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    Color of Night
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    2,3
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    67 critiques spectateurs

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    stillpop
    stillpop

    77 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 août 2012
    L'histoire d'un psy qui a besoin d'un autre psy pour soigner ses patients mais également pour se soigner lui-même.

    Je l'avais vu en VHS il y a longtemps et la supercherie n'était pas évidente, par contre, en DVD, ça fonctionne beaucoup moins bien, et comme le film repose entièrement sur ce switch, on peut dire qu'il est râté.

    Et c'est dommage car les péripéties sont sympathiques, l'anatomie de March est très supportable, c'est le moins qu'on puisse dire, tandis que Bruce joue fort correctement son rôle de flic... pardon son rôle de psy assoiffé d'oseille sous le soleil de Californie.

    Il reste un divertissement correct, surtout en raison de la joute avec le mexicain, très épicée et bien écrite.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 avril 2007
    Une grosse daube!!!!
    je n'arrives pas à croire que Bruce willis, un acteur dont je suis fan, est pu s'investir dans un film aussi nul!!!
    Color of Night est surement le pire navet dans lequel il a jouer.
    Je dirais même le seul.
    A évité a tout pris.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 décembre 2011
    Ridicule ce film ... Un thriller psychologique à deux balles avec une histoire complètement débile...en plus de ça c est long et incohérent au possible...bref un véritable navet.
    bladgik
    bladgik

    84 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2017
    Assez partagé le film manque de rythme et de suspens malgré de bonnes scènes et une Fin surprenante c'est un sous sous basic instinct
    Dommage
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 137 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 juillet 2010
    C'est autour de la confrontation entre le psychanalyste Bruce Willis et un maniaque assassin que le cinèaste Richard Rush a construit ce polar dont la sensualitè dèclencha les foudres de la censure amèricaine! Mêlant intimement suspense et èrotisme qui doit beaucoup à Hitchcock, le film est un fourre-tout abracadabrant qui joue parfois avec les nerfs des spectateurs tandis que la ravissante et torride Jane March livre ses charmes au coeur d'un bain de sang avec quelques rebondissements! Suspense, thèrapie de groupe et èrotisme: tels sont les ingrèdients de "Color of night" aux effets très appuyès qui doit surtout sa notoriètè aux èbats faussement passionnès entre Bruce Willis et Jane March...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 janvier 2013
    Un très bon film au suspense rondement mené. Injustement décrié à mon sens. Bruce Willis crève l'écran comme à son habitude.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Tout simplement génial, que de suspens ! C'est un film très angoissant tellement bien ficelé, on ne s'y attend vraiment pas à la fin. Bruce Willis est toujours égal à lui même et Jane March est très sensuelle. Je ne comprends vraiment pas pourquoi toutes ces critiques vis à vis de ce film : il n'est pas plus critiquable que "Basic Instinct" ou autre. A voir absolument.
    DLcestmal
    DLcestmal

    5 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mai 2009
    Ce film est trés moyen!! Jane March à beau avoir un corps à faire damner un moine^^ , le scenario est bien trop longuet et la prestance de Willis n'y fait pas grand chose .
    Encore un genre de film à voir le dimanche soir en 2eme partie sur TF1 .
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Color of night est un téléfilm doté d'un scénario très pauvre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 mars 2013
    du sexe ...du sexe ....et ...une histoire ....bien fade
    bruce en petite forme
    pierrre s.
    pierrre s.

    361 abonnés 3 239 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mai 2014
    Hormis sa grosse dose de sexe et ses allusions en tout genre, on ne retient pas grand chose du film de Richard Rush...
    Tedy
    Tedy

