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    Meurs, monstre, meurs
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    24 critiques spectateurs

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    mat niro
    mat niro

    294 abonnés 1 720 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 octobre 2019
    Ce film d'horreur argentin est complétement déjanté, dans le mauvais sens du terme. Passé l'effet de surprise de voir ces pauvres personnes se faire décapiter, le réalisateur nous inflige des scènes tellement grotesques que l'on pourrait en rire. On est complétement perdu dans cette histoire qui se veut philosophique mais qui vire au grand n'importe quoi. Désolant!
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    27 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 mai 2019
    Regarder ce film était cauchemardesque. J'ai trouvé qu'il y avait une complaisance bien trop forte à montrer les corps décharnés et les têtes décapitées. Il y a sûrement de morte que de vivant dans ce film. J'ai trouvé l'esthétique de ce film absolument dégoutante : les corps (même vivants) sont imbibés de terre, de sang, de liquide visqueux. Les couleurs sont aussi très ternes, d'une chaleur opaque. Je ne trouve pas que les paysages de la Cordillère des Andes étaient mis en valeur (comme j'ai pu parfois le lire). Certains plan larges étaient même flous. J'ai trouvé l'ensemble des personnages complètement malaisants, ce qui n'est pas forcément négatif, mais renforce le peu d'attachement que j'aurai à l'égard de ce film. Pour ce qui est du propos, la notion de La décrit par les montagnes ne rime à rien, et quand on voit à quoi ressemble le monstre on se demande avec quelle intelligence il peut décrire une lettre grâce au schéma des crimes qu'il commet. Et puis, il y a des scènes avec des motards, ou des scènes où Cruz danse : on dirait que le réalisateur se complaisait à les filmer et à mettre des scènes très "cinéma d'auteur" dans sa proposition. Pour en revenir au mondtre, il m'a semblé très effrayant, surtout apres tout ce qu'on venait de nous balancer dans la rétine. Et puis on finit par le voir, marcher, on voit son arrière-train qui se dandine et on entend quelques rire dans la salle. À la fin, une derrière image bien gore, qui rentre en symétrie avec la première, tout aussi insupportable. À voir si on a les nerfs bien solide...
    AZZZO
    AZZZO

    268 abonnés 728 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mai 2019
    Un ovni ! On se pose beaucoup de question en regardant ce film : Où est le monstre ? Sont-ils tous fous ? Pourquoi ai-je payé ma place ?... Le sexe, la mort, la peur, le verbe, c'est une oeuvre totalement freudienne. En plus de l'originalité, la photographie est superbe mais quel dommage que l'intrigue progresse si lentement. Inclassable. Recommandé aux étudiants en psycho et aux fous.
    islander29
    islander29

    758 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2019
    Quel film curieux, iconoclaste et baroque….UN phénomène culturel, quelque part…..On en sort en se demandant ce qu'il fallait comprendre, au film (il y a de la matière presque ésotérique) mais quand même un peu hypnotisé par des images d'horreur fantasmagoriques et parfois étranges…..Le tueur en série décapite ses victimes (des femmes) et cache leurs têtes dans des lieux sordides comme une soue de porcherie (je ne vous dis pas les images)...C'est un film fort, de caractère, avec des dialogues rares sur la folie des criminels (des télépathes hyperactifs parfois qui lisent les pensées de leurs victimes)…On a peur, on est scotché par les victimes et les policiers passablement véreux...L'atmosphère du film est noire, macabre, avec pourtant une poésie sourde et funeste qui accapare notre attention… Aidée par une musique sobre mais inhérente au drame du scénario….Le film ne plaira pas à tout le monde, parce qu'il est d'une étrangeté surréaliste, qu'on patauge parfois dans la boue au sens premier, que les visages sont sales et agressifs, mais il se dégage quelques chose de beau, comme dans toute misère humaine qui veut transcender…...Il faut chercher le message du film dans cette transcendance d'ailleurs comme l'indique sournoisement le titre (Meurs monstre, meurs), même si le monstre 'est pas toujours celui que l'on croit…;c'est un film choc assurément, (quels dialogues!!, quelles images!!!) vous savez à quoi vous attendre. Du Glauque pur et dur…...J'en ai pris mon parti, je ne regrette pas,
    btravis1
    btravis1

