Avis sur Les Minions 2 : Il était une fois Gru

J'ai adoré le premier . Mais là vraiment du début à la fin j'étais à la ramasse. Peu être les enfants vont aimer et tant mieux . Mais pour moi un adulte . Le scénario est lourd , j'ai pas rigolé . Les gags sont pas oufs . Je me suis endormi . Un peu deg j'ai adoré le premier

Je sors de l'avant-première. Autant le premier était sympa, malgré quelques problèmes de rythmes, autant celui-ci est mauvais. Pas drôle, animation pas à la hauteur, voix françaises ternes, sauf Gal Elmaleh. Tagbo et Darmon sont catastrophiques. On est plus sur une Gru "origin story" que sur les Minions eux-mêmes. J'y suis allé avec 3 enfants. 2 n'ont pas aimé, 1 "un peu mais pas trop"...

Un film cousu…de fil noir.
Bruyant, assourdissant , alors qu’habituellement les dessins animés font toujours sourire et rire, ici les codes sont totalement inversés et le Mal prend le dessus à toutes les étapes du très pauvre scénario. On reste au mieux ébahi par la médiocrité du scénario au pire écœuré par la morale malsaine et noire du film.
À éviter : vraiment.

Nouveau film sur les Minions et personnellement, ils m'émerveillent toujours autant ! Accompagnés de Gru enfant, les voici dans une nouvelle aventure qui ravira petits et grands. Ils se confronteront ainsi à de nouveaux méchants dans les années 70. Il y a toujours quelques passages un peu enfantins mais qui seront vite oubliés par une bonne dynamique du film et par les bêtises et le dialogue des Minions, toujours aussi attendrissants.
Une suite globalement sympathique et rigolote doté d'une belle énergie.

http://cinephile-critique.over-blog.com

Niveau référence le film débute fort puisqu'on pense à James Bond, mais surtout Kyle Balda confirme une forte influence des films de kung-fu alors très à la mode dans les années 70. Soucis, cette influence kung-fu n'est exploitée que pour 20mn, certe fun et référencée mais c'est un peu court l'hommage. En fait ce film intermède entre "Les Minions" et "Moi, Moche et Méchant" manque cruellement d'idées et d'une réelle ligne directrice. Un speech sur timbre-poste éculé et même galvaudé, juste assez simpliste pour la cible du très jeune public. Les gags restent drôles... quand il s'agit des Minions (!), et force est de constater (encore !) qu'ils sont le seul atout car Gru laisse de marbre tant il est un gamin banal sans rien pour lui. Les Minions sont toujours aussi mignons, les Minions sont toujours aussi rigolos et touchants, et finalement on continue à aller voir parce qu'il y a les Minions ni plus ni moins ; et disons-le il y en a pas assez dans cet opus. Pas déplaisant, loin s'en faut, mais sans surprise, convenu, qui surnage grâce aux séquences où seuls les Minions mènent la danse.
Site : Selenie

Cinq étoiles car difficile de faire mieux pour satisfaire toute une famille de 6 à 78 ans. Il y en a pour tout le monde, idéal pour la fête du cinéma. On rigole à suivre ces minions dans une aventure colorée comme les années discos et les références au cinéma de kung fu de l'époque. Une animation Premium comme il se doit, difficile d'avoir une déception à ce niveau de spectacle sur grand écran. Du dessin animé qui va en satisfaire plus d'un...les blasés et critiqueurs on s'en fout..

S’il ne s’agit que du second volet des petits tic-tac jaunes, tout le monde sera assez malin pour comprendre que nous arrivons déjà au cinquième opus d’une saga qui s’éternise et qui n’évolue plus dans le bon sens. Le studio Illumination a déjà atteint les limites de leur recette, à base de bêtises en tout genre et surtout le doublage délirant de Pierre Coffin. Il y a toujours une place pour ce plaisir, mais lorsqu’il est aussi anecdotique et si peu inspiré, on ne peut que se faire éjecter du manège en plein vol. C’est ce qui arrive à ce dernier projet, tenu par un Kyle Balda cohérent avec les précédents films et c’est de là que vient le problème. En ne regardant que vers son nombril, l’intrigue est constamment estampillée d’un ton rebattu et prévisible dans toutes ses formes.

