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    Le Nom de la Rose
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    electricite21
    electricite21

    1 abonné 48 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mars 2016
    j'aime bien se film, surtout du fait religieux (j'adore les églises et la religion) très bien joué bons acteurs,
    mauvaise traduction en Français - le sujet bof le cadre est magnifique
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    941 abonnés 4 863 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Un film saisissant par sa plastique. Une adaptation de grande qualité sur l'obscurantisme et la terreur. Grande interprétation des acteurs et une ambiance surprenante. Film passionnant.
    Karim A.
    Karim A.

    40 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 janvier 2016
    Jean-Jacques Annaud tu es dans le club des peu de film mais de très bon film.
    Ce film du temps de l"inquisition redoutable et sans pitié du Moyen Age
    et un bijou d'enquête dans un environnement ou le silence est roi.
    Ou chaque réponse est à aller chercher chez le Pape.
    Un décor bien fait, des dialogues justes et sans parasites
    des acteurs de qualité, et on passe une belle soirée.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 novembre 2015
    Jean-Jacques Annaud réalise ici son plus grand film. Lui et son équipe ont effectué un travail titanesque et magnifique. Le réalisateur français effectue une mise en scène magistrale et spectaculaire. Dés que les deux moines pénètrent dans l’abbaye, on est quasi dans un huis clos. On est au plus près des évènements et des personnages, on respire le même air humide et poisseux du monastère. On sent l’œil passionné de Jean-Jacques Annaud, tout est si millimétré et juste. Le rythme est haletant et le suspens est magnifiquement mené, on est dedans du début à la fin.
    Sean Connery effectue son grand retour au cinéma. A l’époque sa carrière est en dents de scie et il lui a fallu trois années de patience et de réflexion pour revenir en grande forme. Sir Sean Connery est impérial dans la peau du moine franciscain Guillaume de Baskerville. L’acteur effectue ici l’une des plus grandes performances de sa carrière et d’ailleurs il sera récompensé par le BAFTA du meilleur acteur.

    Au niveau du scénario, c’est bien adapté et romancé. Jean-Jacques Annaud et ses scénaristes ont modifier quelques éléments par rapport au roman mais ils n’ont très bien fait et c’est justifié au sein du film. Les thèmes sont très bien retranscrits, l’amour, la passion ou encore l’humour au sein de la chrétienté.

    Les décors, les costumes et les accessoires ont une énorme importance au sein du film, le travail effectué est tout simplement bluffant et très proche de la réalité d’époque. Tout est si bien reconstitué, par exemple, les manuscrits, les livres, ou encore le fameux escalier « labyrinthe ».

    Un petit mot sur la musique du film, qui a été composé par le regretté James Horner. L’œuvre de ce dernier est somptueuse et en adéquation avec les images et l’atmosphère qui règne au sein du long métrage.

    La critique complète et détaillée est disponible sur le blog =)
    Stephenballade
    Stephenballade

