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    Les Chansons que mes frères m’ont apprises
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    Justin Constans
    Justin Constans

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 avril 2024
    Ce véritable laxatif audiovisuel nous incite clairement au suicide pendant 1h34. Cette catastrophe est bien la preuve que l'incompétence de ces artistes nous fait littéralement chier. Bonne journée.
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2022
    Songs My Brothers Taught Me, un film dont le langage fait écho avec le ressentit qui le précède de quelques secondes, on montre, on parle, à l'instar du documentaire dont la forme à autant de poids que le spectacle délicat et brute dans le geste de sa réalisatrice, Chloé Zhao.

    Pendant de longues semaines je me suis répété qu'il me fallait à tout prix voir ce film, pourtant j'ai bien faillit le manquer ! Quelle bêtise cela aurait été. Non pas que ce long-métrage soit un immense coup de cœur, il n'en reste une aventure singulière.

    La trajectoire de ces Indiens/Cowboys fusionnent avec le passé, présent et futur et raconte au fond une histoire universelle, son principal protagoniste nous le dis sciemment : " C'est dur de partir lorsque l'on a connu que çà ! " Le lien qu'il partage avec sa petite sœur st d'ailleurs merveilleux. Leurs avancé.e.s mutuelles, ensemble puis à distance, le tout en restant cote à cote livrent des moments d'une intensités exaltantes.

    Les visages de ce film sont d'ailleurs marqués par le poids des choses, des traces qui ne s'oublient pas !
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 octobre 2022
    Chronique un peu contemplative mais prenante du quotidien morose d’une communauté marginalisée vivant en réserve indienne, à travers le récit sensible d'un déracinement presque impossible, porté par une sœur et un frère très attachants. 3,25
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 728 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2022
    Sur un rythme assez lent, l'élégante mise en scène illustre habilement le désarroi d'adultes trop confrontés à leurs failles pour prendre soin de leurs enfants, livrés à eux-mêmes et portant d'inatteignables rêves ou de traditionnels desseins marqués par leur culture que Chloé Zhao présente sans didactisme mais par touches, par détails révélateurs. A la fois tendre et désespéré le récit livre des tranches de vie emplies de nostalgie et de douleur contenue. Délicat.
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juin 2022
    Beau premier film qui s'attache à une communauté rarement vue au cinéma. L'espace et les différentes activités de plein air sont très bien filmés, tout comme les deux jeunes protagonistes que Chloé Zhao accompagne avec douceur at auxquels on s'attache rapidement. On peut reprocher néanmoins à la réalisatrice un scénario minimaliste qui donne l'impression que les personnages tournent un peu en rond.
    TUTUR29
    TUTUR29

    24 abonnés 1 019 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2021
    Très beau film, qui dépeint la vie des habitants de campagne américaine de manière très authentique, touchante et poétique. Je regrette toutefois l’absence de scènes réellement marquantes, ce qui donne l’impression que l’intrigue du film ne démarre jamais vraiment à 100%.
    Boris
    Boris

    1 abonné 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2021
    Avec ce premier film, Chloé Zaho donne le ton. Les paysages, les thèmes, les personnages... La beauté est brut et partout. Il semble que les émotions sont d'avantage portés par les dialogues, une explicité qu'on adora voir se dissiper dans ses prochains films.
    Alain D.
    Alain D.

    492 abonnés 3 204 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2021
    Un Drame saisissant, tourné avec des acteurs non professionnels par Chloé Zhao. Elle nous offre de très belles images des grandes plaines du Dakota, nous montrant la vraie vie des Indiens du grand Ouest Américain, descendants de Crazy Horse le grand chef Sioux.
    Pris sur le vif, des instants émouvants nous montrent leurs coutumes encore appliquées, leurs conditions de vie dans la Réserve de Pine Ridge, leur pauvreté et leur mélancolie, la contrebande d'alcool ...
    Une histoire émouvante avec des personnages attachants comme Travis le tatoueur peintre, et la jeune et attendrissante Américaine Jashaun St. John qui joue la soeur de Johnny.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 février 2021
    Si la cinéaste avait l'intention de capturer l'attachement des indigènes à la terre ce film a manqué son but. Le temps est trop douloureux a passer dans ce film même s'il est considéré comme un récit de voyage pour les spectateurs qui n'ont jamais passé de temps dans la région de Pine Ridgeres des états des plaines et il reste difficile à extraire d'une intrigue qui ne fonctionne pas comme un documentaire ou un drame. Appelons cela une tranche de vie pour les frères, la mère et la sœur du territoire et espérons que les acteurs en garderont un souvenir parmi les films familiaux pour leurs petits-enfants car le spectateur lui n'en gardera aucun...
    pradap9L
    pradap9L

