Avis sur Cabin Fever 3

Le premier "Cabin Fever" s'était révélé être un bon petit film de terreur qui remporta un certain succès et qui aura aussi eu le mérite de faire découvrir Eli Roth aux yeux du monde. Avec un tel potentiel, il ne fut pas étonnant de voir sortir une suite (6 ans après tout de même !!) réalisée par Ti West qui, si elle nous gratifiait de bons moments gores craspecs dans sa dernière partie, avait du mal à trouver de la cohérence vis-à-vis du film de Roth et nous perdait totalement dans un récit nébuleux. On attendait donc un troisième volet qui puisse combler nos attentes au niveau du fil conducteur entre les épisodes...cette fois-ci on a attendu moins longtemps (3 ans seulement entre le n°2 et le n°3), mais pour quel résultat ? Et bien on est loin, très loin même d'avoir obtenu ce qu'on espérait... Pourtant, "Cabin Fever 3 : Patient Zero" partait sur une bonne idée, à savoir une équipe de scientifiques a réussi à mettre la main sur le premier infecté (le fameux patient zéro) et comme ce dernier ne subit pas les effets du virus, ils vont tentent de trouver un vaccin grâce à son sang afin de prévenir la planète d'une pandémie totale. Malheureusement pour nous, il s'agira de la seule bonne idée car le reste du film est d'un niveau vraiment pitoyable...Tout d'abord, nous avons l'une des expositions dans un film les plus longues et les plus chiantes qu'on est pu voir au cinéma : le choix d'un type qui va se marier et dont les potes lui offrent comme enterrement de vie de garçon une journée et une nuit sur une île déserte (non mais sincèrement : quelle idée à la CON !!!) est plus que discutable d'autant plus qu'on nous afflige de scènes inintéressantes et de dialogues au raz des pâquerettes (et je ne parle pas des vannes dignes d'un ado attardé de 15 ans !!). En outre, les personnages sont réellement insignifiants et ce n'est pas les acteurs qui arriveront à donner un peu de consistance à leurs avatars creux et insipides. Bref, on s'emmerde grave pendant une demi-heure et c'est déjà un exploit de rester devant le film à ce moment là. Ensuite, et là c'est pratiquement une insulte au film d'Eli Roth, les effets spéciaux sont dégueux...mais attention, pas « dégueux » au sens où c'est gore et craspec, non : c'est tout simplement ULTRA MOCHE, c'est vraiment mal fait, à un tel point qu'on ne dirait plus qu'il s'agit d'un virus dévoreur de chairs mais plutôt à des zombis tout mal fichus. D'ailleurs, le plus gros problème de ce film c'est qu'il lorgne plus du côté du genre zombiesque que de l'épidémie virale, que ce soit dans son ambiance, dans son visuel et dans ses effets. Au milieu de ce gloubi-boulga indigeste, on pourra noter deux scènes totalement nanardesques dont on se souviendra : une main arrachée par le recul d'un flingue qui finira en pleine tête et une baston entre deux « Miss Zombies ». Pour finir, et c'est certainement ce qu'il m'a le plus déçu, le film n'apporte rien de nouveau au niveau de l'histoire...pire : il nous laissera avec plein de nouvelles questions sans aucune réponse. Le fameux patient zéro du titre nous est présenté dès le générique de début (très bien fait au passage avec ses super ralentis : la seule chose réussie de ce film d'ailleurs) mais il ne sera jamais correctement développé : on ne saura jamais comment il a contracté le virus, ni pourquoi il est porteur saint et ni pourquoi c'est un vrai connard (si, si : quand on ne pense qu'à se barrer du labo où on se trouve juste pour retrouver sa famille, refusant ainsi délibérément d'aider les scientifiques à sauver la planète, j'appelle ça être un connard !!) Il y a un bon gâchis avec ce personnage, d'autant plus qu'ils avaient choisi Sean Astin pour l'interpréter (souvenez-vous : Sam Gamegie, le stupide hobbit joufflu qui joue la nounou pour Frodon dans la trilogie du "Seigneur des Anneaux" !!). On se retrouve aussi avec un paradoxe temporel au sein de la saga : j'arrive pas à savoir si les évènements de "Cabin Fever" se passent avant, pendant ou après ceux de "Cabin Fever 3 : Patient Zero", et c'est assez perturbant car ça fout en l'air tout film conducteur avec les trois films.
Bref, "Cabin Fever 3 : Patient Zero" est une purge totale qui n'a aucun intérêt...ah si : il arrive à rendre le deuxième opus réalisé par Ti West plutôt sympa finalement...Mais vous savez pas le pire ? Il y aurait une raison au fait qu'on nous a donné aucune explication dans ce troisième volet : un quatrième film, qui s'appelerait "Cabin Fever : Outbreak", verrait le jour d'ici un à deux ans et nous démontrera comment les quatre opus sont liés...putain de merde, mais pourquoi ils ne se sont pas arrêter au deuxième ?!!