    358 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2015
    J’ignore si "Le nom de la rose" est une adaptation fidèle du roman éponyme d'Umberto Eco, mais à mon humble avis nous avons sans doute là le film le plus abouti et le plus magistral de la filmographie de Jean-Jacques Annaud. Doté d’une intelligence rare, le scénario raconte l'enquête d'un moine franciscain sur des crimes obscurs dans une abbaye bénédictine du XIVe siècle, et cela de façon très passionnante. Avec le règne inquiétant de la grande Inquisition en toile de fonds, et entre les divergences des ordres religieux bénédictins et franciscains spoiler: (argumenté d’un débat limite houleux et néanmoins respectueux)
    , nous assistons à un thriller médiévo-religieux qui n’a rien à envier à une excellente intrigue policière au sens propre du mot. On peut considérer que le budget de 19 millions de dollars a été bien utilisé, tant la reconstitution est impressionnante de réalisme. Pour ce faire, le chef décorateur, muni de son imagination, s’est permis de construire de toutes pièces l’austère abbaye dans les Abruzzes, non loin de Rome, en s’inspirant toutefois d’un château italien du XIIIème siècle (Castel Del Monte, à 70kms à l’ouest de Bari). Quant aux intérieurs, ils sont été tournés dans un ancien monastère cistercien situé à proximité d’Eltville, en Allemagne. Des lieux mystiques idéaux pour implanter efficacement l’adaptation du roman, tout en leur apportant une atmosphère glaciale et mystérieuse, pour ne pas dire lugubre et pesante. Dans un cadre aussi envoûtant qu’inquiétant, aussi superbe que lugubre, aussi pieux qu'intrigant, il fallait une distribution sans faille. Et comme les moines sont en général des personnages qui ne sont pas sous le feu des projecteurs, le réalisateur ne souhaitait pas d’acteur de renom dans son film. Mais c’était sans compter sur l’abnégation de Sean Connery, ce dernier étant plus que jamais motivé pour interpréter Frère Guillaume De Baskerville. La qualité d’interprétation du comédien lors de son audition fut telle qu'elle suffit à convaincre Jean-Jacques Annaud, au grand dam de l’écrivain et des distributeurs. Eh bien j’ignore ce que ça aurait donné sans l’acteur britannique, mais il faut reconnaître que Sean Connery est éblouissant de charisme, empli de convictions nécessaires au rang de son personnage. Flanqué de son moinillon à qui il doit tout enseigner, il forme un bon duo avec Christian Slater alors tout jeune et déjà talentueux tant il parvient à faire ressortir toutes les incertitudes qui le rongent, en posant les questions à la place du spectateur spoiler: , aiguillant sans le vouloir son maître dans ses raisonnements aussi labyrinthiques que la bibliothèque
    . Bon d’accord, tous les acteurs sont parfaits, mais je me dois d’insister sur LA performance de Ron Perlman qui, dans ce vrai rôle de composition, touche du doigt l’excellence de l’interprétation dans la peau du "stupido" Salvatore pas si stupide que ça. A lui tout seul, il représente une vraie hérésie, et en même temps pas du tout. Je ne vais pas citer tous les interprètes car ils sont tous très bons, mais je me permets de préciser qu'ils contribuent tous à la grande qualité de ce thriller complexe et ô combien passionnant. Passionnant, mais qui fait frissonner tant les crimes paraissent machiavéliques (pour ne pas dire démoniaques), tant la religion semble plongée dans un profond obscurantisme, tant les maquillages burinent certains visages de non-dits et de mensonges. Il faut bien évidemment parler aussi de James Horner, un des compositeurs les plus en vue d’Hollywood : il signe ici une partition qui colle parfaitement au film, faisant de la bande originale un atout du film, sans lequel "Le nom de la rose" ne serait pas "Le nom de la rose". Les tonalités carillonnantes lors de l’approche finale de l’abbaye de Guillaume et Adso à dos de leur monture et la narration en voix off genre voix d’outre-tombe captent d’entrée toute l’attention du spectateur. Cette dernière sera gardée en captivité dans les murs de cette abbaye jusqu’au générique de fin. Au-delà du logique César du meilleur film étranger 1987, c’est un véritable voyage dans le temps que nous propose "Le nom de la rose".
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    94 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 octobre 2015
    S'il n'y avait qu'une chose remarquable à citer sur ce film, il faudrait parler de sa splendide linéarité dans l'ambiance. Sans pourtant être louable pour sa finesse - puisque l'explicite est aussi largement utilisé -, il a le mérite bien particulier d'entretenir chez le spectateur une crainte indistincte qui se révélera sans objet sans pour autant trop le frustrer. Et pour ceux que la dernière partie du film refroidirait à cause de son surplus de matérialité et son analogie incontestable à un feuilleton policier de bas-étages, il y a toujours la promesse d'une fin saillante qui propulse l'imaginaire dans ce qu'on suppose être la réalité de l'époque.
    mimylovesjapan
    mimylovesjapan

    1 abonné 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2015
    Ayant revu le film récemment je me suis rendu compte de tous les bugs et de l'incrédulité historique du film. Les propos relativistes sur la religion de la part même d'un prêtre anciennement inquisiteur, une histoire d'amour improbable entre un jeune moine et une fille de la rue, qui passent à l'acte après s’être regardé deux fois dans le film... bref c'est parfois loufoque, et pourtant on passe un très très bon moment avec ce film. C'est toute la magie du cinema d'Annaud. Le film est très bien réalisé, les acteurs et les dialogues intéressants, la musique parfaitement adaptée.
    Jonathan M
    Jonathan M

