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    Nuits d'ivresse printanière
    Bande-annonce Nuits d'ivresse printanière
    14 avril 2010 en salle / 1h 55min / Comédie dramatique
    De Lou Ye
    Par Mei Feng
    Avec Hao Qin, Tan Zhuo, Wei Wu
    Titre original Chun feng chen zui de ye wan
    VOD
    Presse
    3,4 22 critiques
    Spectateurs
    2,6 221 notes dont 51 critiques
    noter :
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    Synopsis

    Nankin, de nos jours, au printemps. La femme de Wang Ping le soupçonne d'infidélité. Elle engage Luo Haitao pour l'espionner et découvre ainsi l'amour que son mari porte à un homme, Jiang Cheng. C'est avec lui que Luo Haitao et Li Jing, sa petite amie, se jettent alors à corps perdu dans une folle équipée amoureuse. C'est pour tous trois le début de nuits d'ivresse suffocantes, qui égarent l'esprit et exaltent les sens. Un sulfureux voyage aux confins de la jalousie et de l'obsession amoureuse.

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    Nuits d'ivresse printanière Bande-annonce VO 1:26
    Nuits d'ivresse printanière Bande-annonce VO
    44 606 vues

    Interviews, making-of et extraits

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    Cannes 2009 : le palmarès !
    NEWS - Festivals
    dimanche 24 mai 2009

    Acteurs et actrices

    Hao Qin
    Rôle : Jiang Cheng
    Tan Zhuo
    Rôle : Li Jing
    Wei Wu
    Rôle : Wang Ping
    Jiang Jiaqi
    Rôle : Lin Xue
    Casting complet et équipe technique

    Critiques Presse

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    22 articles de presse

    Critiques Spectateurs

    jfharo
    jfharo

    42 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 avril 2010
    Des nuits bien tristes et bien mornes ,à fuir !.
    Plume231
    Plume231

    2 654 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 avril 2012
    OK, ce film évoque un sujet plus que tabou en Chine, l'homosexualité ; OK, ce film a été tourné clandestinement ; OK, le réalisateur a eu de très gros problèmes avec la censure ; mais sont-ce des raisons suffisantes pour encenser ce film ??? Non, très loin de là. Il ne peut avoir absolument aucune raison valable qui justifie l'absence d'un scénario. Une scène intimiste froide et quasi-incomprésensible suivie d'une séquence de sexe ...
    Lire plus
    Sloughi
    Sloughi

    12 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2010
    Emotion a fleur de peau, laissez vous emporter par ce film poétique et sensible, beau et fulgurant, tout en sentiments inavoués. Le film va vosu étreindre le coeur !
    Lucille T.
    Lucille T.

    31 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2010
    Douceur, n.f. : qualité de ce qui procure aux sens un plaisir délicat

    Les nuits d'ivresse printanière,
    Sans espoir comme celle-ci,
    Je les passe à errer dehors,
    En attendant qu'elles blanchissent.
    51 Critiques Spectateurs

    Photos

    Secrets de tournage

    "Censure" quand tu nous tiens...

    Lou Ye est habitué à ce que ses films fassent polémique dans son pays. En effet, son premier film, Weekend lover (1994) a été censuré, son deuxième, Suzhou River (2000), tourné clandestinement dans les rues de Shanghai a été interdit en Chine (bien qu'il reçut le Grand Prix au Festival de Rotterdam). Et Une jeunesse chinoise, présenté à Cannes en 2006, a valu au cinéaste cinq ans de « bannissement » de son propre pays. Nuits d'Ivresse Printanièr Lire plus

    Une ville neutre

    Le réalisateur explique qu'il a choisi la ville de Nankin pour tourner Nuits d'ivresse printanière à cause de sa neutralité : "Elle n’est pas aussi politique que Pékin, pas autant commerciale que Shanghai, ni aussi ouverte que Shenzen ou Hong Kong, mais c’est une ville moins dure que Chongqing et plus développée que certaines villes de l’ouest de la Chine."

    Les acteurs d'abord

    Lou Ye ne s'est servi que des éclairages naturels afin qu'aucun élément technique ne perturbe le jeu des comédiens.
    9 Secrets de tournage

    Infos techniques

    Nationalités France, Chine
    Distributeur Le Pacte
    Récompenses 1 prix et 12 nominations
    Année de production 2009
    Date de sortie DVD 29/09/2010
    Date de sortie Blu-ray -
    Date de sortie VOD 22/09/2010
    Type de film Long-métrage
    Secrets de tournage 9 anecdotes
    Box Office France 22 180 entrées
    Budget -
    Langues Chinois
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 119535

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    Commentaires

    • NOcountry-0211
      Chef d'oeuvre !!!
    • faysalo
      JE VOUDRAIS UN AVIS FAVORABLE POUR VOIR CE FILM
    • ganaouu
      J'ai trouvé ce film très beau et poétique. Certes c'est lent mais ça fait planer, les sentiments sont rendus avec finesse et les couleurs, la lumière, les plans sont superbes.
    • Nelly M.
      Ce réalisateur emmène loin et peut laisser le spectateur rationaliste en rade, las de la montée en puissance d'une violence longtemps couvée, cela m'avait terrassée dans "Une jeunesse chinoise". Il y a du Fassbinder chez lui... Mais quand on a intégré ce point, possible de trouver du sens à l'incessant dédale avec lequel comoser. Ici grâce à l'envoûtement dégagé par UN des acteurs surtout, il crève l'écran... Fatal au début par sa dégaine sensuelle, puis humanisé en prenant conscience que l'amour vrai peut frapper. Bien montré aussi que c'en est trop pour une femme à forte vitalité de se voir deux fois pillée. Et bien que même une petite entaille dans la peau peut avoir son charme...Très savoureux au plan visuel. En dépit du soufre de la situation, aucune drogue dure et pas davantage de pornographie malgré la nudité du propos.
    • ngeslot
      J'ai bien aimé !
    • annereporter94
      Je serais moins sévère que Abarguillet, même si je partage l'essentiel de ce qu'elle a écrit. Je ne me suis pas ennuyée mais je reconnais qu'il faut s'accrocher tant la narration est lente et l'image sombre...
    • ARMELLE BARGUILLET HAUTELOIRE
      L'histoire peut se résumer en deux lignes : une jeune femme, se doutant qu'elle est trompée, fait suivre son mari et apprend qu'il a une liaison avec un homme. A partir de là, tout va basculer : sa vie et celle de son époux. Le vertige des sens, les étreintes gays, la mélancolie des vies qui ne cessent de se défaire forment donc le support de ce long métrage, triangle amoureux d'une jeunesse désoeuvrée qui évolue dans la mauvaise direction et romance homosexuelle animée par un ange exterminateur qui détruit tout sur son passage, à commencer par lui-même. Matins blafards, bruits lancinants de la ville, cabarets travestis, bars rock, confidences chuchotées, mal vivre, le cinéaste se complait dans les affres d'un cauchemar et d'une mélancolie morbide, mais son opus souffre de confusion narrative, de répétitions et de longueurs qui diluent l'intérêt que l'on pourrait accorder à cet interminable ode à un amour, tatoué par la mort. En définitive, ces nuits d'ivresse printanière ne m'ont guère enivrée mais inspiré un profond ennui.
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