Avis : Umami - Page 4

Pas terrible tout ça, ce film manque de fluidité et malgré quelques scènes réussies, la sauce a du mal à prendre. L univers de la haute gastronomie n est pas suffisamment exploité selon moi.
Le scénario est aussi bancale et malgré des acteurs qui s en sortent, ce film n arrive pas à accrocher assez pour en faire des éloges... je m attendais à beaucoup mieux après avoir vu la b.a et lu l histoire...

J ai adoré ce film,qui ,certes,t pas commun,et paraît peut être brouillon pour certains, parce que le réalisateur se balade entre Tokyo et la France et retrace un peu l histoire et les sentiments de chacun..mais c est fin,c est beau et les acteurs jouent bien..dDepardieu est super comme d habitude....
J ai beaucoup aimé...

Un très bon film avec Gérard Depardieu exceptionnel au Japon pour découvrir les rituels de la cuisine japonaise.

Un ogre à la dérive

Bon alors, on aurait bien voulu adoré ce 1er film de Slony Sow. Hélas, trois fois hélas, malgré les bonnes intentions, il y a là trop de choses qui ne fonctionnent pas. Et ces 91 minutes paraissent bien longuettes. Gabriel Carvin est un chef étoilé de grande renommée. Lorsque sa santé et sa vie de famille se détériorent, il décide de partir à l’autre bout du monde. Direction le Japon, à la recherche d’un chef japonais qui l’avait battu à un concours de cuisine 40 ans plus tôt. Ce voyage culturel et culinaire va l'amener à faire le point sur sa vie. Scénario décousu, histoire réduite à une série de sketchs parfois poussifs, réalisation sans imagination, et un casting *** plutôt désemparé. Dommage, ce qui s’annonçait comme un festin se réduit à un rata indigeste.
« Umami » est un terme japonais qui pourrait être traduit par « goût délicieux ». Il s'agit de la cinquième saveur, après le sucré, le salé, l’acide et l’amer. Bon départ. Suivre la quête à travers le Japon d’un grand chef étoilé désabusé et dépressif afin de comprendre quelle est cette 5ème saveur … pourquoi pas ? A partir de là, on a le droit à différents épisodes de la vie de Gabriel le maître-queue. Gégé boude, Gégé prend un bain chaud, Gégé se saoûle, Gégé fait du tricycle en kimono, Gégé rencontre un transsexuel, Gégé prend une leçon de métaphysique avec un nain – pardon, une personne de petite taille -, mais tout cela sans un réel fil conducteur. Comme par-dessus tout ça, on a cru bon rajouter quelques couches, comme une charge contre la critique gastronomique ou le cyber-harcèlement, le menu devient trop copieux à la limite du trop-plein. Comme souvent, on a voulu trop en faire. Il y a avait là un joli sujet, original et porté par un casting exceptionnel… Mais voilà, le dénommé Slony Sow a été trop gourmand et fini par nous gaver.
Gérard Depardieu est énorme, il occupe de plus en plus de place sur l’écran et les autres ont bien du mal à exister. Pourtant avec Sandrine Bonnaire, Bastien Bouillon, Pierre Richard, Rod Paradot, et parmi une distribution japonaise assez fournie, l’excellent Kyozo Nagatsuka, - aperçu pour la 1ère fois sur nos écrans en 1974, dans Les chinois à Paris du regretté Jean Yanne… C’est vous dire si le Monsieur a de la bouteille… de saké évidemment -, il y n’y avait que du très bon. Mais leur a-t-on vraiment laissé la place qu’ils méritaient ? Quand le réalisateur nous avoue : j’ai compris que la notion d’umami relevait de la métaphysique. Je ne sais pas pourquoi — parce qu’à dire vrai, il n’y avait rien de visuel là-dedans, l’idée m’est soudain venue de faire un film. Un aveu qui pèse lourd dans l’intérêt qu’on peut porter à ce drame parfaitement dispensable.

Quelle déception ce film de Slony Slow, entre le français et le japonais faut deja se retrouver. Mais les acteurs sont vraiment pas terrible, on met Gérard Depardieu en avant et on mise sur lui, on le ressent et on est déçu, car l'histoire est pas terrible, le film est pas terrible, les acteurs sont pas terrible...

Déçue ! Et le pire est que je pensais passer un bon moment ! Bien sur Depardieu sauve le film, mais c'est long, lent et sans aucune surprise.
Dommage! Ça s'annonçait si bien!

Ah les gouts et les saveurs ; l'acidité l’amertume le sucré, le piquant, et la 5 ème saveur qui nous vient tout droit du japon UMAMI
« Essence de délice» en japonais c’est le chouchou des épicuriens quelque chose de très appétant, très rond et gourmand, légèrement salin, qui donne envie d'y revenir » ca met l’eau à la bouche à la bouche
J'ai ri pleuré et beaucoup aimé non ce film est loin d'être un navet

Very entertaining and well made film. As someone living in Japan, I found it very interesting to see international and Japanese actors working together and seeing their cultures from each others eyes.

👏🏻Un ravissement de cultures que le cinéma rapproche avec humour et amour, transmis par le jeu d’un Gérard authentique (loin du musée Grévin proposé par Holly-Cannes), associé au talent de Sandrine, de Pierre, et des autres acteurs japonais et français.

Magnifique film drôle et émouvant, du grand Gérard Depardieu comme on l'aime, charismatique, poète et des réactions hilarantes.
L'histoire est originale et très bien tournée, pas comme tout les navets auxquels on assiste à notre époque.

Un film qui s’appelle Umami et qui pourtant n’a aucune saveur, c’est un comble… Mal écrit, mal réalisé et même mal joué… un Depardieu sans énergie qui ferait mieux de prendre sa retraite…
Au Japon, le porc on le mange umami ou à toutes les saveurs… ;)

Avec un Gérard Depardieu vieillissant mais qui a toujours le don de fasciner on est transporter dans une histoire de renaissance spirituelle à travers un voyage bien imaginé au cœur de la gastronomie française qui entretien un lien fort avec le Japon et mène à une bonne morale pour tout les personnages.

Film très bien, avec une bonne histoire qui sait nous tenir en haleine. J'ai beaucoup adoré. Je ne connaissais pas l'umami,^^

Pour apprécier ce film, il faut, je pense, supporter le début (la partie strictement française, assez convenue), avant d'entrer dans le vif du sujet, le séjour au Japon spoiler: (du moins ce qui semble être un voyage au Japon... qu'il soit physique... ou spirituel)
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Les pérégrinations de l'éléphant Depardieu dans le magasin de porcelaine japonais sont assez savoureuses. Surtout, la manière dont le petit restaurant fonctionne (et dont il est filmé) est très intéressante. J'ai aimé découvrir cette gargote familiale, qui semble proposer une cuisine rustique, mais savoureuse. spoiler: (En sortant du film, j'avais une grosse envie de resto japonais !)


Sur le fond, il est question d'adultes qui se cherchent, qu'ils soient jeunes en manque de confiance ou âgés en recherche de nouvelle perspective.

Le film est un éloge des bonheurs simples, de la bonne petite cuisine traditionnelle, le tout loin des métropoles bruyantes, du clinquant des réseaux sociaux et de la superficialité des rapports humains contemporains.

un bon film, sans prétention, mais plein de saveurs, de sensations et d'émotions justes
un tournage simple, proche, direct...
Les acteurs jouent juste ce qu'il est nécessaire...
En même.temps, l'environnement japonais invite à la réserve et l'humilité.
j'ai bcp aimé ce petit bijou qui mérite le cinéma.