    115 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 septembre 2015
    Le film a apparement saisit une génération. Pris avec 30 ans de recul, on se demande vraiment si il n'y pas eu un peu de sur-évaluation dans la critique. J'accepte l'idée que le film crée une forme de tension, c'est l'église dans son retranchement, dans son vice. J.J. Annaud manipule le scénario pour en faire un thriller autocentré sur quelques faits historiques. Comme l'expression de faciès de Christian Slater pendant tout le film est ridicule, le film ne développe rien de majeur.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 115 abonnés 4 228 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juillet 2015
    Un film vraiment superbe que Le Nom de la rose, un de ceux qui ont imposé Annaud comme un des réalisateurs français les plus talentueux.
    Le casting est déjà franchement monstrueux. Alors certes parce qu’il y a quelques acteurs ici utilisés vraiment pour cela, pour retranscrire un Moyen-Age sans concession, effrayant, avec notamment le mémorable Ron Perlman dans un rôle plus subtil qu’il n’y parait aux premiers abords. Les seconds rôles sont en effet assez énormes ici, avec des acteurs au top, la plupart trouvant ici leurs meilleurs rôles. On notera aussi la présence toujours forte de Michael Lonsdale. En tête d’affiche un jeune premier, Christian Slater, qui affirmait déjà un franc talent, et il est peut-être dommage qu’il se soit écarter par la suite de ces rôles forts, tandis que Sean Connery est brillant. Il est tout à fait adapté à son rôle, et campe à merveille ce moine enquêteur. A noter une seule présence féminine, mais Valentina Vargas parvient à tirer son épingle du jeu quand même.
    Le scénario est remarquable. D’une grande subtilité, mélangeant les genres avec une efficacité redoutable, le final est absolument mémorable. Porté par le talent d’Umberto Eco, des écrits duquel s’inspire le film, Le Nom de la rose est un film d’une originalité toujours sensible, d’une force sublime, et d’une construction remarquable. Aux limites du fantastique parfois, c’est indéniablement un grand film. Accrocheur, sa durée n’est pas un souci, même si certains pourront peut-être voir quelques longueurs, infimes cependant, en tout cas pas assez pour entamer la qualité de l’ensemble.
    Visuellement le film n’a aucune aspérité notable. Doté d’une mise en scène impressionnante de Annaud (le final est mémorable, mais globalement les crimes et la fameuse scène érotique sont des moments marquants), Le Nom de la rose dispose d’une esthétique médiévale toujours aussi incroyable. C’est un des films sur la période les plus parfait de ce point de vue, avec une photographie d’une beauté incroyable, des couleurs superbes, des décors naturels et humains splendides, et une ambiance prenante de bout en bout. Cette ambiance d’abbaye en plein hiver est limite hypnotisante, et le film est d’une beauté totale. Le tout porté par une bande son aux petits oignons.
    Franchement cela faisait longtemps que je n’avais pas relevé un chef-d’œuvre dans mes divers visionnages, mais Le Nom de la rose mérite ce titre. Superbe film, c’est une petite pépite, globalement reconnue mais pas toujours autant qu’elle le devrait. 5, sans hésiter.
    christophe117
    christophe117

    6 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juillet 2015
    On prend goût à voir Sean Connery en Sherlock Holmes et, au fond, c'est surtout son enquête sur ces morts mystérieuses qui porte le film, ses déductions et les caractères trempés des différents protagonistes.

