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annatar003
62 abonnés
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2,0
Publiée le 13 mars 2013
Même les grands ont connu des débuts difficiles...C'est en tout cas de Steve McQueen que l'on découvre dans une petite production de science-fiction nommée "Danger planétaire". Partant d'une idée plutôt saugrenue où les habitants d'une ville se voit confrontés à une sorte de gélatine géante qui dévore tout sur son passage, cette fresque biblique réalisée par Irvin S. Yeaworth Jr. et Russell S. Doughten Jr. se couvre bien souvent de ridicule d'un point de vue scénaristique mais parvient à tenir la route au niveau de la mise en scène. Bien que sa prestation ne propose rien de fantastique, Steve McQueen et sa bande de potes gardent une part de convivialité et de chaleur afin d'amener le spectateur dans cette invasion venue de l'espace.
Seul intérêt de ce film de SF de série B très B des années 50 à la mise en scène très kitsch, sans la moindre étincelle de tension, ou au moins d'humour si on choisit un cheval de bataille totalement différent, très mou du genou et aux personnages caricaturaux, est la première apparition dans un rôle principal au cinéma de l'acteur Steve McQueen. Autrement ce combat d'une petite bourgade des États-Unis contre une masse extraterrestre gélatineuse particulièrement vorace et ressemblant à de la confiture de fraise se regarde d'un œil très morne.
je viens de le voir , je ne savais meme pas qu une version du "blod " des années 50 existait ! sa a vieillit mais dans l ensemble le films et plutot bien
j'ai découvert ce film hier! c'est de la folie! steve mc queen contre le blob! bon! ca a vieilli il ne se passe pas grand chose! le scenario n' a cepandant rien a envier au productions actuelles! ca se regarde surtout pour son charme désuet!
Allez, 2 étoiles pour la photo (et encore, l'éclairage plein phares en permanence dans un film d'épouvante, ça la fout mal) et une réalisation techniquement plutôt aboutie. Le sujet aurait permis quelque chose d'intéressant, un développement de l'histoire. Ici on déroule des platitudes à longueur de film. Les dialogues qui font "avancer" l'histoire se comptent sur les doigts de la main. La poésie, l'humour, sont quasiment absents. On aimerait savoir d'où vient ce Blob, quelles sont ses motivations, etc... On ne saura rien, d'ailleurs, pas le moindre mystère n'est entretenu là-dessus. On parcourt ce film un peu comme un annuaire des télécoms. Tout y est prévisible, gratuit, sans explications. L'exemple même de ce qu'il ne faut pas faire en matière de récit.
1972, 1988 et bientôt 2012, "The blob" a fait et continue de faire des émules. C'est vrai que l'informité de l'adversaire et le fait qu'il absorbe tout ce qu'il trouve est assez flippant. Bon, ici les effets spéciaux ont pris un coup de vieux mais ils s'en sortent bien tout de même et la tension est bien présente tout au long du film. Puis, voir McQueen est toujours un plaisir! Vivement 2012 pour le prochain remake!!!
Une agréable série b, qui n'a cependant pas bien vieilli. Cependant, le suspense demeure, de même que la prestation honorable de Steve McQueen, acteur talentueux dans tous les registres. Sympathique pour une soirée entre amis.
The Blob est vraiment un des meilleur ( vieu ) film fantastique qu'on peut voir. Effet Spéciaux extraordinaire, le blob ( que j'ai vu plusieurs fois dans les dessins animés étant enfant ) est vachement bien fait . Un film qu'on ne voit malheursement plus dans les cinémas ! Un film Fantastique a voir avec un home-cinéma et du pop-corn pour te mêttre dans le bon confort !
Film de science-fiction des 50's qui doit sa reconnaissance actuelle au fait qu'il voit débuter un jeune premier nommé Steve McQueen et qu'il présente un des monstres les plus sympas du bestiaire de la SF. Pour le reste, on reste en territoire connu pour les amateurs du genre. On peut toutefois remarquer que dans cette histoire, se sont les jeunes qui sont les héros, qui découvrent le blob et qui tentent de prévenir les adultes qui, eux, ne voient rien et restent perplexes. On pourrait même parfois penser (en extrapolant pas mal) à une version SF de la Fureur de vivre. Pour les adultes, la véritable menace visible est ainsi la jeunesse.