Perte de temps totale! Ne vous y aventurez pas! Scénario débile, acteurs pitoyables, effets spéciaux ridicules, réalisation kitsch, bref: un navet du premier ordre.

Cabin Fever : Patient Zero est donc le 3e film après un premier qui était prometteur au niveau du scénario mais décevant au final et un second complètement décomplexé, déjanté et bien gore. Pour ce nouvel opus l'histoire se déroule sur une île ou un groupe d'amis vient enterrer la vie de garçon de Josh le futur marié, la même île ou un groupe de scientifique étudie le virus pour fabriquer un vaccin.
Le film est très long à démarrer il faut attendre près d'une heure pour qu'il se passe quelque chose, la 1ere partie est poussive surtout à cause des scènes avec les jeunes mais bon on a l'habitude avec ce genre de film. La 2eme partie n'est guère mieux même si on enfin droit à du gore très peu mais qui a le mérite d’être bien fait même si c'est pas suffisant pour sauver le film surtout avec un scénario qui montre vite ses limites et se révèle sans grande surprise.

Ce film est un désastre de facilité grâce aux dialogues bon marché et au scénario très simpliste.Ce n'est pas un film d'horreur: juste un film de sang et de tripes.

Consternant du début jusqu'à la fin. Le générique de fin emprunté au Contagion de Soderbergh est lamentable.

Une suite qui n'équivaut pas les précédents comme souvent, et qui s'avère un peu moins "glauqe" coté hémoglobine et ou la majeur partie du temps on est dans l l'obscurité, rendant plus facile le côtéFX. Mais les dernières 20min, sont celle ou la tension est au maximum et même si le final des final peut paraître "bateau". Le twist pour arriver à celui-ci est plutôt bien penser même si sa reste plus ou moins. Reste à voir, si le remake du 1er du nom ; se fera et s'il sera à la hauteur de l'original. Pour celui ci, pour une suite ; on va dire que cela permets de passer un petit moment de divertissement avec quelques scènes sympa^^ mais on comprends pourquoi celui n a pas de sortie ciné. Pourquoi pas, si on adhère au genre mais le moins bon des 3 d autant que le scénario est un peu ressemblant à pas mal de film du genre (des jeunes en sortie... au milieu de nul part... et les problèmes commencent...) sur le principe de l histoire donc zéro originalité. le real emprunte un chemin vu parfois ailleurs et si tient. heureusement la durée assez courte évite que l on ne s ennuit... mais 1 fois pour ma part, pas plus.

Ce troisième opus n'est qu'une reprise de l'idée du premier qui était vraiment très bon. Un scénario faible et quelques passages gore viennent remplir ce film à faible intérêt. Les acteurs sont franchement mauvais et peu crédible, ce qui rend le film difficile à apprécier.

Le premier opus m'avait laissé un souvenir plus que mauvais par son côté brouillon et mal maîtrisé, le deuxième volet m'avait un peu diverti par les nombreuses scènes gores... Ce troisième volet relève un peu le niveau, même si nous n'échappons pas aux clichés de Ken et Barbie bourré de fric, se vautrant dans l'alcool, la drogue et le sexe, la présence de Sean Astin avec l'histoire parallèle se montre plus intéressante, questionnements éthique et médical à la clé. Le film aligne des scènes parfois débiles (mais assumées) et nous propose heureusement de jolis effets de maquillage.