    Mais alors, quel lamentable acharnement anti-catholique, complètement erroné et misérable Jean-Jacques Annaux nous inflige !
    Du détail par exemple : j'ai entendu que les enluminures des livres avaient été faites à la main, selon les méthodes traditionnelles. De la grande recherche d’authenticité donc. Très bien, mais en même temps, Jean-Jacques Annaux n'est pas capable de faire incliner la tête des moines aux bons moments liturgiques : on incline la tête au moment du "Gloria Patri et Filio et Spiritui Sancto" et pas à partir du "Spiritui sancto" pour la garder baisser quand on reprend l'ancienne "In manus tuas..."
    C'est évidemment un détail, mais tout le film est dans l'erreur, dans le détail, comme dans le général. Autre détail : une cellule est une cellule. Le but est précisément d'être seul... pas à deux !
    De la même manière pour des choses plus importantes, le film délire complètement en parlant de l'inquisition. Le principe est justement d'avoir instauré une procédure d'enquête indépendante, avant de remettre ses conclusions à un juge différent. Dans le film l'inquisiteur enquête et est juge. Et ceux qui contestent sont excommuniés. C'est tellement grotesque.
    Ou encore quand une fille tente un moine et qu'ils sont pris en flagrant délit (ce qui n'est pas le cas dans le film), ce n'est pas de l'hérésie. L'hérésie, c'est lorsqu'on conteste un dogme.
    Enfin, les légats du Pape ne s'assoient pas face aux franciscains, à la même hauteur. Sans parler de l’architecture de la bibliothèque...
    Bref, ce film est un condensé de la pensée franc-maçonne d'Umberto Eco et des bêtises qu'on enseigne sur le Moyen-Age, qui ruinent toutes les scènes spirituellement belles (paysages gâchés par une musique angoissante, chants religieux gâchés par des événements narratifs, etc.).
    Le casting à lui seul démontre la volonté malsaine du réalisateur de dépeindre un monastère arriéré, rempli de vilains intégristes.
    C'est bien dommage...
    Nyns
    Nyns

    191 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2015
    La référence du thriller médiéval dont l'action se situe entièrement dans l'enceinte d'un monastère et dont les protagonistes sont des moines. "Le nom de la rose" conserve une belle place dans la qualitative filmographie de Jean-Jacques Annaud au vu de son originalité et du traitement efficace de son sujet principal : la dénonciation de l'obscurantisme religieux. Sean Connery en Guillaume de Baskerville et son novice acolyte Christian Slater en Adso forme un duo convaincant d'enquêteur mêlant la sagesse réfléchie et la jeunesse torturée. Mais les prestations de Michael Lonsdale et F. Murray Abraham sont également excellentes. Le seul bémol pour ma part est l'idylle peut convaincante du jeune moine, mais cela participe incontestablement à la magnificence du diatribe évoqué plus haut. Un film culte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 juillet 2015
    Un très bon thriller, porté par d'excellents acteurs on plonge rapidement dans l'ambiance de cette abbaye où les décès s'accumulent étrangement. Le scénario est bien maîtrisé et l'on se prend au jeu de mener l'enquête avec Sean Connery et son jeune novice qui l'accompagne, dans une atmosphère alliant le huis clos et un côté mystique. Une véritable réussite pour un film prenant qui n'a toujours pas pris une ride.
    AV ciné
    AV ciné

    91 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2016
    Un thriller étrange avec une histoire pas très prenante a cause de beaucoup de longueur !
    L'ambiance du monastère avec tous ses moines aussi étranges les uns que les autres est certes réussie et Sean Connery est plutôt convaincant dans son rôle mais l'histoire n'est pas assez accrochante, dommage.
    Ghibliste
    Ghibliste

    66 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2015
    Le plus dingue lorsque l'on revoit "Le Nom de la Rose", adaptation du roman d'Umberto Eco par Jean-jacques Annaud, c'est de se dire que celui-ci date de 1986, parce que du point de vue de la photographie et de la réalisation c'est tout simplement bluffant ! Ce qui est également bluffant dans ce huis-clos, c'est la manière dont est retranscrite l'époque : l'ambiance, les costumes, les sales gueules, tout y est ! Comme le jeu d'acteurs... Car même si Christian Slater est encore un peu tendre (en même temps c'est le rôle...), Sean Connery est juste fabuleux ! Tout comme la majeure partie des seconds rôles. L'intrigue est passionnante, et le suspense captivant... Il y a juste ce passage labyrinthique au milieu du film qui m'ennuie à chaque fois. Un très bon thriller moyenâgeux donc, au beau milieu des turpitudes de l'obscurantisme religieux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 juillet 2015
    Ultime film policier, le top du top. Sean connery toujours excellent et un suspense insoutenable.
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