Avis : Crocodile Dundee - Page 3

Un pur moment de plaisir pour ce film de 1987 et les autres. Et puis quel charme peuvent avoir ces deux acteurs qui vont si bien ensemble dans cette grande trilogie que dans leur vie privée. Linda Kozlowski était et est toujours une magnifique femme. Paul Logan est tout simplement un dieu. Il le dit d'ailleurs dans un des films. Longue vie a eux et encore merci pour cet humour et cette joie, cher Crocodile Dundee!

Bien. Cette comédie sortie dans les pures années 80 nous plongent dans une atmosphère agréable. Un peu cliché, mais ça va.

Paul Hogan offre une éxellente interprétation.
Crocodilee Dundee est une comédie très inventive avec des second rôles très originaux et qui offre de grands moment de fourire!!!

C'est vieillot, et mal fait... Ça ne fonctionne plus... mais cela a-t-il fonctionné un jour???

C'est bien le nanar auquel je m'attendais, donc pas de déception, au contraire un soulagement d'en avoir fini avec comme ça je peux passer à autre chose. Paul Hogan n'a aucun charisme, je comprend pourquoi sa carrière s'est arrêtée après ce film.

Je suis un peu étonné que ce film n'ait pas plus d'étoiles m'enfin quand on sait ce que regarde le public d'une maniére generale, ce n'est pas surprenant...

Ce film est un chef d'oeuvre, tout y est! Humour, beauté des paysages, scénario divertissant et prenant...

Ce film a marqué mon enfance pour toujours!

Allez donc savoir ce qui m'est passé par la tête, j'ai voulu revoir un vieux film des années 80, Crocodile Dundee.
Constat : le film a mal vieillit, le contraste entre l'Australie sauvage et la "jungle" new-yorkaise est médiocre, le film est tout sauf passionnant, se résumant à une comédie romantique à deux balle, recouvert de quelques gags pas drôles (Paul Hogan essayant d'imiter Christopher Reeve...)
Donc un film mou, long, inintéressant, aux personnages inexploités, faisant du remplissage bon marché (le script remplit à peu près 30 minutes de pellicule).
Ça me rappelle la longue liste de tous ses vieux films des années 80 tout pourris, type Pretty Woman, Un prince à New York, Splash, Working Girl...

Naze ! Nul à chier ! Cette histoire inspirée de Tarzan n'a aucun sens ! Et en plus c'est plat et les acteurs sont peu passionnés par leur rôle... A éviter !

C'est très faiblard ce film. Cet énorme succès surprise des années 80, presque oublié aujourd'hui. Et ça se comprend un peu vu la pauvreté du scénario, des gags et du rythme sous Valium. Quelques clichés inévitables et une fin convenue. Reste quelques rares bonne idée mais trop peu nombreuses pour sauver ce film de la médiocrité.

Ne pouvant encore critiquer "AUSTRALIA", que je n'ai pas visionné et que je ne visionnerai probablement jamais, je pense qu'il faut rendre (au 22 décembre 2008) hommage a Mr Dundee. Etant le précurseur de la Australian's touch, je pense qu'il mérite un respect sans commune mesure. Il avait parodié par anticipation ce que Baz Lurhmann allait réalisé 20 ans plus tard...Un navet dont allociné serait un des promoteurs... Finesse de la répartie, Dundee était le Hugh Jackman des 80'... Je lui tire alors mon chapeau, pas de prétentions, du naturel, de la qualité d'interprètes...Nous...

S'il y a bien un film qui représente bien le cinéma des années 80,ludique,léger et embellissant,c'est bien "Crocodile Dundee"(1986)!Succès improbable en provenance de l'Australie,le film est une comédie d'aventures sans prise de tête,qui narre la rencontre entre un chasseur de crocodiles bourru et une appétissante journaliste américaine.La première partie se déroule dans le Bush australien.Mike Dundee,parfaitement à l'aise,y tue les serpents à mains nues,y mange du lézard,et y mime un kangourou fou de la gâchette!La seconde partie se passe à New York,où le choc des cultures entre l'aventurier un peu sauvage et les citadins pressés et vaniteux,promet de belles empoignades comiques.Paul Hogan devint une star éphémère.Et les traductions françaises de certaines expressions sont involontairement drôles!Linda Kozlowski,beauté accessible typique de l'époque,succombe à la fois dans le film,et dans la vie,puisqu'elle l'épousa!Si la simplicité de l'ensemble peut rebuter,et si la vision des Australiens par les Américains est pleine de clichés,la fantaisie bonne enfant garde toute sa saveur.

