Mon compte
    How To Talk To Girls At Parties
    Note moyenne
    3,1
    502 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur How To Talk To Girls At Parties ?

    52 critiques spectateurs

    5
    6 critiques
    4
    15 critiques
    3
    17 critiques
    2
    3 critiques
    1
    8 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    nadège P.
    nadège P.

    125 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 juillet 2018
    Une vraie purge ce film.
    Contrairement à ce que dit un internaute, j'ai bien tout compris merci mais c'est tout simplement très mauvais, pathétique.
    Impossible d'adhérer à cette histoire absurde, désolée.
    dominique P.
    dominique P.

    790 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 juin 2018
    Cette histoire avait l'air chouette et la bande annonce est bien.
    Quelle déception.
    J'ai vraiment détesté ce film.
    C'est une histoire complètement ridicule, ennuyeuse, pathétique.
    Je suis très bon public en général, j'aime toutes sortes d'histoires et de genres mais là je n'ai pas du tout adhéré à cette histoire.
    La bande d'extraterrestres est ridicule au possible et certaines scènes sont affligeantes.
    Bref, un véritable navet, un véritable nanar.
    axelle J.
    axelle J.

    106 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 juin 2018
    Voilà un film complètement indigeste, d'un ennui intense, très laid et désagréable.
    Tout est très mauvais, en particulier les scènes avec les aliens.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    587 abonnés 2 765 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 juin 2018
    « Do more punk to me » exige une Zan uniformisée jaune du jeune homme débraillé noir ; car la liberté punk se répand tel un virus sur les cellules constitutives de notre ADN, une figure crayonnée sur des pages de bande dessinée qui se révolte contre l’autorité et lui oppose ses mouvements corporels et verbaux. Ce qu’il y a de génial dans How to Talk to Girls at Parties, c’est la fragilité de ses protagonistes et des valeurs qu’ils portent, l’enrichissement que deux cultures subitement confrontées provoquent : les uns errent sans but et effraient les vieilles dames, les autres entre-dévorent et agonisent dans leur croyance en une hiérarchie figée dans le marbre (plutôt le latex). Entre ces pôles oscillent un Roméo et une Juliette à la complémentarité superbe qui découvrent leur corps et la sexualité qui l’accompagne, remettent en question leurs modèles sociaux pour, finalement, chanter d’une seule et même voix un refrain improvisé comme la musique de deux cœurs à l’unisson. Les acteurs brillent et livrent des performances incroyables – Elle Fanning est magnétique, Nicole Kidman terriblement habitée, survoltée –, la mise en scène déploie un talent visuel incroyable et cultive une savoureuse polymorphie, les chansons et la composition musicale originale s’insèrent parfaitement dans le récit au point d’en épouser les moindres retournements, aussi déments soient-ils. John Cameron Mitchell signe une œuvre coup-de-poing et profondément juste qui bouleverse, révolte et fait rire, qui prône une liberté toutefois partagée et régie par des croyances, aussi anarchiques puissent-elles paraître : ainsi la scène de fin résonne-t-elle comme un acte de foi en l’humanité et en la diversité qui la compose. Brillant.
    angelo F.
    angelo F.

    44 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 juin 2018
    Ce film se veut original, décalé, amusant et ce n'est pas du tout le cas.
    Il est juste absolument mauvais, ennuyeux, avec des scènes d'extraterrestres bien pathétiques.
    spoiler: Une belle daube.
    Jorik V
    Jorik V

    1 204 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juin 2018
    John Cameron Mitchell est un cinéaste aussi punk que peut l’être sa dernière œuvre. On se souvient de l’étonnant « Hedwig and the Angry Inch » et du culotté « Shortbus ». Histoires loufoques, images débridées et résultat quelque peu bordélique font partie de sa marque de fabrique. Mais si cela donnait un charme certain et une patte originale à ces deux précédents films (le troisième « Rabbit Hole » étant beaucoup plus classique), force est de constater qu’ici ces différentes caractéristiques sont beaucoup trop exagérées et aboutissent à un film qui a vite fait de nous décourager. Sa rencontre entre l’univers punk et celui de la science-fiction était une idée plutôt intrigante qui en valait une autre sur le papier, mais dont le résultat frôle constamment le Z.

