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mat niro
294 abonnés
1 719 critiques
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3,5
Publiée le 6 janvier 2020
Révélée dans " La graine et le mulet", Hafsia Herzi réalise et interprète le personnage principal du film, Lila, une jeune femme se cherchant sentimentalement. Le résultat est probant, tant on retrouve chez l'héroïne un mélange de force et de sensibilité, le tout teinté d'un fond de mélancolie. Le scénario est parfois un peu tordu, entre ruptures et rabibochages, mais la réalisatrice a su s'entourer de seconds rôles (Anthony Bajon, l'apprenti photographe ou Djanis Bouzyani, le "gay luron" de la bande ) qui donnent une puissance supplémentaire à ce joli film.
L'ombre de Kechiche se dissipe vite car c'est beaucoup plus humble et mieux rythmé, un peu d'humour aussi grâce à l'ami gay (Djanis Bouzyani), Lila (Hafsia Herzi, très bien) n'est pas un personnage passionnant mais on s'attache quand même à elle, le pouvoir extraordinaire du cinéma.
3 387 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 19 août 2021
Rien d'affolant dans cette bluette crue pour le spectateur. Nous assistons à un bout de la vie d'une fille qui plane légèrement au-dessus du monde dans ses propres nuages à cause de sa mélancolie auquel nous n'avons même pas accès dans le film. Il n'y a rien de fondamentalement intéressant pour moi dans cette histoire...
J’ai couru voir « Tu mérites un amour » le jour de sa sortie. La poésie du titre et la curiosité qu’attise toujours chez moi Hafsia HERZI n’y sont pas étrangères. Hafsia a un air et des traits qui me touchent quelque part et son film « Tu mérites un amour » lui ressemble beaucoup. Ce n’est pas un film à grand budget, ce n’est pas un film grand public; c’est un film beau, sans fard et sans artifices. Le personnage de Lila qu’elle incarne est une dépendante affective qui essaie tant bien que mal de sortir des griffes de ce pervers narcissique dont elle est (passionnément) amoureuse. L’histoire nous permettra de la suivre, au gré des rencontres qu’elle fera, dans son « parcours initiatique de sortie de cette dépendance ». C’est un film « aigre-doux » sur l’amour, le deuil, l’amitié et le processus souvent nécessaire de destruction-reconstruction. Bravo Hafsia, une cinéaste est née et cela se voit aussi via le choix des acteurs qui t’entourent dans ce film : Djanis BOUZYANI, ultra-attachant et talent à considérer d’urgence, Anthony BAJON que j’ai hâte de découvrir dans « Au nom de la terre » et Jérémie LAHEURTE qu’on ne voit pas assez souvent pour moi.
J'ai passé globalement un bon moment (la 2eme moitié était quand même meilleure que la première). Film sur l'amour, qui comme il est dit dans le film, "c'est compliqué". Un bemol : je dirais au film "tu mérites une meilleure prise de son, et une meilleure diction" ...
Un film très bien écrit, très bien joué, à la fois drôle, touchant, et poétique. Traite d'un thème universel, au travers l'œil de la jeune génération actuelle.
Merci pour ce très bon film fait avec 1000 euro !!! Un film qui fait un bien fou aux femmes... et aux hommes. Acteurs exceptionnels. Très drôle. Émouvant. Juste.
Merci pour ce magnifique film je vais reprendre ce que j’ai dis à la réalisatrice hier, ”votre film est beau, sincère et humain. Mieux qu’utiliser du budget la réalisatrice a utilisée son cœur”.
Je ne comprend pas la note de ce film... C'est plat lent ennuyeux ! Le film est centré dur une seule personne et on a l'impression que tout le monde tombe en amour devant cette jeune fille. N'importe quoi... Gros plans appuyés... Oui elle se trouve belle... Et veut que les autres aussi l'admirent...on a qu'une seule envie c'est de la secouer de la réveiller... Une endormie. Elle répond avec ses mmm. Ahlala... C'est beau... Merci... Une tête à claque dsl pour les fans... C'est le premier film que je vois comme actrice et je n'ai pas envie d'en voir d'autres... C'est malsain. Et vraiment pas terrible. Cliché cliché cliché
J’ai passé un moment merveilleux; ce film est d’un réalisme sans nom, ceux qui ont vécu une situation analogue se retrouveront, et ressentiront les mêmes émotions de dilemme, d’absence de raison, de l’ivresse de l’amour et des travers que l’on peut traverser en voulant panser l’absence plaie avec des relations dénués de sens. Le réalisme que nous a transmis Hafsia dans son image est un peu à l’image des grands écrivains, qui de par leur simplicité de lecture, nous ôte toutes sensations de superflu, a en trouver ça lisse. Bravo à elle et son équipe, Yanis a été excellent dans ce rôle!