Derniers Avis sur The Villainess

Ouah Ouah Ouah ding ding dong. Les mouvements de caméras sont juste dingues. Incroyable les combats sont sublimes 100 fois mieux que tous les films que j’ai pu voir dans ma vie et j’ai juste halluciné c’est trop trop bien fait. D’ailleurs parfois je me demande même comment ils ont fait c’est juste dingue les combats et les caméras 🎥. Les plans et séquences de combats sont justes à voir une fois dans sa vie. Après pour ce qui est du récit et pourtant je suis assez bon pour suivre des flash back mais la c’est juste le visage qui a été remodellé qui permet de savoir si on est dans le passé et j’avoue qu’à certains moments vu la complexité du passé vu non linéaire on passe de son enfance ou plutôt de son âge adulte passé à son enfance et à un moment il y’a tellement de flash back que ça nous embrouille grave et c’est dommage. L’histoire de plus reste complexe et comme les visages pour moi européen se ressemblent tous j’avoue que un jeu de couleurs pourquoi pas le passé en noir et blanc aurait été un plus. Sinon le récit est un peu alambiqué mais bon je pense que c’est surtout pour les scènes de combats qu’il faut le voir et puis c’est un gentil clin d’œil à Nikita. Mais j’avoue que je préfère cette version même si Nikita est plus posé et clair a comprendre.

Des images d'action impressionnantes, beaucoup de références à des films d'action dont principalement Nikita de Luc Besson. Mais malheureusement le scénario est compliqué et les flashbacks n'arrivent pas à tout expliquer (en tout cas pas au premier visionnage).

Pour ce qui touche au thriller et à l'action, le cinéma coréen est depuis quelques années une marque de qualité. Une règle pas toujours stable puisqu'on pourrait bien se passer de certains longs métrages. C'est le cas avec "The villainess" qui nous rejoue le scénario d'un "Hitman" croisé avec un "Nikita". Résultat dispensable car en plus d'afficher une intrigue pauvre en inspiration, les scènes d'action ne sont pas toujours bien maîtrisées et virent vite au brouillon. A cela s'ajoute une romance niaise et des acteurs insipides.
"The villainess" coche trop de mauvaises cases pour m'emballer.

악녀, traduit par chez nous en The Villainess, s'imprègne de suite comme un ersatz de Nikita et de Kill Bill, avec mon œil de Français tout du moins. Le film a d'ailleurs un condensé d'action et de réflexion qui stimule un rythme et dynamite, à l'instar des deux autres déjà mentionnés, la figure de la tueuse manipulé sous couverts d'une émancipation du joug autoritaire qui lui dicte sa conduite. La liberté à un prix, elle s'accompagne de solitude fragmenté, une forme de démence dont la souffrance maintient autant qu'elle mine !

Dès sa première scène, ce film va clairement se situer. Il - nous - plonge dans l'action, à la manière d'un jeux vidéo immersive, qui nous donne à voir le point de vue de sa protagoniste ( que l'on découvre en chemin ) dans ce combat machinal à différents niveaux. La encore, le gameplay dresse une palette de techniques de combat, à l'arme blanche comme avec son gun, on nous refile en guise de présentation une électricité qui coche des cases et va qui va prendre malin plaisir à s'en éloigner ensuite ...

Car là ou le film surprend, c'est qu'il se raconte de suite cette entrée sans texte ou presque. En accéléré, d'abord, la ou la contrepartie n'est pas vraiment au programme dans cette façon d'envoyer des lignes de traitements qui nous pousse encore à courir. Un défi qui démontre du coffre et qui devient extrêmement passionnant avec la manigance qui s'inscrit ensuite, mais avant cela, son aspect camp de mission sous l'égide de cette chef un peu inordinaire, et de sa troupe d'hommes qui regardes ses femmes sur fond de Tv Show commentés telle une conversation de vestiaire mène sous speed une introspection du traumatisme passé et à venir.

Après une première observation, le film ralentit et cherche à inscrire son " complot " dans des circonstances pré-écrites. Le braqué change, la forme aussi. L'identité, relégué au second plan devient le centre de ce nouvel axe, il est au cœur des magouilles et du mensonge, il en résulte une question. Comment construire et reconstruire sa vie selon les normes stipulés par d'autres ? Le suivi des impressions, de la véhicule de sentiments orientés par, pour, à dessein de, narre une relation dont les coutures sont masqués par des tours qui n'empêche pas de gratter ... Mais qui à pour autant une délicatesse et un attachement tout ce qui y'a de plus réel !

