Avis : Les petits mouchoirs - Page 10

Dans chacun de ses personnages, j'ai retrouvé des traits de caractères de personnes que je connais. Ca aurait pu/du m'atteindre. Le bémol: ces personnages ne sont pas des personnages mais de simples caricatures. La mayonnaise ne prend pas et on ne croit pas à leurs histoires.
Les tentatives "d'humours" sont à la limite du grotesque (cf monsieur textos..) Ce film ne semble n'avoir aucune réflexion.

Ps: Monsieur Canet, vraiment, pourquoi 2h30 ?.

Ce film est tout comme je le pensais, décevant... On a un jeu d'acteur qui ne vole pas haut, des personnages auxquels on ne s'accroche pas, on a un humour qui ne fait pas rire (c'est français en même temps), donc on ne rentre pas dans le trip. Voir pendant 2h25 Marion Cotillard servir à rien (car oui elle sert à rien, à part pour faire des câlins et pleurer) ou voir François Cluzet s'attaquer misérablement contre une fouine n'est pas vraiment une expérience intéressante...)
Concernant le scénario, on a des idées intéressantes mais qui sont mal exploitées à cause du jeu, de la réalisation et du côté moralisateur qui prend la tête très vite.
Vous l'aurez compris c'est pas un grand film, c'est ennuyant, sans intérêt, donc à éviter. Je tiens tout de même à mentionné le bon jeu de Benoit Magimel qui est le seul qui mérite le coup d'oeil dans ce film.

Les petits mouchoirs est un film agréable à regarder, le jeux d'acteur de certains est très bon surtout Magimel et Cluzet qui sont super. La fin du film est un peu chiante il se mélange alors drame et comédie dans un ton très exagéré.

Des sentiments et des larmes faciles, un film dans lequel M. Cotillard joue comme d'habitude, c'est à dire très mal. Un scénario qui est assez plat, avec des personnages encore plus plats. Ne vaut pas le prix d'un billet de cinéma.

Sans doutes la pire expérience cinématographique de ma carrière...
Un scénario très peu crédible et cousu de fil blanc , une avalanche d'évènements improbables qui n'amènent rien au film , une fin cauchemardesque et un tout qui traine en longueur pour un film complètement raté ! Une demi étoile pour cluzet , très bon.

Guillaume Canet a réussit son pari en mettant en image un film très personnel, entre rires et larmes, amour et amitié, vie et mort, où chacun à l'impression de retrouver et/ou revivre un fragment de sa propre existence. De la célibataire paumée au couple en crise, les mensonges et les secrets des uns cohabitent avec les déboires et les incertitudes des autres. Un casting incroyable, du génial François Cluzet à l’authentique Joël Dupuch, chaque rôle y est parfaitement à sa place. On a une vraie empathie pour l'ensemble de ces personnages que l’on a l'impression de réellement connaître. Je n’avais pas revu «Les Petits Mouchoirs» depuis sa sortie en salle en 2010 et j’ai été surpris de voir que 3 ans plus tard, je n’avais oublié aucune scène. L'effet d’un grand film.

De la branlette comme toujours. On dirait que le film a été fait plus pour que les acteurs se regardent à l'écran en se disant à quel point ils sont beaux, que pour plaire aux spectateurs. Les scènes racoleuses à rallonge n'arrêtent jamais, je pense ici notamment spoiler: à la versée de sable sur le cercueil et à l'eeeeentiereté de l'enterrement qu'on nous lance au visage en espérant qu'on s'effondre de tristesse face
à ces connards imbus d'eux-mêmes qui se regardent marcher et s'écoutent parler. Le scénario est vide, ça sonne faux, merci bonsoir.

Prise d'otage lacrymale avec certaines idées rances et une prétention gênante. Belle ouverture en plan sq (quoiqu'assez lourde). Curieusement, se regarde (d'un oeil) sans trop de déplaisir... 25-30%

Rarement un film aura provoqué en moi un tel agacement. Après une heure de comédie moyenne, arrive le dernier tiers du film qui est lamentable d'un point de vue du script : la "moraline" que nous sert les petits mouchoirs est simpliste et surtout culpabilisante. Surtout quand elle sort de la bouche d'un vieux pêcheur caricatural à l'extrême. Du très mauvais cinéma.

Avec un titre d'aussi mauvaise facture on ne pouvait que s'attendre à une débâcle, et bien non ! Il y'a bien sur de multiples raisons de détesté ce film à commencé par les gros sabots et la surcharge lacrymale - l'apogée dans les 20 dernières minutes - qui pollue l'essentiel, ce film n'en avais véritablement pas besoin ... Autre petit bémol, les dialogues un peu naze par moments là encore plus par excès de bonne intention et l'envie de crée de l'émotion, dommage. A coté de sa, malgré les maladresses, j'ai été ému par l'ensemble, certains beau et bon moments. Le constat est similaire pour les comédiens qui frise la cabotinage par instant, mais globalement ils font le job surtout lorsqu'il s'agit de nous faire rire. Une petite préférence pour Valérie Bonneton et Laurent Laffite qui se démarque quelque peu selon moi. J'ai pris beaucoup de plaisir à regardé ce long métrage, la longueur n'est pas préjudiciable au contraire on ne s’ennuie pas un seul instants. Un très bon film populaire. Amen Omen et Fistul of Love en bonus, Guillaume Canet à de super gout musicaux ( Bad Girls dans la B.O de Blood Ties ).

