Avis : Une belle course - Page 2

Magnifique film très touchant content de voir danny Boon dans l émotionnel et Lille rénaux est sublime

On ne croit pas toujours a cette histoire un peu trop mélo mais l’émotion est présente vers la fin et donc un certain attachement se fait. Pas inoubliable quand meme.

cela fait des années que je n'avais pas vu un film aussi beau et aussi bien interprèté line Renaud et dany boon y sont exceptionnels ...la fin est bouleversante et émouvante comme quoi le cinéma français a encore de beau jours devant lui chapeau...

très bon film c étai émouvant et très reposant
j ai bien aimé le duo Dany Boon et Line Renaud dans leurs rôles respectifs

une fin surprenante qui laisse une larme au coin de l œil

Magnifique film. Le scénario est assez inattendu et il est admirablement servi par Line Renaud et Dany Boon. Tout y est, on a de l'émotion, de l'intensité dramatique et un peu d'humour tout en finesse. En plus on a droit à de superbes images de Paris, c'est vraiment un très beau film.

Très belle histoire line Renaud Très attachante dans son rôle voir émouvante on n'a qu'une envie 'être dans ce taxis écouter l'histoire de cette veille belle dame, Dany Boon m'a beaucoup touché dans son personnage hyper attachant j'ai même versé beaucoup de larmes allez y je vous le conseil.

Une nouvelle fois on retrouve Madame Line Renaud accompagné de Dany Boon mais ici exit la comédie made in Boon et bienvenue cette très belle histoire que nous raconte cette femme dans ce taxi. Les hauts et les bas de sa vie ce qui fera ouvrir le coeur de ce chauffeur en mode stress XXL et nous mènera dans des moments drôles et (très) émouvants au fur et à mesure du film.
Le duo est tout simplement magnifique et vous ne pourrez vous empêcher d'avoir les yeux qui brillent...
NOTE : 8/10

Un film assez prévisible où j’ai eu du mal à croire en l’histoire. Une sorte de huis clos intime et touchant où les nombreux flash-back sont mal vus et presque ridicules. J’ai aimé que le réalisateur - de part le cadrage - intègre le spectateur comme troisième passager du taxi. C’est bien pensé. Line Renaud est joliment mis en lumière par le réalisateur et par Dany Boon, qui n’en fait pas trop. Même si j’avais réussi à anticiper la fin du film, j’ai ressenti une certaine émotion. J’ai pu quitter le cinéma sur une note positive. Mais je n’oublie pas le film dans sa globalité. D’où un petit 2.5/5

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Le compteur, la conteuse…

Une traversée de Paris, le parcours d’une vie de Brie sur Marne à Courbevoie, avec quelques détours, c’est le road movie d’un chauffeur de taxi un peu taciturne et d’une nonagénaire au regard pétillant et un peu triste à la fois.

Elle a envie de parler, lui préfère le silence. Des sauts dans le passé avec quelques obstacles, un Steeple-Chase dont l’enjeu serait de gagner l’empathie de ce driver qui doit passer selon toute invraisemblance, par Vincennes, et peut-être aussi pour gagner du temps…

Il doit « livrer » sa cliente à la Maison de Retraite, elle veut lui livrer une partie de sa vie. Il est assis sur le siège avant de la voiture, se faufilant dans les méandres de ce Paris encombré de l’année 2022, elle est installée sur le siège arrière dans ses souvenirs tumultueux des années 50. Ils sont à leur place, c’est un taxi. C’est lui qui conduit, c’est elle qui l’emmène « en terre inconnue », celle de l’après-guerre où il ne faisait pas toujours bon d’être une femme.

Charles, le chauffeur de taxi laisse ses soucis un instant pour écouter la vieille dame. Il se laisse aller aussi à quelques confidences, lui raconte sa jolie romance avec Carine, la femme de sa vie. Une balade improvisée invitant à partager le poids des secrets lourds à porter, une sorte de maraude pour tous les deux.

Charles a quelques choses d’émouvant, il n’a pas l’étoffe d’un Prince Charmant, il trouve qu’il a des oreilles décollées, mais il sera adoubé par Madeleine.
Et puis un Charles aux grands oreilles, devenu Prince, puis Roi on a déjà vu ça !

On ne traversera plus Paris sans l’apprécier, et si on s’arrêtait aussi de temps en temps pour regarder la vie ?

Une belle course, un bon moment.

tres joli film, en 8 clos, Line Renaud pétillante mamie aix yeux turquoise, et Dany Boon éclatant de sincérité et d'émotions..

Simplement magnifique, réalisation géniale, Dany Boon excellent comme à son habitude et surtout Line Renaud magistrale. Un régal, je n'ai pas été aussi ému depuis la Môme. Merci pour ce bon moment d'humanité. Merci.!

Encore un beau moment à passer avec ce duo émouvant et toujours charmant (Line Renaud et Dany boon).
Un très beau moment de cinéma. A voir sans modération pour un grand plaisir.

Un très beau film, émouvant et bien interprété. Line Renaud et dany boon formidables. Mention particulière à alice isaaz qui joue line renaud jeune. Belles images de Paris. Une très belle histoire

Le scénario est un peu faible et la réalisation n'invente rien. Ça repose entièrement sur les deux acteurs qui nous invite à regarder leur déclaration d'amour respective. C'est un peu (trop) sucré et gentil pour moi mais ça reste un beau téléfilm.

Après le grand cri d'amour paternel de "Mon Garçon" (2017), l'homme de "Une Hirondelle a fait le printemps" (son meilleur succès public encore à ce jour, pour la seule France - en 2001) persévère dans la veine mélodramatique avec ce "Une belle Course", qui fit l'ouverture de l'édition 2022 du Festival d'Angoulême. Il y a de beaux mélos, et même certains, flamboyants.
Ce n'est, hélas, pas le cas, avec ce 7e "long" de Christian Carion. Laborieux et appliqué. Jouant à fond sur le seul "capital-sympathie", fonds de commerce de ses deux protagonistes principaux, la très macroniste Line Renaud, nonagénaire dévidant sans relief ses petits souvenirs édifiants dans l'habitacle du chauffeur de taxi, bourru, mais tellement attachant, Dany Boon. On ne s'intéresse jamais ce faisant à la vie pourtant, sur le papier, pas du tout lisse, de la vieille dame ("Madeleine Keller"), et on ne vibre pas plus, en empathie, avec son dernier confident, l'artisan surendetté "Charles". Formaté, mal joué (comme toujours côté de la récente Grand-croix de la Légion d'honneur - Napoléon fait des sauts d'horreur dans son tombeau des Invalides...), languissant : à peine le niveau d'une "fiction" télé ordinaire.