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    Les Sept Samouraïs
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    298 critiques spectateurs

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    Acidus
    Acidus

    617 abonnés 3 647 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2014
    Encore un trés bon film d'Akira Kurosawa. Bien que la photographie y soit moins léchée que dans la plupart de ses oeuvres postèrieures, on retrouve une mise en scène soignée et un bon scénario soutenu par de grands acteurs dont un Toshirō Mifune en grande forme. Seules quelques petites baisses de rythme ici et là (notamment vers la fin) viennent entacher cette oeuvre culte du Septième Art. Un incontournable.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    472 abonnés 920 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2020
    On ne saurait résumer en quelques mots l'influence d'Akira Kurosawa sur le 7ème Art. Finalement, égrener les noms de ses admirateurs parait plus éloquent : Sergio Leone, Steven Spielberg, George Lucas, Quentin Tarantino, ou Francis Ford Coppola...Voilà qui devrait suffire à donner une idée de son impact sur le cinéma, quoiqu'il ne bénéficie pas forcément de la même popularité de ses héritiers et c'est injuste.
    Au centre de sa carrière jalonnée d'œuvres séminales (Rashomon, La Forteresse Cachée), il y a Les Sept Samouraïs. Une fresque colossale qui synthétiste plusieurs des grandes thématiques chères à Kurosawa : humanisme, héroïsme, relations entre classes et générations,... Elles arrivent à une pureté absolue. Les sept gaillards mis en avant sont de purs représentants de la noblesse d'âme, tous différents mais chacun convergeant vers une forme de désintéressement qui fend le cœur. Parmi eux, je retiendrai trois personnages, aussi différents que complémentaires.
    Kikuchiyo (inoubliable Toshirō Mifune), sorte de chien fou de la bande. Enragé, impulsif mais d'un courage peu commun, il est le plus émouvant de la troupe puisqu'il offre une évolution complète sur les 180 minutes. C'est également lui qui devient le ciment parvenant à fédérer ses comparses et les paysans.
    Kanbei Shimada, la voix de la sagesse. L'ainé mais également le plus équilibré des 7 guerriers partis dans une bataille désespérée. Il est le centre névralgique du commando kamikaze et rempart inaltérable face à la peur/folie, auquel Takashi Shimura apporte toute son autorité et sa bonhommie.
    Enfin, Katsushiro occupe lui un double-rôle, puisqu'il est simultanément participant et spectateur de l'épopée. Il représente également la jeunesse dans sa symbolique, l'espoir et l'avenir.
    Personnellement, j'ajouterai le rôle plus discret de Kyuzō, samouraï silencieux mais diablement létal. En une poignée de minutes, Seiji Miyaguchi lui confère un charisme exceptionnel.
    Malgré ses 3 heures, Kurosawa fait montre d'une virtuosité telle que les minutes passent à une vitesse folle. Aucune minute n'est sujette aux digressions inutiles. Jusqu'à son climax de presque une heure, où toutes les destinées se fracassent lors d'une bataille homérique. Et de permettre au réalisateur d'offrir à ses personnages un épilogue humble, amer mais grandiose. Tout en donnant ses définitions de l'héroïsme et la définition de Samouraï, non plus découlant d'un quelconque milieu social mais d'une volonté de triompher de l'adversité, quelle que soient l'issue. Pas étonnant que plusieurs générations de cinéastes en soient restés babas.
    tisma
    tisma

    254 abonnés 1 860 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2020
    Un classique. Un classique grandiose et très précieux même s'il est long. On sent qu'il est précurseur de nombreux grands films actuel ! L'idée est belle, le scénario est solide et l'histoire est prenante (même si un peu longue)! Il faut savourer non pas l'histoire du film mais le film en lui même, pour sa qualité historique et sa force pour l'époque ! Un grand film.
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2018
    Je m'attendais à un travail d’esthète de la part d'Akira Kurosawa, j'ai été servit ! J'avais un peu délaissé la rétrospective de sa filmographie depuis quelques semaines il fallait donc marquer le coup et Les Sept Samouraïs était donc le long métrage adéquat pour cet exercice. Il faut un poil s'accrocher, le film dure plus de trois heures mais hormis cela, cette création est un régal. Tout y est parfait, on retrouve les thématiques, le soin de la mise en scène, l'image fantastique et la clique d'acteurs au summum de leurs talents. Les Sept Samouraïs ne manque pas de style et je comprends parfaitement qu'il est influencé autant de réalisateur par la suite. L'humanisme de l'oeuvre est aussi extrêmement louable, il y'a toujours cette délicatesse, ce soucis des autres chez A. Kurosawa. Le geste est en cela très touchant. Un film à vivre et qui me pousse à être moins paresseux à l'avenir, j'entends là qu'il faut que je reprenne mon chemin avec lui et ceux avec plus de discipline !
    Nirina
    Nirina