Le film reprend par la suite sa course contre la montre, à mesure que les trahisons et tromperies se révèle ( une fantastique analyse se fabrique d'ailleurs là-dessus ! ). Je tiens à dire que le casting est d'ailleurs absolument parfais. Kim Ok-vin, premier rôle incroyable de ce long-métrage capte l'attention avec une exagération qui sert et colle d'une certaine manière à la marche forcée de ce film qui chavire à grands renforts de tapages et de chambardements. Sa nuance est aussi là, avec moins de surface, mais quand même là ...

L'explosion démente de sa fin, dans son ultime chapitre réserve des scènes d'actions assez génial je trouve. Son affrontement avec celui qui se révèle être l'ennemi est faramineux et atteste de rendre The Villainess comme étant un super modèle du genre. Le bras levé de Sook-hee m'ai encore bien en mémoire à l'instant ou j'écris ceci ...

J'ai vu un film... Mais alors quel film... De la pure testostérone, avec un flux de tensions et des seaux des sangs, et des sauts de fous dans ce film coréen de malade... Alors bien sûr, je n'ai pas tout compris, et je dois avouer que je me suis perdu dans les personnages, en me demandant qui est qui, à longueur de temps...

Mais les 7 premières minutes... Rhhhhha les 7 premières minutes... On se croirait dans Doom, Call of Duty et Halo... C'est exceptionnel, dément, brutal, violent...

Après, je n'ai pas vraiment suivi l'histoire, l'intrigue, le qui est qui... Les Flashbacks ont fini de me perdre, mais bon, malgré l'ambition de la narration, là, la baston était l'objectif et l'histoire le prétexte...

Ce film s'inspire de Nikita, John Wick, et rend hommage à Tarantino... Jamais, je n'ai vu autant de morts violentes, en aussi gros plans, dans un ultra-réalisme qui va faire faire des cauchemars... Et j'aurai tellement envie de savoir comment on réalise un tel film, car certaines séquences semblent représenter des prouesses techniques, et de coordination incroyables... La caméra subjective est ici terriblement efficace...

Et, bien que le film soit interdit au moins de 12 ans, je pense qu'on aurait plus aller jusqu'à moins de 16. Une fois le film terminé, on reste pantelant... épuisé, en apnée et prêt à se reposer...

Décidément, les Coréens sont très forts pour nous proposer du bon cinéma d’action, et ce n’est pas « The Villainess » qui nous fera dire le contraire.
Réalisé par Jeong Byeong-gil (à qui l’on doit notamment le « Carter » sorti cet été sur Netflix), « The Villainess » raconte l’histoire de Sook-hee, une jeune femme qui se fait recruter par une agence d’assassins qui lui promettent la vie sauve pour elle et son enfant si elle leur donne 10 ans de sa vie à exécuter leurs missions.

Je crois que vous l’aurez compris, le film s’inspire fortement (presque au point d’en être un remake) du « Nikita » de Luc Besson, mais à la différence de « Nikita », « The Villainess » est bien plus sanglant, plus fun et plus jouissif du point de vue de l’action.

Dès le début, nous sommes plongés dans l’action grâce à un plan séquence de 5 minutes en vision subjective (dans les yeux de Sook-hee) où elle massacre gangster après gangster avec ses 2 petits katanas, puis, quand nous ne sommes plus dans ses yeux, le plan-séquence continue et la caméra se balade partout autour d’elle.

Donc au niveau de la mise en scène, rien à redire. La scène de course poursuite à moto est brillantissime, et le dernier combat dans le bus est extrêmement réaliste. Seul gros souci : les bavardages. Il y a beaucoup trop de blablas à mon goût, le milieu du film se concentre principalement sur son histoire d’amour avec son nouveau mari et la découverte d’un ancien ennemi, mais on s’ennuie tellement que j’ai failli arrêter le film (heureusement que l’action revient juste après).

« The Villainess » ne brille donc pas par la finesse de son scénario qui se révèle au final assez simple et même prévisible, mais se veut sans doute l’un des meilleurs films d’action et de drame de l’année 2017 aux côtés de « Kong Skull Island » et « Thor Ragnarok ».

un film d'action coréen assez rythmé avec une scène d'ouverture bien violente. plusieurs moments du film font vraiment penser à Nikita spoiler: (le centre d'entrainement et la scène où l'héroïne doit tirer au fusil dans la salle de bain)
. au milieu du film le rythme baisse un peu mais le scénario est prenant avec pas mal de suspens; les scènes d'action du début et de la fin sont filmées de manière assez immersive afin de rester scotché à son siège. un très bon film dans son ensemble.

