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Diane Lane et Kevin Costner retrouve un bon rôle dans ce thriller implacable et rempli de tension. Toujours un côté grande plaine et des chevaux dans ce film co-produit par le réalisateur de Danse avec les loups. Ils n'ont pas oublié une petite touche de drame pour un réalisme glaciale.

Super film, en plus j'adore les deux acteurs principaux, dans les paysages américains que j'ai eu la chance de voir et revoir
l'intrique est super et originale et maintenue jusqu'au bout où on ne peut deviner la fin.
A voir

Un film à suspense accrocheur mettant en vedettes Kévin Costner et Diane Lane, les raisons pour lesquelles j'ai regardé ce film. Ils jouent des grands parents dont les premières images montrent qu'ils ont perdus leur fils. La belle fille et le petit fils partent dans la famille du nouveau copain mais ne reviennent pas. Les vieux décident d'aller chercher l'un des leurs, ou plutôt "L'un des notres" comme le titre l'indique, mais tomberont dans une famille déglinguée. Une œuvre curieuse au départ, oppressante par la suite, le film commence assez lentement puis, au fil de l'histoire, nous aggrippent comme un électrochoc de suspense avec des scènes dures comme celle des doigts. C'est pas mal, mais dans la moitié du long métrage c'est un peu mou d'où ma note. Kevin Costnet et Diane Lane ont les années qui passent de vieillesses mais tiennent toujours la baraque dans leurs performances. Les acteurs secondaires sont impeccables à leurs côtés. Âmes sensibles, s'abstenir.

La grandeur de Diane Lane et Kevin Costner

Au début des années 1960, un couple du Montana – George (Kevin Costner) et Margaret (Diane Lane) Blackledge – pleure la spoiler: perte de leur fils, James, dans un accident d'équitation. James laisse derrière lui sa femme Lorna (Kayli Carter) et leur fils nouveau-né, Jimmy
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Deux ans plus tard, spoiler: Lorna se remarie précipitamment. Et, peu de temps après, Mme Blackledge voit involontairement cet homme battre leur belle-fille et leur petit-fils de deux ans
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Lorsque Lorna et Jimmy spoiler: disparaissent, sans même avoir le temps de se dire au revoir, à cause de la menace que représente ce Donnie Weboy – l'homme brutal – Margaret convainc son mari, un shérif à la retraite, de la suivre dans son voyage pour les retrouver
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Sur la route du spoiler: Dakota du Nord, ils croisent un jeune Amérindien nommé Peter Dragswolf. Avant de sombrer dans un monde rural profondément consanguin, sectaire et barbare. Là où les seuls langages que connaissent ces fanatiques à l’esprit mesquin sont ceux de la vulgarité, du mépris et de la violence
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Un film puissant sur ces familles claniques, qui composent des communautés qui se croient au-dessus des droits fondamentaux garantis par l'État de droit.

4.2/5

Un film tout en douceur, avec des paysages magnifiques, rythme très lent, avec une fin que l'on distingue petit à petit ...

Un western des temps modernes dans les paysages du Dakota aux États-Unis. Une dénonciation de la corruption et des violences conjugales.

Un très bon film riche en tension et en émotions avec un casting parfait. La première rencontre entre les deux familles autour d'un dîner est un grand moment de cinéma avec une atmosphère bien pesante. Kevin Costner, tout en retenu, nous offre là sa meilleure prestation depuis ces 10 dernières années.

Le scénario bien que convenue reste intéressant, et le casting, Kevin Costner en-tête, dans un rôle tout en sobriété permet au film de ne pas sombrer totalement dans l'ennuie. Car son principal défaut sont les temps morts, clairement le réalisateur n'a pas su gérer son rythme, les scènes de tensions entre les deux familles sont plutôt réussies, mais bien trop courtes et peu nombreuses comparé aux innombrables errances de l'histoire. Utilisant les codes du western l'on es face à un film passable mais pas assez aboutie.

Les critiques négatives de ce film lui reproche d'être trop lent et sans action durant l'essentiel de sa durée, or c'est l'unique attrait de ce dernier. La beauté des paysages du Montana, la solitude de lieux épargnés par le tumulte de l'hyperactivité bruyante des humains, une maison en bois perdue au milieu de nulle part comme cadre de vie, des magnifiques bagnoles américaines au design des années 50, le quotidien d'un vieux couple taiseux qui a conscience suite au drame qu'il a vécu que vieillir c'est "faire le décompte de tout ce qu'on perd" : le décors et l'ambiance mélancolique du début sont magnifiques et prenants.
C'est après que ça se gâte, quand vient justement "l'action" tant attendue par les spectateurs. Le récit sombre dans un scénario de film d'horreur de série B, avec des personnages grotesques aux comportements malsains. S'en suit des passages complètement incohérents : spoiler: un univers où on peut se faire agresser dans sa chambre de motel, se faire couper les doigts à la hache et où le shérif du coin passera vous signifier le lendemain à l'hôpital que ma foi c'est comme ça, circulez, y a rien à y faire... ?! Un univers où on peut trucider logiquement une famille entière de rednecks à moitié timbrés et tout cramer de leur habitation, puis rentrer tranquillement chez soi à la maison, personne ne viendra vous demander des comptes puisqu'on est des gentils du fait d'avoir été récupérer un gosse chez ces sales types.
Bref, film totalement gratuit et inutile.

