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    Días de Gracia
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    2,9
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    35 critiques spectateurs

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    Patricemarie
    Patricemarie

    40 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 juin 2013
    Une tentative ratée de mêler diverses ambiances autour des quinzaines du Mundial, vues depuis le Mexique mafieux.
    Les changements d'époques sont difficiles à suivre, et n'apportent rien à l'histoire.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    661 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juillet 2013
    Ce thriller mexicain raconte les destinées de trois personnes à Mexico et ce lors des coupes du monde de football qui se sont dérouler en 2002, 2006 et 2010. Et il est bien dommage que le scénario soit quelque peu confus, car cela empêche d'apprécier totalement ce film mexicain qui possède une mise en scène qui à la particularité d'être bien dynamique, percutante et sans concessions sur certaines séquences qui s'avèrent bien violentes . L'interprétation est également de qualité et la photographie très belle. A visionner donc car ce n'est pas tout les jours que l'on peut découvrir un film provenant du pays des aztèques.
    Aspro
    Aspro

    13 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2013
    Malgre un scenario assez confus j'ai trouve ce film franchement tres bien meme si je n ai pas tout saisi , faut s accrocher , sans doute besoin d une seconde lecture pour le comprendre et saisir toutes suptilites de ce scenario
    caro18
    caro18

    137 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 août 2016
    Difficile à suivre tant par le cafouillage des histoires incompréhensible que par leur intérêt limité.
    Vinnie
    Vinnie

    61 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2019
    Dias de Gracia, premier long-métrage du mexicain Everardo Gout ne manque pas d'originalité. Bien que le film ne soit pas dénué de défauts, celui-ci se révèle suffisament percutant pour nous prendre aux tripes. Lorgnant du côté du Traffic de Soderbergh et d'Amours Chiennes d'Iñárritu , Dias de Gracia est une étude intéressante sur la criminalité régnante à Mexico.

    Très ambitieuse, le mot est faible pour qualifier la première incursion d'Everardo Gout dans le cinéma. Celui-ci ne fait pas dans la facilité en choisissant de construire sa narration autour d'un événement, la coupe du monde de football à trois époques différentes (2002, 2006 et 2010) et d'articuler celle-ci autour de quelques personnages emblématiques dont un flic coriace, pugnace et incorruptible. Le réalisateur arrive dès le départ à nous plonger dans une superbe ambiance suffocante, Mexico baigné de lumière au coeur de l'été. Photographie surexposée à outrance et saturation de couleurs...le désert en cinémascope...une voiture de police arrive dans un nuage de poussière. Un flic à l'allure tenace fait descendre deux enfants et les fait entrer dans une petite cabane...Le ton est donné et la tension dramatique est à son comble dès les premières images du film.

    En soi, choisir d'articuler sa narration sur trois époques différentes est une idée originale à condition de maîtriser son sujet et d'être extrêmement vigilant au montage. Force est de constater qu'Everardo Gout ne réussit le challenge qu'en partie. A trop basculer d'époque en époque avec seulement les commentaires de la coupe du monde à la radio où à la télé comme indication temporelle, le metteur en scène perd le spectateur qui aura parfois du mal à distinguer qui fait quoi et pourquoi. Cependant, c'est le seul principal défaut du film, qu'on peut aisément mettre sur le compte de l'ambition enthousiaste et démesurée d'un cinéaste qui réalise son premier long-métrage. En choisissant également de filmer à la manière d'un documentaire, caméra à l'épaule la plupart du temps, le metteur en scène nous plonge au milieu de l'action et il en ressort un aspect d'authenticité et de sincérité frappant, à l'image de cette scène où le personnage principal, le flic Lupe et son coéquipier arrivent sur les lieux d'une fusillade. On ressent réellement la peur et l'angoisse qui peuvent survenir à l'idée d'être pris dans une telle frénésie de violence. Le réalisateur choisit de montrer une violence brute et viscérale, une violence sale, pas celle qu'on croise dans tous les films hollywoodiens par exemple, qui la banalise et nous ferait presque croire qu'elle est glorieuse, fascinante et belle ; non, il s'agit là de montrer la violence dans ce qu'elle est vraiment, c'est à dire laide, incroyablement vicieuse et pernicieuse. Cette vision est aussi présente dans les scènes d'enlèvements et de séquestrations, sujet qui prime dans le film et qui est une plaie pour le Mexique comme la corruption insidieuse qui y règne et qui ronge le pays. En ce sens, Gout réussit son pari de réaliser un film qui sort des sentiers battus et prend le pari surprenant d'une narration originale, bien que bancale par moment.

