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Benito G
581 abonnés
3 159 critiques
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3,0
Publiée le 22 mai 2019
Un huit clos a tendance horrifique et légèrement le côté dramatique. Le réal brouille les pistes, et les visions et la réalité nous tient en haleine jusqu au bout.
Un huit clos avec une multiplication d'effets qui maintiennent sous tension le héros et le spectateur. Dans ce thriller horrifique pas un seul temps mort, la réalité et les visions se confondent pour mieux nous égarer. Puis le récit devient plus complexe, quelque peu tiré par les cheveux, jusqu'au final déconcertant.
delirium est un thriller qui traite comme le nom du film l'indique d'un homme sortant d'un hôpital psychiatrique et se retrouvant entre réalité et imaginaire. Ce film se laisse apprécier sans être exceptionnel par le fait qu'il manque au scénario de l'originalité.
Délirium brouille les pistes, un huis clos typé angoisse légèrement horrifique qui bascule doucement dans le drame. La trame est cohérente, le déroulé crédible avec une fin malheureusement sans réelle surprise tout en étant étonnante. Mais pour le spectateur, le jeu est de savoir ce qui est réel ou un "délire". Quelques jeux d'acteurs maladroits, des effets assez réussis. On regrette toutefois que le coté pur thriller soit soft. A découvrir 3/5 !!!
Alors ce film est un peu particulier car il y a vraiment du bon dedans mais il n'est pas exempt de défauts, malheureusement.
Alors en point positif on a un scénario qui est vraiment sympatoche. D'ailleurs je trouve que ce film est un peu l'inverse de certains blocksbuster d'aujourd'hui je trouve, vous savez, ceux qui ont un scénario inexistant mais une mise en scène super bien. Bin voilou c'est l'inverse, le scénario est très bien, mais la mise en scène n'est pas toujours au top, les dialogues souvent bof, bof, et bon la manière dont ils ont fait interagir spoiler: le frère c'est un peu n'importe quoi.
Bon je lui mets 3,5 pour le scénario, dommage qu'il n'y ait pas plus de cohérences dans les situations des personnages.
Quelque part oui c’est du délire La folie est quasi partout dans ce film, du coup on en perd le fil, dommage, il aurait pu être bien mieux ficelé En plus, les acteurs, à mon sens, n’ont guère de charisme
On avait étonnamment perdu de vue Dennis Iliadis depuis la bonne surprise qu'avait constitué son remake de "La Dernière Maison sur la Gauche", le voir ainsi revenir au cinéma de genre via un thriller teinté de fantastique produit par l'alliance curieuse entre Jason Blum et Leonardo DiCaprio ainsi qu'avec l'excellent Topher Grace trop rarement mis en tête d'affiche avait tout d'une jolie fête de retrouvailles sur la papier. Et pourtant, sans être honteux, "Delirium" va vite tourner à la déceptium...
Après vingt ans passés dans un asile psychiatrique, Tom est laissé seul en liberté surveillée dans son immense demeure d'enfance que son père lui a légué après s'être suicidé. Rapidement, le jeune homme se met à entendre des bruits d'une présence dans la maison et commence à douter de sa santé mentale...
Dans un premier temps, la force de "Delirium" est de garder ses secrets. Un rapide film d'enfance nous dévoilant sa famille, tout juste le temps d'apprendre que son père s'est donné la mort et hop, Tom se retrouve seul à errer avec son bracelet électronique dans la maison de ses parents. Quelles ont été les raisons d'un internement si long ? Où sont passés sa mère et son frère ? Que se trame-t-il dans cette maison avec ses passages secrets ? Tom est-il vraiment guéri ? Tant de questions qui gouvernent une excellente première partie voulant conserver le plus longtemps ses clés. On commence à y croire, vraiment, d'autant plus que le tout est porté dans une ambiance troublante par un Topher Grace en grande forme et parfaitement choisi pour ce rôle d'enfant emprisonné dans un corps adulte car privé de sa jeunesse. Seulement, le questionnement "délire, réalité ou surnaturel ?" se met trop rapidement à tourner en rond, des indices sont disséminés ici et là avec un manque de finesse flagrant et la multiplication d'effets faciles avec ses jumpscares redondants ne semble être là que pour gagner du temps avant la demi-heure finale synonyme de twists. En fait, "Delirium" fait partie de ces films qui, à trop vouloir multiplier les pistes sur sa résolution par du remplissage, les font toutes plus ou moins envisager dans les grandes lignes au spectateur, si bien qu'à l'heure des grandes révélations ne demeurera qu'un sentiment de déception en lieu et place de l'effet de surprise escompté. Dès que le fil du voile recouvrant son mystère commence à être tiré, "Delirium" perd en permanence de sa force. Le film a beau toujours réserver de bons moments (comme le joli début de relation sentimental avec une livreuse aussi abîmée par la vie que Tom ou ses interactions avec la policière chargée de sa surveillance) et une imagerie intriguante (la "femme-boîte", les décors et "l'apparition" de la dernière partie), on attend désormais poliment sa conclusion qui, si elle sera agréablement exécutée, ne provoquera pas vraiment de grands remous puisque notre imagination avait déjà grandement empiété sur la direction choisie...