    218 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 mars 2008
    Au lieu de bourrer le film de scènes inutiles, il aurait mieux valu développer l'enquête policière. Mais bon, il y a pire, "Color of night" se laisse quand même regarder.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 019 abonnés 4 093 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2021
    Le thriller sulfureux et fortement érotisé est à la mode depuis les succès de « 9 semaines et ½ », « Liaison fatale » (Adrian Lyne en 1985 et 1986) et surtout de « Basic Instinct » (Paul Verhoeven en 1992) tout récent. Pour Walt Disney c’est sa filiale Hollywood Pictures qui se charge d’initier les projets plus adultes afin d’embrasser tout le spectre des genres cinématographiques et par la même, du public potentiel. Bruce Willis étant depuis la saga « Die Hard », l’acteur sur lequel on peut miser en tête d’affiche d’un thriller, l’affaire semble aux yeux des producteurs tout à fait réalisable. La toute jeune mannequin anglaise d’origine vietnamienne, Jane March, vient de d’exploser dans « L’amant » de Jean-Jacques Annaud, son premier film, tiré d’un roman autobiographique de Marguerite Duras. Elle sera l’atout charme du film. Tout semble donc en place hormis une intrigue solide qui va faire horriblement défaut tout comme une réalisation (Richard Rush) adaptée au genre. Bruce Willis campe un psychanalyste en perte totale de repères depuis qu’une de ses patientes s’est suicidée sous ses yeux en sautant du trentième étage ( !!!). Après cette entrée en matière pour le moins renversante sans être pour autant convaincante, le docteur en proie à une confusion qui le rend daltonien (!!!) va quitter New York pour rejoindre Los Angeles et y retrouver un camarade d’université qui dans la même profession est devenu une sommité. Celui-ci l’intègre à un groupe thérapeutique constitué de cinq patients (Lesley Ann Warren, Brad Dourif, Lance Henriksen,…) dont le profil psychologique est exposé dans une scène pour le moins surréaliste. spoiler: Le lendemain, le célèbre psychologue est retrouvé mort dans son cabinet, lardé de trente coups de couteaux. On devine très vite que c’est Bruce Willis qui va reprendre les affaires pour aider la police à élucider ce crime sanglant. Une jeune femme mystérieuse (Jane March) va entrer en jeu et faire retrouver tous ses sens au psychanalyste subitement régénéré
    . L’intrigue présentée en dépit du bon sens et sans aucun élément crédible pour accrocher le spectateur, se déroule sans que rien ne retienne l’attention hormis les ébats de Bruce avec Jane. Résultat des courses, un flop commercial qui aurait dû sembler évident dès la lecture du scénario. Un des producteurs s’étant amouraché de Miss March, on a peut-être l’une des raisons possibles de l’aveuglement général des initiateurs du projet. Autrement, il faut que Bruce revienne urgemment mener l’enquête pour nous expliquer comment tout cela a été possible.
    CH1218
    CH1218

    160 abonnés 2 765 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 décembre 2018
    « Color of Night » surfe sur un genre qui avait le vent en poupe au début des années 90 : le thriller érotique. Au-delà des scènes de sexe, d’un bout de kékette de Bruce Willis et de la jolie plastique juvénile de Jane March, ça ne décolle que rarement et pourtant il y avait de quoi faire. Un scénario tordu, moite et psychologique autour de personnages qui ont tous quelque chose à cacher, encore faut-il l’exploiter de manière plus convaincante ou trouver un interprète qui n’en fera pas des tonnes. Pour le coup, c’est raté.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    93 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mars 2020
    Rush, déjà usé, a mis un terme à sa carrière sur un Razzie Award. C’est triste. Ou peut-être pas tant que ça : Rush a toujours été un marginal qui s’assumait dans un mauvais cinéma produisant de bons films. Pour La Couleur de la Nuit, il a poussé le bouchon un peu loin mais il récupère Bruce Willis, une solide compensation qui fossilise l’œuvre dans son succès VHS, & franchement, c’est vrai il n’y a pas beaucoup de films qui sentent aussi fort le videostore.

    Le film ne sait absolument pas manier le néo-noir & c’est ce ratage dans une ambiance voulue si forte (avec aussi la grosse quantité d’écriture qui est allée dans le script), qui lui donne sa patte si particulière. Élaborant une histoire criminelle entre des personnages hautement névrosés qui sont quasiment tous en psychothérapie, le film est le résultat d’un travail immense mais se résume à un fourbi mémorable de personnalités passées au mixeur sur fond de scènes défilant trop rapidement, sans cohésion, & qui ne sont dépassées en bâclage que par le montage sonore – Rush n’a jamais rien fait de pire que ses montages sonores.

    Maintenu en vie par une représentation très informelle d’une Californie suante & grasse (franchement, quel meilleur flic post-Columbo typique que cette montagne de clichés tenue par Rubén Blades ?), notre intérêt de spectateur s’accroche à quelques réussites étranges, comme le goût de Rush pour l’érotisme, l’horreur & une course-poursuite particulièrement décente. Le jeu est mauvais, sauf chez Willis & Dourif ainsi que quelques extras qu’on laisse déborder pour le meilleur du pire, cependant Rush a du succès quand il montre vouloir à peine survoler la névrose des personnages.

    Tout en laissant glaner par ci par là un indice (car La Couleur de la Nuit est quand même un thriller plutôt alambiqué), le film arrive dans la douleur à créer un freakshow psychologique parfait qui le rend enjaillable : un effet presque durable pour peu qu’on n’attache pas trop d’importance à un happy end sorti de nulle part.

    → https://septiemeartetdemi.com/
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