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    Crocodile Dundee
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    154 critiques spectateurs

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    Michael78420
    Michael78420

    43 abonnés 1 305 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2024
    L'homme est simple. Il sait ce qu'il vaut. Il se pose peu de questions. Il se contente de peu. Comme dit Walter à propos de Crocodile Dundee (Paul Hogan) : "Il ne doute de rien, il se fout de tout, il ne se fait pas chier." Il est en communion avec la nature. Son environnement, c'est la brousse australienne, clairement hostile. Un pays d'homme, pas de Géraldine. Le personnage est tel que, revu en 2024, on s'étonne que les partisans du wokisme n'aient pas demandé l'interdiction de diffusion de ce film. Heureusement il reste encore assez de liberté pour le voir ! Cordial avec les gens simples, méfiant avec les gens de la haute, le héros se veut rassurant en toutes circonstances pour Sue (Linda Kozlowski) qui succombe à son charme de mâle. Un homme, un vrai. Les paysages de la première moitié contrastent avec la densité grouillante de New York où 7 millions de personnes ont choisi de vivre ensemble mais évitent de se saluer quand ils se croisent dans la rue. Curieuse pratique. Un film à (re)voir pour apprécier l'authenticité d'un monde.
    benji007
    benji007

    19 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2006
    un tres bon cru de dundee l'homme crocodile
    gregbox51
    gregbox51

    29 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mars 2018
    Certes, ce film à marqué toute une génération, la mienne y compris, et c'est tant mieux. Mais revisité à notre époque, on ne croit pas un seul instant à ce Crocodile Dundee si ingénu aux dents éclatantes. Je ne parle même pas de la scène du crocodile avec la miss en maillot moulant ! Quelques beaux paysages, on s'arrêtera là !
    7eme critique
    7eme critique

    471 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2018
    Un aventurier australien débarque à New York, place au contraste !
    On aura tendance à s'ennuyer durant ces 1h30 où il ne se passera rien de vraiment intéressant ni de drôle. "Crocodile Dundee" joue la carte des différences culturelles, un peu à la façon d'"Un indien dans la ville" chez nous, mais avec un humour très ringard et une relation sentimentale des plus vides.
    ferdinand75
    ferdinand75

    466 abonnés 3 660 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mars 2016
    Un film culte des années 80 qui fut un gros succès. Le film apportait de la fraîcheur, de l'insouciance, la beauté des paysages d' Australie,et un petit scénario bien ficelé. Le personnage de Paul Hogan était bien pensé. On s'amuse, on sourrit et au final on passe un bon moment. Le film n' a pas trop vieillit et reste agréable à voir.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    225 abonnés 2 801 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2022
    Un film sympathique et dépaysant dans sa première partie, qui bénéficiera surtout du travail de ses comédiens (pleins de fraîcheur et de décontraction) plus que d'une écriture qui joue la carte de la facilité dans ses gags, tout comme le scénario qui s'avère des plus limités. Il y a un je ne sais quoi de charmant qui conserve son attrait au film, malgré les années et la relative légèreté dans le traitement de son sujet.
    Agnes L.
    Agnes L.

    128 abonnés 1 483 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juin 2023
    Une comédie revue avec plaisir et qui doit beaucoup de son succès à l'épatant Paul Hogan. Bien intégré dans son milieu australien, une fois aux USA, en situation urbaine, il se comporte comme il a toujours fait et cela génère des situations vraiment cocasses.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    75 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2013
    Les années 80 auront vu l’apogée d’un Hollywood qui proposait des divertissements qui sont restés et qui resteront dans les mémoires. Et des films de cet acabit, nous pouvons en citer une bonne liste : les Indiana Jones, les Retour vers le Futur, Gremlins, L’Aventure Intérieure, Qui veut la peau de Roger Rabbit, Terminator, Predator, les Rambo, les Rocky, E.T., Piège de Cristal, S.O.S. Fantômes… et j’en passe ! Crocodile Dundee fait parti de ceux-là. Bien que le film doit plutôt sa notoriété grâce à son titre et son ancrage dans la culture américaine qu’à autre chose. Oui, dans un sens, le côté « film culte » de Crocodile Dundee n’est pas aussi mérité que ses semblables. Explications !

