Mon compte
    La Jeune Fille Sans Mains
    Note moyenne
    3,8
    293 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Jeune Fille Sans Mains ?

    35 critiques spectateurs

    5
    5 critiques
    4
    11 critiques
    3
    8 critiques
    2
    7 critiques
    1
    3 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Cleminou
    Cleminou

    12 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 juin 2022
    1/5 c'est une copie ratée de la pièce de théâtre avec des dessin fais en trois coups de pinceaux a et d'ailleurs si vous voulez lire la pièce de théâtre elle s'appelle la jeune fille,le diable,et le moulin
    Yves 4.
    Yves 4.

    91 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2021
    Scénario sûrement intéressant , les couleurs , les bruits la musique néanmoins j'ai décrocher au bout d'1/4h , quelle misère ce graphisme , le coup de crayon rappelle le debut du dessin animé , pitié...
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    220 abonnés 2 858 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 novembre 2020
    Exactement ce à quoi je m'attendais.. je savais que ça allait être étrange, avec un graphisme au pinceau un peu particulier mais à la limite ce n'est pas ça qui m'a gêné ! J'ai aimé l'histoire, le conte tiré des recueils des Frères Grimm mais ce que je n'ai pas aimé du tout et qui m'a empêché d'apprécier ce film, c'est le jeu des acteurs ! C'est froid, c'est mal joué, c'est monocorde (la palme à Mr Elkaim que je n'aime décidément pas mais pas pantoute) et cela m'a tellement refroidi que j'ai fini par lâcher ! Dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 février 2020
    "La jeune fille" sans main raconte l'histoire des péripéties d'une femme qui a été vendu au diable par son père. Je dois d'abord avouer que Sebastien Laudenbach a un vrai talent d'animation et cette technique - bien qu'a mon sens bien plus efficace dans son court métrage "La force" - est particulièrement originale et poétique. Cela nous sort de l'animation numérique qui est omniprésente sur le marché du long métrage d'animation français. On revient ici à une animation traditionnelle au pinceau et au style graphique très épuré. Cela lui a d'ailleurs valu d'être acclamé par tout le milieu du cinéma, comme d'une merveille d'animation qui ose parler de tabou et de violence dans notre société si fermée d'esprit. Une œuvre engagée en somme.
    Pour ma part je trouve ce film dangereux, notamment pour les femmes. Le personnage dépeint dans ce long métrage est le cliché d'une "femme forte" entièrement basée sur la vision d'un homme plein de fantasmes et à la pensée, à mon sens, un poil misogyne. Il cherche à nous vendre une femme exposée en brisant des tabous comme le sexe, l'urine, les excrément, ce qui est certes une bonne idée car on a tous marre de la femme pure qu'on nous sert toujours... Cependant tout est absolument gâché sur une hypersexualisation de ce personnage. Ce n'est pas la nudité qui dérange dans ce film mais la manière dont c'est cadré, dont le corps est représenté, et comment les expressions sont dessinées. La comédienne de doublage est dirigée de telle manière qu'on a l'impression de l'entendre jouir à chaque scène.. Mais pourquoi ? Ce personnage aurait pu être très intéressant si elle n'était pas lissée au maximum pour que la seule chose que l'on voit d'elle soit son vagin. Pour ce qui est des autres personnages il n'y a rien, seulement le jardinier qui est un personnage plutôt intéressant avec un peu de profondeur.
    Pour moi ce film est dangereux parce que dans les écoles d'animation ce réalisateur est acclamé. Il montre l'exemple d'un film osé, engagé et original. Mais ce n'est pourtant qu'une représentation féminine clichée et inintéressante qui se fait passer pour un personnage progressiste. Merci pour cette vision de la femme qui date de trois génération !!