Il faut comprendre que la saga des Minions est encore plus sélective de la trilogie portée par Gru. Il s’adresse à un public plus jeune, certes, mais la paresse de l’écriture atteint un décrochage qui signe sans doute le divorce avec les amateurs de la trilogie d’origine. Elle avait déjà repompé tout ce qui était bénéfique à « Mégamind » et nous retrouvons le même syndrome ici, dans un décor seventies qu’on larguera assez vite pour se coller à la pagaille laissée par les hommes de main un peu à côté de la plaque. Plus frustrant encore, la fausse bonne idée de l’épisode est d’avoir réintégré Gru, afin d’explorer les origines du mal. Il n’est autre qu’une version miniaturisée de celui qu’on connaît déjà. La véritable nouveauté se trouve donc derrière les Vicious 6, aux pseudonymes hilarants, mais que l’on bazarde également pour se centrer sur les péripéties de Gru et de ses fidèles amis.

Le récit s’essouffle alors trop rapidement pour qu’on ne manque de rien, si ce n’est un gag à la minute, qui peine à tenir le spectateur éveillé. Il tente ainsi des approches plus nostalgiques auprès de son audience plus âgée, en faisant un aparté dans le Chinatown de San Francisco. Le fantôme de Bruce Lee et d’un certain « The Karate Kid » ne manque pas d’être surligné, le temps que les deux axes narratifs se rejoignent au climax. Hélas, le trop-plein esthétique condamne ses chances de renouer avec la tension ou une quelconque émotion d’ordre moral. On peut se surprendre à rire, mais il s’agirait d’une oasis au milieu d’une hécatombe de gags vains et sans impact. Nous avons fait le tour avec ces âneries qui ne mordent pas et qui ont le don de ne pas surenchérir sur la nature d’un vilain.

Ainsi, « Les Minions 2 : The Rise of Gru » (Il était une fois Gru) tente désespérément de séduire son public avec des yeux doux, une démarche aussi littérale qu’abyssale, compte tenu des promesses initiales. Ce n’était sans doute pas le lieu ni le moment de développer les antagonistes, mais cela aurait pu relancer une machine qui rouille à vue d’œil. Il n’y a pas de quoi en faire tout un plat, comme on pourrait le dire. Encore faut-il assez d’ingrédient pour atteindre un soupçon de saveur, qui ne résonnerait pas avec la mécanique d’un fast-food ne misant que sur des paillettes recyclées.

On n’avait déjà pas vraiment été clients du premier film solo consacré aux petits bonhommes jaunes irrésistibles à la forme et au langage si particulier. En effet, les assistants du vilain Gru de l’excellente saga « Moi, moche et méchant » ont eu droit à leur propre film au vu de la consécration et du culte que les spectateurs leur ont voué au fil des trois films de la saga. Un spin-off dédié à ces personnages secondaires adorés par le public donc, comme cela a pu être le cas pour « Le Chat Potté » ou « Les Pingouins de Madagascar », est donc né. Mais, en général, c’est une fausse bonne idée qui tient rarement la route sur la longueur mais semble plus guidé par un simple intérêt mercantile et pécunier de la part des studios. Et on le constate dans ce second volet où le résultat fini se révèle complètement identique à quelques détails (positifs) près. S’il est peut-être moins foireux et épileptique que le premier (le rythme effréné y masquait mal le néant narratif et la vacuité du projet), il continue tout de même à ôter encore un peu plus du charme de ces excellents personnages et du plaisir de les retrouver de manière épisodique, comme le Scrat de « L’Age de glace ».

La première aventure solo des Minions pouvait capitaliser sur le récit plutôt original, bien pensé et drôle qui la faisait débuter en expliquant comment les Minions sont nés. Ici, les présentations étant déjà faites, les scénaristes ont eu la bonne idée de relier les deux sagas en narrant la rencontre des Minions avec leur futur employeur : Gru. C’est la (seule?) bonne idée de cette suite. Sinon, on repart sur une histoire complètement anecdotique à base de vol d’un collier magique qui part dans tous les sens au gré des envies et des humeurs des personnes en charge de ce simili script. Bref, une ligne narrative erratique et incohérente, presque assumée comme accessoire, que l’aspect et les velléités cartoonesques de l’ensemble tentent grossièrement de masquer. « Les Minions 2 » ne dure qu’une heure et quinze minutes; mais heureusement tant il ne raconte pas grand-chose et devient redondant dans ses péripéties. On se demande même si cette idée d’offrir plus de présence à ces créatures n’aurait pas dû prendre plutôt la forme d’une série d’épisodes courts qui correspondrait bien mieux à leur nature même de personnages muets, rigolos et aux gags très visuels. Les gags sont nombreux mais généralement peu mémorables. A l’instar des répliques qui font rarement rire. On va dire que cela fonctionne une fois sur trois. Il y a une scène vraiment très drôle (celle de l’avion), quelques idées et un design d’animation impeccable (mais il serait étonnant du contraire pour une telle production à notre époque) mais pour le reste c’est une suite totalement inutile et vide... Mais qui devrait néanmoins cartonner et plaire aux plus jeunes. Pour les autres, s’abstenir vous ne louperez pas grand-chose.

