Avis : Bridget Jones Baby - Page 8

Redevenue célibataire, Bridet Jones tombe simultanément dans les bras d'un inconnu américain, et de Mark Darcy, son ex. Problème : elle se retrouve enceinte et ignore qui est le père ! On n'attendait pas grand chose de "Bridget Jones's Baby", sorti 12 ans après le précédent opus. Pourtant, le film surprend agréablement en évitant le réchauffé. Les gags sont bien trouvés, et si Renée Zellweger (méconnaissable) a perdu de son côté pétillant, Colin Firth a toujours la classe en gentleman coincé. Par ailleurs, plutôt que de jouer sur deux personnages masculins opposés comme dans les précédents films, le scénario propose au contraire deux bons pères potentiels, qu'il ne sera pas facile de départager... En résulte une comédie romantique sympathique, qui ne satisfera pas que les fans de la franchise.

Mais était-il vraiment nécessaire de faire une troisième volets de Bridget Jones? Je ne crois pas. Le premier était sympa et a bénéficié d'une aura globalement positive en dépit de son aspect classique, mais en faire un deuxième et puis un troisième était vraiment de trop. On regarde en pensant à autre chose et en connaissant la fin de l'histoire cousue de fils blancs.

Qu’est ce qu’elle m’avait manqué cette Bridget et c’est avec plaisir que je l’ai retrouvé. D’ailleurs, cette comédie m’a littéralement mis du baume au cœur et fait du bien au moral tellement j’ai rigolé. Bridget a le don pour se mettre dans des situations aussi hallucinantes les unes que les autres et c’est encore le cas dans ce troisième opus. Elle a cassé avec Mark depuis des années, n’a pas eu de petit ami et c’est à la suite de son anniversaire qu’elle couche avec Jack qu’elle rencontre sur un festival. Mais une semaine après elle remet ça avec Mark et quelques semaines plus tard se rend compte qu’elle est enceinte ! Mais qui est le père ? Même si la fin n’est sans grande surprise, tout du long on se marre ! Mention spéciale à la scène de l’accouchement qui est juste énormissime, j’en pleurais de rire.

Le casting est le même qu’avant excepté Patrick Dempsey qui est arrivé dedans et je dois dire que je l’ai littéralement adoré dans son rôle ! Riche, beau, galant, drôle et qui a la tête sur les épaules et qui veut tout donner pour Bridget, il est excellent dans son rôle et ça lui va comme un gant ! J’aime la façon d’être de Bridget qui passe toujours dans des sentiments totalement différent à toutes les étapes du film allant de la dépression au rire, de l’amour à la solitude et j’en passe. Renée Zellweger est vraiment Bridget, elle est faite pour ce rôle. J’adore toujours autant aussi Colin Firth dans ce rôle de gars totalement coincé qui a du mal à se lâcher. Entre Jack et Mark, il y a réellement des scènes à mourir de rire, ils sont totalement opposé l’un à l’autre. Et puis, il y a les scènes avec la gynecologue qui sont juste monumentales avec ses réflexions uniques, trop drôle !

Bridget a toujours le don de se mettre dans des situations embarrassantes, ici il y en a aussi énormément. Ça commence vraiment au Festival entre le plongeon dans la boue habillé tout en blanc et rose, en passant par le moment où elle est bourrée et qu’elle entre dans la tente de Jack. Je ne parle même pas à son boulot où il y a des passages totalement fou aussi comme les deux interviews qu’elle fait à l’antenne, enfin qu’elle dicte à l’antenne. Bridget est assez unique dans son genre, totalement folle et elle en fait un peu toujours à sa tête. Du coup, ça donne des situations un peu cocasses, drôle et complètement folles.

En résumé, Bridget Jones Baby est sans conteste la comédie de l’année ! Je me suis marrée du début à la fin et je reverrais le film dès que j’en aurais l’occasion ! C’est toujours de la bonne humeur que nous transmet Bridget et un bonheur de voir ses péripéties ! Je ne peux que vous encourager à foncer au cinéma pour aller voir cette comédie, vous ne le regretterez pas. Si comme moi, en ce moment c’est dur et que vous n’avez pas le moral, sérieusement ne passez pas à côté, ça va vous faire du bien !

Une film qui a fait son beurre sur la bonne image qu'avaient laissée les deux premiers opus. Car soyons clairs, on ne rit pas vraiment à gorge déployée dans cette espèce de production commerco-commerciale un peu cheap.