Moi qui vient de sortir de 5 saisons de Yellowstone, j'ai cru retomber dedans avec ce film. Kevin Costner dans un ranch du Montana qui va se faire justice tout seul pour défendre sa famille. Sauf qu'ici, il tombe sur des dingues, les Weboy, qui vont lui en faire baver ! On est quand même dans l'esprit très américain conservateur qui place la famille au dessus de tout, qui tolère qu'on se fasse justice soit même quitte à abattre quelqu'un s'il le mérite, et que la police et la justice ne servent finalement pas à grand chose. La scène finale n'est vraiment pas crédible. George (K. Costner) attaque seul la famille Weboy alors qu'il était agonisant quelques minutes auparavant, estropié de quatre doigts à la main droite, privé d'arme à feu. Malgré tous ces handicaps, il va en venir à bout. Désolé, mais quand c'est trop gros, ca ne passe pas.

Un très beau drame de Thomas Bezucha avec Kevin Costner , Diane Liane , Lesley Manville ,et Jeffrey Donovan.

Un film long, lent, où il se passent enfin quelquechose dans les 20 dernières minutes.
Un film sans grand intérêt, mis à part pour les deux acteurs principaux. Heureusement que le film n'a fait que 13 800 entrées en salle quand il est sorti en France en Juillet 2021, ça a évité que beaucoup de personnes s'endorment pendant une séance de cinéma...

"Let Him Go" (2020) traite du deuil et de la vengeance! Le film est fort bien menè et manie la tension avec grande conviction! Thomas Bezucha confie à Kevin Costner et Diane Lane (très investie) les rôles principaux de cette histoire familiale! il adapte ici un roman de Larry Watson qui enseigna longtemps la littèrature avant de devenir ècrivain! Au milieu des immenses plaines de l'Ouest amèricain, le drame filial bascule dans un thriller anxiogène et aboutit à un affrontement inèluctable avec la terrifiante famille Weboy! Le climat de malaise s'installe mais dans le bon sens où tous les coups sont permis dans le duel qui oppose les Blackledge aux Weboy! Le Dakota du Nord, dans sa seconde partie, envahit l'ècran de sa couleur, de sa senteur! Les acteurs sont tous saisissants, en particulier Jeffrey Donovan et Lesley Manville! C'est donc une vengeance sans merci que nous sert Bezucha! On est d'ailleurs rassurè en trois plans sur les capacitès du bonhomme! C'est âpre, violent spoiler: (cf. la hachette)
et très fort visuellement! Bravo...

Un film super bien, Kevin Costner toujours en forme, et Diane Lane exceptionnelle dans ce film ! J'ai mis 3,5/5 sincèrement un excellent film, je m'y attendais vraiment pas et pourtant bien surpris de ce magnifique film. Des grands parents prêt a tout pour sauver un petit fils et sa mère dans les bras d'une famille douteuse

𝘓'𝘩𝘪𝘴𝘵𝘰𝘪𝘳𝘦 𝘴𝘦 𝘥é𝘳𝘰𝘶𝘭𝘦 𝘦𝘯 1963, 𝘈𝘮é𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘰𝘯𝘥𝘦, 𝘶𝘯 𝘥𝘳𝘢𝘮𝘦, 𝘥𝘦𝘴 𝘭𝘪𝘦𝘯𝘴 𝘧𝘢𝘮𝘪𝘭𝘪𝘢𝘶𝘹 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘭𝘪𝘲𝘶é𝘴 𝘦𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘢𝘮𝘣𝘪𝘢𝘯𝘤𝘦 "𝘸𝘦𝘴𝘵𝘦𝘳𝘯-𝘵𝘩𝘳𝘪𝘭𝘭𝘦𝘳" 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘦 𝘤𝘦𝘴𝘴𝘦 𝘥𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘵𝘦𝘳...
Adapté du roman 𝐋𝐞𝐭 𝐇𝐢𝐦 𝐆𝐨 de Larry Watson
𝙉'𝙝é𝙨𝙞𝙩𝙚𝙯 𝙥𝙖𝙨 👍