    96 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2011
    Un très grand film d'action! Un classique... Majeur! Putain de Georges Lucas quand même
    ... il a pas tout inventé celui la!
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    91 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2020
    Film fleuve aux accents éminement épiques. C'est très long et très détaillé et il y a beaucoup de personnalités différentes dans les samourais et les villageois. En tant qu'occidentaux, il faut se faire au style japonais (et coréen) qui fait surjouer beaucoup de réactions de colère, de surprise, de tristesse. Kurosawa utilisait déjà beaucoup de techniques cinématographiques intéressantes, comme l'uilisation du ralenti sur certains personnages alors qu'autre personnage observe quant à lui en vitesse normale.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    54 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juillet 2013
    Gloire à toi, grand Akira ! Gloire à toi d'avoir donné ses lettres de noblesse au film de samurai, et plus largement d'avoir su aussi parfaitement conjuguer cinéma d'action avec film d'auteur ! Merci d'avoir, par cette oeuvre hors norme, montré la voie à de futurs grands noms du 7è art (Leone, Coppola, Lucas, Scorsese...). Merci surtout de continuer, 60 ans après, de nous plonger avec délices dans le bruit et la fureur de cette épopée inoubliable ! Ton sens de l'espace, tes travellings insensés, ton génie de la profondeur de champ, la fluidité avec laquelle tu fais danser tes acteurs (les scènes de foule!) et tes caméras (car, n'en déplaise aux producteurs bornés qui n'en voulaient qu'une, il en fallait bien plusieurs pour répondre à tes inspirations), ont nourri et nourriront encore des générations de cinéphiles. Oh bien sûr, tu n'es pas seul - et malgré ton surnom de "Tennô" (l'Empereur) et tes coups de sang légendaires sur le plateau, tu ne manqueras pas de souligner les mérites de tous ceux qui t'ont accompagné dans cette réussite. Gloire à eux, aussi ! Gloire aux magiciens de la lumière et de la photo, alchimistes d'un noir et blanc ensorcelant, dans le mystère des scènes nocturnes comme dans l'innocence des scènes champêtres ou le gris boueux de la bataille finale: Nakai Asakazu et Saitô Takao. Gloire à tes responsables des décors (Matsuyama Takashi) et des costumes (Ezaki Kôhei), qui, au prix de conditions de tournage très inconfortables (le refus du confort des studios a un prix) ressuscitent avec un réalisme incroyable un univers fascinant. Gloire à ton maître de la musique, Hayasaka Fumio, dont ce fut malheureusement l'une des dernières compositions et qui signe une partition à la croisée des traditions japonaises et occidentales. Gloire, évidemment, à tes co-scénaristes, Hashimoto Shinobu et Oguni Hideo, qui ont imaginé avec toi le plus équilibré, le plus fouillé, le plus complexe des récits, sensibles autant à la dimension sociale du Japon pré-Edo qu'aux détails les plus subtils de la psychologie samurai et de leur science guerrière - capables, surtout, d'imaginer cette fantastique galerie de personnages, aux personnalités franches, bien découpées, du plus humble paysan au charismatique vétéran des batailles. Et gloire enfin, bien sûr, à tes interprètes, qu'on aurait envie de tous nommer tant leur prestation étonne et ravit à chaque instant. Les paysans (Rikichi, Manzo, Yohei, Shino...), seconds rôles qui n'en sont jamais complètement et seront les vrais vainqueurs de cette lutte entre guerriers professionnels. Shimura Takashi, maître samurai par excellence, rayonnant d'intelligence et de pondération, capable d'humour comme d'inflexibilité; Miyaguchi Seiji, alias Kyûzô, idéal du samurai perfectionniste mais modeste, au faciès impassible traversé d'imperceptibles sourires, aux gestes hallucinants de précision et d'élégance; Kimura Isao, jeune premier un peu benêt mais à la belle prestance; Katô Daisuke (Shichiroji, le n°2), Inaba Yoshio (Gorobei) et Chiyaki Minoru (Heihachi), aux profils admirablement caractérisés, aux trognes mémorables et à la qualité d'interprétation jamais prise en défaut. Et enfin, bien sûr, ton acteur fétiche, le grand Mifune Toshirô, qui incarne avec un génie histrionique qui n'est qu'à lui un personnage venu de nulle part, aux confins du bouffon et du guerrier, du leader charismatique et du simple d'esprit. Ce Kikuchiyo-là, il fallait être un génie pour l'inventer, et il fallait un génie pour l'incarner. Que les deux aient pu être réunis, qui plus est pour une longue collaboration, est une bénédiction dont le 7è art gardera à jamais le souvenir. Messieurs, à vous tous, bravo et merci !
    Alexandra C
    Alexandra C

