a un côté guimauve assez écœurant en fait.
Bref j'attends qu'il refasse un film avec des truands qui se cassent la gueule.

J'ai trouvé ce film prétentieusement ennuyeux, on ne s'attache à aucun des personnages tellement ils manquent de vie.
Le film a certes des qualités visuelles, mais manque totalement d'émotion, ce qui provoque l'ennui puis l'endormissement...

Avec une touche de féérie, Martin Scorsese réussi un divertissement honnête, mené par un scénario très délicat, qui nous montre les tendresses d'un dialogue des années 30. Équipe d'un casting cinq étoiles, avec Asa Butterfield et Chloë Grace Moretz, et d'une mise en scène ultra-dynamique. Hugo Cabret raconte une aventure émouvante au cœur de Paris. Magique et envoûtant. 5/5 *****

Un jolie monde fantastique parmi tant d'autre, on s'y croit on est de-dans, les acteurs 0 défauts ainsi que la B.O mais 2h 08 par rapport à l'histoire c'est un peu long... =/ Je le déconseille d'aller le voir avec des enfants car il comprendrais pas tout et se serait un peu long pour eux. Film à voir en quand même =)

C'est magnifique. Oh, c'est un grand film ! C'est un génial conte de Noël pour enfants et adultes, un rêve éveillé, un délice de virtuosité. Martin Scorsese, le plus grand réalisateur américain, a fait son plus beau film. Vous savez où ça se passe, au moins ? Dans ma gare ! Ma Gare Montparnasse ! Il était devenu pauvre, le pauvre [Georges Méliès]. Eh oui, vous vous rendez compte ? Il y a un petit garçon dans la gare, un petit orphelin qui vit dans la gare. Et c'est tellement beau une gare, hein, c'est beau. Il vit dans la gare, et il répare tout tout tout. Et tous les jours il remet toutes les pendules à l'heure, et il y en a une, surtout, qui est superbe, qui n'est plus là malheureusement. Et Ben Kingsley, qui fait M. Méliès, il est génial !

Hugo est un petit garçon de douze ans, passionné de mécanismes d'horlogerie. Après le décès accidentel de son père horloger, il est recueilli par son oncle, lui aussi horloger, en charge de l'entretien des horloges d'une grande gare parisienne. L'orphelin va désormais vivre dans cette gare.
En héritage, il a reçu un automate abimé : un étrange robot humanoïde qu'il tente de réparer. Il ne lui manque que la clef la clé en forme de cœur, pour lui redonner vie.

Le réalisateur a confié le rôle principal de cette histoire à un enfant ; et le pari est réussi car Asa Butterfield est excellent dans le rôle d'Hugo Cabret. Les personnages sont assez originaux et brillamment interprétés : Sacha Baron Cohen en policier maniacodépressif à la jambe mécanique, Ben Kingsley en marchand de jouets cyclothymique...

Oscar des meilleurs décors pour ce conte fantastique qui nous offre de merveilleux tableaux. L'ambiance des quais de cette gare est très chaleureuse, avec dans ses entrailles, les extraordinaires rouages de cette gigantesque horloge. La beauté des images mérite l'oscar de la meilleure photographie : l'aventure nous délivre de beaux paysages du 5ème arrondissement parisien relookés à la mode des années 30. Oscar également des Meilleurs effets visuels : effet 3D avec le doberman du policier de la gare ; scène fantastique de l’accident de train, dans laquelle une locomotive traverse la gare,

Un scénario original qui nous entraine dans le monde fantastique de George Méliès. Martin Scorsese mérite bien le Golden Globes du meilleur réalisateur ; Il nous fait réellement rêver en 3D avec cet émouvant conte féérique adressé à tout public.

Hugo Cabret est un film comme je l’attendais de la part de Scorsese qui continue d’impressionner, dans un style qu’on ne lui connaissait pas. Un sublime métrage.
D’abord de par ses acteurs. Il n’y a pas une fausse note, l’interprétation est absolument géniale, avec des acteurs toujours magnifiquement à leur place, des rôles creusés et ciselés, aidés par des dialogues d’une grande finesse. Kingsley trouve un de ses plus beaux rôles depuis longtemps, livrant une prestation subtile et pleine d’émotion. En face Asa Butterfield et Chloé Grace Moretz forme un jeune duo entrainant, touchant, plein d’humour aussi, et fort bien campé. Et puis que dire des seconds rôles. Cohen est toujours surprenant dans ces seconds rôles de films en costume, qu’il semble affectionner d’ailleurs, et puis on a droit à la présence du grand Christopher Lee qui apparait peu mais toujours avec ce charisme et cette magie qui le caractérisait.
Le scénario est surprenant et excellent, mêlant la grande et la petite histoire, étant un hommage incroyable au 7ème art, à sa magie. Le film tient à la fois du conte, du récit biographique, du film fantastique même par certains aspects, et le résultat est un film plein d’émotion, de surprise, de tendresse, qui ne cherche pas non plus à en faire trop. Scorsese évite le danger misérabiliste, il nous sort une fin réussie, il propose au final un métrage délicieux pour les adultes mais non moins magique pour les enfants. Une vraie perle de poésie.
Visuellement, aidé par un budget dément, Scorsese se lâche. Décors grandioses, reconstitution riche et flamboyante de l’époque, le film dégage ce petit côté « artificiel » des films riches en effets spéciaux. On pourrait croire que c’est un bémol, mais pas du tout, cela donne au film une teinte très particulière, cela accentue la dimension « conte » et atemporel du film. Lequel peut compter en outre sur une photographie aux petits oignons, et une mise en scène flamboyante de Scorsese, qui démontre ses talents pour filmer l’intime, encore une fois. Le tout est servi par une musique magistrale.
Que dire, si ce n’est qu’Hugo Cabret est probablement un des plus beaux films qu’on puisse servir aux enfants et aux adultes pendant une période de fête. Un bijou des plus séduisants, une perle à voir à l’évidence. 5.

Voici un film qui donne un petit arrière goût de Nostalgie . Malgré des passages ennuyeux ( surtout le passage entre Hugo et la fille ) et une vf pas trop convaincante de Hugo , j'ai été totalement conquis par ce petit bijou cinématographique . J'ai eu beaucoup de gros coups de coeur , notamment pour l'image qui est absolument somptueuse , pour les personnages qui sont tous vraiment bien créés , pour la musique de Howard Shore rendant esprit à la musique parisienne et aussi un très bon retour aux sources ... Bref un film superbe , qui vaut le coup d'être vu !

Hugo Cabret est vraiment un excellent film, un vrai bijou du cinéma, qui nous entraine dans une grands et belle aventure, vraiment une pure merveille. De part sa réalisation et son univers qui est juste magnifique, les plan de caméra sont vraiment somptueux et étincelante, bravo a Martin Scorsese qui encore une fois nous montre l'étendu de son talent. Le scénario est très captivant, très bien ficelé et travaillé avec un part de mystère et de magie, on découvre et évolue en même dans que les personnages, et sa c'est vraiment sympa. Mais au final tous cette histoire pour en arrivé la, c'est un peu absurde mais bon, on passera sur ce petit détaille. Les personnages sont très attachant et les acteurs joue admirablement bien et sont très inspiré, bravo.Les musiques sont très bien choisit et colle parfaitement a l'ambiance du film.Et la 3D relief rend très bien et ajoute un plus a la magie du film. Vraiment très belle aventure qui plaira aux petits et au grands. Un film que je vous conseil.Très bon divertissement.