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Ykarpathakis157
3 382 abonnés
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4,0
Publiée le 26 avril 2021
Comme d'habitude Pierre Richard incarne un personnage maladroit, naïf et malchanceux. Cette fois il s'agit d'un peintre connu Yann Ducoudray. Il a invité une femme mariée Florence Arnaud (Fanny Cottencon) à visiter son atelier. Mais quelques minutes avant le rendez-vous crucial sa belle voisine Eva la jeune et jolie Emanuelle Beart s'est accidentellement enfermée hors de son appartement. Bien sûr elle est à moitié nue et demande de l'aide à Yann. Il refuse car il attend Florence très prochainement mais Eva parvient à entrer. Et puis c'est une succession de situations hilarantes avec les arrivées de Florence de son mari inattendu André de Boris (Richard Bohringer) incroyablement efficace dans un rôle de fou furieux le petit ami d'Eva de la police et bien d'autres encore. À gauche en sortant de l'ascenseur est une bonne comédie sans prétention. Les Français sont doués pour faire ce genre de films. Le film se déroule comme une sitcom avec toutes sortes de situations loufoques du genre...
Emmanuelle Béart avant qu'elle se refasse la devanture, Richard Bohringer dans un rôle de barjot qui lui va comme un gant. Pierrot ainsi que tous le reste du casting interprétant impeccablement leurs "cahier de charge". Du très grand Molinaro que je me tape pour la troisième fois. Sans hésiter cinq étoiles !
Voilà un film qui fut quelque peu boudé lorsqu'il est sorti dans les salles. Et, à vrai dire, j'ai un peu de mal à comprendre pourquoi. Bien sûr, cette comédie très théâtrale ne se démarque pas des autres productions de ce type. Mais elle fichtrement réjouissante. Pierre Richard, Richard Boringher (meilleur acteur du film) et Emmanuelle Béart donnent de leur personne et nous offrent un spectacle vraiment amusant. On regrettera un rythme qui retombe un peu dans les vingt dernières minutes et la présence de Fanny Cottençon, qui n'a jamais été aussi belle, mais qui est vraiment fade. Un chouette moment à passer.
Un vaudeville bien rythmé qui permet à Pierre Richard de faire son show pour notre plus grand plaisir. Des situations hilarantes et le tout se révèle très drôle. Bonne comédie par le réalisateur de "Oscar", "L'emmerdeur" ou encore "La Cage aux folles".
Edouard Molinaro, vous êtes sûrs ? il était dans le coma peut-être ? j'arrive toujours pas à y croire et pourtant il faut le voir pour le croire. C'est pitoyable, c'est consternant de tomber aussi bas, Max Pécas dans les cordes ! le titre ridicule est d'ailleurs un indice prémonitoire de sa nullité.
Un Vaudeville minable dans lequel Pierre Richard se fait vieux et pédale dans la semoule et dans lequel Richard Bohringer se ridiculise (mais il a l'habitude). Certes, Emmanuelle Béart se démène en petite culotte mais ça ne suffit pas pour nous réveiller : il aurait fallu qu'elle enlève tout. Et encore.
Adaptation de la pièce L’Amuse-gueule de Gérard Lauzier, A gauche en sortant de l’ascenseur est un croisement entre le vaudeville et le drame. Malgré la présence de Pierre Richard dans son habituel rôle de timide maladroit, on ne rit donc pas autant que l’on aurait pu le prévoir. En effet, même si les moments de comédie sont assez efficace et que l’interprète du Grand Blond se démène beaucoup, la grande quantité de séquences de disputes conjugales fait régulièrement quitter le registre de la comédie. Cela est dommage car les nombreux quiproquos aurait pu entrainer plus de rires si cela avait été traité de manière plus caricaturale : pour une fois, la qualité de l’interprétation va peut-être à l’encontre du film. En effet, le fait de choisir Richard Bohringer pour jouer le mari violent et Emmanuelle Béart pour son épouse apporte une intensité dramatique qui fait croire au spectateur à ce qu’il voit et le fait sortir du registre de la comédie. On s’intéresse donc à cette histoire bien interprétée et bien mise en scène par Édouard Molinaro mais on reste déçu de ne pas assister à une véritable comédie.
