Derniers Avis : Independence Day : Resurgence - Page 20

Bon film mais un peu exagéré, le vaisseau extraterrestre est surdimensionnés et les avancées technologiques de la terre sont plus proche du futur que du présent (oui d'accord, grâce à la technologie extraterrestre), on est loin du 1er film de 1996 où c'était plus "crédible".
Mais cependant ça reste un très bon film du genre et on oublie vite tout ces "défauts" tout au long du film.

Vous ne perdrez pas 4€ pour les images, mais vous perdrez 2h de votre temps.
Sans intérêt.

Je suis dépité pas le niveau des dialogues ridicules, scripts, scénario, etc.. bref le paroxysme des clichés hollywoodien, avec autant de moyens.

Zéro crédibilité, sérieux, genre on y croit..

Passé le 10 ans, sans intérêt.

" Independence Day 2"
le plus Nullissime Film que j'ai jamais vu de ma vie,

a aucun moment on y crois
histoire Nul
Jeux des acteurs Nul
effet spéciaux image tout est grotesque et Ridicule
une insulte au cinéma et aux 7e art

Y compris du fan-service, le film essaye de ne pas recopier banalement le scénario du premier indépendance day. Il instaure de nouvelles idées qui restent en cohésion avec l'univers et assument le parti pris en se rapprochant plus des films à effets spéciaux des années 90. Sans chercher l'excellence ou le réalisme de Gravity et en invitant le spectateur à du second degré, Independence Day Resurgence ne sera pas une tuerie de film d'action mais divertira facilement le spectateur un samedi soir.

J'ai passé un bon moment. il faut dire que je n'en attendait pas grand chose à la base. Charlotte G. n'apporte rien à l'histoire. Les autres acteurs ne sont pas mauvais. C'est un divertissement. Je trouve certaines critiques plus qu'assassines !!

Bon, on va se dire les choses tout de suite : je ne suis vraiment pas fan du premier « Independence Day ». En fait je ne l’ai jamais été. J’ai beau l’avoir vu pas bien vieux, déjà à l’époque je trouvais que beaucoup trop de choses piquaient au cerveau. Patriotisme et militarisme exacerbés ; personnages et situations cousus de poncifs ; invraisemblances et retournements de situation à faire tiquer même les plus crédules des spectateurs : à dire vrai il n’y avait pas grand-chose à sauver dans ce film. Seulement voilà, « ID : 4 » avait beau être un vrai dégueulis cérébral il fallait lui reconnaitre ce fait incontestable : à l’époque, il avait su marquer les esprits par des effets spéciaux qui se démarquaient de tout ce qui se faisait alors. Le film avait d’ailleurs reçu un Oscar à ce titre et, pour moi, c’était amplement mérité. Du coup, on ne va pas se le cacher, mais j’espérais un peu de ça en allant voir la suite. D’une certaine façon, « Independence Day » était une certaine forme d’étalon en son temps, et je n’ai pu m’empêcher de me questionner sur ce qui en avait été fait… Eh bah maintenant j’ai ma réponse. « Rien. » …Ou plutôt pas grand-chose. Parce que oui, il y a quand-même un truc que j’ai bien aimé dans ce « Resurgence » et qui m’a agréablement surpris dès le départ, c’est le postulat à partir duquel le film décide de partir. Non, l’intrigue ne s’ancrera pas dans notre 2016 à nous, mais dans un 2016 parallèle ; un 2016 qui a été impacté par l’invasion et la victoire survenue vingt ans plus tôt. Pour le coup, je trouve l’idée maligne et intéressante à exploiter… Mais bon voilà, c’est Roland Emmerich qui est aux commandes donc : schémas éculés, personnages inconsistants, dialogues insipides… Bref, dommage. Ne restait donc que la claque visuelle… qui n’est pas venue. Emmerich a beau être Emmerich, lui aussi a plié le genou face au déversement numérique à tout va, aux montages épileptiques et aux shakycams qui ne servent à rien. Je trouve même assez incroyable de constater à quel point cette « saga » dont le seul intérêt repose sur la performance visuelle se retrouve dans cette drôle de situation ou – obsolescence des effets numériques oblige – le premier opus vieillira visuellement sûrement mieux que le second (moi j’appelle ça, l’effet « Star Wars »). Et je pense qu’on se dira plus ou moins la même chose au niveau de la réalisation, parce que l’air de rien, « ID : 4 » avait quand même une mise en scène très lisible contrairement à cette bouillie passée à la déchiqueteuse en mode « Bayisme mal digéré ». Triste réalité je trouve que ces productions d’aujourd’hui qui ne savent plus mesurer et qui sombrent automatiquement dans la surenchère. Ce « Resurgence » n’en est malheureusement qu’un énième exemple parmi tant d’autres, et il ne sera certainement pas le dernier…