Renee est quasiment défigurée par la chirurgie esthétique mais reste affreusement pénible avec les trois grimaces qu'elle répète ad lib, Colin a perdu tellement de poids qu'il fait un peu peur, Hugh n'a pas été invité à participer mais l'un des derniers plans laisse penser qu'il pourrait être du numéro 4. Emma nous fait bien rire avec l'un des meilleurs personnages secondaires du film et les meilleures lignes de dialogue. Le scénario de "Bridget Jones ('s) Baby" peine à exploiter le potentiel de sa bonne idée de départ - un bébé, deux papas - sans doute parce que manquant d'audace devant les conséquences possibles : le couple à trois, évité de justesse assez lâchement à la fin. La mise en scène de Sharon est d'une neutralité consternante, n'arrivant jamais à faire basculer le film vers le burlesque ou même l'absurde que nombre de situations appellent pourtant, préférant les chemins bien balisés de la romcom consensuelle sans oser saisir la folie inhérente aux microcosmes "branchés" qu'il dépeint (le monde des media soumis aux diktats de l'audience, les groupuscules activistes, les créateurs d'appli de dating... tout un tas de phénomènes pertinents qu'on aimerait voir plus malmenés). Dans la salle, le public quasiment 100% féminin paraissait ravi - et peu préoccupé par les nombreuses saillies anti féministes du film -, mais ne riait pas non plus aux larmes. Et, en dépit de tout, je suis sorti de là en ayant passé une agréable soirée. Un peu comme avec des amis farfelus mais finalement inoffensifs.

Bridget Jones baby fait partie de ces films divertissants et formatés dont on sait exactement ce qu'ils vont proposer en rentrant dans la salle. La comédie romantique réussi le tour de force de la pizza hawaïenne : allier le sucré et le salé, rendre compatible les éclats de rire et la larmichette au coin de l'oeil. Dans le cas de Bridget notre pizza est appétissante : les dialogues sont plaisants, le scénario se renouvelle (travail, grossesse, vieillesse) et les acteurs excellent toujours dans leur rôle. Du cinéma fast food haut de gamme !

est, comme Wayne's World avant elle, l'égérie de toute une génération de filles et de garçons, d'hommes et de femmes, balayant pour le coup les "méga teufs" pour un art des plus subtils : la séduction. Et, dix ans après, le nouvel opus de Sharon Maguire démontre une fidélité sans nom, témoin d'une franchise qui n'a pas pris une ride - à l'inverse de son actrice fétiche, c'est la vie -... Toujours aussi drôle, aussi fondante, aussi délectable, la comédie très british va de l'avant et place le contexte dans une situation polyamoureuse, pour ne point changer mesdames, en préparation d'un heureux événement (n'en disons pas plus...). Entre un Colin Firth cantonné à ses acquis, celui du gentleman serviable, et un Patrick Dempsey, playboy milliardaire, qui Bridget va-t-elle choisir cette fois (Hugh Grant est gentiment mis de côté, pour mieux revenir) ? La réponse avec un divertissement sympathique.

Contrairement à ce que pouvait laisser croire l'épisode précédent des aventures de la plus célèbre célibataire du monde, ce n'est pas encore l'âge de raison pour Bridget Jones. Celle-ci doit en effet se débattre entre deux pères putatifs, ce qui génère ici un sacré méli-mélo. Cela donne de savoureux moments et des situations cocasses. D'autant que Patrick Dempsey nous fait un numéro assz drôle. Toutefois, la trame de ce film n'est pas bien originale et on a l'impression d'avoir vu cela mille fois. Malgré quelques bonnes réparties, ca sent trop le cinéma à l'ancienne pour que l'on soit convaincu jusqu'au bout. Le Darcy de Jane Austen restera de toute façon inimitable.

