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    Mise à Mort du Cerf Sacré
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    Ewen Blake
    Ewen Blake

    136 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2021
    “Do you understand? It’s metaphorical” Honnêtement non, j'ai pas tout compris mais The Killing of a sacred Deer est une œuvre d'art puissante.

    Regarder The Killing of a Sacred Deer c'est être perdu pendant deux heures, mais sans en perdre une minute. D'abord parce-que même déboussolé, cela ne m'a pas empêché d'apprécier la beauté ahurissante des plans et l'ambition de la réalisation. Ensuite parce que je l'ai d'abord vu comme un thriller et ai essayé de percer ce que je pensais être le plan machiavélique d'un gamin dérangé cherchant à venger son père. Mais j'avais tout faux, car quelques recherche Google plus tard, j'ai une interprétation qui me plait. La voici avec du spoiler en pagaille.
    D'abord ce titre pompeux n'est pas anodin : c'est bien l'histoire d'un sacrifice destiné à compenser / rétablir un équilibre dont il est question ici. Ensuite comme pour The Lobster je crois que cette histoire ne se déroule pas dans notre réalité, il s'agit d'un monde dystopique, très proche du notre mais avec une différence essentielle : ici l'univers veille à conserver un équilibre et le mal est sanctionné par une force incoercible. C'est comme si la religion (complètement absente du film) qui nous promet que le bien et le mal s'équilibre dans l'au-delà appliquait ici son jugement et sa sentence sans que l'on puisse s'y opposer. Martin est un personnage ambigu avec des problèmes psychologiques évidents qui cherche à profiter de la situation mais à aucun moment il n'est en contrôle. Il n'est pas hypnotiseur, empoisonneur ou doté de pouvoir occulte : son rôle se limite à expliquer à Steven (et nous) les règles du monde. S'il était vraiment un manipulateur sain d'esprit pourquoi fini-t-il par se bouffer son propre bras ? Et souvenez vous surtout de la façon dont il détaille les 3 phases à Steven : paralysie, famine, larme de sang. Il n'invente pas, il ne menace pas, non c'est plutôt comme s'il rappelait à Steven des règles qui semblent évidentes. Et d'ailleurs que fait il en amont de la discussion ? Il lui offre un cadeau. Afin de rétablir un certain équilibre (ce qu'il énonce d'ailleurs distinctement). Cela me permet de poursuivre sur la nature de ce monde : il est transactionnel, tout se résume à "un donner pour un rendu ou plutôt "oeil pour oeil, dent pour dent".

    Dans ce monde, le réalisateur caricature jusqu'à la nausée des personnages complètement aliénés par une vie ritualisée réduite à sa partie comptable et logistique : il faut promener le chien, mettre son casque en moto, se couper les cheveux. On est dans la performance (la fille au chant, le fils au piano) et surtout on parle... mais pour ne rien dire. Les conversations sont artificielles et insignifiantes : les frites, la montre et son bracelet ou au contraire dévoilent le très intime "our daughter started menstruating last week" mais tout est dit et reçu de la même façon : comme des robots. Les dialogues débités traduisent la névrose du vide existentiel qui traverse les personnages, figurants de leur propre vie.
    Il n'y a plus d'humain, d'émotion, de vie. Notre famille parfaite de bourgeois, épitome de l'american dream semble tout avoir pour être heureuse mais les liens les unissant sont factices ("we all have lovely hair") et ils n'ont aucune empathie l'un pour l'autre : Le père manipule son fils paralysé comme un pantin, la mère annonce à sa sœur que son frère est à l'hôpital. Pourquoi ? Comment ? Est-ce grave ? elle n'en saura rien pas plus qu'elle ne s'en émouvra, par contre sa mère lui rappelle une chose : elle va devoir arroser les plantes. Quelques scènes plus tard : "Can I have your MP3 player when you're dead? Please. Please. Please."
    Je ne me souviens pas d'un film dans lequel il est à ce point impossible de s'identifier aux personnages, on nous refuse ce vecteur émotionnel.