    36 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2017
    Un classique . Ça a beau durer 3h30 en noir et blanc on ne s'ennuie pas. Plusieurs thèmes sont abordés et plusieurs styles alternent mais au final tout semble cohérent. La mise en scène et moderne et impressionnante pour l'époque
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    250 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 août 2013
    Le problème avec les grands auteurs renommés des années 50, 60, c’est que leurs films ne passent jamais à la télévision, alors que tout le monde prétend les avoir vu. Il faut donc attendre les ressorties cinéma.

    Les Sept Samurai est donc ressorti en 2013 pour permettre à ceux qui ne l’avaient pas encore vu, comme votre serviteur, de le voir dans de bonnes conditions. Et il faut des bonnes conditions pour apprécier à sa juste valeur ce milestone du cinéma, ce chef d’œuvre intemporel et indémodable. En effet, avec Les Sept Samurai, Akira Kurosawa prouve que contemplation ne rime pas avec gravité et nous sert un film d’action irréprochable, qui oscille tout le temps entre sérieux et comédie (partie dans laquelle brillent des acteurs comme Bokuzen Hidari) et dont la frénésie des deux dernières heures est remarquable, compte tenu de l’âge du film et des moyens que Kurosawa avait à disposition. La construction du film est d’ailleurs irréprochable, ce dernier durant près de 3h30 sans jamais souffrir de temps mort (même l’entracte bénéficie de l’excellente musique de Fumio Hayasaka) et sans jamais que son humour ne tombe à l’eau, même s’il a beaucoup vieilli. Le film serait déjà excellent, s’il n’y avait les interprétations de Seiji Miyaguchi (sosie d’Harry Lennix Jr.) en samurai surdoué et placide et Toshiro Mifune en fou furieux complètement taré, attachant et infatigable. Il est sans hésiter la pièce rapportée qui fait passer ce film de classique à chef d’œuvre.

    Les Sept Samurai est génial, passionnant, drôle, précurseur et surtout un très bon moyen de passer 3h30 dans une salle climatisée en plein été. On touche à la perfection.
    Santu2b
    Santu2b