    spoiler: Aussi en ce qui concerne la nuit de noce du prince et de la fille sans main avec la tache de sang qui se trouve dans le lit : il faut savoir qu'un tiers des femmes ne possèdent pas d’hymen et que d'autres l'on déjà déchiré (notamment par des sports tel que l'équitation ou la danse), ou bien il peut ne pas se déchiré lors de l'acte, ou enfin il peut se déchirer mais ne pas saigner. Aussi dans beaucoup de pays du monde la virginité d'une femme est "assurée" par ce fameux sang qui est "sensé" couler lors du premier rapport, et cela fait souffrir énormément de femmes et de filles accusées à tort d'avoir coucher avant le mariage. Certaines se font même opérer afin d'avoir un hymen ce qui peut amener à des complications médicales et des douleurs au moment du premier acte qui est alors, oui, très sanglant. Merci donc à ce film d'encourager cette idée reçue qui fait souffrir autant de femme dans ce monde !!!
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    581 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2019
    Il est indéniable que Sébastien Laudenbach dispose d’un véritable talent pictural, puisque s’enchaînent sous nos yeux émerveillés des tableaux tous plus éblouissants les uns que les autres, où la couleur retrouve son énergie primaire, celle d’un coup de pinceau, celle d’une esquisse encore inachevée et qui le restera. Car La Jeune Fille sans mains est à l’image de ce parti-pris esthétique : insaisissable et incomplet. Derrière le conte très sombre des frères Grimm, le film peine à éviter cette impression d’empilement des toiles certes magnifiques, mais vides d’émotions cinématographiques ; on ne ressent que trop peu le capital sensible qu’une telle œuvre aurait dû dégager, la faute certainement à un geste artistique qui, s’il fonctionne un temps, s’épuise assez vite. Il y a là un potentiel énorme, et une vision esthétique qui mériterait une exposition dans l’un des plus prestigieux musées français. Le choix d’en faire une œuvre de cinéma reste, quant à lui, plus discutable : les formes ébauchées tendent à manquer l’incarnation qu’elles étaient pourtant censé susciter.
    Uther Zendrest
    Uther Zendrest

    2 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2018
    On ne peut qu'admirer le travail du réalisateur qui a tout fait lui-même en si peu de temps. Mais les dessins, dont la qualité graphique est réelle, ont un manque évident de profondeur et aurait eu besoin d'être beaucoup plus enrichi. Le résultat est davantage celui d'un court-métrage un peu plus long que d'un véritable film d'animation léché qu'il aurait pu être.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    96 abonnés 2 926 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2018
    Un dessin animé original dans sa forme : dessins, couleurs et mouvements assez poétiques. C'est un conte des frères Grimm dont l'histoire est globalement, dans ses traits principaux respectée, cela est un bon point car c'est un conte peu connu. L'univers s'adapte bien au style particulier utilisé et c'est un vrai film bien scénarisé, cependant ne pas croire que c'est pour les enfants car il y a des aspects horrifiques qui se rapproche du fantastique et très cru (sans ménagement). La qualité et créativité du dessin est bien là et intéressante, cela vaut de découvrir ce dessin animé tout en poésie et sombritude (ce mot est présent sur wiktionnaire). spoiler: Heureusement au final le diable n'obtiendra pas ce qu'il recherche, il aura piégé le père mais non réussit à s'emparer de sa fille qui a aussi obtenu de l'aide de la rivière et d'une source et a eu pour abri une maison ayant appartenu à un ermite.
    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2018
    L’idée de porter à l’écran ce conte peu connu des frères Grimm remonte à 2001. Comme bien souvent, sept années de travail préparatoire n’aboutirent finalement qu’à l’annulation du projet, jugé trop coûteux et commercialement pas assez porteur. Qu’à cela ne tienne : Sébastien Laudenbach, le réalisateur pressenti dès l’origine, décida que ce film d’animation verrait le jour envers et contre tout, dût-il le peindre intégralement à la main, seul dans son studio, durant de longues années...et ainsi fut fait, d’un coup de baguette magique et de centaines de milliers de coups de pinceaux ! Ni dessiné ni animé en 3D, ‘La jeune fille sans mains’ est “esquissé�. Epuré et minimaliste, intégralement conçu en coups de pinceaux vifs ou tout en rondeur, le résultat ne ressemble à rien dont on ait l’habitude : étant donné le patient processus artisanal requis pour aboutir à cette heure quinze d’esquisses-animées, Laudenbach n’a eu ni le temps ni les moyens d’effectuer des line-tests, et l’animation parfois approximative fait intrinsèquement partie de l’ADN de ‘La jeune fille sans mains’, même si certains spectateurs ne manqueront pas de trouver ces clignotements et ces saccades totalement insupportables au-delà des premières minutes. En contrepartie de ce degré de précision impossible à atteindre, Laudenbach s’autorise toutes les libertés. A l’écran, rien n’est fixe, rien n’est stable : dans le mouvement, un trait efface l’autre. Dans la profondeur, une couleur se superpose à l’autre. Loin de se limiter à quelques effets symboliques ou poétiques, le réalisateur n’hésite pas à se risquer, avec plus ou moins de bonheur, à une certaine abstraction. A d’autres moments, ‘La jeune fille sans mains’ se rapproche de manière troublante d’une estampe japonaise et ce n’est pas un hasard si on songe souvent au ‘conte de la princesse Kaguya’ de Isao Takahata, en plus figuratif toutefois. Finalement, même si la singularité visuelle du film ne devrait pas plaire à tout le monde, c’est surtout au niveau du fond qu’on peut s’estimer un peu déçu : le scénario respecte scrupuleusement son matériau d’origine et dans cette histoire de diable qui convoite la pureté d’une jeune fille et d’un prince qui en tombera amoureux malgré sa mutilation, on retrouve les motifs traditionnels du conte de fées, sans que cette version n’adopte le moindre biais particulier, ce qui rend illusoire toute possibilité de lecture multiple.
    claude O.
    claude O.

