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    On ne vit que deux fois
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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 mai 2016
    Une cinquième mission originale. Terrence Young cède sa place après trois opus réalisé, pour le meilleur et le pire. Lewis Gilbert, qui refuse d'abord d'endosser le rôle de réalisateur, accepte l'offre d'EON pour adapter le roman de Flemming. Pour l'anecdote, Lewis Gilbert devait rentrer du Japon après repérages pour le tournage, mais ayant décidé de prolonger le voyage, lui et son équipe n'ont pas pris l'avion. Il faut croire en sa bonne étoile puisque l'avion qu'ils devaient prendre s'est écrasé, tuant tous les passagers, comme quoi, on ne vit que deux fois... Alors, que vaut cette cinquième mission de l'agent 007 ?

    Écrit par Roald Dahl (écrivain de Charlie et la Chocolaterie), il s'agit du premier opus qui dévie le plus fortement de l’œuvre originale d'Ian Flemming. James Bond part pour le Japon afin de trouver qui se cache derrière le vol, dans l'espace, d'une capsule spatiale américaine. Pour mener à bien sa mission, il sera assisté par les services secrets japonais. Proposant une atmosphère classique s'apparentant aux films policiers (enquête, nouveaux éléments, couverture...), le film n'est pas des plus passionnant pendant une bonne heure. L'intrigue est vite mise en place, mais on constate quelques longueurs ennuyante. Qu'importe, sous ces vols de fusées dans l'espace se cache une organisation criminelle bien connue, le Spectre, dont les intentions sont d'amener les deux super-puissances Américaines et Soviétiques à s'attaquer. Ancré dans l'actualité (avec la conquête de l'espace et la guerre froide) le film propose quelques séquences sympathiques et inspirées, à l'image de cette course-poursuite dans les airs. Inutile de se mentir, mais la deuxième partie est bien plus intéressante, offrant une grosse séquence de fusillade à la toute fin, alors que le reste du film est calme. Un film un tantinet déséquilibré mais qui divertit, on en demandait pas mieux. Bond, un peu en deçà des précédents opus, est cette fois-ci opposé au n°1 du Spectre, Blofeld qui dévoile enfin son identité, permettant de mettre un visage sur le plus grand méchant de la saga 007. Pas le meilleur opus, mais une mission sympathique qui assure le spectacle.

    Côté casting, le film semble montrer quelques signes de faiblesses. Bond, incarné par Sean Connery pour la cinquième fois, n'est pas aussi à l'aise que dans ses autres films. Un peu crispé, misant sur des blagues un brin lourdes, n'arrive pas à redonner un second souffle au personnage après l'excellente Opération Tonnerre. La douce Mie Hama incarne une James Bond Girl mignonne et sympathique, mais pas aussi marquante que les précédentes. La véritable surprise est Donald Pleasence (la saga Halloween) qui incarne un Blofeld incroyable. Cicatrice sur le visage, chat persan et phrases chocs, il donne une véritable identité au vilain le plus emblématique de la saga.

    La réalisation est, comme pour les opus précédents, sympathique et offre son lot de surprises. Le film se déroule essentiellement au Japon, montrant de nombreux lieux emblématiques du pays du soleil levant. On retiendra surtout cet opus comme étant l'un des opus qui mise le plus sur les gadgets en tout genre, notamment la Petite Nellie qui offre une séquence aérienne vraiment originale. Petit bémol concernant les plans dans l'espace qui semble réaliste pour l'époque, mais kitch de nos jours... Concernant la bande-son, John Barry livre comme à son habitude une copie propre et ancrée dans les tons asiatiques du film. Il en va de même pour l'introduction de la ravissante Nancy Sinatra, glamour et originale, bien que n'étant pas celle que je préfère.

