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    Somewhere
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    796 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 janvier 2011
    Le style ne justifie pas l ennui. Les personnages se cherchent et s ennuient a mourir... Le spectateur aussi s ennui et cherche l intérêt du film. Parfait pour une sieste au calme lors d' une journee morte.
    nefastodelirio
    nefastodelirio

    8 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 janvier 2011
    S. Coppola je voulais vous dire que montrer l'ennui d'un personnage ça ne veut pas forcement dire qu'il faut ennuyer les spectateurs......
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 janvier 2011
    Super film fille père joue a merveille
    Peut être un peut trop de longueur dans certaine scène j'ai passe un bon moment.
    stillpop
    stillpop

    74 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 janvier 2011
    L'histoire d'une petite fille de réalisateur aux succès mondiaux qui s'est bien ennuyée dans son enfance dans les grands hôtels et qui veut nous en faire profiter !

    On a du mal a imaginer que les riches s'ennuient et même qu'ils se souviennent qu'ils sont réduits à la conditions d'êtres humains dans la quête de sens de la vie, comme n'importe quel pauvre alcoolique de banlieue défavorisée. NOTA : Pour moi une banlieue défavorisée est une banlieue où ne subsiste même pas un cinéma (NDR).

    Et pourtant la pauvre petite fille riche et laide (je ne parle pas le superbe gosse du film) nous assène à coup d'ennui (très très bien filmé) répétitif que les riches aussi sont à plaindre. Ne rien foutre de la journée et être payé royalement pour ça leur donne également des remords. Et comme ils n'ont pas d'amis véritables et beaucoup de divorces, je voulais dire de coup d'un soir sans avoir à passer par meetic, Sofia aimerait qu'on les plaignent. Ou du moins qu'on les comprennent mais manque de pot, en période de crise non existentielle mais bien financière, les états d'"âme éric" d'un pauvre riche de la balle, le peuple français s'en fout un peu. Car finalement la seule chose que l'on demande à une vie qui n'a aucun sens, c'est bien le confort de l'argent avec le moindre effort possible. Le Karma de l'acteur à succès en quelque sorte.
    Si la démonstration est parfaite et exigeante (jamais Sofia n'a été aussi lourdement auteur) le propos tombe au plus mauvais moment. Ne serait-ce que pour nos amis tunisiens de ce début 2011.

    Bref ça tombe à plat, et ce n'est pas forcément de sa faute vu l'effort sur la prise de son réellement parfaite, les anecdotes sûrement autobiographiques et le casting très vraisemblable. Sans omettre une bande son aussi discrète que hype.

    Manque de pot pour les prises de conscience de la vacuité de l'existence des pauvres petites filles de très riches, le peuple n'a jamais autant souffert, non pas d'être pauvre, mais bien d'être humilié par les nouveaux rois qui imposent un système où le plus est désormais réservé à une caste auto filiée, un peu comme la Sofia en fait !

    A la prochaine, petite Coppola, avec une histoire et des acteurs, pas juste des souvenirs que beaucoup aimeraient avoir vécus et non subis. Sache que l'amour chez les pauvres n'est pas plus démonstratif, juste nécessaire pour ne pas atteindre le taux de suicide japonais.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 janvier 2011
    Quel ennui.......soporifique........
    Au vue du peu d'actions qu'il y a, on aurait espérer voir les personnages évolués......en vain et pourtant ils jouent bien ! Le scénario et la réalisation sont vraiment mauvais.
    Quel ennui, j'ai rarement vu autant de gens quitté la salle.....
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    Comme à son habitude, Sofia Coppola nous livre un petit moment de cinema, et surtout un nouveau grand moment de poésie et d'humanité.
    framboise32
    framboise32

    130 abonnés 1 286 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    Dès les premières images, Sofia Coppola nous donne le ton du film. Une voiture de luxe, une ferrari, tournant en rond sur un circuit fermé et rien d’autre que l’ennui. La réalisatrice a filmé la vie d’un célèbre acteur qui vit à l’année dans le légendaire Hotel Marmont à Los Angeles. Sofia Coppola a du gagner une suite à vie dans cet hotel !!

    Johnny Marco, interprété par Stephen Dorff, est très entouré, mais seul, paumé, entre alcool, jolies filles à gogo, cigarettes et coups de téléphone de son agent qui lui dicte ce qu’il doit faire. Une existence vide !

    Seules les visites de sa fille, interprétée par la jeune actrice Elle Fanning, semble le rendre « vivant ». Sofia Coppola filme lentement, longuement chaque scène pour marquer l’ennui du personnage principal. Le duo père / fille est touchant. La sensibilité de l’acteur est très joliment filmée. Les images tout au long du film sont très belles.

