Derniers Avis : Souviens-toi... l'été dernier - Page 2

Jennifer Love Hewitt, Sarah Michelle Gellar, Ryan Phillippe et Freddie Prinze Jr. jouent le rôle d'un groupe d'amis qui boivent et s'amusent mais sur le chemin du retour ils renversent accidentellement un homme et le tuent. Ils décident qu'il vaut mieux ne pas aller voir la police par crainte d'être accusés de meurtre et se débarrassent donc de son corps mais un an plus tard ils commencent à être harcelés par cet homme. Grâce au succès de Scream de Wes Craven le genre de l'horreur a été relancé et peu après les films d'horreur se sont succédé. Parmi tous ces films, Souviens-toi... l'été dernier est l'un des meilleur à mon avis car le scénario de Kevin Williamson s'éloigne de l'autodérision et propose une très bonne histoire qui fonctionne parfaitement comme un drame mais qui comporte également les éléments d'horreur que tous les fans de slasher attendent. Ajoutez à cela la très bonne distribution et des personnages sympathiques et vous obtenez l'un des meilleurs films d'horreur de cette période...

Le carton de Scream a fait des émules et Souviens-toi… l’été dernier n’a pas hésité à en reprendre la recette. Cela commence d’abord par la présence de Kevin Williamson au scénario (qui l’est aussi pour le film de Wes Craven) adaptant le roman de Lois Duncan. Même stratégie au niveau du casting en faisant appel à Jennifer Love Hewitt & Sarah Michelle Gellar vedettes respectivement des séries La vie à cinq & Buffy contre les vampires. La comparaison s’arrête là car ce slasher ne se montre pas du tout original bien au contraire et reste bien trop sage car destiné au public adolescent de l’époque. Son seul mérite sera d’avoir entretenu la dynamique de ce genre au cinéma à la fin des années 1990.

2 étoiles au lieu d'une moitié d'étoile car j'ai été gentille pour les 5 acteurs principaux qui sont bons... dans d'autres trucs. Notamment notre brave Leonard de " Big Bang theory".
Euh... ben sinon, c'est nul à chier, ce n'est pas 1 film d'horreur, même pas d'épouvante ou alors de semi épouvante, cool j'invente 1 nouveau genre !
On voit tout venir 3 jrs à l'avance, les meufs crient trop fort mais font du sur place, je les appelle les "Cindy la conne" ces meufs là. Quand elles se méfient du placard, y'a rien dedans, quand elles sont cool Raoul, le mec est justement dans le placard et il respire fort, en mode obsédé au téléphone...
Ok c'est juste un film mais pour la cohérence on repassera.

Très déçue de ce film considéré comme culte. C'est un film à voir, un classique comme on dit puisqu'il fait parti des premier slasher mais ce n'est pas un film à revoir et re-revoir. Il n'y a rien de spécial dans cette intrigue. Ça ne fait pas peur, on a aucune surprise ni rebondissements, pour ma part, j'ai trouvé le temps très long...De plus, j'ai trouvé que Sarah Michelle Gellar n'est pas convaincante dans son rôle. Néanmoins, je tiens à souligner la performance remarquable de son mari Freddie Prinze J.R et de Jennifer Love Hewitt qui ont sauvé le naufrage de ce film.

Vraiment très déçu.
Après l'excellent "Scream" qui est une référence du genre ce film débarque et ne lui arrive vraiment pas à la cheville.
Tout d'abord on est dans un slasher et le problème est que le tueur est ridicule, son design pas effrayant, son identité sans surprises. En plus, il y a très peux de violence, de sang et aucune mort mémorable.
Les acteurs principaux maintenant reconnu sont plutôt mauvais dans ce film.
Les film est relativement ennuyant, à mal vieillit (il fait vraiment dépassé à côté de Scream sortit 1 an plus tôt), il n'y à pas de tension et la scène de fin est ratée.
Ce n'est pas le pire film du genre et c'est très plaisant de voir les gros seins de la belle Jennifer Love Hewitt.

Malgré les éloges qui ont été faites sur ce film, il ne restera présent dans nos esprits que par son titre accrocheur. Mais hélas, l'auto-suffisance scénaristique du meurtre répété ne permet pas à lui seul d'obtenir un bon Slasher.

Ce film a toujours été un de mes grands favoris dans le monde du Thriller.
Lors de sa sortie j'ai directement accroché sur l'histoire et l'originalité de celle-ci, bien qu'il y ait beaucoup de films où on a souvent une vengeance d'un tueur, mais celui-ci est tellement mieux construit.
On est imprégné dans le film du début à la fin.
20 années sont passées depuis sa sortie, et il n'a absolument pas vieilli
À voir et à revoir J'ADORE

Avec Souviens-toi…l’été dernier, Jim Gillespie ne réinvente certes pas le slasher. Mais il en connaît la formule, il en maîtrise les codes de telle sorte qu’il sait aller à l’essentiel : l’intrigue est minimale et resserrée sur nos quatre personnages principaux, les retournements ne surprennent pas mais sont bien orchestrés, on ne s’ennuie pas une seconde. Du slasher, le réalisateur n’a conservé que le nerf, a éloigné le gras : sa mise en scène très souple et aérienne participe à la menace, elle donne au spectateur un tour d’avance et le rend aussitôt complice des crimes à venir. C’est surtout par son ambiance poisseuse que le film se démarque du tout-venant, émanation du côté obscur des docks et de l’univers portuaire avec ses histoires de marins disparus, de crochets tueurs etc. Or, l’acharnement que manifeste le tueur en série équivaut symboliquement au sort qui s’abat sur quatre coupables dont la traque fait office de punition, de châtiment divin. La dimension moralisatrice du slasher est bien connue, elle se charge ici d’une réflexion assez juste sur l’accident, la culpabilité et le poids qu’engendrent mensonges et non-dits. Souviens-toi…l’été dernier en dit donc plus qu’il ne semble dire, et sa modestie ne doit pas masquer ses qualités intrinsèques, avant tout plastiques et musicales – la partition qu’offre John Debney au film compte parmi ses meilleures.

