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VodkaMartini
40 abonnés
410 critiques
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0,5
Publiée le 29 septembre 2006
A vrai dire, il faut être de mauvaise foi pour critiquer un film qui ne prétend pas être autre chose que ce qu'il est. Mea Culpa. Mais je ne peux m'empecher d'en remettre une couche quand il 'agit de ce cinoche là. Si les années 90 allaient être déprimantes, ce ne fut pas le cas des années 80. Car sinon il aurait été impensable de voir deux bodybuilders (un Noir et un Blanc pour le côté politically correct déjà) courir en shorts-lycra moulants et phosphorécents, sur des plages (au ralenti en plus; essayez, vous n'y arriverez pas) et s'en allaient barbotter dans l'eau ensuite (probablement parce que le Blanc a gagné?). La fibre sentimentale est là quand le coach meurt (idée originale), sachant que dans l'épisode suivant ce sera le tour du "meilleur ami" (le black en short moulant sus-référencé). Le suspense ne manque pas, car Rocky perd son titre, entretenant ainsi une inquiétude terrifiante quant à savoir s'il va le reconquérir contre le méchant (mais alors très méchant) Clubber Lang,sorte de manuel ambulant de ce qu'un coiffeur ne devrait pas faire. Il y a aussi de la colère, Stallone grimaçant lorsqu'il jette son casque contre "sa" statue, tentant d'ébranler son propre mythe. Sans succés bien entendu car c'est Stallone, ne l'oublions pas. Les combats ressemble au jeu vidéo CBS sortant au même moment que le film; a moins que ce ne fut avant. Faudrait pas déboussoler les gamins qui achétent des places de cinéma ET des jeux vidéos. En somme, un bijou de ringardise dont le revisionnage ne laisse pas d'étonner. Audace, quand tu nous tiens!
A nouveaux aux manettes du troisième épisode de la saga Rocky, Stallone nous fait retrouver son personnage de boxeur trois après sa victoire sur Appolo Creed et son accession au titre de champion du monde. Devenu une star fortuné enchainant les victoires, le parcours l’étalon italien –qui a depuis perdu 25 kg– ne peut plus avoir la résonnance sociale dramatique des deux premiers films, le scénario rebondit donc sur un affrontement amusant avec le catcheur Hulk Hogan et la tragédie occasionné par la mort de Mickey. La suite du récit est répartie entre une remise en question de Rocky et deux affrontements avec l’odieux Clubber Lang incarné par Mister T. Ainsi, les scènes introspectives du héros parviennent à rendre le film plus sombre, et les entrainements, bercés par la chanson mythique composée par le groupe Survivor, permettent de réhabiliter le personnage d’Appolo Creed. Si les combats contre Lang sont d’une violence galvanisante, la caractérisation brutale et sans subtilité du nouveau chalenger font perdre beaucoup de l’image positive que les films avaient su donner de la boxe.
Stallone serait-il revenu à la charge une fois de trop ? Depuis qu’il battu Apollo Creed par K.O., Rocky est désormais considéré comme un champion respecté, il remet en jeu son titre avec succès et participe à des matchs d’exhibitions. Mais lorsqu’il perd contre un nouveau challenger particulièrement violent Rocky perd confiance. Contre toute attente c’est Apollo qui va lui tendre la main et le faire redevenir un véritable champion. Ce troisième opus est surtout connu grâce à la première apparition de la mythique chanson des Survivor : The Eye of the Tiger que l’on entend lors de la préparation de Rocky. A la fois scénariste, metteur en scène et acteur, Sylvester Stallone semble quelque peu débordé sur ce film. En effet il ne corrige pas une seule des erreurs qu’il avait commises lors du second épisode. C’est donc sans surprise que l’on retrouve une chorégraphie des combats ultra simpliste et des personnages secondaires composés sans originalité. Clubber Lang, interprété par l’imposant Mr. T, n’est qu’une brute épaisse dénué d’intelligence et avide de cogner sur tout et n’importe quoi. Si le challenge qui attend Rocky semble particulièrement compliqué le côté de plus en plus clinquant de la saga nous fait perdre fois en ce personnage. A ce demander au final si "Rocky III" parle vraiment de boxe.