    D’ailleurs on ne peut pas réellement dire qu’il y ait une histoire digne de ce nom dans « How to talk to girls at parties ». Mais cette particularité qui peut fonctionner dans certaines OFNI (Objet Filmiques Non Identifiés comme aiment les appeler certains cinéphiles) a vite fait de nous lasser ici. Le film part dans tous les sens, regorge d’idées plus ou moins bonnes (ou mauvaises devrait-on dire) mais ne convainc pas sur la durée. Passé le prologue hystérique et agaçant au montage qui fait mal au crâne, on a pourtant une once d’espoir lorsque trois adolescents débarquent dans une maison abandonnée investie par des extra-terrestres divisés en six colonies. L’idée des couleurs et de séparer les aliens en groupes est une bonne idée mais pas toujours bien exploitée et de trop courte durée. Au final, son long-métrage finit plus par ressembler à « La Soupe aux choux » version british qu’à un film culte et générationnel.

    On a droit tout de même à quelques belles séquences dont celle dans l’antre d’une Nicole Kidman déchaînée (l’un des seuls bons points du film) et à un final étonnamment émouvant au vu de tout ce qui a précédé. Mais le manque total de charisme des trois jeunes anglais et une œuvre qui s’éparpille dans le n’importe quoi constamment finissent d’achever notre patience. On en arrive même à se demander comment un truc pareil a fini par être produit et arriver en salles. Ce qui le sauve, c’est l’humilité ressentie dans « How to talk to girls at parties » et l’impression que Mitchell tente toujours de faire plaisir à son public. Qu’il essaye vraiment de proposer quelque chose de différent et de barré. C’est le cas, il faut l’avouer, mais il y a un gros manque de rigueur et son film ressemble plus à un nanar qu’à une pièce d’orfèvre dont on ne voudrait plus se passer. A moins qu’avec le temps, cette œuvre gagne en prestige par son côté unique…

    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 21 juin 2018
    How to talk to girls at parties raconte l'histoire d'une communauté extraterrestre, constituée par cinq groupes différents, qui arrive sur Terre pour se reproduire. L'ordre établi depuis des millénaires au sein de leur famille sera menacé quand ils rencontreront un groupe d'adolescents punk dirigé par Boadicea. Une artiste légendaire qui a pris son pseudo de la reine celte qui s'est battue contre les romains à Londres.

    Malheureusement, le fond du film, l'hédonisme contre la répression, non seulement est abordé dès un point de vu banal, mais aussi le fil narratif devient ennuyant très vite. C'est presque impossible de trouver des parallélismes entre l'organisation des aliens et le système hétéro-patriarcal traditionnel, donc la critique qu'on croit entrevoir se perd dans l'extravagance de son scénario. De plus, la représentation du punk est réduite au coté esthétique. Le film provoque mais il ne se révolte pas, il pique mais il n'attaque pas, il montre les dents mais il ne mord pas. On est loin du cinéma punk séditieux de Derek Jarman, bien sûr, mais aussi des films précédents de Cameron Mitchell.

    Hedwig mettait sur scène un protagoniste atypique et agressif qui éblouissait par sa tendresse et sa douceur. Cameron Mitchell débutait avec une opéra glam d'une sensibilité époustouflante, un chef d'oeuvre. Même si Shortbus n'était pas si impressionnant, sa défense libérée de la sexualité résultait actuelle, moderne et surtout scandaleuse pour les esprits fermés. How to talk to girls at parties n'arrive pas à leur niveau.