Crocodile Dundee est un grand classique, un culte des années 80. Tout le monde a entendu parler au moins une fois dans sa vie de ce personnage haut en couleur! Cet espèce de bouseux baroudeur qui incarne en quelque sorte le portrait très stéréotypé de l'australien primaire, celui qui n'a connu que la brousse profonde au cour de sa vie. Cette illustre figure emblématique sauvage interprétée par Paul Hogan est restée au gout du jour. Sa franchise, son humour, son côté extravagant, bourru et nature...C'est en quelque sorte l'Indiana Jones du pauvre. Un bien étrange personnage qui ne semble pas déplaire aux jolies femmes, ici aux côtés de la ravissante Linda Kozlowski. Un duo de choc bravant tour à tour la brousse australienne et la jungle urbaine new-yorkaise. Le contraste entre les paysages est rude. Le choc des cultures est également saisissant et promet de belles empoignades comiques. Une comédie d'aventure sans prise de tête, au succès néanmoins improbable. Car cette simplicité rebutante dans le fond comme dans la forme, dévoile volontairement ou involontairement une facette méconnue du cinéma d'aventure, à la fois drôle et originale. On retiendra que les américains ont une vision très clichée des australiens, mais cette touche de fantaisie bon enfant est tout à fait savoureuse. Intemporel. 3,5/5

Succès surprise à l'époque, culte des eighties écrit par son acteur Paul Hogan alors seulement connu en Australie. Rien d'extraodinaire dans cette comédie d'aventure mais qui va vite bifurquer vers une simpel comédie sentimentale. Le vrai défaut du film est justement de quitter trop vite l'aventure et le bush australien pour une simple romance à New-York. Le film marque surtout par quelques scènes cultes, des idées qui se font rares et par là même le film s'essoufle un peu arrivé à New-York. Un divertissement qui tient sur la nostalgie des années 80. Le pire étant les deux suites...

Tout simplement un chef d'oeuvre ! Paul Hogan excellentissime, superbement drôle ! Le film en lui-même est drôle, le scénario assez original et le tout ne semble même pas vieux (20 ans !). C'est la première fois que je le voyais, et je compte le revoir de nombreuses fois, tant il m'a plu. Gé-nial !

Crocodile Dundee est un film que j'ai aussi beaucoup regardé dans mon enfance, enregistré sur une vieille VHS quand il était passé un soir sur la Une. C'est un véritable plaisir de réentendre la musique du générique signée Peter Best, familière à mes oreilles et que j'avais oublié. Énorme succès de l'année 1986, Crocodile Dundee est aussi le plus gros succès de l'histoire du cinéma australien. On a affaire à une jolie reporter Sue Charlton qui vient faire un reportage sur un baroudeur australien du nom de Mickaël J. "Crocodile" Dundee, lequel s'est fait récemment attaqué par un crocodile. Le scénario coécrit par Paul Hogan, l’interprète de Crocodile Dundee, sorte de Benny Hill australien, est fortement inspiré d'une histoire vraie, celle d'un type attaqué à la jambe par un crocodile et qui s'est traîné sur des kilomètres. Comme Sue le fait remarquer à un moment du film, on a un peu l'impression d'avoir Tarzan et Jane sous nos yeux que ce soit dans la jungle dans la première partie du film ou dans la ville ensuite. Chacun des personnages arrivent donc à nous faire rire dans leurs malaises au sein d'un environnement qui ne leur est pas familier. Même si les clichés ne sont pas loin, le film reste un bon film d'aventures romantique avec un héros typiquement des années 80 comme on en fait plus, drôle et divertissant, une sorte d'Indiana Jones écolo avec les magnifiques paysages de l'Australie en prime. On a, au passage, même si ce n'est peut-être pas le message du film, un discours qui reste actuel sur la difficulté pour un étranger de s'adapter aux us et coutumes d'un pays lointain. Même si c'est traité ici sur le ton de l'humour, à travers Mike Dundee, on voit apparaître toute la froideur, l'indifférence voire la moquerie chez certains, dans l'anonymat d'une grande ville comme New York. A revoir avec plaisir.