    La réalisation elle-même accentue cette déshumanisation par l'utilisation de grands angles. Notre regard est celle d'une présence extérieure qui surveille d'en haut ces personnages (voir de très haut à l'hôpital) ou les traque quelques mètres derrière eux.
    Lanthimos pousse également les marqueurs de classe jusqu'à l'absurde : les enfants sont trop bien élevés, excessivement courtois et on leur demande de se tenir droit (jusqu'à ce qu'ils perdent leurs jambes). Les parents donnent des ordres à tout le monde y compris à leurs collègues ou leurs amis (Drink that cocktail you've ordered. Get yourself home.). Lanthimos s'amuse également continuellement avec les symboles, son film sur des humains sans cœur, il l'ouvre avec un gros plan sur ce même organe qui pulse avant d'enchainer avec une conversation sur les montres dont le tic tac renvoi à ses battements. Un mot sur les corps : vous voulez du subversif ? Imaginez des gamins qui rampent au sol, un père qui enfourne un donuts dans la bouche de son fils ou Anna qui attend comme morte que son mari lui fasse l'amour après avoir lancé "general anesthetic ?" Quelqu'un a dit nécrophilie ? Kidman est d'ailleurs parfaite dans ce rôle froide et hautaine mais la prestation ambigüe de Keoghan touche au génie.

    Dans la dernière partie du film, toute la famille a compris les règles du jeu (pas moi j'étais vraiment paumé). Il faudra un mort dans la famille de Steven pour "compenser" la mort du père de Martin. Steven va à l'école demander au proviseur lequel de ses enfants il doit sauver "If you had to choose between them, which would say is the best?". Femme, fils et fille vont quand à eux tenter de sauver leur peau sans scrupule : la fille manque sa tentative d'évasion et une fois ramenée à la maison prétend qu'elle veut être sacrifiée dans un jeu de dupe qui vise à justement montrer qu'elle est trop bonne pour l'être. Le fils est encore plus explicite : il se coupe les cheveux, affirme vouloir devenir chirurgien pour épouser les ambitions de papa et fini même par proposer d'arroser les plantes (alors qu'il est paralysé). [Aparté plus j'y repense, plus ce film aurait pu être drôle : - Not even the kids. - Poor kids ou bien : "I won't let you leave until you've tried my tart.]. Pour Anna c'est encore pire : Martin tente d'abord de la remplacer par sa mère mais cela échoue. Et là où on s'attend à ce qu'une mère se sacrifie pour son enfant elle oppose le raisonnement suivant : tuons un de nos chiard car nous pourrons en faire un autre! Là encore un comportement à la fois logique, comptable et complètement dénué d'émotion. Et Steven ? L'idée de se sacrifier ne lui vient même pas à l'idée. La fin du film consacre donc ce que l'on pressentait depuis le départ : cette tragédie va mal finir. Il n'y aura pas de happy end, notre héro ne va pas résoudre la situation qui lui est opposée. Il n'y aura pas de justice non plus, et pas de moral puisque Steven va finir d'exploser les codes en assassinant son enfant en s'en remettant au hasard (aux dieux). Il ne fera jamais le choix auquel on tente de le contraindre (ce qui pourrait expliquer la dernière scène ?). Les dieux choisissent en tout cas de priver le père du fils comme il a privé le fils de son père. Quel drôle de film tout de même, The Killing fonctionne à l'inverse des codes du cinéma habituellement si moral, si pourvoyeur de justice. Pas de méchants qui perdent ici, juste un héros vaincu et une Anna dont on attend tout le film qu'elle tombe malade... mais ne le fait pas. Au final un grand Oui pour cet ovni dont on ne sait pas où il va après 30min et dont on ne comprend pas par où il est passé après l'avoir visionné. Un film qui reste en mémoire longtemps.
    Jo Bass
    Jo Bass

    2 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2021
    Le réalisateur a su mettre une ambiance assez glauque est pesante dès le début du film.
    Les acteurs choisit sont bon et le jeu d'acteur est crédible, le film est bien filmé, le bémol est que à mon goût le rythme est un peu trop lent
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    76 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2020
    Deux ans après son intriguant mais inabouti The Lobster, le cinéaste grec Yórgos Lánthimos transformait l’essai avec sa Mise à mort du cerf sacré. Superbement mis en scène, visuellement splendide, ce film profondément pessimiste sur la nature humaine – sa seconde partie est absolument glaçante – nous raconte l’histoire du père d’une famille bourgeoise américaine victime d’un chantage abject. Comme dans un cruel épisode de la mythologie, ce dernier, formidable Colin Farrell dans la peau d’un chirurgien réputé, va devoir sacrifier l’une des choses qu’il aime le plus au monde pour réparer une faute commise plusieurs années auparavant. Et révéler les côtés les plus sombres de sa femme (superbe Nicole Kidman) et de leurs deux enfants (géniaux Raffey Cassidy et Sunny Suljic). À noter aussi, la performance du jeune Barry Keoghan dans le rôle d’un ado inquiétant, aux étranges pouvoirs de vie et de mort sur ceux qu’il a pris en grippe. Abominablement brillant.
    christophe B
    christophe B

