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    La 5ème vague
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    660 critiques spectateurs

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    bouddha5962
    bouddha5962

    55 abonnés 712 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 janvier 2016
    Très déçu par ce film qui semble un mauvais jeu vidéo. Trop de lenteur et de platitude dans ce film. Dommage car le thème est assez original mais le côté extra terrestre semble innabouti
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 avril 2016
    Tellement de mauvaise critique que je fut tout de même agréablement surpris. En prenant en compte qu'il s'agit dans cette première partie de l'histoire d'une soeur et de son frère sur fond d'invasion mais si vous vous attendez à 2012, San Andrea ou indépendance Day passer votre chemin, en attendant la suite ou la sa devrait bouger , je considère ce premier opus comme un bon film !!!!!
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 150 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    Ceux qui me connaissent seront peut-être surpris que je me sois risqué à un film comme celui-là. C’est vrai qu’il suffit de lire le pitch pour comprendre qu’avec cette « 5e vague », on va avoir un bon vieux film catastrophe-série B à base d’invasions basiques d’extra-terrestres. Mais bon, au risque de surprendre, le concept en lui-même ne me dérange pas. Au contraire, moi j’aime les ambiances post-apocalyptiques et pour moi tout prétexte est bon, pourvu que le propos est malin et l’ambiance soignée. Et le pire, c’est que, franchement, sur le papier, cette « 5e vague », elle aurait pu marcher. Mettre la petite Chloe Moretz en tête de casting était quand même assez aguicheur, et puis, en plus de ça, cette notion d’invasion par « vagues », touchant successivement les points de vulnérabilité de notre mode de vie, cela avait quand même le mérite de m’intriguer. Et je le redis au risque de me répéter, mais oui, cette « 5e vague » aurait pu franchement me plaire. Seulement voilà, ça aurait pu marcher sur moi si et seulement si ce film ne m’avait pas régulièrement envoyé dans ma tronche de spectateur cinq vagues de misère cinématographique. La première – et c’était malheureusement la plus à craindre – c’était celle d’une peinture introductive qui oppose d’un côté le monde d’avant super cool dont on avait rien à regretter et de l’autre, le nouveau monde, la catastrophe, dont rien ne pouvait vraiment resurgir, à part un bon vieux refuge sur les bonnes vieilles valeurs traditionnelles. Ça, malheureusement, dès les dix premières minutes, ce schéma vient se déverser sur le film comme un tsunami de clichés et de situations vues mille fois. La peinture du monde parfait « Made In USA », franchement, j’en ai ma claque… Mais bon, passons… Peut-être le film aurait pu être sauvé si je ne m’étais pas bouffé la deuxième vague dans la foulée : le déluge de CGI tout moisis. Ah ça ! Aujourd’hui, j’ai l’impression que tu ne peux plus demander un sou à un producteur si on le lui garantit par un déluge de bouillasserie numérique. Là, franchement, encore une fois, on a vraiment la dose. Le pire, c’est que le film sait montrer à plusieurs reprises qu’il peut s’en passer. Mais non… Il faut qu’on nous refoute une fois de plus les dix plaies d’Egypte aux quatre coins du monde, comme on a déjà pu le voir dans tellement de films du genre. A cela s’ajoute toute une série de détails numériques mal foutus spoiler: (par tous les dieux mais que la vision des Autres fut kitsch !
    ) ou bien encore de lumières fluos à tout va (jusque sur des casques de soldats qui doivent attaquer furtivement de nuit, si si…). Le souci, c’est qu’à cette deuxième vague s’est associée une troisième : les personnages, situations et dialogues archétypaux. Aliens vraiment pas gentils, héroïne vraiment trop parfaite, beaux gosses aux torses rasés, filles gothiques trop bad ass, moments de sensiblerie bon marché (x1000), gros militaires avec plein de gros flingues, le tout pour finir par un bon discours comme quoi les humains seront toujours sauvés par spoiler: l’amour et l’espoir (…oui, vous avez le droit de dire « amen »)
