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    Nuits d'ivresse printanière
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    51 critiques spectateurs

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    jfharo
    jfharo

    48 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 avril 2010
    Des nuits bien tristes et bien mornes ,à fuir !.
    Plume231
    Plume231

    3 472 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 avril 2012
    OK, ce film évoque un sujet plus que tabou en Chine, l'homosexualité ; OK, ce film a été tourné clandestinement ; OK, le réalisateur a eu de très gros problèmes avec la censure ; mais sont-ce des raisons suffisantes pour encenser ce film ??? Non, très loin de là. Il ne peut avoir absolument aucune raison valable qui justifie l'absence d'un scénario. Une scène intimiste froide et quasi-incomprésensible suivie d'une séquence de sexe suivie d'une scène d'énervement pendant tout le long du film, ça c'est pas un scénario. Et ce n'est pas le fait d'entrecouper parfois le tout de vers de poésie qui va cacher ce vide abyssale. "Nuits d'ivresse printanière" ou comment réussir à réaliser le triangle amoureux le plus emmerdant du cinéma. A prescrire sur ordonnance pour les insomniaques.
    Sloughi
    Sloughi

    13 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2010
    Emotion a fleur de peau, laissez vous emporter par ce film poétique et sensible, beau et fulgurant, tout en sentiments inavoués. Le film va vosu étreindre le coeur !
    Lucille T.
    Lucille T.

    34 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2010
    Douceur, n.f. : qualité de ce qui procure aux sens un plaisir délicat

    Les nuits d'ivresse printanière,
    Sans espoir comme celle-ci,
    Je les passe à errer dehors,
    En attendant qu'elles blanchissent.
    Lord-Djiss
    Lord-Djiss

    19 abonnés 983 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 octobre 2010
    J'ai été surpris par ce film. Premièrement parce que je ne m'attendais pas à un film sur l'homosexualité, ensuite parce que l'ambiance du film est assez glauque. En dehors de ça, j'ai trouvé ce film saisissant de réalisme. Dommage que le film se termine de cette façon.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juin 2010
    Après avoir présenté à Cannes en 2006 son précédent film Une jeunesse chinoise, Lou Ye fut banni de son propre pays pendant cinq ans. Censuré et interdit de tourner, le cinéaste Chinois persiste et signe une œuvre courageuse, dans laquelle il y traite de l’homosexualité. Sujet impensable au cinéma dans la Chine d’aujourd’hui, d’où une coproduction avec la France.
    Grand lauréat du Prix du Scénario à Cannes 2009, aussi bizarre que cela puisse paraître, on ne parvient pas à comprendre pourquoi le jury lui a décerné un tel prix. La mise en scène aussi amorphe soit-elle, ne parvient jamais à nous tenir en haleine, certes l’idée de départ était intéressante, mais en fin de compte, le film s’enlise à travers un triangle amoureux complexe et ennuyeux, dans lequel on espère qu’une chose, le générique de fin !
    Alors que l’on en attendait beaucoup de Nuits d'ivresse printanière (2010), de part son intrigue et son thème général, en fin de compte, c’est une déception de taille auquel nous convie le cinéaste.
    selenie
    selenie

    5 431 abonnés 6 015 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2010
    Une épouse fait suivre son mari et son amant par un dédective qui va finir par coucher avec l'amant en question mais il y aussi une femme... L'histoire avait de quoi offrir une kyrielle de possibilité. Des acteurs bons, des scènes de sexe gay charnelles et sans fioritures, mais dénuées de sensualités. Le problème vient des choix techniques... Scénario trop découpé, choix de la caméra à l'épaule inadéquate et grain de l'image laide... A trop vouloir faire cinéma d'auteur on se brise parfois les ailes. Film censuré en Chine, on n'en est pas étonné ; question... Pourquoi les scènes de sexe gay sont traités aussi crument et froidement comparé aux scènes de sex hétéro, plus sages et moins exposées ?!... Le film a ses qualités mais les choix de mise en scène et le scénario font que ce film peut être difficle à suivre pour la grande majorité du public.
    ffred
    ffred