    4 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 novembre 2020
    Fascinant et désarmant.
    Ce thriller est déconcertant à la fois par son rythme et son scénario tortueux.
    Un chirurgien talentueux se retrouve piégé par le fils d'un de ses patients décédé.
    Progressivement ce jeune adolescent va s'immiscer dans cette famille bourgeoise jusqu'à ce que cette relation devienne toxique.
    Leur vie sera même en danger.
    Les acteurs sont tous excellents malgré ce scénario alambiqué qui flirte entre le thriller et le fantastique.
    Difficile à suivre parfois, ce film a le mérite de surprendre et ne laissera personne indiffèrent.
    Hotinhere
    Hotinhere

    425 abonnés 4 756 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2020
    Un thriller dérangeant à l'atmosphère glaçante et envoûtante et à la mise en scène d'un esthétisme sublime. La dernière partie est assez déroutante.
    Patjob
    Patjob

    20 abonnés 554 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 octobre 2020
    Les frères Grimm ont écrit des contes, présentés comme contes pour enfants, pleins de cruautés et d’horreurs, qui sont des représentations d’angoisses profondes. Ce sont des contes pour adultes de nature comparables qu’écrit et réalise Yorgos Lanthimos, avec « The lobster », puis cette « Mise à mort du cerf sacré ». Dans ce film au titre mystérieux, mais évocateur de son ambiance et de sa symbolique, nous voilà face à une histoire cauchemardesque, dans laquelle l’homme va être conduit à un des actes les plus abominables qui soient, dépassé par une force inconnue dont la nature nous échappe, et dont on ne sait s’il s’agit d’une vengeance ou d’une forme de justice immanente. Le film relève en ce sens de la tragédie et de la mythologie (Iphigénie), convoquant en même temps l’horreur absolue et une dimension mystique. Les ambiguïtés conservées (qui est un assassin ? ; Martin est-il le mal ou son simple messager ?) participent au trouble et au malaise engendrés par le film. La réalisation est conforme à la démarche, tant par ses plans puissants et surprenants que par ses travellings avant ou arrière vertigineux et labyrinthiques. Certains trouveront que Lanthimos va trop loin, ce qui confèrerait au film un caractère malsain. Il ne peut en tous cas laisser indifférent, et laisse à coup sûr à ceux qui ne le rejettent pas une empreinte indélébile.
    San D
    San D

    66 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2020
    2ème fois que je me laisse emporter par le cinema de Lanthimos après Lobster. aussi incroyable, dérangeant, hypnotisant, malaisant ; ce film nous plonge dans les profondeurs de l'âme humaine
    ferdinand75
    ferdinand75

    457 abonnés 3 655 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2020
    Un film à l'esthétique impeccable. des plans cadrés au cordeau, une image soignée. Une intrigue naviguant entre le thriller , le fantastique et le loufoque.Un brin de surréalisme aussi. Et un très bon jeu d' acteurs. un humour décalé, froid et très efficace . un gros film.
    Shawn777
    Shawn777