    Ce principal défaut narratif est toutefois comblé par une distribution hors-pair. De l'acteur principal aux plus petits des rôles de malfrat, chaque comédien respire la vérité. Tenoch Huerta, qui campe Lupe, le flic intègre et incorruptible, à la Serpico, livre une prestation puissante et remplie d'une énergie terrifiante. Le jeune Kristyan Ferrer qui joue Doroteo (une petite frappe qui participe au kidnapping qui sera le fil conducteur de l'histoire) est troublant d'ambiguité et de violence intériorisée qui finira par s'exprimer dans un déchainement de fulgurances stylisées qu'envieraient John Woo et Johnnie To eux-mêmes. Pas le temps de s'ennuyer tant les situations s'enchainent et ne laissent guère le temps à l'oisiveté. L'action est sans cesse présente, filmée au plus près des corps en sueur des protagonistes, la plupart du temps meurtris dans leurs chairs. Cependant, à trop vouloir faire de son film un exercice de style, le cinéaste mexicain finit par tomber dans une certaine surenchère d'effets, souvent époustouflants du reste (des ralentis sublimes et quelques plans-séquences splendides) mais qui finissent par devenir redondants. A noter la bande originale palpitante composée par plusieurs musiciens très différents comme Massive Attack ou Shigeru Umebayashi (In the mood for love).

    Certes, ce n'est pas la meilleure des cartes postales possibles pour le tourisme mexicain mais il est nécessaire de se pencher sur le sujet de la criminalité afin de rendre compte de la situation de plus en plus venimeuse de Mexico. En guise de constat édifiant et glaçant illustrant de façon adéquat son propos, le réalisateur fera dire à ses personnages en ouverture et en fermeture du film : «Vivre à Mexico, c'est jouer sa vie chaque jour!»
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 138 abonnés 7 217 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juin 2012
    Pour son premier long-métrage, Everardo Gout ne choisit pas la facilité, loin de là, comme en témoigne Dias de Gracia (2012), un film de gangsters se déroulant à Mexico City sur trois époques bien distinctes (2002/2006/2010, à savoir durant les trois dernières Coupes du Monde de football). Un concept assez prise de tête nécessitant d’être constamment aux aguets durant 130 minutes si l’on ne veut pas risquer de se perdre en cours de route car les trois histoires n’apparaissent pas les unes après les autres, mais les unes entre les autres, les trois destins s’entre-coupent constamment par le biais d’un montage alternatif rendant extrêmement confus la natation. Mais d’un autre côté, les acteurs s’en sortent parfaitement bien, ce qui parvient à faire abstraction de ce cafouillage scénaristique. Il en sera de même avec la mise en scène qui nous offre de beaux comme de mauvais moments, à commencer par d’excellents plans en caméra subjective (en mode "FPS") et un remarquable plan-séquence, par contre, on déplorera l’utilisation à outrance du mode "shakycam", ce qui aura le don de vous donner des nausées (pourquoi n’a-t-il pas privilégié la steadycam, ce qui aurait rendu ses courses-poursuites bien plus haletantes !). Vous l’aurez donc compris, Dias de Gracia (2012) est loin d’être sans défaut, de bonnes idées, une mise en scène intéressante mais qui a tendance à en faire trop et enfin, un scénario labyrinthique qui nécessite un minimum de vigilance.
    defleppard
    defleppard

    302 abonnés 3 235 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mars 2013
    Violence de rue avec un scénario very bad. J'ai arrêté rapidement. 1 étoile.
    DarioFulci
    DarioFulci

    83 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2012
    Vague ersatz de la "Cité de Dieu" où drogue, règlements de compte et survie s’étalent sur plusieurs décennies. Il y a dix ans on aurait trouvé ce film génial. Aujourd'hui il arrive après les autres et paraît franchement prétentieux. Le réalisateur n'hésite pas à se la raconter pour sortir l'artillerie lourde: scénario très alambiqué, mise en scène tape à l’œil, violence léchée, et personnages "cool". S'il n'y avait pas ces agaçantes scories le film passerait tout seul. On s'interroge encore sur sa participation en sélection officielle au festival de Cannes...
    nikolazh
    nikolazh

    52 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juin 2012
    Un film qui reprend le style du magnifique "La Cité de Dieu" de Fernando Meirelles, sans réellement comprendre ce qui faisait le succès de ce dernier : un scénario toujours fluide. Du coup si le film reprend le style soigné et la photo magnifique de son aîné, il en accentue surtout les travers. On est donc dans la vitesse, le mouvement, les images saccadées qui deviennent parfois incompréhensibles, à l'image du scénario, relativement basique et inutilement torturé. Alors oui c'est beau, mais jamais vraiment original ni palpitant, la faute à ce scénario très mal construit.
    Julien D
    Julien D