Changement de schéma par rapport au 2 premiers, ce 3ème Rocky est plus accès sur les combats et moins sur sa vie privée. Mais rassurez-vous, ça reste médiocre...
un rocky différent, qui c'est "embourgeoisé", mais qui reste quand même un film culte, par son scénario est surtout sa musique...on ne s'en lasse pas !!!
Ce 3ème opus est dans la continuité des 2 autres Rocky : excellent! De plus on trouve dans ce film un chanson culte ! "Eyes of a tiger" rend ce film encore meilleur.
Burt Young fait son apparition et le film devient u peu plus interessant. Mais les rocky c'est pas mon truc. A noter la présence d'une des musiques les plus connues de l'histoire du cinéma.
Le moins bon de la saga, sûrement à cause de son scénario peu attractif voire même rébarbatif où rien n'est vraiment aussi passionnant qu'auparavant. On se lasserait presque des nouvelles mésaventures de notre héros au grand cœur qui, au moment de raccrocher, voit un nouveau challenger lui mettre la pâté... La suite reste finalement très sobre : Rocky perd, Rocky déprime, Rocky retrouve la rage, Rocky gagne. Mouais... Contrairement aux deux premiers opus qui narraient la réussite d'un immigré italien sans le sou, désespéré mais plein d'ambition qui parvint à vivre comme peu d'autres le Rêve Américain, cette deuxième suite nous entraîne dans une histoire peu intéressante pour peu que l'on adule concrètement le personnage. En effet, voir Rocky Balboa, au top du top, respecté de partout, possédant une villa de luxe, une famille en or et même une statut à son effigie offerte par sa ville natale, c'est pas très glorieux. Le voir se prendre une raclée par un arriviste à cause de son laxisme et de son goût pour le luxe, puis retrouver la hargne d'antan (c'est-à-dire la hargne d'il y a trois ans... hum) s'avère au final assez classique pour ce genre de film. Plus penché vers le film de boxe transpirant que sur le réel côté dramatique accordé aux deux précédents opus, Rocky III reste avant tout un film d'action louant les mérites d'un personnage aux nombreux fans, amorçant dès lors les nouveaux films du genre que va offrir au public un Stallone plus en forme que jamais (Rambo sortira par ailleurs quelques mois plus tard). Ainsi, mis à part la présence de l'impressionnant Mister. T en méchant de service, celle du célèbre catcheur Hulk Hogan en invité surprise et la mort d'un des personnages principaux, rien n'est très extraordinaire comparé aux deux premiers, faisant de ce troisième opus un spectacle plaisant mais en rien original.
Un 3ème film qui se démarque un peu plus de son côté dramatique pour nous immerger dans un film d'action pur et dur, orchestré avec panache par un Sly Stallone qui nous conquis entièrement avec une BO de légende. Un régal.
Troisième volet inférieur aux autres mais se laissant tout de même regarder sans ennuie. Les combats sont toujours aussi impressionnant mais on rentre dans une certaine routine...
Une magnifique leçon sur le dépassement de soi-même! Rocky 3 est sans doute le meilleur de la saga, car dans celui-ci Balboa poursuit enfin un but et mène un combat contre lui-même! Nous avons en plus un acteur de talent et star des années 80, Mister-T qui apporte toute l’énergie dont le film a besoin! Ses interventions musclées sont aussi amusantes qu'effrayantes. N'oublions pas la musique du film devenue culte " Eye of the tiger " une belle leçon d'espoir! A voir pour les nostalgiques et les jeunes!
Un film qui a juste pour but de montrer un très bon combat final, parce que l'histoire est cette fois ci dénuée de profondeur, l'interprétation de Stallone est beaucoup moins forte que dans les précédents, et le nouveau personnage de Rocky est beaucoup moins intéressant.