Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,0
Publiée le 3 février 2017
Un dernier opus qui reste meilleur que son prédécesseur, beaucoup plus logique dans sa construction, les scènes d’action sont terriblement impressionnantes, même si elles peuvent parfois souffrir de certains défauts de cadrage !
L'histoire présente des incohérences de scénario mais ce n'est grave que pour les puristes. Par contre, les images sont trop saccadées, les nombreux plans sont trop rapides pour discerner et comprendre l'action. Dommage car cela semble bâclé et gâche l'intérêt des actions. Bref, tout va trop vite avec des images qui font mal aux yeux et des actions difficiles à comprendre. Le plus mauvais épisode de cette bonne série.
L'histoire est intéressante pour une fin, et on y croit jusqu'au bout...mais les scènes d'actions sont trés mal monté...et enchaîner des plans de 0.5s voir 1s (action longue)...ce n'est pas digne d'un film mais d'un trailer....malheureusement, le monteur du film a décidé que ce serait bon d'en mettre pendant l'intégralité du film. C'est dommage car cela m'as laissé un avis trés négatif sur le film
Rien à dire on en a pour notre argent contrairement à " Le Cercle ". Je trouve tous les films de la série au top avec beaucoup d'éléments du jeu vidéo. Il y a de de bons effets spéciaux, grosses scènes d'actions, du gore, de beaux plans & mouvements de caméra etc au top quoi. Mila Jovovitch toujours la grande classe.
La saga a définitivement atteint ses limites. Un chapitre de conclusion qui n'apporte pas grand chose à l'histoire (spoiler: à part les origines d'Alice ). L'action est bien dosé et permet d'oublier l'absence d'un vrai scénario. Milla se défend toujours dans son rôle. Mais il serait bien de la voir dans autre chose dorénavant. Au final la saga n'a fait qu’effleurer le potentiel du jeu vidéo.
À la hauteur des précédents, si ce n'est que moins abusé. Des zombies qui restent des simples zombies. 2-3 monstres, un schéma narratif qui se répète encore une fois. On est toujours très loin de la saga jeux vidéos, mais au moins celui ci, c'était le dernier !
Voilà enfin le dénouement final de l’histoire d’Alice ! La saga Resident Evil au cinéma est loin d’avoir fait l’unanimité, bafouant pour certains les jeux vidéo, de véritables nanars pour d’autres. Pour nous, c’est loin d’être culte mais pas pour autant détestable, ce sont des films pop-corn pas désagréables, même si un peu inégaux entre eux. Celui-ci reprend le même style que les autres : il commence sans lien avec les précédents, gardant juste les personnages encore en vie et modulant les événements précédents comme ça l’arrange. Le scénario est toujours plutôt plat, même décousu, la petite trame ne sert qu’à enchainer les affrontements aux images à deux doigts de provoquer une crise d’épilepsie. C’est très haché, trop même, perdant en lisibilité des combats pourtant assez sympas. Après quelques jump-scare et des incohérences flagrantes, on arrive dans le dernier tiers du film qui rattrape le tout : Les liens avec les débuts se tissent, c’est plus intéressant, et ça conclus la saga honorablement. Bref, ce n’est ni une déception (étant dans la moyenne des autres) ni une réussite, mais ce film a le mérite de clôturer convenablement la saga !
Il faut être au choix sacrement fan des films Resident Evil ou particulièrement maso pour s’infliger ce Resident Evil : Chapitre Final. Entre un scénario qui ne tient pas la route, des personnages mal développés, des acteurs peu inspirés, des scènes d’action se déroulant dans l’obscurité sans véritable enjeu pour susciter la moindre émotion etspoiler: une fin qui n’en est pas vraiment une , il n’y a strictement rien pour sauver le nouveau film de Paul W.S. Anderson. Comme pour le jeu vidéo, il est temps d’espérer un reboot qui nous fera rapidement oublier cette catastrophe. Et dire que Paul W.S. Anderson s’attaque désormais à Monster Hunter, on craint déjà le pire… [lire la critique complète sur le site]
Monumental et pitoyable navet. Douleur incommensurable pour les yeux. Chaque scène d'action est une série de plan découpés par des caméra toutes sur vibromasseur. Incroyable pourriture du cinéma.
La saga se termine de manière ouverte et de quelle manière : WOUAH ! Un déluge d'actions et d'effets spéciaux qui séduiront les amateurs du genre. Ce dernier épisode de la saga boucle de la manière logique les aventures d'Alice. Bravo Mr. ANDERSON !
Enfin, le moment de la fin est arrivé, et il était temps ! Car entre les scènes de baston toujours plus nombreuses, les jump scares faciles qui se multiplient, les nombreux soucis d’éclairage et les plans de caméras peu inspirés qui s'enchaînent à une telle vitesse que c'en devient illisible, on commence à se demander comment on a pu arriver à une telle banalisation. Pourtant, l’intro du film dévoile un background intéressant, mettant pour la première fois le docteur James Marcus sur le devant de la scène, comme ayant créé le virus T afin de soigner la maladie incurable de sa fille, sans se douter des effets secondaires qui surviendraient. On y retrouve également le docteur Isaac, qui devient alors un véritable ersatz de spoiler: William Birkin pour avoir assassiné Marcus avec son allié Wesker . Seulement voilà, le scénario use une nouvelle fois de facilités avec le clonage spoiler: du docteur Isaac, celui de Resident Evil Extinction n’ayant été qu’une copie. Alice et ses alliés (dont Claire qui fait son retour, mais les autres comme Ada, Léon et Claire sont aux abonnés absents sans toujours aucune explication) doivent alors retourner au Hive de Raccoon City afin d’arrêter Isaac avant que l’humanité ne soit anéantie, en lui piquant le seul antidote existant.
Ce speech n’est pas vraiment mis en valeur par le jeu d’acteur toujours aussi bancal, ni par d’autres délires comme le tank conduit par une autre copie d’Isaac avec l’armée de zombies qui l’accompagne. Le final aurait également pu être plus travaillé et moins prévisible, notamment concernant le cas spoiler: d’Alicia Marcus et le sort de Wesker, Isaac devenant finalementspoiler: le grand méchant de l’histoire , avec son combat hyper badass dans le couloir aux rayons destructeurs. Et le pire, c’est que le final pourrait bien présager une autre suite, même si c’est censé être le chapitre final avec une dernière bataille clairement annoncée ; comment, Jason IV n’a pas été le dernier !? Toujours est-il que la saga Resident Evil au cinéma aura su marquer ses quinze années du début du XXIème siècle avec un divertissement à sa façon et des clins d’œil sympa. Espérons maintenant que Romero ou un autre récupère enfin les droits pour nous faire des adaptations dignes de ce nom !
C'est sûr, c'est pas un film d'auteur. C'est certain c'est parfois (toujours) tiré par les cheveux. Très théâtral, très surjoué, très américain. En même temps en allant voir ce "genre" de film on s'y attend. Pour ma part, j'ai kiffée ma race. Le film m'a tenue en haleine pnd toute sa durée.