    1 099 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 octobre 2012
    Ernesto Gout choisi de nous dévoiler la face obscure de Mexico en juxtaposant trois histoires ayant pour contexte les bas-fonds de la capitale mexicaine durant les coupes du monde de 2002, 2006 et 2010 en faisant un parallèle entre l’engouement national pour le ballon rond et la violence urbaine. Malheureusement le puzzle narratif s’embourbe dans un montage que le rythme déchainé rend brouillon et souffre d’un scénario flou et confus qui rend le tout très difficile à suivre. C’est devant quasiment chaque scène que l’on se repose les questions «Qui fait quoi? Et surtout… quand ?». La qualité de certains plans-séquences et la beauté des images, particulièrement lors des fusillades finales, nous prouvent toutefois le talent de ce jeune réalisateur qui nous offrira inéluctablement de bons longs-métrages dès lors qu’on lui aura fourni des scripts plus lisibles ne cherchant pas que la surenchère d’adrénaline.
    SHWARZIE
    SHWARZIE

    31 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mars 2013
    Mélanger des faits dramatiques sur fond de coupe du monde de foot, c'est original, les acteurs sont saisissant de vérité, la réalisation est fluide et les événements s'enchaînent bien, le mexique est cruel et dur et vivre en france est une chance de nos jours.
    traversay1
    traversay1

    3 076 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 juin 2012
    Quand on a peu à dire, autant le faire avec un lourd arsenal d'artifices, par exemple en imaginant et en mélangeant trois histoires, lors de trois coupes du monde de football successives, en s'appuyant sur un montage brutal, des images clipesques, sans autre repères pour le spectateur que l'évolution des scores des matches diffusés à la radio. On veut bien se perdre dans le labyrinthe narratif de Dias de gracia, c'est une spécialité mexicaine, encore faudrait-il qu'il y ait un enjeu, pas seulement du jeu, une véritable intention, outre le message, merci on a bien compris, que le Mexique est un pays corrompu jusqu'à la moelle, police incluse, que les enlèvements font partie du quotidien, que la violence y est continuellement éruptive. Miss Bala, entre autres, a déjà montré la voie, avec une efficacité moins spectaculaire, mais autrement plus efficace. Aussi agréable à supporter que le bruit d'un marteau-pilon, ce Dias de gracia ! Everardo Gout, son réalisateur, s'est-il rendu compte qu'il avait marqué un but contre son camp ?
    diehard5
    diehard5

    19 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2012
    Sur fonds de violence urbaine mexicaine et de coupe du monde de football, ce film choral en trois époques (identifiées par les compositions de Nick Cave, Shigeru Umebayashi et Atticus Ross) est à la fois simpliste et incompréhensible. Par delà son inintérêt déprimant, la réalisation tourbillonnante d'Everardo Gout permet de ranger "Dias de Gracia" dans la catégorie des échecs prometteurs.
    islander29
    islander29

    755 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juin 2012
    "Sur terre il n'y a pas de justice, parce que Dieu pardonne à tous..." Voila une phrase choc dans un film choc.....Everardo Gout, retenez bien ce nom, il fera parler de lui surement, autant de punch dans son cinéma que le réalisateur Inarritu tenait de volonté cinématographique et humaine dans son fameux AMOURS CHIENNES....Je dois avouer que si l'on a un peu de mal à rentrer dan le film, au bout de 45 minutes, on se dit, "je tiens une pépite"... C'est tout dire...Surtout ne croyez pas que ce soit un film sur le foot quoique avoir certaines références sur les coupes du monde peut aider à suivre le scénario....Un grand souffle anime ce film.....Lors des coupes du monde, les pays fonctionnent au ralenti....Le moment choisi par certains au mexique pour commettre des enlèvements....SCénario compliqué, flash back, peu importe, on le reverra, le film emporte tout sur son élan, sa dynamique de violence et de réalisme ....Entrez dans la peau des personnages, dans leur douleur, leur cruauté, un univers shakespearien vous tend les bras.....La vie des marginaux, le foot en filgrane sensible, le coup de boule de Zidane, de magnifiques extérieurs sur Mexico (je crois), ce film propose un rite initiatique sur le monde den la pègre mexicaine, (plus ou moins tous pourris, même les flics) et l'on se dit : "quel bonheur de voir un tel film", oui vraiment il y a un de l'ivresse dans la mise en scène, dans une bande son parfois hypnotique, dans les scènes de torture et des pensées qui naviguent de Scarface à Il était une fois dans l'Ouest....J'ai adoré....
    BeatJunky
    BeatJunky

    121 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2013
    Ya du bon comme l'interprétation certains moments de mise en scène et le scénario biensûr mais paradoxalement c'est aussi sur ces points que ça pêche un peu. Le scénario est assez complexe et on a du mal à tout saisir en un seul visionnage, parfois la mise en scène est trop épileptique également et vous file un bon mal de crane parce que vous essayez de ne rien perdre, puisqu'il ne faut surtout pas lâcher une minute ce film pour le saisir convenablement et réussir à faire le lien entre toutes ces histoires différentes.
    A revoir
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