    Si la plupart de ces films ont marché, c’est principalement grâce au concept, au scénario et aux personnages qu’ils présentaient. Sans compter un humour souvent ravageur et des situations cocasses qui devenaient illico d’anthologie. Faisant passer tous les clichés hollywoodiens à la trappe. Avec Crocodile Dundee, on peut encore se poser des questions. Et pour cause, le film ne propose rien de bien exceptionnel : une journaliste se rend en Australie pour écrire un article sur un baroudeur aficionado de la vie sauvage. Et de cette rencontre va naître une idylle incertaine, alliant au passage choc des cultures (cette journaliste devant faire face à la faune et au machisme des Australiens, le fameux Crocodile Dundee qui, à son tour, devra affronter la vie en ville et les « coutumes » des urbanistes). Mouais…

    Mais même avec un scénario assez classique sur le papier, certains films (À la Poursuite du Diamant Vert, 48 Heures) ont su se démarquer par leur fraîcheur, leurs personnages et leur côté comique plutôt efficace. Pour le cas de Crocodile Dundee, les questions peuvent encore se poser. Le héros a bien quelque chose de charismatique, il faut reconnaître. Que ce soit dans l’interprétation de Paul Hogan, de son accoutrement de braconnier australien et de son côté rustre. Mais c’est tout ! Le seul truc que l’on peut trouver rigolo à ce film, c’est de voir le personnage de Crocodile Dundee quelque peu perdu dans les rues de New York. Et encore, l’humour du film n’est pas des plus puissants, qui nous fait que sourire. Sans compter que cela ne concerne que la partie en ville. Même pas les premières 40 minutes du film en Australie, qui paraissent bien longues et fades. Surtout que si vous cherchez un quelconque enjeu (du genre la vengeance d’un méchant braconnier ou d’un gangster en voulant à Crocodile Dundee), vous serez grandement déçu, n’en ayant pas, tout simplement ! Juste une basique histoire d’amour dont le dénouement est connu dès le début (et qui se déroule par le biais d’une séquence dans le métro qui frise un peu le ridicule).

    Voilà donc le gros problème de Crocodile Dundee, qui ne peut reposer que sur son protagoniste éponyme et certaines situations qui amuseront quelques secondes. Mais il est fort décevant de constater qu’un film des 80’s possédant le titre de divertissement hollywoodien culte soit aussi pauvre. Et pour cause, avec Crocodile Dundee, vous n’aurez pas de bande-originale qui détonne un max (ni même une chanson au générique qui en vaille la peine), pas de grosses scènes dites d’action alors que ce film est qualifié d’aventure, d’acteurs hautement mémorables (Paul Hogan étant bien le seul à se démener comme il se doit), de moments qui sont propres au film (qui peuvent se vanter d’être « uniques » dans le cinéma). Non, il n’y a franchement rien à en tirer !

    Avec Crocodile Dundee, ça sera juste une comédie familiale bonne enfant qui tarde à se mettre en marche pour faire sourire. Et si vous n’êtes pas difficile, l’histoire d’amour aussi visible le nez au milieu de la figure vous intéressera peut-être. Il n’empêche, Crocodile Dundee a beau être une sorte de mythe dans culture américaine ou encore un film culte, il ne mérite pas pour autant ce titre. Ne faisant tout bonnement pas le poids face aux poids lourds que sont les Retour vers le Futur, Les Goonies et consort. Pas de quoi fouetter un croco ! Histoire vraie ou pas (le personnage étant inspiré d’une personne réelle) !
    Nicolas V
    Nicolas V

    68 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2014
    une histoire inédite, comme son acteur. avec son charisme australien, ses bonnes répliques au bon moment et ses rebondissements inventifs, crocodile dundee est un bon spectacle . de plus le film n'a pris aucune ride. j'ai pris beaucoup de plaisir a le revoir.
    bug bunny
    bug bunny

