Avis : Piège de cristal - Page 4

Je me souviens de l’énorme baffe que j’ai pris lorsque j’ai découvert ce « petit film d’action» au moment de sa sortie en salle. « Die Hard » a tout simplement révolutionné le genre et accumule les scènes d’anthologies. Action, explosions, fusillades, cascades, humour, tout y est. Superbement mis en scène par John McTiernan, ce huis clos hallucinant reste encore aujourd'hui le meilleur épisode de la saga. Ce film correspond aussi à la naissance de l’un des héros les plus charismatiques de l’histoire du cinéma. Y’a pas photo : Bruce Willis est et restera à jamais John McClane. Face à lui, Alan Rickman ne démérite absolument pas en campant un parfait salaud. 25 ans après, je ne me lasse pas de le revoir. Totalement culte et indémodable.

Mon héros préféré, un film d'action absolument culte, la référence absolue de mon adolescence. Du punch, des scènes d'action démentielles, un Bruce Willis génial. Le top of the top ! Même 25 ans après la sortie et même si on le connait par coeur, on le regarde toujours avec le même plaisir.

John Mc Clane, flic de son état à New York, vient passer les vacances de Noël en Californie où il rejoint sa femme dont il est séparé et ses enfants. Il se rend dans la tour de la multinationale japonaise dans laquelle travaille sa femme lorsque des terroristes prennent tout le monde en otage sauf lui. Comme un caillou dans la chaussure de terroristes armés jusqu’aux dents, il va à l’aide de son petit flingue essayer de sauver tous les otages.
A sa sortie, ce film d’action sur vitaminé se différenciait des productions de l’époque. Bruce Willis offrait une composition tout en douceur, humanité et humour qui fait le charme de ce film. A l’époque, l’identification au héros de film d’action aux muscles saillants et au cerveau atrophié était nulle. Willis tranche avec Schwarzy et Stallone. Rebondissements, humour et scènes spectaculaires sont les atouts d’un film porté par un Willis très sympa. Mais le film se révèle aussi très rapidement hyper lourdingue avec une profusion de personnages secondaires taillés à la hache, une dénonciation des media chaussée de gros sabots, des terroristes allemands aux cheveux longs,… et j’en passe…
De fait, passer la mise en place de l’histoire et les quelques blagues désinvoltes du héros, on s’ennuie très rapidement. Du teen movie longuet.

Avec John McClane,Bruce Willis invitait le prototype du action man des années 90.Cool,couillu,téméraire,cynique;McClane est l'empêcheur de tourner en rond par excellence.Seul contre tous,il va déjouer une bande de cambrioleurs ayant pris en otage des employés à l'intérieur du Nakatomi Plaza.Le pitch de "Piège de cristal"(1988)était diabolique et immédiatement accrocheur.L'unicité de lieu(la tour de 40 étages nichée au coeur de Los Angeles)permet d'installer une tension inouïe,alors que notre anti-héros ne peut compter que sur sa malice et sa débrouillardise,car les 12 terroristes allemands emmenés par un fielleux Hans Gruber(Alan Rickman,formidable de rapacité et de sarcasmes)sont bien décidés à avoir sa peau.Bruce Willis donne corps au flic new-yorkais casse-noisettes,avec son marcel blanc et ses pieds nus.C'est un personnage très attractif que tous les garçons rêveraient d'incarner.Il faut rendre grâce à la mise en scène exemplaire de John Mc Tiernan,qui manie à la perfection tous les codes du film d'action.Explosions spectaculaires(notamment sur le toit),fusillades endiablées,échanges pimentés par talkie-walkie,rebondissements de l'intrigue.Tout cela est très jouissif,avec une adéquation parfaite de la musique de Michael Kamen.Le film d'action ultime,qui plus est traversé de répliques cultes.Yippie-kai-yee!!

