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Un visiteur
2,0
Publiée le 1 décembre 2012
Un drame un peu trop banal qui propose toutefois une histoire touchante ; Mais le film souffre d'une habitude "réaliste" du cinéma français. Un film "réaliste" américain parait toujours exotique ici. C'est donc moins lourd. C'est cruel, mais c'est comme ça...
Très intéressant 1er film. Scénario bien ficelé sur la reconstruction de sa vie avec une très belle scène de séparation entre Adèle Haenel et Pio Marmai tous deux excellents. Une découverte également intéressante d'un certain milieu juif parisien.
un jeune dealer juif veut changer de vie et aller vivre en Israel (faire son Alyah), pour fuir sa vie actuelle... un début plutôt prometteur, mais on s'enlise dans une histoire qui raconte pas grand chose... c'était trop long, un court métrage aurait suffit ! Les acteurs sont néanmoins bons mais le scénario très mince... BOF
Un film correct, même si cela manque de style dans la mise en scène.... On reste au niveau de la captation. Malgré tout, le film se regarde avec intérêt.
Le film lorgne du côté de James Gray, mais on est loin ici de l'intensité dramatique et de l'ampleur cinématographique du réalisateur de "The Yards". Certes, Wajeman sait planter une ambiance (les scènes de famille) et dirige correctement ses acteurs, mais l'histoire reste beaucoup trop anecdotique, sans vrai enjeu dramatique. Et la mise en scène finit par s'enliser dans le naturalisme. Tout cela manque de souffle !
Un film d'auteur français. Avec une facon de faire française. Qui s'accorde avec le gout français. et des festivals français. Et leurs critiques.... Mais.... ET le spectateur dans tout ca ? Hélas, je n'y pas trouver à manger, comme la plupart des gens qui m'accompagnaient à cette séance.
Rien de bien palpitant ni d’original dans cette première œuvre. On n’arrive pas à se passionner aux affres du personnage principal et on demeure indifférent à sa volonté de vouloir changer de vie. L’interprétation n’est ni bonne ni mauvaise mais manque singulièrement de relief. Si tous les parias prenaient l’initiative d’aller vivre dans leur pays d’origine : voilà une idée qui, à défaut de plaire à tout le monde, a le mérite de susciter la réflexion.
Un polar français ambitieux, maîtrisé et élégant ? Et c'est un premier film en plus ? Pas de doute, Elie Wajeman a réussi son coup avec « Alyah », assurément la voie à prendre pour le cinéma hexagonal s'il veut rivaliser un minimum en la matière avec nos amis ricains. Pourtant peu intéressé par le milieu juif, j'avoue qu'à l'instar de « Two Lovers », celui-ci est montré avec justesse et nuances, trouvant un équilibre parfait entre personnages sobres, séduisants et récit solide, réaliste sans pour autant être ennuyeux. En effet, chacun est montré ici avec ses défauts et ses contradictions, sans pour autant que le réalisateur ne les juge à un quelconque moment, à l'image d'Isaac , interprété par un Cédric Kahn très convaincant. Il n'est d'ailleurs pas le seul, Pio Marmaï livrant une prestation impeccable, tout comme l'intrigante Adèle Haenel et la charmante Sarah Le Picard. Au final, pas de scènes spectaculaires ou de grands moments lyriques, mais un ton juste, des dialogues réussis et un dénouement changeant quelque peu des conventions habituelles, sans oublier une morale des plus pertinentes : un nouveau départ exige toujours de grands sacrifices... Une réussite.
Il y aurait du James Gray, dans « Allyah ». Et c’est un peu vrai. Cette façon de filmer un moment où tout pourrait basculer, cette façon aussi de décrire une relation perverse entre deux frères. « Allyah » est triste et désespéré, mais sonne affreusement juste. On s’attend à un coup fatal, mais le coup ne vient pas. Et c’est peut-être de là que vient la force de ce premier film. Et cette imperceptible lueur d’espoir, malgré tout, à la fin.
Un film fort intéressant et troublant. Au début, ça part mal, avec un jeu d'acteurs qui ressemble à celui d'une sitcom, puis le niveau s'élève et se prend au jeu, on tremble avec Alex, espérant avec lui qu'il va pouvoir réunir les fonds nécessaires pour partir et changer de vie en Israël. On retient un univers plus qu'un scénario très captivant et surtout les deux acteurs excellents, Pio Marmai et Cédric Kahn. Pas parfait, mais bourré de qualités malgré tout.
La prestation des acteurs notamment du héros principal. Hélas le film pêche par son absence de projet. On erre dans cette histoire française, trop française, sans savoir où l'on va.
Malgré les incohérences qui bousculent le dénouement du film, Alyah reste, dans le paysage du cinéma français actuel, une surprise. Pas extraordinaire mais non dépourvu de qualités non plus. Après, Pio Marmaï continue d'exploiter son capital froid et sympathique mais dorénavant, il est évident qu'il peut être beaucoup plus touchant.
Alyah, drame classique, banale et manquant hélas d'intensité offre néanmoins une histoire si ce n'est intéressante parfois touchante et réaliste ; c'est certainement là son plus grand mérite, être dans la vie réelle de gens réels. Pas de quoi se ruer dans les salles malgré tout...
Pour une fois, je ne suis unanime qu'avec la majorité. Est-ce parce que je me suis rendu à la dernière séance ? Peut-être. Quoiqu'il en soit, je ne retournerai pas voir ce film pour confirmer ou infirmer mon jugement : trop de situations improbables, une absence totale de rythme, un jeu d'acteurs très inégal, quelques personnages bourrés de clichés, une fin qui laisse sur sa faim... Je ne dirai à personne de ne pas s'y rendre car les personnes satisfaites semblent être majoritaires. Et puis les goûts et les couleurs... Mais à ceux qui auront lu mon commentaire, je vous aurais prévenu.