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    Les : une histoire assez intéressante qui s'appuie sur l'actualité, des acteurs impliqués dans leurs personnages, la grosse bataille/fusillade à la fin, on peut enfin mettre un nom et un visage sur le n°1 de Spectre, une bande-son et une réalisation soignée

    Les - : mais une histoire qui met beaucoup de temps à démarrer, une partie au Japon pas forcément intéressante, quelques effets ultra-kitch

    On ne vit que deux fois n'est pas un mauvais Bond en soi, mais il n'est pas non plus un des meilleurs de la saga. On peut tout d'abord se satisfaire de la présence du n°1 du Spectre qui montre enfin son visage, offrant l'apparition tant attendue du bad-guy le plus charismatique de la franchise. La réalisation et la bande-son sont, encore une fois, satisfaisantes et offrent un ton asiatique si particulier au film. En revanche, la première partie du film est bien trop banale et peu inspirée, servant plus d'avant-goût pour l'excellente partie se déroulant sur l'île, faisant directement un clin d’œil à Dr No. Pas totalement inintéressant, le film se laisse regarder sans trop de difficultés, mais n'offre pas non plus la mission la plus palpitante de Bond.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 janvier 2020
    Dernier opus de l’ère Broccoli et Saltzman à la production, il est le maillon faible de cette série de 5 films. Passant après deux très bons numéros (« Opération tonnerre » et « Goldfinger ») ; malgré un très gros budget, la recette s’essouffle tout comme son comédien phare Sean Connery qui s’est bien empâté au passage. Le paquet est mis sur le spectacle avec des scènes de combats homme à homme dans les bureaux super bien chorégraphiées et mises en scène, des combats aériens avec hélicos spectaculaire,… mais les personnages, l’humour, les James Bond Girl et la psychologie sont les grands oubliés d’un scénario écrit par une pointure du roman jeunesse, Roal Dahl. Surfant toujours sur les peurs de l’époque, après les risques de guerre nucléaire dans « Opération tonnerre », c’est ici les risques de conflit générés par la conquête de l’espace entre soviétiques et américains. Et à ce propos, la première scène est géniale avec un kidnapping spatial de navette. Un peu déçu par cet opus qui a bien moins résisté paradoxalement au temps que les deux précédents.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 765 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    « On ne vit que deux fois » cinquième volet signé Lewis Gilbert.
    Voilà un autre James Bond que je n’avais encore jamais vu (déjà 3 sur 5).

    Le générique me paraît plus sage, plus discret dans les formes féminines qui ondulent ; il nous informe, pour l’essentiel, du lieu où l’agent 007 accomplira sa mission : le Japon

    L’introduction annonce du lourd : dans l’espace, alors qu’un astronaute est en sortie extra véhiculaire, un vaisseau anonyme avale la capsule spatiale US.
    spoiler: Plus tard, dans le récit, ce même vaisseau mystérieux gobera une autre capsule spatiale, cette fois, soviétique.

    Ce James Bond flirte avec la science-fiction.
    Cette fois, on y est vraiment ; depuis que je fréquente James Bond, la saga plonge sans complexe dans ce que j’appelle l’extravagance, l’improbabilité, l’invraisemblable.
    James Bond aura pour mission de dénicher ce vaisseau mystérieux qui kidnappe des capsules spatiales au milieu de l’Espace.
    Pour ça, il doit se rendre au Japon.
    Pourquoi le Japon, c’est à vous de le découvrir.

    A son arrivée au Japon, 007 doit prononcer un mot de passe savoureux à son contact.
    Moneypenny se charge de le citer avec délectation : « Je vous aime ».
    Elle lui demande de le répéter. Mais James Bond est un rustre élégant, pour réponse, il lui dit que c’est inutile car il est diplômé en langues orientales !
    Pauvre Moneypenny, combien elle aurait été heureuse de se l’entendre dire.
    En citant le mot de passe, Moneypenny n’en profiterait-elle pas pour déclarer sa flamme à James Bond ?
    Quant à James Bond, ne pas répéter le mot de passe, c’est sous-entendre que ce n’est pas réciproque.

    Voilà notre James Bond au Japon grâce auquel on découvre rapidement le sumo, les arts martiaux avec les fameux ninjas. Un espion chaussé parfois de sandales !
    On y voit même, ce me semble pour la première fois, un James Bond réaliser par deux fois deux cascades en se jetant par dessus les rambardes d’un port pour échapper à ses agresseurs.
    On lui présente des gadgets japonais qui n’ont rien à envier à ceux de Q.

    En parlant de Q, celui-ci s’est déplacé au pays du soleil levant pour monter la Petite Nellie ; spoiler: un petit hélicoptère qui permettra à 007 de scruter les environs pour tenter de dénicher l’antre du SPECTRE.