    1 498 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2010
    Après le prix de la mise en scène à l'horrible Kinatay l'an passé, on se demandait ce qu'était passé par la tête au jury du festival de Cannes ! Mais en voyant ce prix du scénario décerné à ces Nuits d'ivresse on se pose encore plus de questions. Les cinéastes opprimés ou interdits, ou ceux venant de pays émergeant sont bien souvent récompensés dans les festivals. Souvent à tort. Ce n'est pas la qualité des films qui est honorée mais bien la condition de leurs auteurs. Rien de moins objectif donc. C'est bien le cas ici. Le mérite du festival est bien sûr de mettre en avant ces cinéastes et c'est très louable. Ce film clandestin et parlant d'homosexualité, sujet hautement sensible en Chine, est fait dans l'urgence et cela se sent. La mise en scène est tendue parfois intense mais trop perturbée par un scénario qui ne tient pas la distance. De trop peu nombreux moments de grâce émaillent des scènes longues, lourdes, sans saveur et surtout sans aucune passion donc sans émotion. De plus au bout d'un moment on ne sait plus qui couche avec qui et qui fait quoi. Techniquement le peu de moyens se sent aussi beaucoup, même si cela n'est pas un critère de réussite. Tous ces entraves et ces contraintes auraient pu donner justement quelque chose de fiévreux et de désespéré. Il n'en ai rien. On a juste là quelque chose de creux, d'ennuyeux et d'un peu vain. Dommage.
    Nico2
    Nico2

    78 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mai 2010
    Lauréat du Prix du scénario à Cannes 2009, financé notamment par le Ministère français des Affaires Etrangères et la région Île-de-France, Nuits d'ivresse printanière se veut un Jules et Jim à la chinoise, sauf que l'on n'arrive jamais à être séduit par le film. Les péripéties s'enchaînent sans réel lien entre elle, on s'ennuie beaucoup, l'image est très granuleuse, seuls les acteurs valent le détour et n'hésitent pas à donner de leur personne dans des scènes de sexe inutilement longues et sans intérêt. Nuits d'ivresse printanière est un film qui ne séduit jamais auquel on reste complètement extérieur, la faute à une absence de scénario digne de ce nom et à un manque d'ambition certain.
    alain-92
    alain-92

    305 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 avril 2010
    Quel dommage ! La mise en scène pâtit d'un scénario trop confus. Un prix à cannes ? Incompréhensible. Quelques belles scènes ne sortent pas le film d'une torpeur envahissante.
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 avril 2010
    Parce qu’un film est chinois, a contourné la censure et parle d’homosexualité, faut-il forcément lui tresser des couronnes ?

    Trois garçons et une fille. L’un des garçons vit avec la fille mais couche avec un autre garçon. La fille le fait suivre par un troisième, qui tombe amoureux de l’un des deux. Puis, vers le milieu du récit, l’un des garçons se suicide sans qu’on sache vraiment pourquoi. Suivent alors une kyrielle de scènes où les personnages se téléphonent beaucoup, où tous pleurent, où les deux garçons survivants se disputent au bord d’une route, et où, enfin, la fille tente d’égorger l’un des deux garçons avec un tesson de boutielle. Mais il en réchappe et se fait tatouer un rameau fleuri sur la poitrine.

    Tout cela est filmé avec une caméra portée qui gigote sans arrêt, toutes les images sont laides, on ne comprend guère ce qui se passe, et la conclusion, après un interminable panoramique dans un crépuscule blafard sur cette horreur qu’est la ville de Nankin, consiste en la lecture d’un long poèmede 1923, destiné à justifier le titre, qui n’avait rien à voir avec l’histoire.

    Dans la grande salle quasi-vide où je me trouvais, plusieurs spectateurs n’ont pas enduré jusqu’au bout ce pensum, et ont déserté. On les comprend.
    Thierry M
    Thierry M

    131 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 avril 2010
    c'est nul et en plus mal filmé.
    Photo-cineaste
    Photo-cineaste

    41 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 avril 2010
    "Le nouveau Jules et Jim ?" mon oeil...