"A gauche en sortant de l'ascenseur" (1988) Chérie 25 le 23.05.2016
Je n'aime en général pas les pièces de théâtre transposées en films! Autant enregistrer la pièce jouée sur scène comme jadis "Au théâtre ce soir" à la télévision. En effet, on y perd le rythme du cinéma qui nous permet de voyager sans fatigue, et de changer de décors à satiété entre autres avantages... Ce vaudeville n'aspire pas aux "César" (qui d'ailleurs n'apprécient pas trop les comédies humoristiques) et il s'agit d'une des dernières réalisations de Molinaro qui avait 60 ans et une filmographie bien réussie. Cette réalisation n'aura pas eu le succès de "la cage aux folles" avec "seulement" 607 000 entrées. Pourtant, quel judicieux casting peuplé d'acteurs talentueux ! Et quel scénario, en l'occurrence oeuvre de Gérard Lauzier connu notamment pour ses BD et qui n'aura guère écrit pour petit ou grand écran. Quel dommage car quel humour ! Molinaro aura imaginé la "fête des voisins" avant l'heure car c'est bien ce dont il s'agit ici. Ne boudons pas notre plaisir : à voir les emm... des autres, on en oublie les siennes ! willycopresto
" A gauche en sortant de l'ascenseur " comédie très sympathique de Édouard Molinaro . C'est l'histoire de Yan ( Pierre Richard ) un artiste peintre qui rêve de séduire une femme nommer Florence ( Fanny Cottençon ) . Il réussit à l'inviter chez lui pour un rendez vous galant . Mais son rendez vous va tourner au cauchemar quand sa voisine de pallier nommer Eva ( Emmanuel Beart ) va sonner à sa porte en petite tenue et va s'incruster chez lui car la porte de chez elle à claqué et qu'elle se retrouve coincer sur le pallier . Le mari de Eva nommer Boris ( Richard Borhinger) extrêmement jaloux va surprendre Eva en petite tenue chez Yan et commencer à s'imaginer le pire et se sera alors le début d'un vaudeville remplit de quiproquos en pagailles ... " A gauche en sortant de l'ascenseur " est une comédie très sympathique de Édouard Molinaro . Le film est adapter d'une pièce de théâtre à succès de Gerard Lauzier . L'histoire est vraiment sympa celle d'un artiste peintre qui va voir son rendez vous galant tourner au cauchemar à cause de sa voisine de pallier qui va s'incruster chez lui en petite tenue et qu'il va subir les foudres de son mari jaloux qui va s'imaginer bien des choses ce qui va donner lieu à des quiproquos amusants et des situations drôles . Un film remplit de repliques amusantes et de scénes drôles ( les pistolets , le balcon ... ) qui nous font bien rire . Le casting est top avec Pierre Richard hilarant dans le rôle de ce pauvre peintre qui va voir son rendez vous galant tourner au cauchemar par la faute de sa voisiine incarner à merveille par la charmante Emanuelle Beart très sexy en petite tenue qui va s'incruster chez lui . Il va alors subir les foudres de son mari incarner par Richard Borhinger vraiment excellent en mari jaloux et possessif . Il joue vraiment à merveille le mari jaloux . Emmanuel Beart et Richard Borhinger forme un couple explosif qui fonctionne à merveille . Une bonne comédie bien sympathique des années 80 .
Comédie vaudevillesque de ce qui se faisait de mieux dans le cinéma français, écrite par Gérard Lauzier, réalisée par Édouard Molinaro avec en vedette principale Pierre Richard qui a l'époque portait les films sur son seul nom et son immense talent en ayant créé un personnage, un style, dont l'exemple type est le grand blond avec une chaussure jaune, un peu comme l'était De Funes dans la génération précédente. Il est entouré du meilleur du cinéma français avec en particulier la sublime, belle, sensuelle, pétillante, drôle et talentueuse Emmanuelle Béart qui n'avait pas encore commencé à aborder des rôles plus torturés . Une Emmanuelle Béarn, icône sensuelle à la Bardot, un Pierre Richard clownesque à la De Funes, pour une comédie légère et drôle qui va à 100 à l'heure. Du plaisir pur, une belle époque de la comédie à la française.