    Les scènes de sexe ne provoquent aucune réaction, elles sont inoffensives donc, inutiles. L'histoire d'amour se ralentisse jusqu'à l'assoupissement. On dirait que le réalisateur voulait imiter le style de Gregg Araki: des personnages naïfs et un récit délicat, sauf qu'on ne trouve pas l'émotion. En gros, on parle d'un film creux, qui vise très haut mais sans oser tirer dessus, et pire encore, un film ennuyant. Une chute pour Cameron Mitchell.

    ////// Encore plus de fautes et d'erreurs sur hommecinema.blogspot.fr
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 juillet 2018
    J'ai détesté ce film. C'était une farce indigeste et grotesque. Un des pire films que j'ai vu. Je suis sortie avec un super mal de tête. L'histoire est stupide et l'esthétique est ratée. Les personnages sont ridicules. Même la bande son est naze alors que je suis fan de punk. Ce film n'a rien pour lui. Gros bide.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 23 juin 2018
    Je ne suis pas punk mais je vais quand même parler de ce film. En un mot : raté. Se veut original et en devient grotesque. On s'ennuie. Joli clip au milieu. Bref, allez voir autre chose.
    lara cr28
    lara cr28

    66 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2018
    On ne sait trop si le réalisateur cherche à déconstruire le mode extra-terrestre ou nous exprimer à travers lui la métaphore de l’amour entre deux êtres, toujours utile que ce film est un ovni fascinant qui ramasse toute l’énergie des années 70 anglaises : couleurs, tenues, musiques, l’ensemble projeté dans un futur fantasmé. On peut se laisser tenter par cette aventure psychédélique même si on flirte avec les limites. Quoi qu’il en soit, l’histoire entre nos deux héros est charmante et Nicole Kidman, bluffante.
    FaRem
    FaRem

    7 483 abonnés 8 855 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2018
    "How to Talk to Girls at Parties" est un véritable OFNI, un film qui mélangent les styles et les genres avec beaucoup de réussite. Un film musical avec des éléments de science-fiction, des Punks qui croisent la route d'Extra-terrestres, c'est inattendu et le résultat est complètement absurde et délirant. Zan qui est en conflit avec les siens décide de suivre Enn pour qu'il lui fasse découvrir son univers pendant 48 heures. Ce grand assortiment est la force du film et ce qui permet de parfaitement le rythmer. C'est à la fois une comédie loufoque, une romance attendrissante et naïve, mais aussi un film qui parle de liberté, d'amour, de sexualité, de conformisme entre autres de façon légère et décalée. Le film est parfois inégal, mais on retient surtout certaines excellentes scènes à la fois drôles et divertissantes qui prédominent le film ainsi que l'excellente performance de Elle Fanning. J'ai un peu décroché vers la fin malgré un beau final, mais dans l'ensemble ce troisième film de John Cameron Mitchell est réussi. Un film excentrique, fou, déjanté et drôle, mais aussi attachant et touchant.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 163 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2018
    Ah ! Ah mais oui ! Ah j’en reste sans voix ! Les mots me manquent pour parler de ce « How To Talk To Girls At Parties » ! (Et au final tant mieux pour vous parce que ça drastiquement réduire la longueur de mon propos.) Que dire face à un film comme ça ? Que dire si ce n’est que j’ai eu la chance d’avoir été confronté à une vraie proposition de cinéma menée par un auteur qui a su à la fois mêler audace d’un côté et rigueur de l’autre ? J’adore ce que nous a fourni ici John Cameron Mitchell. Encore une fois, voilà un film qui parvient à mettre remarquablement en avant des sentiments et des émotions à fleur de peau. Quel est le synopsis ? Sur quoi repose l’intrigue ? Au fond on s’en moque car le cœur du sujet c’est ici clairement capter une sorte de pulsion de vie, et la capter dans ce qu’elle a de plus beau. En surfant entre la culture punk et le trip new-age, John Cameron Mitchell parvient à mettre en place une atmosphère et un dispositif narratif qui parviennent à la fois à magnifier l’innocence, la beauté de la pulsion et l’émerveillement face à ce qui est nouveau. Tout cela est étonnamment bienveillant sans pour autant donner l’impression d’édulcorer le regard porté sur l’humain et les choses. En voyant ce film, j’ai eu l’impression que « Le dernier pub avant la fin du monde » venait de percuter de plein fouet « Kaboom ». Et tout cela est fait avec une vraie science du rythme, du cadre et de la composition picturale. J’ai trouvé ça nerveux sans que ce ne soit énervant. J’ai trouvé original sans que ce ne soit être inaccessible. Drôle sans être lourd. Perché sans être ridicule. Et surtout, il y a une cohérence à cette métaphore et un propos au bout du cheminement, mais jamais tout cela est orchestré de manière à ce que ça ne soit trop simpliste ou trop obscure. Il y a dans ce film un savant équilibre entre d’un côté une légèreté et un goût de l’absurde fort bienvenus, et de l’autre la volonté malgré tout d’accorder de l’importance aux émotions, sentiments et propos qu’on entend tenir. C’est simple, j’adore. Et comme un con je ne saurais en dire davantage tant tout ce film coule pour moi comme une évidence. Alors attention bien sûr. Je ne suis pas non plus en train de vous dire que ce film est un chef d’œuvre universel et qu’il suffira que quiconque se plante devant pour être touché par la grâce : non. Par contre, ce que je dis, c’est que ce film est une belle audace, à la personnalité et aux savoir-faire indéniables, et que ceux qui sauront y être sensibles, ceux-là sauront – je pense – prendre leur pied comme moi je l’ai pris. Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Christoblog
    Christoblog