    Sans faire pour autant preuve d’originalité, la mise en scène use de pertinence spoiler: pour annoncer l’arrivée de quatre hélicoptères collés au derrière de la Petite Nellie. En effet, James Bond repère quatre ombres qui se dessinent sur les reliefs ; s’ensuit une poursuite dont l’issue permettra à 007 de dire :

    « Des malabars sont venus faire des avances à la Petite Nellie, elle a défendu sa vertu » !
    Toujours aussi coquin ce James Bond.

    En parlant de SPECTRE, Blofeld a enfin un visage, un visage balafré : celui de Donald Pleasence, The Number One SPECTRE.
    Il ne se montre pas de suite, la mise en scène nous l’incarne toujours de dos, de jambes, de pieds, engoncé dans son fauteuil à caresser son sempiternel chat blanc angora.
    La mise en scène nous permet de découvrir son visage au moment où celui-ci se présente à James Bond. C’est habile et je dirai légitime ; Blofeld ne peut se présenter aux spectateurs qu’à travers le regard de James Bond, son antagoniste.

    La James Bond Girl ? J’en compte trois dont deux japonaises : Akiko Wakabayashi dans le rôle d’Aki ; c’est le contact de 007 qui s’est entendue dire « Je vous aime ».
    spoiler: Cette petite Aki sauvera la vie de Bond au volant de sa Toyota quand même
    . Elle n'a pas le statut de potiche.
    Helga Brandt (Karin Dor), la secrétaire d’Osato ; spoiler: deux crapules à la solde du SPECTRE.

    Enfin Kissy Susuki (Mie Hama), spoiler: l’épouse factice de James Bond ; ce qui donne lieu à quelques moments coquins qui frustrent 007 qui aimerait tant jouer son rôle de mari !

    A propos de ce mariage blanc : James Bond est grimé en japonais. Risible pour ne pas dire ridicule.
    spoiler: Toujours est-il, ce couple artificiel finira par trouver la cachette du SPECTRE.


    En conclusion, j’en reste toujours à « Bons Baisers de Russie ». Indécrottable dans mon esprit.
    A voir en V.O… si possible.
    SpiderGogo
    SpiderGogo

    34 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2023
    À la suite du détournement d'un vaisseau spatial américain, les tensions augmentent entre les États-Unis et l'URSS, au point qu'une guerre est à venir. Les Britanniques ont des soupçons au Japon et le MI6 fait passer pour mort James Bond afin de l'envoyer faire son enquête en toute discrétion à Tokyo. Là-bas, il sera accompagné par les services secrets japonais dirigés par "Tigre". Mais le temps presse pour démanteler la puissance industrielle derrière tout cela.
    C’était l’opus de la première période dont je me souvenais le moins. Pourtant You Only Live Twice est un bon cru avec un cadre japonais très sympathique et original pour la franchise, la première véritable apparition de Blofeld, une belle chanson de Nancy Sinatra et Sean Connery toujours aussi classe en Bond.
    Après évidemment ça a mal vieilli sur certains points (toute la partie où 007 se « déguise » en japonais, la scène du bain, l’effet spécial du volcan à la fin…) et je trouve tout de même le film moins mémorable que ses 4 prédécesseurs mais ça reste vraiment efficace dans l’ensemble. Connery aurait dû s’arrêter sur celui-là.
    Spider cineman
    Spider cineman

    110 abonnés 1 796 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2023
    De l action, du mystère, un James Bond au milieu de sa forme et un scénario avec une intrigue bien menée, sans doute un des opus les plus réussis d autant que le dépaysement en Asie est attrayant, même pour des années 60-70. Il y a également du spectaculaire, ça relève le niveau au regard des épisodes précédents.
    L&amp;#039;ombre du 7ème art
    L&#039;ombre du 7ème art