Voilà ! En plein dans le cinéma beauf des français qui ne se prennent pas pour des beaufs. Les mêmes qui rigolent devant les guignols, qui regardent le foot et qui sont abonnées à Psychologie.
La philosophie à deux balles, l'exploitation au delà de la ruine de tous les ressorts pathos en font un film artificiel et chiant.
La scène culte (dans le mauvais sens du terme) reste celle de l'interminable enterrement, où manifestement le réalisateur souhaite essorer de leurs dernières larmes les spectateurs.
Chaque acteur est monolitique et caricatural, avec une épaisseur psychologique fine comme du papier à cigarette. François Cluzet tire son épingle du jeu dans le jeu des acteurs (mais encore une fois, il doit tenir un rôle simple et brutal, sans nuance).

Guillaume Canet m’avait surpris et enthousiasmé avec sa 1ère réalisation « Mon idole » Le film suivant (Ne le dis à personne) m’avait laissé perplexe tant c’était alambiqué…
Sans doute pour nous accorder un répit, voilà qu’il nous sort son dernier opus…. Totalement inintéressant… et ce pendant 2 heures trente svp… En effet, je n’ai résisté au sommeil qu’une trentaine de mn tant le propos est soporifique avec les états d’âme d’une clique de bobos sans intérêt dont on n’a que faire…
Certains osent le rapprochement avec « Vincent, François…. » Une véritable offense pour feu Claude Sautet ! Pour ma part, je serais plutôt tenté de faire un rapprochement avec « Le déclin de l’empire américain » qui malgré l’handicap de l’accent québecquois présentait au moins quelque intérêt…
Ce qui est loin d’être le cas ici : on s’ennuie ferme tant les dialogues sont indigestes ou du moins, écrits à la va-que-je-te-pousse…
A éviter : j’en baille encore…

Les tribulations d'un groupe de potes au bord de la mer? Pourquoi pas, on se dit que le film va nous détendre après une grosse journée de boulot. Sauf que pour ça, il faudrait que l'on s'identifie ou s'intéresse aux personnages, mais comment faire devant cette panoplie de caricatures nombrilistes, superficielles et hystériques? On pourrait rire de leur bêtise, sauf que ce n'est pas drôle, les rares gags comme le téléphone portable tombent totalement à plat. Alors quel est l'intérêt du film? J'ai eu l'impression que Guillaume Canet voulait épater le spectateur avec sa super bande de potes beaux et super cools, ses photos de vacances et surtout sa superbe femme dont tout le monde est amoureux dans le film (eh bien voyons!). Or, devant tant de bêtise et de beauferie, on a plus envie de détourner le regard que d'être dans l'admiration. Et puis, le but du film, ça ne peut quand même pas être cette morale larmoyante cousue de violons qu'on nous assène au final, hein? Ca serait trop insultant pour le spectateur, non?

Un film boursouflé, nombriliste, interminable, prétentieux et totalement artificiel. On pourrait s'étendre sur la pauvreté et le manque de crédibilité de la scène sur laquelle repose tout le film (doit on partir tous ensemble en vacances alors que notre ami est au seuil de la mort..?), sur une scène finale d'enterrement qui résume à elle seule tous les défauts du film, sur la prétention de la mise en scène et de l'utilisation des musiques, de la boucle interminable des personnages sur leur unique problématique (l'homophobie du personnage de Cluzet, l'obsession du personnage de Lafitte pour son ex etc...) mais on ne serait pas encore assez précis pour décrire l'agacement puis l'exaspération qui finissent par nous saisir.. Ce qui sauve le film du zéro pointé : des comédiens excellents qui arrivent même parfois à se sortir de l'indigence de leurs personnages (mention spéciale à la moins connue de tous, Valérie Bonneton qui apporte un peu de légèreté et de singularité à l'ensemble).

2h34 de film , pour faire selon Guillaume Canet un film générationnel qui collerait à son époque comme Vincent,François,Paul et les autres de claude Sautet symbolisait les années 70.
On en est très loin. Les scènes de disputes et d'hystéries collectives se succèdent.Le réalisateur n'arrive jamais à rendre ses personnages attachants malgré toute l'énergie déployée par ses acteurs.
Le seul exploit de Canet dans ce film est de réussir à rendre l'excellent françois Cluzet totalement exaspérant.
Il faut qu'en même tenir jusqu'au bout de ce film interminable pour avoir droit à la leçon de vie de l'ostréiculteur philosophe( scène grotesque alors qu'elle se voudrait pleine d'émotion).
Ratage total. Symbole d'une génération perdue ?