Comme dit en préambule, on s'attendait à un thriller teinté de fantastique, eh bien, on l'a eu mais dans sa forme hélas la plus rudimentaire où les promesses de départ n'ont pas été tenues sur la durée. Il ne reste juste qu'un petit film correctement fabriqué mais qui n'a pas vraiment d'arguments pour laisser de souvenir impérissable ou pour sortir du lot des propositions de ce type. Cela aura au moins permis de rappeler que Topher Grace peut porter un film à lui tout seul de la meilleure des manières, déjà pas si mal...
A trop vouloir égarer le spectateur, le film finit par désintéresser. Topher Grace interprète son personnage en faisant le strict minimum. On peut pas trop lui en vouloir, l'histoire n'est pas très emballante.
Tom est-il atteint de folie, de schizophrénie ? "Delirium" mise des le début, le peu de jetons en sa possession, sur cette seule question. Cet homme qui sort d'un hôpital psychiatrique, vraisemblablement guéri mais sous médication constante, va rentrer chez lui. Cette grande demeure qu'il semble ne plus (re)connaître (mais y ayant pourtant vécu toute son enfance). Trop plat, ce faux thriller, ne décolle jamais. La faute en partie à un personnage principal peu charismatique et des rôles féminins très mal utilisés (l'agent de probation irresponsable et limite nymphomane et la fille de l'épicerie qui fait... tapisserie) mais, plus important, l'absence de montée en puissance chère à ce type de film couplée à une bande son inefficace pour le genre. À aucun moment, le doute s'installe, tout reste simple et (trop) logique. Quand le final arrive, on ne s'en émeut pas, comme si nous étions déjà passé à un autre film..
super angoissant , dans la veine de " Shining" , une atmosphère pesante , on se met à la place du jeune homme et on ne sait plus qui est fou ou pas, ce qui est réel ou pas....
Si le côté "délirium" du personnage apporte un peu de cachet au film - on ne cesse de se demander ce qui est réel et ce qui se passe dans sa tête - l'ensemble ne va pas assez loin dans l'angoisse ou le suspens et on se trouve avec un thriller (saupoudré de horrifique parce que deux-trois apparitions qui sont censées faire peur) totalement oubliable.
Sympatoche, c’est peut être pas le mot, néanmoins Delirium, le nouveau film emblématique de Iliadis après La dernière maison sur la gauche, a su mettre du poing sur la table, grâce à ses scènes de suspense interessants. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
un film très moyen quelques moments angoissant mais une sorte de déjà vu. Un sous shining produit malgre tout par leonardo di caprio. On filme qui se regarde et qui s'oublie vite
Excellente surprise pour ce film. Scénario sinon complexe assez dense qui tiendra le suspense vraiment jusqu’au-bout. Des passages mettent réellement mal a l’aise et on est pris aux tripes par empathie pour certains personnages (pas de spoil ;). Pour un film a priori sans prétention, il est d’un très bon niveau, assez rare.
Une très bonne surprise que ce film dont je n'attendais pas grand chose, vu les critiques sur une soi disant déception de fin de film. J'ai trouvé au contraire que, pour une fois, le scénar ne se laisse pas aller aux facilités scénaristiques du genre, en nous balançant un semblant d'explication rapide ou improbable... On commence avec un homme, fraîchement sorti d'un institut, où il a passé semble t'il les 20 dernières années, mais clairement encore enfermé dans une vie d'adolescent traumatisé, se retrouvant pour passer ses 30 jours de probation, dans la maison familiale dont il a hérité après le suicide de son père. Le tout avec pour seul contact, un agent de probation féminin, qui n'inspire, ni la confiance, ni la sécurité... On suit ce personnage attachant, qui se débat entre ses souvenirs, ses hallucinations, et la réalité... on est comme lui, partagé entre ce qui est réel, ce qui ne l'est pas, le paranormal, la maladie mentale et les médocs... Rien ne nous en fait savoir plus que lui et c'est ça qui est palpitant. Je n'ai pas perdu une miette du début à la fin, ce qui est plutôt rare dans les films que j'ai vu dernièrement, où il y a toujours un moment de décrochage. Une belle réussite pour ma part, surtout grâce à Topher Grace dans le rôle principal, qui est parfait!