Après un stupide deuxième épisode, on pensait la franchise Cabin Fever finie. Mais quand on ne peut plus avancer, il faut reculer et voici un troisième et dernier film de la franchise qui est un préquel. Ce n'est certes pas un chef d’œuvre mais clairement le plus intéressant.
Un groupe d'amis se retrouve sur île déserte pour fêter l'enterrement de vie de garçon de l'un d'entre eux. Mais un membre du groupe tombe gravement malade et les autres partent chercher du secours. Ils tombent sur un laboratoire secret où des expériences sont faites sur Porter, le catalyseur d'un virus mortel...
La réalisation n'est pas mauvaise mais a quelques faiblesses: le cadrage est trop imprécis; la mise en scène fonctionne, les prises de vues sont agréables, mais les mouvements sont trop chaotiques; la profondeur de champ a de bons moments.
Le scénario propose donc de revenir aux origines: une idée pas forcément géniale mais qui donne de bons résultats: l'ambiance est réussie, il y a de bons rebondissements, le rythme est bien tenu et le climax assez surprenant. Il y a des clichés et des incohérences qui viennent perturber la narration. On retrouve le côté gore des précédents films mais ici ce n'est malheureusement trop poussé et cela perd en crédibilité.
Les acteurs ne s'en sortent pas trop mal, il y a pire mais il y a également mieux. La performance de Sean Astin est particulièrement impressionnante.
Les dialogues fonctionnent plutôt bien.
La photographie est agréable; la lumière est bonne, l'effet de nuit est bien travaillé mais on reste sur sa faim niveau couleurs.
Le montage est dynamique et fluide mais manque un peu d'originalité.
Les décors sont bons, les costumes un peu moins et la musique efficace.
"Cabin Fever 3" est clairement le meilleur épisode de la trilogie.

J'ai beaucoup aimé le un et le deux. En lisant les critiques j'avais hésité à regarder le 3. Je ne regrette pas. Pour ceux qui se plaignent qu'il faut attendre longtemps avant d'avoir du gore, je leur répondrais que je préfère un film avec une histoire qui prépare à rentrer dans le sujet progressivement, ça fait monter la pression. C'est pourquoi j'ai bien aimé regarder ce dernier volet. Effets spéciaux au top, et la fin avec le générique est originale

Autant le premier cabin fever était un bon petit film de peur, autant là, il n'y a vraiment rien de positif : scénario inexistant, dialogue absurde, acteur pas crédible. en bref, 1h30 d'ennui...

Après un deuxième épisode drôle mais inégal, voir décevant, la distribution tout d'abord de ce 3ème épisode bien que constituée en majeure partie d’inconnus mis à part Sean Astin se révèle être de qualité.

La réalisation de Kaare Andrews reste de bonne qualité. Il livre un métrage globalement et étrangement plus soigné que celui de Ti West.

Cabin Fever 3 ne propose aucune folie scénaristique, mais se propose comme une série b assumée et bien ficelée. Brutal à souhait, soigneusement rythmé et doté d’une structure efficace, le film de Kaare Andrews est une bonne surprise...

Quelque bonnes scènes composent ce cabin Fever qui est comme le précédent, une suite qui reste très moyen et dispensable.

Orchestré à la base par le délirant "Eli Roth", "Cabin Fever" avait marqué les esprits à l'époque par son atmosphère "Craspec" à souhait, ses effets "Gores" particulièrement malsain et son humour noir bien sentit. On retrouve ces éléments dans "Cabin Fever 3: Patient Zero" où L'Action se situe sur une île abandonnée des Caraïbes sur laquelle 4 amis d'enfance décide de fêter l'enterrement de vie de garçon de l'un d'entre eux. Mais rapidement, la fête va dégénérer au cauchemar. Après avoir planté le décors, "Cabin Fever 3" verse dans le "Gore" nauséeux bien abjecte avec quelques effets assez saisissants. Un virus mystérieux particulièrement véloce, des infectés en mode décompositions accélérés, des médecins complètement barrés, des jeunes héros désorientés en mode survie total, le métrage se paye même le luxe de nous gratifier d'un mini "Twist" final assez surprenant avec en tête d'affiche "Sean Astin" (Vu dans "Les Goonies" et la trilogie du "Seigneur des Anneaux"). "Cabin Fever 3: Patient Zero" a bel est bien sa place dans la franchise et s'adresse bien entendu aux "Fans" de "Gore" à l'ancienne !

Se film qui commençait d'une manière intéressante(l'infection du village), tourne très rapidement au grand n'importe quoi avec encore de jeunes fêtard naïf et sans intérêt au premier plan, on est rapidement frappé par l'absence de rythme, d'action voir même de scénario.
Le côté gore a totalement disparu sans parler du fait qu'on se croirait dans un téléfilm fauché...
Pire épisode d'une trilogie bas de gamme qui malheureusement n'aura jamais pu réellement utiliser cette maladie intéressante dans un scénario digne de ce nom...
Conseil : passé votre chemin sans vous retourner !!!