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 septembre 2020
    Film sélectionné aux festivals du Sundance, de Deauville, et de Cannes ; c'est aussi un titre édité par Diaphana... un studio que j'apprécie tout particulièrement.

    C'est l'histoire tragique des Winters. Lors d'un tragique incendie, le père décède ; et les deux enfants que sont Johnny et Jashaun se retrouvent sans lui, seuls avec leur mère.

    Pourtant, Johnny veut partir. Il veut partir de là où il est ; et sa jeune compagne, une serveuse de restaurant, veut l'amener avec elle. Johnny ne craint pas de se déraciner, jusqu'à ce moment là.

    Mais alors, quelles sont les raisons qui motivent Johnny et sa jeune compagne ? Pourquoi cette volonté ? Johnny ne se le confiera que lors des toutes dernières minutes du film.

    Dernières minutes qui clôturent avec maestria les toutes premières ; celles qui font figure d'introduction, comme par exemple la toute première où Johnny se tient sur un cheval, se confiant par voix-off là-aussi, sur ce qu'il pense de l'intégrité des chevaux, et de comment ils sont dans leur fort intérieur.

    Et cette première scène est sublimée par une photo renversante, pas un bruit qui comble le reste, pas de mise en scène spéciale. Le personnage principal est au centre de toute attention, pendant qu'on distingue, derrière l'hennissement, à peine le son du paysage amérindien, territoire où le film se déroule. Cette scène se pose là, d'emblée, comme un cheveux sur la soupe, les pieds dans le plat, en même temps. La scène va prendre appui pour faire s'envoler le (télé)spectateur et le transporter à travers une histoire initiatique, quelque chose d'assez sensoriel, quelque chose de pesant comme le plomb et léger comme l'air. Quelque chose de transcendant... devrais-je dire, plutôt.

    Ce n'est pourtant pas la seule scène renversante du titre. Car le titre immense et grandiose de Chloé Zhao, en regorge. Que ce soit les moments filmés dans la paroisse, ou que ce soit les espérances prophétiques de l'homme "tout en vert", ou que ce soit même encore la prière lors du lancement des épreuves de Rodéo, chaque mot est si fort qu'ils ont tous la puissance suffisante pour subjuguer n'importe qui à quiquonque sais considérer ce film à sa valeur juste (et la valeur de ce film là, je peux affirmer qu'elle est très haute).

    Le film ne parle d'ailleurs que peu, très peu même. Le scénario principal n'est pas quelque chose d'inédit, mais la réalistrice explique plusieurs choses dans les options supplémentaires, qui permettent de comprendre complètement ce qu'est le film et comment il a été tourné il y a maintenant quelques années. Il s'agît là d'un récit réel (ou à peine détourné, nuancé) d'après une histoire vraie. Il n'y a presque pas, ou pas du tout d'acteur professionnel, et pourtant, la moindre gestuelle et leur jeu est une claque visuelle, le tout d'un naturel bouleversant.

    Le film ne parle que peu, mais suffit pour comprendre ce qu'il se passe dans la vie des Winters et la communauté de la Réserve, en cette époque si obscurcie de cette décénnie 2010. Le film ne donne jamais la leçon, mais la quasi totalité des personnages, si (et que ce soit une leçon de vie, ou une leçon d'acteur).

    Mené par une remarquable maîtrise de la caméra, ponctué avec de nombreux plans cadrés sompteusement bien, que ce soit dans les Rocheuses, sur les côteaux ou même dans les abords des plaines ; et soutenu par une musique tout bonnement parfaite magnifiant l'image, cette histoire tragique est relatée parfaitement, avec sobriété et avec pudeur ; faisant de ce titre un chef-d'oeuvre grandiose et majestueux, dans la biographie de cette très talentueuse réalisatrice qu'est Chloé Zhao.