    40 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2021
    Un film qui m'a surpris que j ai apprécié à ma grande surprise car sait film en principe m attire pas trop mais j ai passé un bon moment dans l ensemble
    Fabios Om
    Fabios Om

    37 abonnés 1 265 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 mars 2022
    Crocodile durée ou l'on des film les plus culte , les plus connue des années 80 dont tous le monde . Je m'attendais donc à quelque chose d'extraordinaire maos finalement totalement déçu et je trouve même que c'est nul mais à un point un des plus nul des année 80 . Un film l'on pas toujours compréhensible , hisotre pas du tout intéressante , casting nul qui n'a aucun talent pratiquement, film pénible à regarder et d'une lourdeur infinie . Aventure qui n'est pas du tout au rendez vous car si ça c'est de l'action ou aventure alors que c'est n'est pas le cas il ne faut pas mettre Indiana Jones dans le terme aventure car sinon sa sera trop bon pour eux. Le film n'est pas non plus une comédie car c'est pas drôle , lourde , misogyne aussi alors vraiment pas du tout passer un bon moment . Peut être un des pire des année 80 je ne comprend décidément pas tous le tapage médiatique autour de ce film, et pourquoi tous le monde en parle tous les film du monde sont pratiquement mieux .

    résumer :

    Crocodile Dundee alias Michael J. est un aventurier qui hante les vastes étendues du Bush australien : repas de lézards, larves et fourmis, rencontres inopinées avec des serpents et crocodiles... Elevé par une tribu d'aborigènes, il "zone" dans ces terrifiantes contrées comme un poisson dans l'eau. Sue Charlton, ambitieuse journaliste américaine, découvre l'homme sauvage et veut à tout prix faire un scoop. Elle finit par le rencontrer, l'emmène à New York, succombe à ses charmes et le suit pour le meilleur et pour le pire...
    redbeauty
    redbeauty

    15 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2010
    Génial...
    Michel1664
    Michel1664

    17 abonnés 690 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2023
    Sympa et original, quelques bon gags (la montre, le rasoir, la boîte de conserve, le mec qui se poudre le nez …). La jungle australienne suivi par la jungle new-yorkaise, bonne idée. C’est divertissant, ça à plutôt bien vieilli, mais ce n’est finalement pas si phénoménale ! Mention quand même pour la prestation de Paul Hogan en Bushman le plus badass de l’histoire du cinéma.
    NeoLain
    NeoLain

    4 337 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    On prend un bon sauvage (celui-ci vante d'avoir tuer un crocodile de ses mains, en Australie), on le transporte à New-York, grâce à une vague histoire d'amour, et on contemple ses gaffes. Des dizaines de films ont été tournés sur ce scénario flexible comme "Un indien dans la ville" par exemple. Celui-ci fut un énorme succès et rendit célèbre, un temps, Paul Hogan, croisement bizarre entre Clint Eastwood et Terence Hill. Film d'une grande fraîcheur, attachant, et sans prise de tête.
    Roub E.
    Roub E.

    757 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2021
    Ça c’est ce qu’on appelle une madeleine. Crocodile Dundee c’est une des VHS que j’ai usée gamin et que je redécouvre plus de 20 ans après. Celui ci a plutôt bien encaissé les affres du temps. On s’amuse toujours du décalage entre Mike l’homme de la brousse australienne qui a tout de l’homme des cavernes et Sue la journaliste New Yorkaise fille à papa. Comme il est dit dans le film il y a un côté Tarzan et Jane bien sympa. On va d’abord s’amuser de Sue perdue dans une nature qu’elle n’a vue qu’à la télé ou évoquée dans les cocktails. Puis de Mike découvrant New York son individualisme, ses travestis, sa fausseté et ses bidets. Le film laisse un peu en plan, visiblement à court d’idée il se rabat sur la bluette entre Mike et Sue et donne un dernier quart d’heure bâclé alors que le reste du film se (re)découvre avec plaisir.
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