    . Bref, ça sentait déjà le roussi me concernant, seulement il a fallu que s’ajoute à ça une quatrième vague (comme un classique dans ce genre de film) : les incohérences, absurdités, ou autres situations illogiques. Parce oui, dans ce film, une onde électromagnétique a quand même le pouvoir de détruire les systèmes électroniques (ça je veux bien), mais visiblement, elle peut aussi couper un moteur-essence en pleine marche (et le détruit irrémédiablement aussi), tout comme elle peut aussi couper l’eau courante (intéressant). Je n’ose parler des moments où la connerie monumentale des personnages est sollicitée pour rendre certaines situations dramatiques possibles (comme ce merveilleux moment où spoiler: -1- Cassie décide d’abandonner son frère pour aller lui chercher une connerie d’ours en peluche. -2- Ne prévient pas le conducteur du bus qu’elle revient dans deux minutes. -3- N’a pas appris à son con de frère qu’il était beaucoup productif de demander au chauffeur d’arrêter le bus plutôt que de le miauler pathétiquement contre la vitre du fond. Franchement, j’ai ri, et dans la salle je n’étais pas le seul
    ). Enfin, je n’ose questionner la logique des envahisseurs extra-terrestres de ce film qui, si on suit leurs motivations, n’avaient en fait pas besoin de cinq vagues pour arriver à leur fin, mais en fait de… spoiler: zéro. Bah oui mais quand même ils sont sacrément cons ces Autres ! Ce sont des parasites ! Ils ont besoin de gros cerveaux pour pouvoir proliférer, donc si tu veux que ton espèce prolifère, tu ne cherches pas à réduire à néant le nombre d’hôtes ! Si en plus ils sont capables de s’implanter sans que personne ne les remarque, mais dans ces cas là tu te la joues à la « Bodysnatchers » : tu fais une invasion invisible ! C’est quand même simple !
    ) Bref, vous l’avez compris, avec ces quatre vagues là, on a déjà suffisamment de quoi regretter la manière dont a été conduit ce film. Seulement voilà, il a fallu qu’en plus de ça, un ultime boulet final vienne se rajouter à tout ça ; la cinquième vague : j’ai nommé, le twist loupé. Pour moi, pour qu’un twist soit vraiment loupé, il faut que, non seulement il soit foireux, mais qu’en plus on le voie arriver à des kilomètres. Dans ce film, le twist final se fait gauler – mais alors gros comme une maison ! – dès la fin de la première demi-heure. Mais vraiment, c’est la lose ultime ! spoiler: Franchement, c’est con, mais si tu ne veux pas que ton twist se fasse gauler (genre ici, en fait les gentils sont les méchants) eh bien tu évites d’utiliser tous les codes archétypaux des méchants sur ceux qu’on est sensé prendre pour des gentils ! Mais c’est dingue ça ! Je sais pas vous mais moi je trouve que c’est juste la base !
    Alors peut-être que ceux qui étaient obnubilés par les beaux bras musclés d’Alex Roe ou bien par la lèvre supérieure de Chloe Moretz ne s’en sont pas rendus compte, mais moi je trouve que ça crève juste les yeux. Du coup, quand d’un seul coup d’un seul, les héros se disent « Eh mais je trouve qu’il y a un truc qui cloche », tu as envie de te dire « OK, mais pourquoi ça te parait bizarre que maintenant ? » spoiler: Les gars te foutent un traceur dans ta colonne vertébrale (qu’on peut remettre et retirer comme on veut – so easy), ils grognent tout le temps, appellent au meurtre massif, et lancent des plans foireux sur des villes humaines, mais à part ça tout va bien. Par contre, il suffit que deux ennemis fuient en courant pour que Gothicgirl décide de se faire une opération de la colonne avec son petit canif dégueulasse ? Mais What ???
    Franchement, une telle accumulation de lourdeurs, ça tue tout plaisir et c’est dommage. C’est dommage oui, parce que, encore une fois, l’ambiance pouvait donner quelque-chose de sympa – un truc entre « la guerre des mondes » et « Walking Dead » - et oui, aussi, le concept de vagues s’attaquant un à un à chacun des points de vulnérabilité de notre mode de vie était aussi un concept à creuser. Seulement voilà, avec ces cinq vagues là dans la tronche, je peux vous dire qu’à la fin, il ne reste plus grand-chose à sauver de ce film. D’ailleurs ce final est un gigantesque WTF logique, où les stratégies les plus absurdes sont choisies, ou les discours débiles s’enchainent à la pelle et ou surtout, les « deus ex machina » se multiplient tellement qu’à côté de ça, la panthéon romain passerait presque pour un temple monothéiste. En somme, ce film nous prend un peu trop pour des cons, du début jusqu’à la fin, et c’est un peu ça qui est triste. Ce n’est pas parce qu’on aime le post-apocalyptique qu’on n’a pas de cerveau. Peu le comprennent. En tout cas, sur ce coup là, la Columbia, elle ne l’a pas compris, et c’est bien dommage…
    Sheridan V.
    Sheridan V.