    467 abonnés 3 335 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2020
    Ce film, réalisé par Yórgos Lánthimos et sorti en 2017, n'est pas mal mais sans plus. Ce n'est pourtant pas le film du réalisateur auquel j'ai le plus de mal à adhérer mais peut-être celui qui me laisse le plus perplexe. C'est ici l'histoire d'une famille dont le père, cardiologue, est responsable de la mort d'un homme durant une opération au cours de laquelle il avait bu. Le fils de cet homme décédé a, pour se venger, maudit la famille du cardiologue qui doit alors tuer un membre de sa famille afin de sauver les autres. Bon voilà, c'est vraiment très particulier et honnêtement, n'ayant lu aucun synopsis avant de voir le film, je ne m'attendais pas à ce que le film comporte une part fantastique. Car oui, le garçon jette certes une malédiction sur la famille mais on ne sait pas vraiment d'où ça vient. Enfin bref, je n'ai pas eu tant de mal à rentrer dans le film car j'ai tout simplement adoré le traitement des personnages ! Ce réalisateur arrive toujours à surprendre, après dans le bon ou le mauvais sens, mais on ne sait en tout cas jamais à quoi s'attendre ! Et là, j'ai l'impression que c'est d'ailleurs une sorte de constante dans le cinéma du réalisateur, nous avons une nouvelle fois des personnages qui ne sont pas traités de façon humaine dirais-je. Par exemple, cette famille est ici très machinale, très robotique dans ses mouvements et dialogues, on dirait que le réalisateur leur a soufflé toute part d'humanité. De plus, tout est ordonné, ils habitent évidemment dans une petite banlieue et chacun à son rôle dans la maison, le père est médecin, la femme est surtout femme au foyer, le garçon arrose les plantes et la fille promène le chien (et chante aussi accessoirement). Je veux dire par là que nous avons l'image parfaite de la famille américaine classique bien sous tous rapports. Le fait que le trait soit aussi forcé nous invite à réfléchir sur le rôle de cette famille dans une société aussi bien ordonnée et comment tout cet ordre peut partir soudainement en vrille. Voilà, pour en revenir à un avis plus personnel, ce n'est pas tant le scénario qui m'a plu dans ce film car je trouve d'ailleurs qu'il tire un peu sur la longueur et qu'il n'est pas si passionnant que ça, mais c'est plutôt les personnages que j'ai trouvé fascinants ! La mise en scène est également très bonne et contribue bien-sûr à cette idée d'ordre et de discipline. En ce qui concerne les acteurs, nous avons principalement Nicole Kidman, Colin Farrell, Barry Keoghan, Raffey Cassidy et Sunny Suljic qui jouent franchement très bien. "Mise à mort du cerf sacré" est donc un film pour le moins particulier qui a le pouvoir de nous fasciner autant que de nous mettre mal à l'aise !
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    26 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2020
    Y. Lánthimos n'est pas coutumier d'histoires réalistes. Son précédent "The Lobster" se remarquait par son esprit barré, un peu trop dans sa seconde partie, et faisait basculer le film plutôt vers une déception qu'un coup de génie. A-t'il retenu la leçon dans cette "Mise à Mort du Cerf Sacré"? Oui, sans aucun doute. Même si son sujet n'a rien de charmant et reste tiré par les cheveux, l'ambiance qui s'y dégage est malsaine de bout en bout, et c'est un régal de cinéphile (qui en mettra plus d'un sur l'écart de la route). Filmé à la "Kubrick", l'étau psychologique se resserre et nous étouffe au fur et à mesure que les minutes se passent, sans pour autant qu'aucune justification nous soit livrée: intrigant et troublant de bout en bout. Sous la caméra alambiquée, tout en hauteur et en focale élargie, le couple Kidman-Farrell est parfait de froideur dans leur lente perdition. Mais c'est la prestation du jeune B.Keoghan qui glacera pour longtemps notre mémoire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 septembre 2020
    Entre Kubric et Euripide...La base du scenario est la tragédie grecque d'"Iphigénie à Aulis" écrit par Euripide!
    Kathy Lou
    Kathy Lou

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 mars 2021
    D'habitude "trés bon public"..là, sérieusement , je n'ai pas "accroché" du tout ! et pourtant Dieu sait combien j' idolatre (...!) Colin Farrell (non barbu si possible !) et Nicole Kidman ; duo choc dans " Les Proies" de Sophia Coppola , ici leur jeu est ennuyeux, lassant, voire déplaisant . Rien dans ce film ne m'a plu, ce qui n'arrive JAMAIS ! pour dire !!
    La musique , ou plutôt "bruit assourdissant"..est insupportable .
    Le scénario ..primé à Cannes !! (mais de qui se moque t'on ?? ).. n'a "ni queue ni téte" .. SAUF, si le film avait réellement était fantastique : avec de vraies "surprises", un vrai "suspense" .. dommage , car l'idée était intéressante , mais extrémement mal exploitée .
    On reste sur sa fin , sans "explication" , avec un gout trés trés amer ..et dans une incompréhension totale .
    Bref , à éviter .. mème avec la présence de deux "idoles" , c'est trop décevant ..
    Audace26
    Audace26

    6 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 septembre 2020
    Servi par des acteurs de renom, l'histoire pour le moins malsaine est distillée dans un style baroque, incarnant parfaitement la névrose d'une riche famille américaine. Pour autant, tant l'invraisembance est énorme, que le spectateur subit le film sans jamais y rentrer. À zapper.
    Catherine Soulier
    Catherine Soulier

    4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 septembre 2020
    Encore un film qui se veut dénonciateur de la bourgeoisie, mâtiné de tragédie grecque .
    Bonne prestation des acteurs mais comme c'est long, ennuyeux, et prétentieux....
    Et puis la critique de la bourgeoisie....un peu convenu et dépassé..
    B L.
    B L.

    7 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 septembre 2020
    Une film que je qualifie de navet. Non seulement il fiche le cafard, il faut avoir bon morale pour encaisser un tel film. Et je ne parle même pas de la fin qui se termine en queue de poisson. Enfin je ne voudrais pas raconter la fin, mais il se termine de façon stupide.
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