Second long-métrage pour l'acteur Steve McQueen (La Grande évasion - 1963) qui campe ici le rôle titre d'un film fantastique devenu culte avec les années. The Blob (1958) a même connu une parodie réalisée par Larry Hagman : Attention au Blob ! (1972), ainsi qu'un (excellent) remake : The Blob (1988) par Chuck Russell. Sorti en France sous le titre "Danger planétaire", The Blob premier du nom, a bien vieilli aujourd'hui, le poids des années ne lui ayant pas été bénéfique, bien au contraire, et ce, malgré la présence de Steve McQueen. Pour ceux qui ne le seraient pas encore, Le Blob est une espèce d'énorme gelée visqueuse tout droit arrivée de l'espace. Après s'être crashée au fin fond des Etats-Unis, elle décime tout ce qui lui barre la route. Typique des films de science-fiction des années 50, les SFX kitchs se limiteront à de rares moments où "la chose" se montre face caméra. Un film centré sur elle, c'est plutôt un comble de ne pratiquement pas la montrer (contrairement à son remake où elle occupe énormément de plans).
Une petite étoile car il m'a fait bien marrer le malabar fraise qui mange les gens qui se jettent dessus (oui, car c'est pas un rapide rapide le malabar). Non vraiment, même à l'époque ça ne pouvait pas être un bon film.
Le premier film à nous avoir fait connaitre le blob, cette gelée rougeatre qui absorbe toute matiére vivante. Evidement, le film a vieilli et le suspense fait un peu sourire maintenant, mais reste néanmoins interessant à voir.
Le nanar de SF des années 50. A mourir de rire quant à l'histoire, le jeu hasardeux et peu convaincant des acteurs, ou encore les effets spéciaux d'anthologie. Si vous avez déjà joué au jeu Loco Roco sur PSP, vous retrouverez la même masse gélatineuse roulant sur le sol tel un mouton de poussière. Sauf que là, on est censé avoir peur. Bien évidemment, cette chose venue de l'espace choisit d'atterrir aux States. Comme tous les petits hommes verts j'ai envie de dire. L'Afrique ? L'Asie ? Non, aucun intérêt. Les Martiens préfèrent le pays du burger et du coca. Et qui notre ami venu d'ailleurs va-t-il choisir pour sa première apparition ? Deux jeunes bourgeois d'un patelin de culs-terreux. On retrouve ici un classique des apparitions mariales du XIXe, cad se montrer dans un coin paumé devant des enfants cad des personnes que personne ne croira lorsqu'elles raconteront leur histoire. Encore plus drôle, nos deux bourges et leurs potes qui ne sont pas moins friqués passent pour être des racailles dans ce coin de l'Amérique, un grand moment du cinéma comique américain. Bref, ce qui est beaucoup moins drôle, c'est que la chose tue, c'est abominable, en avançant sur ses victimes (toutes myopes et boiteuses bien sûr) à une vitesse record de 0,0001 km/h. Autant vous dire qu'on a affaire à de l'action pure et dure, ça part dans tous les sens. Finalement, le seul intérêt de ce bon gros nanar, c'est de voir un Steve McQueen jeune, campant le rôle d'un blondinet naïf et presque couard (ce qui est rare tout de même dans la filmographie de cet acteur...).
malgré une réalisation correcte le film n'aurait pas vraiment d'intérêt sans la présence de Mcqueen qui est impressionnant de décontraction et arrive à nous distraire en luttant contre le reste de flan d'un gars du plateau.
Le Blob ( qui est aussi appeler Danger Planétaire ) est un film de science fiction plutôt agréable a visionner. Cette histoire d'invasion extraterrestre possède un atout de premier choix avec la présence de Steve Mc Queen dans l'un de ses premiers grands rôles au cinéma. Les effets speciaux de la créatures ont certes assez mal vieillis, mais la mise en scène de IrwinYeanworth est assez habile, la photographie de Thomas Spalding est très réussi et le tout se suit avec un certain plaisir. Une petite serie B des années 50 à découvrir donc, même si on peut lui preferer a cette époque la Guerre des Mondes de Byron Haskins ou encore le Jour où la Terre s'arrêta de Robert Wise.