    10 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 janvier 2016
    film médiocre. cloe moretz on dirais qu'elle ne sais même plus jouer ou peu être qu elle n'a jamais su.
    Les effet spéciaux son très mal fait. Je trouve ça trop grave .l histoire est plan plan
    Sam H
    Sam H

    8 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2016
    Une amourette qui fait perdre toute crédibilité au film.
    Entre l'introduction et les scènes de guerre de fin, le film est tellement ennuyant que j'ai failli sortir de la salle.. Chose que je n'ai pas faite puisque je n'avais pas terminé mes pop-corn
    Konanoob
    Konanoob

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 janvier 2016
    Ce film est vide de sens, de scénario, d'effets spéciaux et de fil conducteur. Il n'est bon que pour les fans style Twilight pour une histoire d'amour d'adolescents pitoresque. Aucun fil conducteur, aucun suspense, aucun accrochage. Les effets spéciaux sont moches en sachant que des films d'il y a 5 ans font mieux. Le film est prévisible et n'offre absolument que de l'ennui. Les scènes d'actions sont ridicules. Enfin, je ne comprends pas pourquoi des acteurs connus ont acceptés de jouer dans ce film. En conclusion, ce film fait honte au septième art mais toutefois donne un point positif : il permet de définir une base de la médiocrité pour les futurs jugements.
    Cédri T
    Cédri T

    23 abonnés 228 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2016
    Une belle petite réussite qui me donnera envie de lire le livre l'histoire est prenante et assez réaliste en soit ! Bref vivement la suite !
    Gengis Y
    Gengis Y

    19 abonnés 476 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2016
    3.5/5 Un film plein d'action et d'effets spéciaux. une histoire bien menée et pleine de surprises grâce à une héroïne parfaitement incarnée.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    680 abonnés 1 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2016
    4 vagues d'une attaque extraterrestre déciment quasiment toute la population de notre belle planète bleue. La 5ème vague sera la dernière, celle qui va éradiquer définitivement la race humaine dans les moindres recoins de la surface du globe.
    Une jeune lycéenne va se retrouver embarquée, bien malgré elle, dans une aventure où son instinct de survie sera son seul allié.
    J'avoue avoir vraiment été touché par cette fiction tirée de la trilogie littéraire du même nom, écrite par Rick Yancey (le 3ème opus sortira en 2016 en librairie).
    Le choix de l'actrice principale (Chloë Grace Moretz), que j'avais déjà admiré dans "Si je reste" en 2014, est excellent tant elle possède les clés de la réussite au cinéma : talent, charme et charisme (à la manière d'une Jennifer Lawrence dans Hunger Games ou d'une Shailene Woodley dans Divergente)
    Des scènes d'apocalypse très réussies, une ambiance de fin du monde bien rendue et une histoire touchante, rythmée et avec quelques rebondissements spectaculaires : une très belle surprise donc pour cette histoire estampillée "Teen movie" qui, de plus, est accompagnée d'une superbe bande originale.
    Vivement la suite !
    Elliot Alderson
    Elliot Alderson

    14 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2016
    Une héroïne convaincante autant que les effets spéciaux."Teen-movie" orienté vers un tous publics malgré un "Spy kids" en deuxième partie du film. Un climat de fin du monde saisissant.
    Pascal M.
    Pascal M.