20 ans après le premier débarquement alien le jour de la fête de l'indépendance des USA ils reviennent et remettent le couvert. La technologie alien a fait avancer l'humanité mais aujourd'hui on se rend compte que l'un des vaisseaux de 1996 a envoyé un message de détresse. Voilà donc un magnifique résumé du court scénario qui fait Ressurgence. On ne va pas se voiler la face, ce n'est pas pour celui ci que l'on ira voir le film mais plus pour l'action et les effets spéciaux. La fibre nostalgique entre totalement en compte et quand on a aimé le film de Emerich de 1996 on ira forcément voir ce nouvel opus signé du même réalisateur. Tout d'abord on y va car on y croit, La plupart du casting original est de retour sauf Will Smith, les effets spéciaux sont légions et à la hauteur. On attend donc un pur divertissement à l'ancienne mis à jour par les effets spéciaux de notre temps. Et là dessus on y a droit mais il ne faut malheureusement pas être très tatillon et poser son cerveau. Tout d'abord on a grand plaisir à retrouver l'ancien casting toujours aussi convaincant et attachant, vraiment dommage que Will Smith n'en fasse pas parti. On en vient donc au nouveau casting constitué principalement de jeunes nouveaux au charisme nul et plat. Les nouveaux personnages des jeunes recrues n'ont aucun relief, on ne s'y attache pas et font pâle figure. Et quand l'un d'eux fait mine d'avoir un peu de caractère comme le personnage de Grace Huang et bien c'est pour mieux s'éteindre après et se mêler à la masse. Pas vraiment emballant. Les plus intéressants sont bien sûr les acteurs confirmés qui ont rejoint le casting comme Sela Wards, William Fichtner ou même Charlotte Gainsbourg. Les effets spéciaux claquent, le scénario enchaîne les scènes pas toutes cohérentes et mal expliquées et le déroulement n'est pas très bien rythmé. Le tout n'est pas à la hauteur de l'original et il tente même de recycler certaines scènes comme celle de la communication alien par un corps humain pour appuyer sur la fibre nostalgique, mais cela traduit plus un manque d'idées originales. Le premier a marqué les esprits et celui là tente de faire pareil mais par la démesure, ce qui en devient plutôt ridicule et des moins cohérents. Un vaisseau alien de plus de 1500km², une reine aussi grande que Godzilla (Emerich se serait inspiré de son propre film de 1998 ?). Tout cela noyé dans le bon sentiment patriotique ricain ou "international" et trop prononcé. Une suite donc bien dispensable, en ressortant de la séance on a plus envie de revoir l'original que de se souvenir de celui-ci finalement.

Etonné de voir tout ces commentaires negatif sur le film.
Fallait pas vous attendre a un remake de Independence Day en plus moderne! c'est une suite!
Certe il y a quelques incohérences et choses surprenantes, mais c'est un film!
En tout cas moi j'ai hâte qu'il y ait une suite!!!
spoiler: (c'est évident qu'on va les aider a les combattre et les vaincres!!)

Très bon film, très bien réalisé avec de bon acteurs Independence Day : Resurgence un film a revoir plusieurs fois. 5/5