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J'ai adoré cette suite des minions même si j'y vois plus un préquel de Moi, Moche & Méchant. Des tonnes de références au différents films, j'ai bien rigolé et les minions sont toujours aussi attachant avec moi ça marche toujours en tout cas

Tout ce bruit pour cette daube ?
Totalement déçu. Les minions sont plus drôles dans la pub m...Do.
Histoire décousue, l'humour absent et une fin bâclée.
Je m'attendais à mieux.
Une étoile pour la courte durée du supplice.

Ce coup-ci, on revient dans le passé quand Gru était jeune et qu’il voulait devenir un méchant et surtout au début de sa rencontre avec les minions. Il adore le groupe de méchants Vicious 6 et quand ils font une recherche de partenaires, il y va pour se faire recruter, bien entendu ils se moquent de lui mais c’est sans compter sur son talent à réussir à voler un de leur trésor même si celui-ci n’a pas le sort qu’il attendait à cause des minions qui font souvent n’importe quoi. Poursuivi par la bande, il fait la rencontre de son héros ! Et les minions, eux, se font virer à cause de leurs bêtises mais comme ils sont têtus, ils vont tout faire pour se racheter et surtout retrouver Gru. Entre course poursuite, combats, pas une minute de répit. Le film a un très bon rythme et de bonnes blagues. j’ai adoré quand les minions se retrouvent à s’entrainer au combat. La qualité de l’animation est vraiment très bonne aussi après ça reste dans la lignée faut être fan et aimer les personnages.


En résumé, Les Minions 2 – Il était une fois Gru est assez réussi et reste bien dans l’esprit de Moi, Moche et Méchant et le précédent film des Minions. Il y a des passages bien drôles, Gru est aussi excellent, bref on s’éclate même si des fois c’est vraiment du grand n’importe quoi.

cinquième opus de la franchise, "Les Minions 2 : Il était une fois Gru" revient dans une suite toujours aussi survolté. En effet même si l'ensemble sent le réchauffé, j'ai apprécié de retrouver les personnages toujours aussi excentriques et attendrissant dans une ambiance 1970 funk très plaisante dans des séquences vitaminées, colorées , drôles avec certains clins d'œil cinématographique.

Grand fan des minions, je suis déçu au plus haut niveau de ce dernier "Minion 2". C'est juste un film pour les enfants de 6 ans. Une histoire banale, interminable, je me souviens d'avoir souris 3 ou 4 fois à peine pendant tout le film. On est très loin de l'esprit "Minion". Quel dommage!

Le 1 est mieux ! Certes, oui, j'ai ri. Après je l'ai regardé avec des potes, mais je n'ai quand même pas explosé de rire. L'animation est remarquable. Bon, désormais les points négatifs :) . Déjà, la bande annonce spoil TOUT le film. Mais... vraiment ! Également, il y a beaucoup de référence comme, à "2001: l’odyssée de l'espace" et j'ai pleuré du sang durant cette scène, rien qu'avec cette séquence ma note a baissé de 0,5 !!! Il y a aussi plusieurs réf' au groupe de rock "KISS". Pourquoi ? Je n'en sais absolument rien. Sûrement car -à l'heure actuelle- ils font leurs tournée d'adieux. Juste parlons du jeu de mot sur une super-méchante qui est une nonne et qui a des nunchakus : nonne-chakus. Voilà, merci c'est tout pour moi.

Le film de trop, ça va trop loin, c’est moins bien géré, le rythme, l’humour, la subtilité des références, la cohérence, rien ne va, grosse déception.