    16 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2016
    Un nouveau film tiré d'une série de livre pour pré-ado. Mais il est vraiment bien réalisé. L'histoire ressemble à beaucoup d'autres, des extraterrestres qui envahissent la terre, sauf d'ici ça commence directement à la 5e vague. L'actrice principale, Chloë Grace Moretz, déjà vu dans Kick-Ass, porte vraiment le film sur ses épaules et sera bientôt une grande "jeune" actrice. Les extraterrestres, qui ne sont pas vraiment représentés comme tels, vont devoir combattre des ados révoltés.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    118 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2016
    Cassie Sullivan est une jeune fille tout à fait normale. Comme toutes celles de son âge, elle est blonde, fait ses études à l'université, est amoureuse du plus beau type de sa classe (capitaine de l'équipe de football américain : caricature, quand tu nous tiens!) mais attention, détail encore plus flagrant : elle a un petit frère et des parents qu'elle aime! Ou toute la réinvention scénaristique d'Hollywood au service d'une oeuvre d'art persuasive dans ce qu'elle propose. Blague prise à part : "The Fifth Waves" empile de façon admirable les clichés et ne propose qu'un ramassis de situations réchauffées. Et on pouvait s'attendre à tellement mieux, pourtant, vu le matériau de base qui proposait bon nombre d'autres choses d'autant plus savoureuses qu'une histoire d'amour hautement ridicule, entre des acteurs possédant autant de charisme que des poissons morts et une actrice (Grace Moretz donc) interprétant la fillette pour des raisons fiscales. Mais voilà, des méchants extraterrestres arrivent, préfabriquent un twist (le seul, mais n'en demandons pas trop) et se font exploser, eux et leur base, car au bout d'un moment ils ne servent plus à rien. Il y a certaines bonnes idées qui traînent dans ce long-métrage, dont surtout une de mise en scène : un travelling arrière dans un arbre, une sorte de contre-plongée qui n'en est pas une. Soyons précis : la Cassie du film s'est réfugiée, en compagnie de son petit frère, dans un arbre pour échapper à un véritable déluge d'effets spéciaux. Si c'est mal joué, on ne peut pas retirer le fait que ces quelques plans soient bien filmés, avec cette caméra qui commence près des corps, qui traverse le feuillage de l'arbre pour terminer sa route dans le ciel, à observer des montagnes d'eau se déversant sur les routes de terre. On voit bien le réalisateur J.Blakeson demander à ses estimables et estimés producteurs si il peut tourner "une scène pareille". Ces derniers lui ont sûrement exprimé leur peur la plus intense de l'inconnu en utilisant ces termes : "Mais, J.B., voyons, tu es sûr et certain qu'il ne sera pas trop feuillu, ton plan? Car tu sais bien qu'il faut que notre public comprenne ce qu'il voit"! Beaucoup de scènes pourraient être des exemples de ce qu’il ne faut pas faire dans une oeuvre de science-fiction lorsqu’on possède un minimum de budget, comme cette mise en place d’un dramatique de situation aussi idiot que les personnages eux-mêmes. Liev Schreiber doit être le seul à bien savoir se débrouiller dans ce monde pro-adolescent, qui caresse ces derniers dans le sens du poil pour mieux les accueillir, eux et surtout leurs billets, bras ouverts et queues en l’air. Et il faut dire qu’à notre époque, où tout film de ce genre est torché puis projeté à la va-vite, il est de plus en plus difficile de trouver un long-métrage qui combat les codes et impose une véritable lecture de la société, singulière et puissante. Alors, avant que celui-ci n’arrive, on se console en riant de tous les défauts livrés sur un plateau d’argent réutilisé par des producteurs et non plus par des réalisateurs, ou lorsque le dollar, cette saleté de maladie, remplace l’envie de procurer une émotion au spectateur, c’est là qu’on obtient une soupe amère d’effets spéciaux certes pour la plupart réussis, mais déjà-vus au moins un millier de fois auparavant. Comment écrire une critique après ça? Il faut du temps, car le temps apporte de l’inspiration, ce que certains studios ne comprennent toujours pas. Navrant de par sa pauvreté scénaristique, « The Fifth Waves » n’est que le petit film d’action désolant du dimanche soir, qu’on regarde puis qu’on oublie aussi vite et qui est projeté sur la première chaîne de votre téléviseur. Quelle histoire!
    Fabios Om
    Fabios Om