Molinaro, encore une fois nous sert l’adaptation d’une pièce de théâtre, et en respecte globalement le style. Peu de scènes extérieures, et une mise en scène, qui, il faut le dire, est quand même ici un peu faible, un peu plate, et n’est pas toujours vraiment enthousiasmante. Molinaro ne se force pas beaucoup, et son film aurait pu avoir la verve d’un Oscar, mais reste en dessous, porté, essentiellement par l’entrain des acteurs. Là-dessus rien à redire, A gauche en sortant de l’ascenseur bénéficie indéniablement d’une équipe d’acteurs plein d’entrain, dynamique à souhait, et dont on sent la complicité. D’un côté Pierre Richard s’empare d’un rôle des plus classiques pour lui, mais qu’il emporte avec toujours une belle maitrise, Bohringer est un voisin envahissant particulièrement crédible, il arrive à ne pas en faire trop, et puis que dire du duo de charme Béart-Cottençon. Toutes deux magnifiques, elles sont très douées dans leurs rôles respectifs, avec une petite mention spéciale pour Béart en termes de prestation, alors que Cottençon est d’une exubérance moindre quand même. Le scénario reste moyen. C’est du vaudeville typique. Assez dynamique, avec une durée courte, plutôt drôle, mais avec des rebondissements parfois trop forcés, des gags un peu trop prévisibles et pour certains qui s’étirent un peu en longueur. Bon rien de méchant, loin de là, mais c’est vrai que ça ne roule pas totalement parfaitement, jusqu’à une conclusion abrupte qui ne m’a pas pleinement convaincu pour le coup. Pour les autres aspects que je n’ai pas évoqué, il ne faudra pas s’attendre à des décors spécialement variés puisqu’on tient là un quasi-huis clos, mais par contre on pourra apprécier une musique étonnante signée Murray Head, qu’on aurait d’ailleurs pu écouter davantage dans le fil du film. Globalement A gauche en sortant de l’ascenseur n’est pas une comédie déterminante, et qui même dans la filmographie de Molinaro n’est pas mirobolante. Reste que c’est une comédie populaire sympathique, assez attachante, profitant de sa bonne galerie d’acteurs. Rien de très marquant, mais un petit moment un poil nostalgique sympathique. 3.
Yan, artiste peintre à Paris et amoureux de Florence Arnaud la poursuit jusqu'à Deauville. Florence, interprétée par la belle et tendre Fanny Cottençon, est l'épouse d'André le businessman. Pierre Richard, pour une fois pas trop fantasque mais toujours maladroit, est très juste dans le rôle de Yan. Boris, voisin de palier de Yan, est ténébreux et impulsif ; un rôle sur mesure pour Richard Bohringer qui forme un couple tumultueux avec sa "petite femme" Eva jouée par la sulfureuse Emmanuelle Béart. Une recette qui marche toujours avec les gags à répétitions. Des situations cocasses et des quiproquos réglés au millimètre. Une agréable participation de Michel Creton et une bonne BOF composée par Murray Head. Une bonne comédie Réalisé par Edouard Molinaro en 1988 ; à voir ou à revoir ne serait-ce que pour le jeu époustouflant de Richard Bohringer.
Petite comédie tournée à la façon d'une pièce de théâtre. Si la prestation des acteurs ne convainc pas, on se laisse finalement prendre au jeu. Assez menu, le scénario peut lasser assez rapidement.
Adaptée d’une pièce de théâtre, cette comédie utilise à merveille les quiproquos qui font justement les succès des pièces de théâtres de ce genre. Et il faut regarder ce film comme une pièce de théâtre, tout comme "Le dîner de cons", ou encore "Le prénom" ! Sinon vous allez ressortir déçus. Nous avons d’un côté une très sexy Emmanuelle Béart, très convaincante en femme qui ne sait pas vraiment ce qu’elle veut, tout en restant soigneusement loin de l’aspect comique de cet aspect psychologique. Ensuite nous avons un inquiétant Richard Bohringer en mari hyper jaloux et limite violent, une Fanny Cottençon magnifiquement à l’aise en femme BCBG mais qui n’a pas perdu de vue où est la vraie vie, et enfin un Pierre Richard en très grande forme, qui suit avec facilité la succession de gags souvent synonymes de quiproquos. En effet, ça fuse dans tous les sens et certaines répliques sont délicieuses d’humour, aussi délicieuses que les ravissantes Emmanuelle Béart et Fanny Cottençon, secouées par un Pierre Richard hyper dynamique, et dont le fonctionnement répété de sa sonnette l’amuse au plus haut point. Par contre, je trouvais que ça tombait dans le niais avec l’intervention de Michel Creton et Eric Blanc, mais… après avoir vu Jacques Villeret patauger sur le prénom de Juste dans "Le dîner de cons", je me dis que ces scènes présentes quelques similitudes. Il n’empêche que "A gauche en sortant de l’ascenseur" est un excellent divertissement qui ne demande pas à réfléchir. A découvrir absolument si vous ne connaissez pas.
Malgré ces portes qui claquent la comédie boulevardière ennuie plus qu'elle n'amuse. Les scènes et la réalisation sont sont trop faiblards pour faire fonctionner tout ça.