    98 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 mai 2019
    Quel que soit le sujet, un réalisateur essaye généralement de capter l'attention du spectateur. Ici tout est fait pour qu'on est envie de quitter la salle, rythme très lent, images moches (sauf certains plans extérieurs), dialogues insipides et débités très lentement, personnages pas attachants. Du coup j'ai tenu jusqu'au bout pour un final grotesque avec spoiler: l'apparition matérialisé du monstre, sorte de sexe en tout genre sur patte !
    . J'aurai dû m'abstenir.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    149 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 mai 2019
    Joli nanar argentin qui essaie de se la jouer film d’auteur mystico-ésoterique et qui ne parvient qu’à ennuyer. Hormis quelques belles images pas grand chose à tirer de cette œuvre freudienne où un monstre clitoridien sème le chaos dans la pampa en décapitant des femmes à tour de queue (et en forme de pénis l’appendice s’il vous plait!). La police mène l’enquête et le spectateur s’endort.
    Yves G.
    Yves G.

    1 281 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 juin 2019
    Au cœur des Andes argentines, une paysanne est sauvagement décapitée. L'inspecteur Cruz de la police rurale est chargée de l'enquête. Le principal suspect est un voisin que le drame a laissé à moitié fou, qui sera bientôt enfermé en asile psychiatrique. Il tient des propos incohérents et évoque la menace d'un monstre qui rode.

    "Meurs, monstre, meurs" mélange des genres bien connus. Le thriller policier : son héros est un policier taciturne qui enquête sur des crimes en série. Le drame social : l'enquête se déroule dans la campagne argentine et met en scène des gens de peu, écrasés par la pauvreté et abrutis par l'isolement. Le film atmosphérique : le héros, frappé d'insomnie, évolue dans une veille nébuleuse qui contamine les êtres et les choses autour de lui. Le gore : plane constamment la menace d'une apparition monstrueuse.

    Le problème est le dosage de ces éléments-là. L'enquête policière tourne court car l'identité de l'assassin est vite dévoilée. Le drame social n'est guère creusé dès lors que le film bascule dans le seul registre du fantastique. Le film atmosphérique tourne vite à la succession hypnotisante de plans diurnes ou nocturnes d'une sauvage beauté. Reste le gore qui perd toute son efficacité dans ses séquences finales.

    Cette conclusion est absurde et ridicule. Absurde : elle réduit à néant l'idée sur laquelle le film semblait s'être construit que la monstruosité se terre en chacun d'entre nous et n'attend que l'occasion propice de se libérer. Ridicule : quand le monstre apparaît - qui ressemble plus au Casimir de "L'Île aux enfants" qu'au monstre d'"Alien" ou de "Predator" - le rire le dispute à la gêne. L'angoisse en tout cas a disparu.
    Y Leca
    Y Leca

    20 abonnés 904 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 août 2020
    Film d'"horreur" d'une lenteur monotone. Plans fixes sur des visages laids ou inexpressifs. Collection de têtes coupées et apparition finale grotesque du monstre à corps d'éléphant et tête d'organes reproducteurs. Tout est dit. Fumeux et à oublier.
    poet75
    poet75

    256 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 mai 2019
    Le film s’ouvre par une scène à glacer le sang. Dans un paysage de la Cordillère des Andes, une femme surgit au milieu de moutons, face à la caméra. Elle a la gorge tranchée, elle essaie de retenir sa tête, mais, bien sûr, en vain. Elle s’effondre. Et il ne s’agit là que de la première des nombreuses scènes horrifiques du film. Il faut avoir le cœur bien accroché pour regarder la pléthore de tableaux répugnants que se plaît à composer le cinéaste.
    Le film n’est cependant pas dénué de tout intérêt. Il met en scène des personnages intéressants, énigmatiques. Des flics étranges et, semble-t-il, frustrés, un suspect qui entend des voix, de fantomatiques motards dont on ne sait pas vraiment qui ils sont… Cela donne à ce long-métrage une atmosphère mystérieuse et assez captivante. À quoi s’ajoutent les paysages enneigés des montagnes que met bien en valeur le réalisateur, particulièrement lorsqu’il place en évidence des sommets qui forment trois fois la lettre M.
    Malheureusement, tout ce potentiel est, en fin de compte, gâché par l’abondance des scènes horrifiques que le cinéaste a cru bon de montrer sans détours. Le pire advient à la fin du film spoiler: lorsque surgit un monstre réel (on peut le supposer, en tout cas) qui semble échappé de Star Wars afin de semer l’épouvante
    . En vérité, ce n’est pas la frayeur qu’engendre cette créature, mais plutôt le sarcasme. Elle ne fait pas peur, elle n’est que risible ! En voyant ce gâchis, comment ne pas avoir la nostalgie du cinéma des années 30, 40, 50 ? En ce temps-là, les cinéastes maniaient à merveille l’art de la suggestion, ils n’éprouvaient pas la nécessité de tout montrer, ils faisaient confiance à l’imagination des spectateurs, et leurs films restent encore et toujours fascinants ! Ce qui n’est certes pas le cas de ce film d’Alejandro Fadel.
    traversay1
    traversay1