Je maudis les critiques élogieuses de ce film, je savais que ça sentait le navet, et au final c'est pire que ce que je pensais, c'est archi-mauvais en termes d'écriture et de mise en scène avec une floppée de scènes aberrantes ou ultra faciles (exemple type parmi des dizaines: une voiture de police bloquant la route se transforme en tremplin pour moto... tout le film est comme ça...) . The Vilainess accomplit l'exploit d'être à la fois pénible et ennuyeux! Je me rends compte après visionnage que j'avais déjà vu "Confession of a murderer" qui est une purge cinématographique du même réalisateur... Voici donc les 2 pires films coréens que j'ai pu voir sur une bonne centaine! Si vous n'avez jamais vu de films coréens, ne commencez surtout pas par cette bouse qu'est The Vilainess. Sauf côté technique de 2-3 scènes poudre aux yeux, le film n'a aucun intéret. Si vous cherchez un bon film d'action coréen: allez plutôt voir Dirty Carnival, Public Enemy, Bittersweet Life, Bedevilled, ou même Hard Day si vous aimez le décalé.

Le début du film est prometteur. Mais la deuxième partie est soporifique, le scénario un peu brouillon. Reste de bonnes cascades et des scènes d'action magnifiquement filmés. Niveau intrigue, pas grand-chose à se mettre sous la dent.

Excellent, vu au CINEMA dans le cadre d'un petit festival de films coréens et vivement qu'il repasse en salle, j'irai le revoir. Tout simplement admirable. Courrez le voir vous allez adorer

Dans le genre, ce n'est de loin pas ce que le cinéma coréen a fait de mieux... Le réalisateur cherche à innover mais le fait assez maladroitement la plupart du temps. Le ton est donné dès l'intro, avec une caméra subjective assez épuisante. Par la suite, même si certaines scènes d'action valent le coup d'œil techniquement, les mouvements de caméras sont fatigants. Côté scénario, le montage multipliant les retours en arrière complique inutilement l'histoire de ce film qui l'était déjà suffisamment... De bonnes intentions mais mal exécutées.

The Villainess s'est avéré être un désordre tellement mouvementé et vide. Le scénario est tout simplement mauvais. Chaque personnages se comportant d'une manière qui n'a aucun sens et ils changent énormément de nature et de motivation d'une scène à l'autre. Les personnages apparaissent tombent amoureux, se marient et s'enflamment en quelques secondes. Il y a donc à peine assez de temps pour se souvenir si la personne qui meurt à l'écran est la même personne qui avait une réplique quelques scènes auparavant. The Villainess comme film n'est qu'un maelström fade, déroutant et complètement incroyable de tueurs aux visages pierreux et de rose pleureuses fragiles. Le fait que ces pleureuses soit jouées par deux actrices différentes rend le film encore plus déroutant et difficile à suivre que cela aurait été de toute façon. Aucune explication n'est donnée pour le titre du film ou d'ailleurs quoi que ce soit qu'elles fassent. Je ne sais pas qui a approuvé et qui a laissé passer un scénario avec tant de défauts. Mais cela m'inquiète vraiment de penser que la barre au cinéma est si basse en ce moment et qu'il croie que personnes ne le remarqueraient. Quoi qu'il en soit The Villainess est l'un des films les plus ennuyeux que j'ai vu depuis de nombreuses années...

Un délire d'action qui pousse le style à se surpasser et inspire à en être référencé. John Wick 3 ne s'en cachera pas. Un exercice qui marquera son temps.

Très bonne surprise que ce film asiatique aux scènes survoltées et au scénario à rebondissements. Sympa la toute première scène façon jeu vidéo ! Magnifique actrice.

Ovni venu de la Corée du sud, ce film déploie hargne et énergie pour raconter l'histoire de cette petite fille enrôlée à la mort de son père pour servir d'arme de destruction ciblée. Tueuse aguerrie et efficace elle retournera sa veste quant elle apprendra la vérité sur la mort de son père.
Force est de constater que le cinéma coréen est en plein essor pour notre plus grand plaisir. Visuel, action, émotions, tout est réuni pour nous en mettre plein les sens.