    747 abonnés 1 618 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juin 2018
    Il est bien rare qu'un film apporte en même temps des plaisirs esthétiques, intellectuels et émotionnels, tout en restant léger et digeste.

    C'est pourtant l'exploit que réussit le dernier film de John Cameron Mitchell, qui commence comme un tableau speed de la jeunesse punk des années 80 façon Dany Boyle, avant de se transformer en un délire psychédélique coloré et sucré.

    Mitchell parvient avec une grâce incroyable à varier les tons, les rythmes et les ambiances avec un égal talent. Sous son apparente légèreté, How to talk to girls at parties aborde finalement avec un angle nouveau un sujet profond et universel : qu'est-ce que l'amour ? Le film est une sorte de comédie romantique acidulée, qui parvient à éviter la mièvrerie et tous les chausse-trappes inhérents au genre. Ce prodige est dû en particulier à la prestation mutine de Elle Fanning, qui s'affirme ici comme une vraie, grande actrice. Elle semble guidée dans cette émancipation par Nicole Kidman, méconnaissable en Cruella rock'n roll.

    Le film n'est pas seulement beau et drôle, il est aussi piquant : pratiques sexuelles (ô combien) hors normes, punchlines décapantes, moqueries diverses. On sourit, on réfléchit, on est intrigués et émus. De la belle ouvrage.
    AZZZO
    AZZZO

    270 abonnés 732 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    Soyons franc : des films de ce genre, il y en a un ou deux par an et on adore ou on déteste. Moi, j'adore. C'est un ovni. La plus belle histoire d'amour que je n'ai jamais vue entre un punk londonien et une extra-terrestre. Un film totalement space. Un vrai film punk !
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    229 abonnés 882 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2018
    Comme une sorte de nouvel hommage au Rocky Horror Picture Show, How To Talk To Girls At Parties n’est clairement pas destiné au grand public. Ce grand délire foutraque s’adresse clairement avant tout aux nostalgiques du punk et aux amateurs d’images psychédéliques et bien sur aux fans de John Cameron Mitchell. Sans atteindre la réussite et la folie de Hedwig And The Angry Inch, cette curiosité a tout pour devenir cultes dans les séances de minuit. Un nouveau phénomène qui devra cependant encore compter sur le bouche à oreille pour se faire connaître des amateurs. Si vous pensez faire parti d’entre eux ne tardez pas plus pour découvrir ce nouveau film brillamment porté par Elle Fanning. [Lire la critique complète sur FreakinGeek.com]
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top