    4 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2018
    Une oeuvre d'art comment avec un graphisme epurée ,tout en sous entendue on peut faire une belle animation ,un dessin animé surrrealiste .Un beau conte et de belles musiques à reserver aux esthétes.J'ai été porté par les allusions, un genre a dévellopé
    raphaelK
    raphaelK

    14 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2018
    Touchant, ce film d'animation hors normes offre aussi quelques purs moments de beauté graphique, tels que la descente de nuit le long de la rivière (ponctuée de fleurs bleues). Un régal pour les yeux autant que pour l'imagination, sollicitée en permanence.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    919 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 décembre 2017
    Le conte de Grimm en lui-même est plutôt dur mais il finit bien!!!!!
    Je n’ai pas vraiment adhéré au style graphique évanescent aux traits presque invisibles. Le fait est que l’action est dure à suivre car tout est presque évoqué plus que dépeint.
    Il y a par contre une poésie visuelle certaine.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 octobre 2017
    Avec un art du trait sobre et agile, Sébastien Laudenbach trace une libre adaptation d’un conte des frères Grimm, "La jeune fille sans mains". Abordant de nombreux thèmes dont le rapport au corps tout au long de la vie, ce conte narre l’histoire cruelle de l’émancipation d’une jeune fille qui va devoir prendre sa vie en main, sans mains. Plutôt pour les grands que pour les petits, ce conte est d’une noirceur diffuse, métaphore des coups durs de la vie, qui fort heureusement se termine sur une touche de lumière gracieuse.

    Sombre et poétique, "La jeune fille sans mains" est un petit bijou d’animation sur papier entièrement orchestrée par Sébastien Laudenbach d’une main de maître.

    de chroniques sur mon blog Plume et pellicule.wordpress
    herve p.
    herve p.

    2 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2017
    J'ai beaucoup aimé ce film. C'est un conte simple mais très jolie. L'intérêt de l'animation réside dans les dessins, qui se trouvent être des esquisses s'animant en fonction des émotions et de la respiration des personnages. Après un temps d'adaptation, ca fonctionne et c'est très réussi. Le dénouement est parfait.
    Didier L
    Didier L

    27 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 février 2017
    La bande-annonce laissait supposer un film d'animation d'une grande beauté plastique dans lequel, par la délicatesse du trait, la richesse des tonalités, la troublante calligraphie asiatique semblait prendre vie. C'est bien le cas....mais pendant une dizaine de minutes seulement. La faute à un scénario insuffisamment captivant (on reste au niveau du classicisme d'un conte des frères Grimm) et d'une animation perpétuelle qui semble se nourrir elle même de sa propre contemplation.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    60 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2017
    Adapté d’un conte des frères Grimm, La Jeune fille sans mains, réalisé par Sébastien Laudenbach, est une prouesse d’animation à la française, bouleversant les codes du genre à tous les niveaux.

    Son nom ne vous dit sûrement rien, mais Sébastien Laudenbach mérite qu’on parle de lui. Il est connu dans le milieu pour ses courts-métrages d’animation qui tournent dans les festivals depuis une vingtaine d’années. En 1998 sortait Journal, commentaire de sa vie où on peut voir se multiplier les techniques d’animations. Elles sont aussi superbes que le discours est sincère et direct.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top