    Sofia Coppola a filmé sans compassion l’envers du décor et l’existence des acteurs à Los Angeles. Un portrait ironique et mélancolique dans un univers qui ne semble pas avoir de notion du temps.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 janvier 2011
    J'avais adoré "Lost in translation".
    J'ai juste vu en "Somewhere" la plus grosse daube soporifique qui soit.
    Du vide. Du rien. Filmé. Concept nouveau ?
    J'ai tenu 1 heure.
    Heu je crois qu'il est inutile que j'en rajoute.
    ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 janvier 2011
    Sans aucun doute l'un des films les plus décevant, un film sans intérêt et dénué de tout sans. Je le conseil que au personne qui souhaite faire la sieste bien entendu essayé d'avoir la place gratuite vous apprécierez peut être beaucoup plus cette nulité
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 mars 2011
    A priori, j'aime beaucoup le travail de Sophia Coppola. Mais Somewhere n'a rien à voir avec Virgin Suicides ou Marie-Antoinette. Un début déconcertant - et très long, sans but selon moi. Puis des scènes qui se traînent en longueur. En langueur aussi, on peut le dire, le film se noie dedans. Des silences interminables, des successions de scène sans liens très compréhensibles. Et ça continue, et c'est long... Sommum du ridicule - mais seule scèn
    e qui m'ait fait rire, le moulage de la tête de Johnny Marco.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    A l’engorgement stylistique de «Marie-Antoinette», Sofia Coppola répond par une mise en scène feutrée dans «Somewhere» (USA, 2010). Auréolé d’un Lion d’or à Venise, le quatrième long-métrage de Coppola fille accomplit le plus simplement possible le programme esthétique de la cinéaste : des personnes riches de leur célébrité plient sous le spleen des jours creux. En l’occurrence, Johnny (un ersatz croisé entre l’élégance tranquille de Johnny Depp et la carrière mainstream de Nicolas Cage) passe son temps au Château Marmont, lieu de villégiature californienne pour toutes les stars en stand-by, Benicio Dek Toro –en caméo- y compris. Johnny ne se morfond pas dans son attente ; il est sollicité par le New York Times, doit participer à une conférence de presse, est invité en Italie pour la promotion de son nouveau film, se saoule dans les soirées, au point de s’endormir la tête entre les jambes nues d’une occasionnelle partenaire sexuelle. «Somewhere» ne se réduit pas à des creux, il oscille entre activité et passivité. Mais Coppola refuse de filmer l’un d’une autre manière que l’autre. Ainsi tout y est dérisoire. Le jeu mutin et enfantin de Stephen Dorff participe de cette impression que le monde du spectacle, qu’il bouge ou qu’il stagne, est une mascarade évidée de l’intérieur. Plus précisément, le découpage de Coppola donne à comprendre l’incommunicabilité qui atteint les habitants d’Hollywood. Tout dans «Somewhere» n’est que jeu de regards : qui se croit regardé, qui regarde mais ne comprend pas, qui est regardé mais mal perçu… Chaque regard que les personnages posent sur les autres est malhabile. Dans le désert californien, les individus sont aveuglés. C’est cette impossibilité de chacun des personnages à correctement identifier la personne qui le côtoie qui fait la modeste beauté tragique du film. Mais le plan final, qui assimile la star Johnny à l’émancipation d’un Gandhi, par l’analogie de leurs vêtements blancs, est on ne peut plus grossier. Coppola met les pieds dans le plat à la fin alors que tout le film faisait plaisir à n’aller nulle part.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    Quatrième long-métrage pour Sofia Coppola qui décrypte à sa manière l'envers du décor, où derrière le feu des projecteurs d'Hollywood se cache des starlettes qui tentent de survivre dans un monde éphémère, où le luxe, le sexe, la drogue et l'alcool sont monnaies courantes. Sofia Coppola essaie de son côté de faire cohabiter dans ce même univers un acteur sur le déclin et sa fille de 11 ans qu'il n'a pas vu grandir. En grande partie tourné au coeur du mythique hôtel du Château Marmont à Los Angeles. Sofia Coppola s'est attelée ici à une mise en scène bien spécifique (et inattendue de ça part) où la caméra s'attarde (trop), rendant certaines scènes oniriques (ou ennuyeuses). Souvent inégal malgré de très bons acteurs (Stephen Dorff sort enfin du gouffre et s'offre un rôle titre qui devrait redonner du souffle à sa carrière) et quant à Elle Fanning, elle est la révélation du film), sans oublier la participation du célèbre groupe Phoenix à la B.O. Au final, on ne peut s'empêcher de se questionner concernant le Lion d'Or reçu lors de la 67ème Mostra de Venise, décerné par Quentin Tarantino qui présidait le jury et qui n'est autre que "l'ex" de la réalisatrice (était-ce une récompense justifiée ? Non !).
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 octobre 2012
    Un film qui ne sert à rien, mais très stylisé, voire artistique. Je ne le conseillerais pas mais suis content de l'avoir visualiser. A.F
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    Somewhere est avant tout une atmosphère dans laquelle on se sent bien.Une oeuvre intimiste et des personnages attachants...
    S. DORF trouve la juste mesure dans son jeu,sans aucune surenchère.
    S.COPPOLA a voulu demontré que la reussite,la célebrité et le succès
    ne garantissent pas toujours le bien etre de soi.
    Avec "lost in transaltion",la réalistrice affirme sa véritable personnalité,des plans et une photographie qui lui permettent de s'affirmer .
    Bref ,Somewhere est un moment d'évasion,une invitation au voyage et donne matière a reflechir sur les choses simples de la vie
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    Ayant beaucoup aimer Virgin suicide et adoré lost In translation j attendais le nouveau Sofia Coppola avec impatience ,ce n'est pas l'avis de tout le monde mais j'ai trouvé le film
    tres bons ,les acteurs sont excellent surtout stephen dorf ,ces merveilleusement bien filmé ,j ai trouvé ses long plan sublime mais je comprend qu il peuvent être soporifique pour certain
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