    214 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 février 2019
    Un long-métrage mythique, sans doute le plus célèbre film de l'histoire du cinéma japonais et celui qui confirme la renommé de son auteur, quatre ans après "Rashomon". Les conditions n'étaient pourtant pas réunis pour un tel succès : un scénario réécrit plusieurs fois, un budget maintes fois dépassé et un tournage éprouvant, étalé sur un an, à ranger aux côtés des plus cauchemardesques tels "Apocalypse Now. Au final, Akira Kurosawa signe une fresque immense sur la bravoure et la générosité en montrant des Samourais prêts à défendre non pas des seigneurs mais des paysans sans contrepartie. Le cinéaste alterne avec une facilité déconcertante les scènes comiques, tragiques ou de combat. Il fait également état d'une influence occidentale jamais reniée ; la première partie centrée sur le recrutement des samourais fait clairement penser au western alors que la suite des opérations lorgne plutôt vers la littérature européenne ("Don Quichotte" notamment). Enfin Kurosawa démontre son implacable sens du rythme : trois heures trente qui passent comme un coup de sabre !
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    63 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 juillet 2015
    Mes attentes face à ce film étaient grandes, mais "Les Sept Samouraïs" a dépassé toutes mes espérances. Cela faisait longtemps que je n'avais pas ressenti le frisson du génie à l’œuvre, et ce génie est Akira Kurosawa. Pourquoi ? Parce que ce métrage long de plus de trois heures mais nullement ennuyeux concentre tout ce qu'il faut dans un film : un thème porteur de valeurs nobles et non caricaturales (le courage, le vrai honneur, la loyauté), de l'action, de l'humour, du cynisme, une histoire d'amour qui se termine mal, une violente critique du système de castes et de la conception de l'honneur dans les sociétés aux conventions très codifiées d'Asie, un souffle épique et tragique. L'ensemble donne un résultat magnifique, bonifié par une photographie de toute beauté, une mise en scène très inspirée de Kurosawa et une musique qui prend aux tripes, tantôt cadencée et militaire, tantôt solennelle. Les comédiens font tous jeu égal, que ce soit pour dénoncer ou pour faire rire, et particulièrement l'excellent Toshirô Mifune (je ne cite que lui sinon la liste serait trop longue) qui nous livre un parfait numéro du clown triste. Et que dire de la dernière scène, fabuleuse, ainsi que de la dernière phrase, désabusée : spoiler: tous les villageois chantent et récoltent les céréales avec entrain tandis que les rônin survivants regardent avec tristesse les tombes de leurs frères d'armes sur une des collines qui environnent le village
    . Le cynisme et l'ironie atroce qui se dégage de ces derniers plans en font l'une des plus belles scènes de fin que j'ai jamais vues. Je n'ai plus qu'un dernier mot à dire : Akira Kurosawa, merci. Merci pour ce chef d’œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    3 heures de durée pour cette séance, un immense monument chef-d'œuvre exquis. Une longue épopée titanesque dans le vieux Japon du 16ème, ça donne une fresque ornementale garnie au pays du féodalisme, la loi tyrannique du pillage dans ce village désolé. Il était une fois des samouraïs, entre les grands seigneurs d'un côté et de l'autre, des ronins vagabonds sans maître, une vue sur les situations de classe sociale au moyen-âge japonais. On s'attend à une mise au point défensive prêt à affronter les assauts inlassables des bandits avec ces sabres Katana, l'âme des 7 meilleurs samouraïs regroupés. L'heure est venue de révéler certain aspect ludique précieusement important dans l'histoire, de l'intrigue guerrière, village dénué versus racaille japonaise. C'est ce qui a inspiré son remake américain de 1961 et encore en 2016, les cowboys font duels de pan pan contre l'injustice par la force. Fantastique découverte connue bien avant, chacun prend son grade ébahi, ça émoustille énormément agité, il y a de l'humour joyeux avec ces bûcherons hyper motivés, des japonais moyens en ce vieux siècle. Visionnaire de bout en bout depuis ce bond du passé vers le présent jusqu'au futur 1955, une œuvre du septième art militante antimilitariste.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 février 2012
    Un des meilleurs films jamais réalisé. Pas évident au début : noir et blanc austère, samouraïs austères, parlant peu (mis à part celui joué par Mifune, excellent dans la surenchère gestuelle et vocale). Images superbes. Pas beaucoup de pathos, mais un sens du drame certain. Impossible d'oublier ce film. Il déplaira aux amateurs de films hollywoodiens formatés parce qu'il est très long, mais ravira les autres.
    Alolfer
    Alolfer

    86 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2023
    Comment serait le cinéma sans Kurosawa ? Question impossible à répondre mais au moins on est sûr d'une réponse : On aurait pas des chefs d'œuvre comme celui-ci !

    Un maître incontesté du Cinéma ! Chef d'oeuvre unique et authentique du 7e art, "Les Sept Samouraïs" est un pionnier pour son époque !

    Comme les autres films de son réalisateur, c est un film où le sentiment que le cinéma s'est modernisé et a inspiré énormément de cinéastes sur tous les points : Mise en scène, thematique etc...

    On ne peut faire aucun reproche à ce type de film tellement il est iconique ! Lors de mon premier visionnage, je trouvais le film "long" avec un manque de rythme. Finalement, un 2e visionnage change totalement la donne.

    Une fois plongé dans l histoire, on assiste à une démonstration de Kurosawa ! Que cela soit par sa mise en scène, ses cadres, ses plans et bien évidemment l'histoire, on ne peut qu'être admiratif envers ce réalisateur de génie !

    Les thématiques abordés comme la bravoure, le courage, la lacheté etc... tous ses éléments mis à bout, nous donne un film rempli d'émotions et de sous texte brillant !

    Je ne parle même pas de la performance des acteurs qui sont mémorables !

    Chef œuvre incontesté du Cinéma japonais et du cinéma Mondial
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 février 2008
    Kurosawa encore est toujours, surtout avec Toshirô Mifune.
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