    56 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mai 2022
    On ne vit que deux fois parut en 1967 est le premier raté de la saga James Bond.
    Après 4 excellents films et une réussite quasi parfaite d '"opération tonnerre", nous nous attendions à voir une suite aussi bonne que le précédent. Hélas, ce n' est pas le cas.
    J'ai eu la sensation de faire face à un scénario qui n'est pas fini. Pour commencer, on comprend assez aisément que le stratagème employé par Spectre qui consiste à enlever les fusées pour déclencher une guerre entre les USA et l'URSS est une Bonne idée pour renverser le monde et les grandes puissance mondiales. Toutefois, on ne comprend pas les réelles motivations de spectre puisque ces derniers sont vite éclipse dans le récit par les forces japonaises, ce qui rend le plan de spectre assez flou et incohérent dans la démarche, ce qui m'a gâché personnellement le film.
    Pour continuer dans les fausses bonnes idées, il est nécessaire de s'attarder sur l'antagonsite. Blofeld est une honte. En effet, même si l'idée est intéressante de révèler son visage, le choix de l'acteur n'est absolument pas convaincant. Il joue mal, il n'a aucun charisme et discrédite à lui tout seul l'organisation par son comportement assez enfantin. De plus, l'idée de mettre en place des "ninjas" et que James Bond en devienne un aussi et d'un ridicule certes assumé par le réalisateur mais cela n'apporte aucune évolution au personnage puisque ça ne change pas sa façon de combattre, ni sa façon de penser et cela ne sera jamais réutiliser dans les autres épisodes de la saga. En plus les tenues de "ninja" sont assez kitch. Bref, une nouvelle fausse bonne idée.
    Concernant la James Bond Girl, enfin les James Bond Girl, elles sont oubliables. Les actrices, auraient pu être remplacé par n'importe qui prouvant une nouvelle fois que la place des femmes dans le scénario est assez factuelle et confirme le sentiment du précédent film qui est de mettre des femmes pour des femmes.
    Concernant la musique, nous sommes à des années lumières de Goldfinger et Opération Tonnerre. Le générique est sympa mais est inférieure aux deux précédents.

    Cependant, les scènes d'actions sont vraiment bien, les effets spéciaux sont beaucoup moins présents et sont surtout mieux fait. Il y a eu un réel effort de fait sur les combats au corps à corps et les affrontements à l'arme à feu.
    Sinon le reste est bien, les dialogues compris.

    Je ne dis pas que c'est un mauvais film, mais j'aurais du mal à dire aussi que c'est un bon film. C'est moyen. Le seul intérêt du film est d'avoir fait avancer le personnage de Blofeld même si cela n'atteint pas le résultat escompté.
    JamesDomb
    JamesDomb

    82 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le moins bon 007 avec Connery. Bagarres un peu molles, des Bond girls un peu crétines mais le film est sauvé par l'originalité des détournements des engins spatiaux et surtout de la bataille finale apocalyptique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 octobre 2014
    Le démarrage est assez étonnant au niveau des effets spéciaux pour l'époque (1967). Lewis Gilbert (94 ans en 2014) prend le relais de la mise en scène. Il réalisera d'ailleurs deux autres James Bond ultérieurement : L'espion qui m'aimait (1977) et Moonraker (1979). Pour ce cinquième opus, la belle Akiko Wakabayashi lui donne la réplique. Cette fois l'action se passe au Japon pour partie. Cela commence plutôt mal pour James Bond puisqu'il est mitraillé, par qui, pourquoi ? Rassurez-vous, les héros ne meurent jamais, seul le décor du bureau du MI6 a changé, "M" le chef de service incarné par l'éternel Bernard Lee, reçoit Bond dans un sous-marin (au passage, vous remarquerez le luxe du bureau !). Il y a toujours autant de jolies filles, cela devient trop récurrent et lassant, toutefois Bond ne serait plus lui-même … Les combats corporels n'ont rien de sensationnel et Bond se retrouve souvent en difficulté, voire en incapacité. Enfin, ce film accumule les invraisemblances comme le coup de la simple tablette qui bloque les bras de 007 dans l'avion. Abracadabrant néanmoins n'est-ce pas le propre des films de James Bond ? A voir également le nouveau gadget de monsieur "Q", le super ULM de combat avec un moteur de Solex, super armé, c'est simultanément drôle et ahurissant cependant la scène vaut le détour, irrationnel mais puissant. D'autres surprises ébahiront le spectateur, le fameux dirigeant du S.P.E.C.T.R.E. restant toujours inidentifiable. Certains reconnaîtront le château de Himeji, l'un des derniers châteaux en bois existant au Japon. Malgré quelques imperfections, cette pellicule constitue un bon divertissement.
    Ciné-o-Max
    Ciné-o-Max

    49 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 novembre 2017
    "On ne vit que deux fois est vraiment un bon film. Il aurait pu être encore meilleur si l'intrigue principale n'était pas si ressemblante à celle du long-métrage précédent. Autrement, il n'a pas beaucoup plus de défauts qu'Opération Tonnerre, il a même quelques qualités en plus. On ne vit que deux fois est donc un bon film, qui continue, sur la lancée de son prédécesseur, à augmenter la qualité de la franchise."