Exactement comme pour "Transformers", il faut savoir à quoi s’attendre en allant voir "Independence Day" et savoir adapter ses critères de jugement en conséquence. Cependant, l’idée qu’un producteur, en 2016, pense encore que les spectateurs n’en ont pas plus qu’assez de ce genre de films, dans lequel on nous envoie à la figure toujours la même montagne d’effets spéciaux, vue et revue des milliers de fois ces dernières années et comportant notamment des batailles de vaisseaux spatiaux confuses et des extra-terrestres à peine dignes d’un jeu vidéo du type "Aliens vs. Predators", en espérant que ce sera suffisant pour monter un blockbuster spectacle, me dépasse complètement. Ce n’est pas suffisant et ne le sera jamais. Je ne peux qu’être immensément agacée devant un scénario tellement caricatural qu’il ne prend pas la peine de construire un seul personnage tridimensionnel, celui tête-à-claques de Liam Hemsworth en particulier ; tellement fainéant que le – pourtant maigre et facile – prétexte de combat n’est jamais convenablement expliqué ; tellement narcissique qu’il recycle et rabâche sans cesse les événements et les acteurs du premier "Independence Day", comme si son but unique était de nous servir plus de deux heures d’autocongratulation de Roland Emmerich. De même, je ne peux que soupirer d’énervement en entendant la musique de fond, abrutissante au possible avec ses violons en cascade lors de moments pseudo tragiques et ses cuivres à tous azimuts lors de moments pseudo héroïques. En clair, je suis en train d’écrire que, même en ayant des attentes faibles et en étant prête à être indulgente, je ne peux penser autre chose de ce film qu’il est, à tous les niveaux (effets spéciaux, scénario et réalisation, bande originale), un navet. Mais ce n’est sûrement qu’un symptôme très révélateur de la maladie des suites et autres remakes qui sévit ces derniers temps à Hollywood…

Même joueur, joue encore. C'est la même histoire, presque
e la même attaque, les mêmes agresseurs et la même stratégie. Les effets spéciaux sont efficaces bien que j'ai trouvé le fameux vaisseau complètement démesuré, tellement qu'on n’est pas vraiment certain qu'il s'agisse d'un vaisseau ou d'un nuage. C'est divertissant, mais rien de plus. La surprise est au casting : Charlotte Gainsbourg. Bonne ou mauvaise surprise?

Scénario sans surprise comme le précédent opus sauf qu'ici l'arrivée des aliens n'a rien de surprenant et effrayant.Les personnages sont tous secondaires et ridicules et les effets speciaux pas des plus réussis..Mauvais

N'ayant pas (encore) vu le premier opus Independance Day, cette critique ne pourra pas tenir compte des comparaisons de l'ancien et du nouveau. Donc nous parlerons plus pour ceux qui n'auraient visionné que le second opus. Franchement c'est un film très inégal qui nous est présenté, le début est plutôt dynamique mais il fait place à une interminable succession de dialogues entre les personnages, les gouvernements et familles des personnages pour savoir comment répondre à la menace extraterrestre... Nous passerons aussi sur le fait qu'on ne suive la destruction que de quelques villes du monde (les autres pays sont-ils intacts ? Un plan, même très court, aurait été agréable pour savoir...). De même que la règle "20 ans après, 20 fois plus gros" (le vaisseau alien) est un scénario un peu simpliste quand on y réfléchit... (dans 10 ans on tente le "taille 30" ?) Heureusement que les acteurs ont toujours un petit mot pour rire pour meubler de temps en temps (Goldblum reste toujours au top dans l'humour noir qui avait fonctionné pour Jurassic Park, et ça marche encore il faut bien se l'avouer, on ne peut pas ne pas sourire devant son cynisme). Un final non dénué d'humour et énergique conclut ce film qui vaut donc pour ses 20 premières et 20 dernières minutes. Assez bien.