Un pêcheur psychopathe armé d'un crochet cherche à se venger d'un groupe de jeunes qui l'ont laissé pour mort au fond de l'eau l'année précédente. Cela donne lieu à des scènes assez flippantes, un jeu du chat et de la souris morbide et amusant, même si le côté Capitaine Crochet est un peu ridicule.

Comme Scream auquel on l'oppose, un teen-movie et thriller horrifique honorable mais pas vraiment effrayant. Un scénario beaucoup plus élaboré et un tueur plus inquiétant que celui de Scream et...deux suites qui ne valent pas un kopeck. Comme j'ai dit pour Scream, simplement un bon divertissement.

Ouais, mouais, bof... Et même pas peur, en plus.

Surfant sur la vague screamesque des slashers fin 90's, ce Souviens-toi... ne convainc pas.
Même si ça démarre plutôt bien, la bêtise des personnages (trop clichés par ailleurs), les inepties scénaristiques, la mise en scène d'un téléfilm d'après-midi et les dialogues ridicules sont finalement affreux.

Un slasher bien sympathique à defaut d'être original avec,comme on le retrouve habituellement dans le genre des jeunes actrices (et acteurs) sexy,un tueur impitoyable et efficace et des lourds secrets dans la petite ville.
La mise en scène est plutôt bien foutue (la scène de poursuite avec Helen est excellente et reste un bon moment d'anthologie dans le genre selon moi) et on a le droit à des morts bien sympas.
L'intrigue est assez efficace (même si elle ne révolutionne absoluement pas le genre et possède des persos bien clichés quand même) en distillant une bonne tension tout au long du film et une ambiance assez oppressante et nous propose pas mal de fausse piste sur l'identité du tueur.
Le casting se révèle correct sans être non plus incroyable (la faute peut être à des personnages pas très intéressant).
Dommage aussi selon moi que la fin soit bâclé et annihile la tension présente tout le reste du long métrage avec une confrontation décevante et improbable.

"Je sais ce que tu as fais l'été dernier" !! Film sortit peu après le succès de "Scream" de Wes Craven, "Souviens toi l'été dernier" de 1997 a embauché le même scénariste qui était à l'époque en vogue Kevin Williamson (le futur créateur de la série "Dawson" avec des adolescents plus gentils) qui reprend le même schéma que le film de Wes Craven. Hey oui, quand on est bourré le soir de la fète de l'indépendance nationale Américaine, qu'on a baisé sur une plage et qu'on renverse quelqu'un sur la route qu'on veux éviter la prison pour alcool au volant, pour se débarrasser de ce corps, mieux vaut vérifier que le cadavre est bien mort car un an plus tard, en recevant une lettre sur les faits et voir des cadavres défilés, c'est la paranoia, qui fait ça? . Je mets cette note qui mérite moins pour les comédiens qui ont bercé mon adolescence comme Jennifer Love Hewitt qui jouait dans la série "La vie à cinq", Sarah Michelle Gellar dans "Buffy et les vampires", Ryan Phillippe qui est toujours d'actualité aujourd'hui entre cinéma et série avec "Shooter" et Freddie Prinze Jr, c'était la fin des années 90. Puis, il y a du suspense dans ce long métrage quand même et "Souviens toi l'été dernier" était l'un des premiers a lancer ce genre de film d'horreur et il y aura pire par la suite.

Après le tueur au masque ghostface armé d'un long couteau, nous avons le tueur pêcheur au crochet (moins crédible).
Le suspens est là, une bonne intrigue (qui est le vengeur masqué ?), c'est prenant. La nostalgie est aussi de la partie en ce qui me concerne.
Et puis revoir les débuts de Jennifer Love Hewitt et de Sarah Michelle Gellar, cela n'a pas de prix !

Tous les films des années 90 ne sont mémorables, celui-ci est une exception qui déroge à la règle. Un petit navet de la mise en scène et de l’intrigue de tueur qui ne casse pas trois pattes, par le scénariste de « Scream », « The faculty », je suis resté dubitative. C’est parti d’un accident de la route après s’être bien coulé à la soirée alcoolisée et en nuit d’amour. Un cadavre percuté de nulle part devient le fantôme du scénario, la suite des événements part en vrille en un délire maladroit, on aurait dit une parodie à la « scary movie » et situation abracadabrantesque. La frayeur frappe à chaque porte de l’horrible sans génie, très ennuyeuse histoire épouvantable, un peu de mal à croire aux esprits vengeurs. Ce n’était difficile à éliminer la prévisibilité de l’homme pécheur, même étant tordu sous la pluie, le retour en tant que capitaine crochet pour en finir avec ces jeunes adultes de la frime. Une étoile pour le titre au souvenir teen-ager, « je sais ce que tu as fait l’été dernier », le mot qui tue pas si glacial que ça et très mauvais.