    Dans ce chef-d'oeuvre, il est question de chansons, il est question de danse, et du vent. Il est aussi question de Fin et du Début. C'est ici le premier long-métrage de cette réalisatrice, capable d'avoir realisé un film merveilleux avec de l'indépendance et liberté.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 octobre 2018
    Je salue sans "réserve" la poésie et la tendresse avec laquelle Chloé Zhao filme cette fratrie qui ne rit pas beaucoup. Zhao parie sur la fiction/ documentaire pour ne point taire les dérives d’une communauté déchirée entre un rêve américain inaccessible et le poids des traditions. Même si notre regard se perd parfois dans ces magnifiques paysages qui subliment l’errance, pudiquement, Zhao suggère l’erreur de la fuite (alcool, tabac, drogue et Los Angeles…anges du diable ??). Pour Zhao l’espoir repose sur Jashaun (propre rôle incarné avec luminosité et candeur), symbole de cette 7ième génération dont Sitting Bull tire le salut de son peuple.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 avril 2018
    Un film à la beauté sauvage sur une Amerique encore trop méconnue et pourtant authentique magnifique et infernale tout à la fois. Un premier film vraiment prometteur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 avril 2018
    Beau film contemplatif du paysage naturel américain et de ses personnages autochtones dit amérindiens se racontant une intense histoire anthropologique culturelle, musicale et humaine, au delà de la fiction.
    Cyril J.
    Cyril J.

    23 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2018
    Un lycéen ayant toujours « vécu en captivité » dans la réserve attribuée à son ethnie par le pouvoir en 1889, se débrouille pour occuper sa vie, entre boxe, lycée, communion avec la nature et les animaux, trafics d’alcool, rivalités de gangs, rodéo, sa copine et sa toxicomanie. Mais sa soif d’accomplissent le pousse à plaquer ce mortifère monde semi-carcéral qui en dit pas son nom pour suivre sa copine à Los Angeles, même si rien de raisonnable ne l’y encourage, d’autant qu’il abandonnerait sa mère alcoolique et sa petite sœur qui n’a plus que lui.
    Par un enjeu relativement banal, Chloé Zhao, nous plonge dans l’intimité bouleversante, familiale, économique, sociale et hallucinante de la vie des Oglalas dans leur réserve de Pine Ridge dans le Sud-Dakota de nos jours, dans un respect intégral de leurs coutumes et valeurs, paradoxalement très américanisés dans les circonstances de leurs activités. Elle dresse un portrait touchant et pathétique, réaliste en sachant rester poétique, de la 6ème génération de survivants amérindiens, parqués et abrutis par l’assistanat d’Etat, induisant une épuisante oisiveté, une drogue dévoilée sans concession, une absence de cap, un monde artificiel, démotivé, et donc vide, lent et démoli, surtout pour une culture où l’essentiel s’obtient dans la maturité personnelle.
    L’intimité des personnages permet une investigation sobre, pudique, tout en déductions, et dévoilent leurs vies et leurs talents, amputés dès le départ, en ayant l’intelligence de ne pas sombrer dans l’apitoiement larmoyant. L’étonnante pierre blanche du film nous immerge dans une vie où l’« indiennitude » se veut totale à l’intérieur d’un vernis évidemment américain, le tout conduit par la seule recherche viable et sereine possible quand on sait la trouver en soi.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    217 abonnés 2 856 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 février 2018
    Zzzzzzzzzzzz ! ZZZZzzzzzzz !! Ce film est un somnifère pas croyable !! Le thème m'intéressait pourtant plus que tout !! Voir la vie quotidienne d'une réserve nord américaine m'attirait énormément et bien j'attends toujours...le scénario est inexistant, les acteurs sont mollasses et les scènes sont répétitives et inintéressantes !! Une succession de dialogues et de situations sans intérêt !! Bref un film vaporeux qui m'a profondément ennuyé !
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