Bien que décrié par une partie du public (en raison, notamment, de son ton très "American Patriot"), "Independence Day" avait su marquer son époque, grâce à ses impressionnantes scènes de destruction massive (loin d’être communes sur grand écran en 1996) et à la qualité de son casting. Ils ont été nombreux, par la suite, à réutiliser les recettes de Roland Emmerich (qui signait là son meilleur film) et à s’y casser les dents. Le retour aux affaires du réalisateur allemand avec la mise en chantier d’une suite, 20 ans après, avait, dès lors, de quoi titiller notre curiosité… même si ses derniers films catastrophes ne plaidaient pas forcément en faveur d’un renouvellement du genre (voir "Le Jour d’Après" et "2012", spectaculaire mais boursouflés et sans âme). Malheureusement, "Independence Day : Resurgence" s’avère rapidement être un rendez-vous manqué et pêche à, à peu près, tous les niveaux possibles ! Le scénario, tout d’abord, est un pâle copié-collé de l’intrigue du premier opus, qui se veut plus ambitieuse (comprendre "plus énorme") mais qui, à trop vouloir faire dans le gigantisme, a oublié de soigner ses enjeux dramatiques et, accessoirement, ses personnages, y compris les illustres anciens. Ainsi, à part Jeff Goldblum qui tire son épingle du jeu avec son élégance et son ironie naturelle, on ne peut que déplorer l’évolution du rôle de Bill Pullman (devenu une sorte de médium hirsute qui joue les Cassandre), de Judd Hirsch (qui enfonce beaucoup trop le clou du père juif) ou encore de Brent Spiner (transformée en savant tendance queer), spoiler: sans parler des caméos inutiles de Vivica A. Fox et d’un Robert Loggia momifié
. Quant aux nouveaux, ils viennent encombrer une histoire qui comptait déjà trop de personnages et, faute de temps (ou d’écriture ?), sont cantonnés à de grossières caricatures, avec l’habituel tête brûlée (Liam Hemsworth plaisant à défaut d’être intéressant), le "fils de" écrasé par le poids de son défunt père (transparent Jessie Usher), la fille du Président tellement courageuse (Maika Munroe, mignonne mais sans intérêt), ou encore la scientifique française forcément synonyme de love story (Charlotte Gainsbourg, toute étonnée d’être là). Les personnages sont, donc, aussi fades et attendus que l’histoire… ce qui suscite un grand désintérêt du public pour leur sort. Il faut, d’ailleurs, croire que Emmerich lui-même s’est désintéressé de ses personnages au profit de ses seules séquences de destruction. spoiler: En témoigne l’invraisemblable scène de sacrifice de l’ancien Président Whitmore, personnage emblématique du premier opus (ah, le discours du 4 juillet !) qui est honteusement expédiée !
Emmerich n’a pas davantage su doser l’équilibre entre spectacle pyrotechnique et humour, les vannes qu’il tente de balancer tout au long du film étant, la plupart du temps, d’une affligeante lourdeur spoiler: (à commencer par les scènes sur le couple de scientifiques gays !)
et ses séquences plus musclées peinant à se démarquer de ce qui se fait au cinéma depuis quelques années (on pense à "Avengers", à "Transformers"…). Le dosage est d’autant plus raté que les dialogues sont d’une incroyable pauvreté et assénées, la plupart du temps, avec un premier degré à faire pâlir. Aucun supplément d’âme ne ressort de cette suite (pas de BO marquante, pas de photo travaillée, pas même de plans iconiques…) qui noie le spectateur sous un torrent d’effets numériques et de réalisation tapageuse. "Independence Day : Resurgence" est, du reste, trop long, ce qui est dû tant à la faiblesse redondante du scénario que de son dernier tiers, qui parait ne jamais finir avec ce baroud d’honneur assez risible de la Reine des envahisseurs (à mi-chemin entre "Aliens" et "Godzilla"). Et, enfin, qu’est ce que c’est que cette histoire spoiler: d’entité extraterrestre prétendument supérieurement intelligente et censée sauver les Terriens… mais qui n’est pas capable de faire comprendre ses attentions au point de se faire dégommer par ceux qu’elle est venue aider
! Outre son caractère aberrant d’un point de vue scénaristique, cette intervention vient aggraver l’un des principaux problèmes du film, à savoir son artificialité. En présentant un monde équipé de la technologie alien spoiler: (armement high-tech, véhicules volants, colonisation de la Lune…)
, "Independence Day : Resurgence" se donne des airs de film futuriste… ce qui ne correspond absolument pas à la résistance old school du premier opus (qui participait beaucoup à son charme). Trop de personnages, trop peu d’écriture, trop d’artifice… il y a, donc, peu de choses à sauver dans cette suite, qui se regarde, tout de même, comme un bon gros blockbuster décérébré mais qui aurait dû être bien meilleur. On comprend mieux pourquoi Will Smith ne s’y est finalement pas risqué (et c’est peu dire qu’il manque cruellement dans le tableau). Reste Jeff Goldblum et l’imposante arrivée du vaisseau sur Terre… c’est peu !

20 ans après la première invasion, les extraterrestres remettent le couvert avec à la baguette, Roland Emmerich, THE spécialiste des films catastrophes à grande échelle. Bon, on ne va pas se mentir : ce deuxième opus est loin d'égaler le premier avec la présence de quelques inepties inhérentes à ce genre de film (un vaisseau de 5000 km de diamètre se pose sur Londres et une partie des États Unis. Cherchez l'erreur ...) ...