    Critiques complètes sur cineomax.over-blog.com
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    892 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2013
    Un cinquième film plutôt sympathique, où le bon côtoie hélas le mauvais. En premier lieu, on peut saluer une action bien orchestrée, mettant à profit un scénario plutôt bien écrit à défaut d'être comme à l'accoutumée fidèle au roman original. Quant au méchant final, il n'est ni plus ni moins que l'une des plus belles gueule du cinéma interprété avec conviction par l'impressionnant Donald Pleasance... Ceci dit, On ne vit que deux fois possède également bon nombre de défauts comme certaines incohérences assez malvenues, un Sean Connery épuisé se ridiculisant en pseudo-Japonais horriblement mal déguisé, des James Bonds girls instantanément oubliables (Mie Hama, juste transparente) et quelques effets spéciaux sont ridicules pour notre époque. Ainsi, dans l'ensemble, on se retrouve avec un 007 au pays du soleil levant tout à fait regardable, quelque peu lent de temps en temps mais avec Sean Connery et Donald Pleasance au casting, on ne se lasse pas vraiment...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 juin 2008
    Premier bond de la saga ou l'on voit la tete de blofeld.Il y a eu du suspense quand meme avant de la voir.Encore une fois un bond merveilleux,dont on ne se lasse pas.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    138 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2016
    Cinquième opus de la saga et moins réussi que les 4 premiers. Le déguisement de Sean Connery en asiatique et sa deuxième vie sont incompréhensibles. Mais le repère de Blofeld, Blofeld loin même réhausse l'interêt du film. Les acteurs secondaires sont moyens et mal exploités. ça sent la fin de Sean Connery.
    Henry Jones Jr.
    Henry Jones Jr.

    11 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2012
    L'un des meilleur James Bond avec Sean Connery. On ne vit que deux fois révèle enfin l'identitée du redoutable chef de la SPECTRE dit "numéro 1". Le scénario est captivant et la poursuite avec l'hélicoptère de poche est réussie.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    661 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2014
    Dans ce cinquième opus de la saga, notre très cher agent 007 doit combattre le SPECTRE, une organisation criminelle qui n’a qu’un seul objectif : devenir les maîtres du monde. Et dans cette nouvelle aventure Sean Connery nous montre sa classe habituel et impose un charisme que finalement peu d’acteur auront su imposer pour ce personnage. Ce long-métrage possède aussi comme atout la beauté des décors naturels du Japon, mais aussi la présence de quelques très belle James Bond Girls dont Karin Dor et les charmantes actrices japonaise Akiko Wakabayashi et Mie Hama. La mise en scène de Lewis Gibert est également de qualité et nous propose quelques bonnes scènes d’actions, la partition de John Barry est comme à l’habitude superbe et l’histoire sans être exceptionnelle possède suffisamment de rebondissements pour nous tenir bien en haleine. A noter aussi les très beaux décors concernant le repaire du SPECTRE qui est incrusté de manière très ingénieuse dans le cratère d’un volcan. Au final, je peux dire que "On ne vit que deux fois" est l’un des meilleurs opus de cette saga que j’ai pu visionner jusqu’à présent.
    Noah N
    Noah N

    8 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2023
    Après 4 films respectables, celui-ci est un peu parti en roue libre, mais tout en restantun film encore correct. Il n'y a rien à dire là-dessus : Sean Connery est toujours si bon en James Bond, spoiler: l'introduction de Blofeld est plutôt bien représentée,
    et on dépayse un maximum en nous faisant découvrir le Japon. Les scènes de combat et d'action sont toujours agréables à regarder et on passe un bon moment.
    En revanche ce qui déconne, c'est le scénario qui ressemble à celui de "Bons baisers de Russie", spoiler: dans les intentions de Blofeld surtout : déclencher une guerre entre les USA et la Russie.
    Il y a aussi certains effets qui à l'époque passsaient bien, mais qui aujourd'hui ne marchent plus et puis il y a quelques scènes faisant passer les personnages pour des idiots, mais bon ce film est vieux et il a une certaine excuse.

    "On ne vit que deux fois" est toujours aussi divertissant, mais malheureusement il est en-deçà des précédents films.
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