Un monument du ciné d'action des années 80, un film incontournable qu'il faut avoir vu au moins une fois pour comprendre l'emprise qu'a pu exercer Bruce Willis sur le public en 1988. Son personnage de John McClane est rentré dans le panthéon des héros de l'écran, aux côtés de Harry Callahan, Indiana Jones, James Bond ou John Rambo... C'est "Une mouche dans le lait mon cher Hans, un petit rouage qui grippe, un emmerdeur" qui est toujours là au bon endroit pour enrayer les belles mécaniques mises au point par de petits génies du crime, ça se vérifiera dans les 2 Die Hard qui suivront. Au contraire de ses confrères Stallone, Schwarzy ou Seagal qui évoluaient dans le même créneau, Willis séduit par son héros irrésistible qui combine d'une façon jubilatoire l'humour, les répliques décalées et le coup de poing. Le film ne repose pas que sur la personnalité de sa star, il y a aussi Alan Rickman en méchant subtil, une bonne prestation de Reginald Veljohnson en flic qui dialogue avec McClane, et surtout une réalisation extrêmement efficace et carrée de John McTiernan qui sortait de "Predator"...

Un excellent film d'action, culte, porté par le charisme de Bruce Willis.

Franchement génial ! Die Hard est typiquement le genre de film d'action que j'apprécie. Des muscles, pas de blabla, des méchants qui font mal, des fédéraux incompétents et deux hommes pour sauver la situation. Le scénario est pas mal du tout et tout s'enchaine avec une minutie parfaite. Bruce Willis a peut être pris la grosse tête entre temps, mais dans les années 1980 il était purement beau gosse. Un bon 4/5 bien mérité. Boum.

Avec une bonne dose d'action et d'humour et un Bruce Willis en pliene forme, c'est un très bon premier volet de la saga DIE HARD qui commence.

Un film d'action qui n'a pas un scénario qui casse des briques, mais une bonne interpretation de B. Willis qui une fois de plus joue un rôle de policier bad guy qui lui colle à la peau, mais faut dire qu'il le fait bien.Sinon on échappe pas aux cliché du genre et c'est domage, la fin est tout ce qu'il y a de plus prévisible.

Certes côté action on est servi, ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas (enfin pas trop). Le méchant est très réussi et le film renferme quelques bonnes idées (les pieds nus de Willis) et brosse en filigrane un portrait au vitriol de l'attitude des médias. En revanche les invraisemblances et les clichés sont tellement nombreux et énormes que ça en devient fatiguant. Invraisemblance que dis-je, parlons plutôt d'énormités à l'instar de ce sergent même pas choqué après avoir failli mourir dans sa voiture, qui non seulement s'arrête de saigner comme par miracle mais fout son grain de sel partout en s'invitant aux premières loges et en étant le seul à tout comprendre. Les dernières scènes d'action virent au grotesque.

La fin des années 80 et le début des années 90 sera marqué par la prolifération des films d'action typique mais dont le héros est un anti-héros. Anti-héros certes, mais qui est tout de même le plus fort. Die Hard ne déroge pas a la règle et nous livre un cocktail d'explosions. John MacTiernan insére du suspense, on retient son souffle notamment avec la scène dans la cage d'ascenseur ou McClain cherche a descendre plusieurs étages accroché au fusil ou encore lorsqu'il se jette de l'immeuble attaché a un tuyaux.
Bref un film d'action pure avec sa dose de fusillades et de sauts en tout genre qui a marqué un tournant dans le genre.

Très bon film d'action, un classique et incontournable avec Bruce Willis. D'excellentes répliques, scènes d'action et de vrais méchants qui savent se battre. Bruce va avoir beaucoup de fils à retordre !