    Je l'ai vu à Cannes, j'ai pas tenu plus de 30 minutes...

    En premier lieu, il faut savoir que le réalisateur Lou Ye est interdit d'exercer sa profession dans son pays. Se qui veut dire, aucun tournage en Chine ( légalement ) pays qui est resté très conservateur
    Même sans avoir vu ses films précédent, il suffit de regarder celui-ci pour se rendre compte, du pourquoi de l'interdiction. Lou Ye nou conte l'histoire d'une jeune femme Wang Ping qui soupçonne son mari d 'infidélité. Elle décide alors de mettre un détective privé sur le coup, pour surveiller le mari fautif. Elle va alors apprendre que son amour, la trompe avec un autre homme. S'ensuit une épopée amoureuse...
    Le réalisateur a le mérite de filmer jusqu'au bout, dans un pays ou il n'est plus autorisé à exercer son propre métier, tout cela est fait en cachette la plupart du temps. C'est honorable, mais il en montre peut-être un peu trop, et va trop loin.
    En France ce genre de film est plutôt bien interprété, mais dans un pays comme la Chine, ou ce genre de sujet n'est pas toléré, la censure est inévitable.
    Pour aimer ce film, il faut aimer les histoires d'amours au cinéma, mais il ne faut pas non plus être narco. Le style est lent, et le spectateur perd vite le fil de l'histoire. Et une question reste sur toutes les lèvres. Qui couche avec qui ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 mai 2010
    1- La lumière existe AUSSI en Chine. Pourquoi filmer aussi sombre, parfois flou, en abusant du contre-jour ? C'est tout simplement trop sombre, difficile à voir.

    2- Histoire sans intérêt, scénario plat, délayé à l'absurde.

    3- Les acteurs étaient morts. Ou sans charisme. Je ne sais pas.

    4- Réalisation peu inspirée, prétentieuse, confuse.

    5- La caméra qui bouge dans tous les sens rend le tout pénible à suivre.

    Quel ennui !

    J'oubliais: les scènes de sexe gay sont totalement ratées...
    La censure chinoise avait raison: ce film devrait être interdit !
    Vareche
    Vareche

    35 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mai 2010
    nuit d'ivresse et de printemps inscrit dans une même phrase, une même mesure de temps, les actes concentrés des destins de trois personnages tragiques, trois flux, trois identités banales, qui perdent leur souveraineté, l'emprise se délitant au contact de la chaire. C'est à cette déroute que Lu Ye convie, déroute autrement plus essentielle que celle de London Dreams, puisqu'elle met en relation des réalités entre elles, refusant de fusionner l'esthétique du lyrisme au réalisme, Lu Ye emmène trois destins à briser l'eccueil de la fatalité, ce renoncement si parfaitement annoncé par la tisseuse, le film de Wang Cheung montrant les biais, les sombres entournures qu'empruntent les volontés les plus libres, celle pour qui la vie est comptée. Lu Ye ne s'appuie pas sur le mélo, il s'en détourne comme on touche du doigt une image désirée, il en regarde les effets de loin, il touche ainsi à d'autres émotions, la puissance nihiliste formant dans ses incessants mouvements du champs et du contrechamps, l'ambiguité de l'absence. Cette appréciation des corps en réclamant d'autres, en repoussant certains, attirant à soi ce qui manque à l'autre. Il ya chez le cinéaste le plus important, la part conservé du mystère, le refus de la psychologisation qui réduirait les images à l'illustration des silences des personnages, et peut être la permanence de la réalité du corps de l'autre, ce qui est irréductible c'est la montée de la haine, du ressentiment ou de la perte. L'essor de la douleur, c'est l'autre sujet, et à cette fin, il y a la perte des personnages, mangé, dévoré par l'ambition d'aimer, les fureures du vents ne frolent l'eau que d'un frémissement, Lu Ye constate l'inertie du monde et l'eternité de la douleure, rien de chrétien pourtant, juste la possibilité d'enfin vivre.
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