Est-ce que l'on peut vraiment dire que c'est la fameuse suite de trop sachant que les deux premiers étaient déjà de trop ? Une seconde fois réalisé par Sharon Maguire et sorti en 2016, ce troisième opus de la trilogie "Bridget Jones" n'est vraiment pas terrible et est même, enfin à mon sens, le plus mauvais des trois. Pour la première fois, le film n'est pas adapté d'un roman de Helen Fielding (alors qu'il existe pourtant un troisième tome appelé "Bridget Jones : Folle de lui" dont le résumé m'a d'ailleurs paru un peu plus original que ce film) et raconte l'histoire de Bridget Jones qui est une nouvelle fois célibataire. Mais cette fois, elle tombe enceinte mais duquel entre Mark Darcy ou son nouvel amant américain, on ne sait pas. Vous allez me dire que c'est un peu plus original que les deux premiers films car au moins, ici nous n'avons plus Daniel Cleaver mais cela vient en réalité de Hugh Grant qui ne voulait pas reprendre le rôle à cause du scénario (et on le comprend, refaire la même chose trois fois, c'est un peu relou) et donc non pas d'une petite once d'originalité. De plus, si nous remplaçons l'américain par Daniel, nous avons, une nouvelle fois, exactement le même fond que celui du premier film. Nous avons en effet le même schéma depuis le premier film, une femme qui hésite entre deux hommes alors que l'on sait très bien avec lequel elle va finir. C'est le schéma de la comédie romantique classique, après tout pourquoi pas. Le refaire une fois, c'est surfer sur le succès du premier film mais le refaire une troisième fois, c'est vraiment prendre les spectateurs pour des cons. Surtout que l'on sait très bien qui est le père du môme, le film ne nous offre strictement aucune surprise, absolument rien n'est nouveau ! Le bébé n'est qu'un prétexte pour faire un troisième film, si on on enlève cet élément, nous avons exactement le même film que les deux premiers. Malgré tout, le film s'adresse à un public qui a logiquement apprécier les deux premiers films et en ce sens, utiliser le même schéma se comprend un peu mais je maintiens qu'ils ne se sont tout de même vraiment pas foulés. Ah oui et nous avons évidemment les problèmes de mœurs actuels qui sont effleurés à quelques moments par le film parce-que bon, ça fait toujours bien. Bon après, nous avons les éternelles gaffes de Bridget qui sont toujours aussi drôles et l'humour anglais est toujours aussi marquant. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons donc évidemment Renée Zellweger et Colin Firth et nous avons cette fois Patrick Dempsey en remplacement de Hugh Grant, c'est pas fou-fou mais ça passe (au moins, on peu se rincer l’œil). "Bridget Jones's Baby" n'est donc pas un mauvais film mais est (très) loin d'être un bon film pour autant.

Mine de rien, Bridget Jones est devenue une héroine du 21e siècle et du cinéma, et ils ne sont pas si nombreux ( Jack Sparrow, Jason Bourne? qui d'autre ?). Ce troisième épisode louche vraiment du coté de la comédie pure, Bridget Jones reste une gaffeuse hors-paire, une désordonnée de premier plan. Les deux personnages masculins sont plutôt touchants et la galerie de seconds rôle (d'Emma Thomson à l'irrésistible présentatrice TV) est tordante. Tout cela est placé donc sous l'humour so british et comme il y en plus une petite critique du jeunisme et des mouvements féministes...La Bande originale très pop est très réussi également.

Jadis héroïne féministe, Bridget Jones se retrouve cette fois-ci dans un film qui accumule de manière éhontée les clichés sur les femmes, en présentant une galerie personnages secondaires complètement idiots. La lumière est moche comme tout, les gags sont inégaux et le scénario nous parait tellement convenu que l'on a envie que les deux mecs de Bridget finissent ensemble à la fin. L'épisode de trop en somme.

Bridget est de retour pour notre plus grand plaisir (ou pas).
Moins drôle que les deux autres, ce troisième film est bien plus émouvant

Bridget Jones Baby est la digne suite des précédents volets : On y retrouve ce qui a plu aux fans et fait fuir les détracteurs ! Oui, elle est toujours perdue et un peu excentrique, oui c’est toujours un trio amoureux à l’ancienne, oui c’est un film destiné surtout à un public féminin mais une certaine légèreté et quelques passages drôles font passer la pilule pour tout le monde. Bref, aucune surprise, les adeptes y trouveront leur compte, même s’il ne surclasse le genre !

C'est un peu, un peu tiré par les cheveux....on prévoit assez vite la fin du volet... Mais l'humour passe bien...

Quelques bons moments, plaisant mais faible.

Le film reste agréable même s il est décevant. Certaines scènes amusantes sont bien trop appuyées ce qui produit l effet inverse, un film souvent lourd qui a perdu le pimpant des premiers volets.

Diverti, au moins on passe un moment agréable.