Un film d'action décoiffant teinté d'humour et de suspense par un grand réalisateur qu'on ne voit plus aujourd'hui et c'est bien dommage car il avait créer le sommet du genre, John Mc Tiernan !! Tout se passe dans un immeuble sécurisé, des terroristes prennent d'assaut minutieusement une quarantaine d'otages en fète autour d'un brunch. Tout se passe bien mais quelqu'un va jouer les troubles fètes, John Mc Clane, policier de New York se trouvant sur les lieux avec sa femme prisonnière portant son nom de jeune fille. Ce film excelle dans le jeu du chat et la souris des terroristes contre le petit policier qui est trés malin avec des séquences d'explosions, de tirs à mitraillettes, de bagarres, de talky-walky, de troupes de police pas trés habiles et d'autres rebondissements. La mise en scène met en valeur l'intrigue, l'atmosphère tendue et met une bonne dose d'humour. Le choix d'avoir mis Bruce Willis en tète d'affiche est judicieux, l'acteur venait de la série comique "Clair de lune" et n'avait jamais tourné de films d'actions jusque là. Tout les comédiens de ce film sont excellents, mention pour le terrifiant chef terroriste Alan Rickman. "Piège de cristal" marque une étoile sur le cinéma de genre et c'est toujours un plaisir de le revoir.

Avec Die hard 1, John Mc Tierman s'est hissé au rand de grand maître du film d'action,
aux côtés de John Woo, des Wachowski, ou encore d'un Nolan.
Die hard embarque un Bruce Willis (l'époque où il avait des cheveux !) ultra nerveux, au top de sa forme, dans l'un de ses rôles les plus cultes :
Celui de John Mc Lane, un flic de new york divorcé, qui tente veinement de reconquérir sa femme.
Le personnage principal est des plus stéréotypés.
McLane est un anti-héro malgré lui, puisque le soir du réveillon, il se retrouve piégé dans une prise d'otage sans précédant (du moins pour l'époque).
La machine déraille, et notre bon flic doit tout faire pour stopper les terroristes dans leur action.
Avec des personnages stéréotypés à souhait, et un scénario simpliste au plus haut niveau, John McTiernan a réussi a faire de Die hard un film culte.
Déjà par son jeu d'acteur magistral, notamment grâce à l'interprétation splendide de feu Alan Rickman, qui incarne le grand méchant charismatique, Hans Gruber.
Ensuite par son scénario parfaitement maîtrisé, dans lequel McTiernan n'omet aucun détail.
Le maitre du genre nous gave en matière de grosses scènes d'action spectaculaires, dont on se lasse pas. Entre répliques cultes, gun fight, et moments calmes,
Die Hard est la crème du cinéma spectacle typiquement Hollywoodien.
Tous les codes du show à l'Américaine sont bien présent : la cavalerie de grosses voitures de polices qui débarquent, les sirènes, les flic ect.
Au niveau musical, Die hard est un énorme classique, puisqu'il est mis en valeur par la puissance de la 9ieme symphonie de Beethoven, plus précisément l'Hymne à la joie.
Le soundcore cinématique, composé par feu Michael Kamen est dantesque.
Les effets spéciaux de Die hard datant de 1988, ayants étés tournés en analogique, ont malheureusement très mal vieilli.
Cela dit, Die hard remplit parfaitement son sôle : celui d'un grand film d'action et de spectacle dans l'esprit purement Yankee, comme on en fait plus de nos jours.
Dévoré par la planche à billets verts, l'une des plus grandes licences Hollywoodiennes aura jusqu'à quatre suite:
Un deuxième moins bon que le premier, un troisième presque meilleur. Enfin, un quatrième épisode du même niveau que le premier, et le cinquième, qui sera une véritable catastrophe.

Le film d'action culte par excellence qui révèle une future méga star du box-office, Bruce Willis, dans le rôle de sa vie, celui du anti-héros, John McLane, un flic toujours au mauvais endroit au mauvais moment! C'est lui qui porte le film sur ses épaules aidé en cela par des vannes assassines, des scènes d'actions sévèrement burnées et un méchant charismatique (Alan Rickman dans toute sa splendeur). Un classique immanquable particulièrement drôle et impeccablement réalisé!