    3 096 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2019
    Avec Los salvajes, son premier long-métrage, le cinéaste argentin Alejandro Fadel frappait par sa radicalité, à l'instar d'un Carlos Reygadas, sur le thème de l'animalité qui resurgit chez des humains en mode survie, dans une nature de plus en plus hostile. Meurs, monstre, meurs, pousse le bouchon encore plus loin au pied des montagnes de la Goredillère des Andes, là où des femmes trépassent, finissant avec un corps sans tête. Si le film avait un minimum d'humour noir à proposer, on serait (presque) prêt à accepter les délires d'un scénario qui part très vite en quenouille mais las, le "sujet" est traité avec un sérieux emphatique qui fait davantage peur que la représentation physique du monstre du titre, qui atteint le summum du ridicule. Devant les forces du mal de Meurs, monstre, meurs, les humains sont des pantins grotesques que les aléas du récit emportent vers on ne sait quel rivage fantastique. C'est vraiment du gâchis quand on constate l'évident talent visuel d'Alejandro Fadel qui ne pourra guère faire plus à l'avenir dans le registre de l'horreur graphique et gratuite, au service d'une histoire aussi extrême dans son extravagante bestialité. A ce sujet, il est à noter que quelques scènes du film sont complaisamment répugnantes, comme un éloge énamouré de la laideur.
    S-Kayp
    S-Kayp

    126 abonnés 1 186 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 août 2020
    Un bon scénario mais un problème de rythme ce qui fait le film est (trop) mou et donc on a du mal à rester accrocher à l'histoire. Et je pense que spoiler: la révélation sur le vrai tueur puis l'apparition du monstre
    ont été expédiées un peu trop vite. Sans oublier le faite que spoiler: le design du monstre est raté. Si on avait eu un film qui ne se prend pas au sérieux du genre un film d'horreur humoristique, là ça aurait été bon pour le design du monstre. Et puis le monstre a sa queue en forme de sexe et sur son "visage" on devine des testicules
    ... Cela a sûrement une signification et une explication, mais moi je n'ai pas compris la raison. D'ailleurs, pourquoi spoiler: le monstre ne tue pas le policier Cruz et il lui mange juste un bout du bras gauche ??
    Là aussi je n'ai pas compris la raison.
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2020
    Un film de cauchemar. Le terme convient parfaitement à ce « Meurs monstre meurs » film on l’on va suivre des policiers ruraux enquêter sur la mort de plusieurs femmes que l’on retrouve décapitées. C’est un cauchemar dans ce qu’il montre visuellement à l’écran, les mortes sont montrées de manière très crue, très froide. Le film veut nous parler (peut être de manière trop évidente) de la place de ces femmes dans une société extrêmement patriarcale. C’est un cauchemar au niveau de l’ambiance, entre nuits sombres et brumes matinales, un cauchemar où va s’enfoncer le personnage principal, un cauchemar dont on sent rapidement qu’il ne sortira pas indemne. Enfin un cauchemar dans sa conclusion car il faut bien l’admettre le monstre que l’on va évoquer tout au long du film s’avère bien décevant pour ne pas dire plus et gâche réellement un film que j’avais trouvé captivant jusque là.
    Dkc
    Dkc

    21 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2019
    L amour c est mortel ! Le sexe tue ! Ok. On connaît ça depuis Freud. Y a t il un psychiatre d la salle ? Glauque, intriguant, horrible voire obscène, mais surtout lent. Très lent. Trop lent. L ennui est le pire des monstres !
    war m
    war m

    21 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juillet 2019
    Une histoire de monstre, pompeuse et grotesque, s’y donne le triple apparat d’une fable philosophique, d’une série Z et d’un film contemplatif-chiant.
    JCADAM
    JCADAM

    3 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 juin 2020
    Hormis les beaux paysages et le bon cadrage où chaque plan est maîtrisé à la perfection je n'ai jamais vu un film aussi obscène. En plus d'être très lent le film est glauque pour rien, pendant toute l'histoire on voit un policier chasser un monstre pour à la fin découvrir une étrange créature avec une forme de pénis... on sort de la salle en se disant qu'est-ce que c'est ce truc ? Et malheureusement notre question reste sans réponse, je ne vois pas où le réalisateur voulait en venir et c'est bien dommage.
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