    37 abonnés 1 264 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2016
    très bon film catastrophe . Une très bonne histoire bien écrit et très original. Beaucoup d'action et même un peu d'émotion . Des incroyable effet spéciaux . Et Chloe Grâce Moretz nous prouve quelle peux tous jouer et qu'elle est talentueuse.
    Jean-François B
    Jean-François B

    9 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2016
    j'y suis allé pour faire plaisir à mon adolescente de 16 ans à contre coeur...et surprise, j'ai été etonné en bien...le scenario tient la route,meme si on se pose quelques questions de temps en temps...tout s'eclaire à la fin du film...un bon moment à partager avec des ados...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 janvier 2016
    Le livre est peut être bon, mais l'adaptation cinématographique est totalement raté. Ce film ressemble à une série télé ou un film catastrophe tnt, genre "irruption vach'ment volcanique". Le jeu des acteurs sonne faux et c'est bien dommage pour Chloë Grace Moretz qui nous avait habitué à beaucoup mieux. Du début à la fin, ils sont toujours tout beau bien coiffé ! Un affront au bon sens. Des aberrations de mise en scène et de dialogues assomment complètement l'ensemble du projet :

    spoiler: - Quand j'ai un gros vaisseau spatial de la mort au dessus de ma tête, je ne continue pas à aller en cours et à m'amuser accessoirement avec mon portable...non, je prends mes clics et mes clacs et je me tire ! - Personne ne cherche à savoir dés le départ les raisons pour lesquelles l'armée dispose de véhicules roulant et volant et à terme, d'écran plat avec système de repérage planétaire (salle d'opération du complexe militaire). - L'idée des lunettes qui permettent de voir les E.T façon "radios" est piqué à John Carpenter dans "invasion los angeles". Dans ce film, Carpenter, à l'image de la nouvelle "les Fascinateurs", avait fait une critique réussie de la société de consommation et de l’exploitation des classes. Dans la 5eme vague, on tourne autour d'un impérialisme presque triomphant des ETs qui oblige les tout petits "starship troopers" à se rendre à un stand de tir ou à faire le parcours du combattant avec une bande sonore "US ARMY"...Indécent ! Pareillement, le jeu du "qui est qui" entre les principaux acteurs est complètement téléphoné. L'histoire de "l'agent dormant" façon "espion russe-prêt à frapper" et qui se met en mode "in love" m'a doucement fait marrer. - Apparemment, le fait d'avoir un simple treillis sert de passe-droit à Cassie pour se promener comme elle l'entends dans tous le complexe militaire des ETs. Et au moment où des gardes lui intime l'ordre de déposer ses armes, surgit comme par magie son copain mi figue-mi raisin, qui les envoi valdingué, avec ses supers pouvoirs spéciaux d'agents dormant. ce serait trop demandé qu'on nous explique pourquoi il y a des E.T. extra balèze et des E.T. qui passent leur temps à faire de la figuration !?! - sur la plateforme de départ des enfants humains et grâce à son super treillis de camouflage, Cassie peut aller chercher son frère et s'échapper comme elle le veut sans être inquiéter une seule fois par tous les gardes E.T. qui quadrillent l'opération...affligeant - Il n'y a aucun réalisme. Tout est lissé, il n'y a aucune peur "crasse" (genre les plus petits se font dessus au moment de passer à l'action par exemple, histoire d'ajouter un peu de réalisme au rapport enfant-ados/situations dangereuses et exceptionnelles), on évite de heurter les ados, dont certains pourtant appréciait les écarts de langage et le réalisme des situations du roman.


    - Bref, j'y suis allé parce que la bande annonce était pas mal fait, mais en fait la bande annonce, c'est à peu près tout le film...le reste, c'est du Carpenter repiqué et réarrangé pour que ça rentre dans les cases d'un film hollywoodien surfant sur la vague des teen movies (hunger games, giver et tout le reste). S'il devait y avoir une suite, je n'irai pas la voir.
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