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    El Dorado
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    4,0
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    84 critiques spectateurs

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    chrisbal
    chrisbal

    11 abonnés 591 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 août 2023
    Entre "Rio Bravo" et "El Dorado", mon coeur balance.
    Ces 2 films de Howard Hawks sont vraiment très similaires et ont chacun leurs qualités et leurs défauts.
    John Wayne (présent dans les 2) vient cette fois ci aider son ami et shérif Robert Mitchum, épaulé par un viel adjoint et un jeune cowboy contre Nelse McLeod et son commanditaire Bart Jason....avouez que les ressemblances sont flagrantes!
    Malgré tout, plus de scènes sont tournées en extérieur (principalement au début), ce qui "aère" un peu l'ensemble et l'humour est beaucoup moins "lourdeau".
    Au final, je ne peux que conseiller les 2 sans en privilégier un seul...car tous les ingrédients sont réunis pour un bon western.
    CH1218
    CH1218

    152 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2023
    Bien que l’histoire diffère, quantité d’éléments de ce western proviennent directement du génialissime « Rio Bravo », réalisé 7 ans plus tôt. Howard Hanks s’en est d’ailleurs jamais caché et les personnages de John Wayne, Robert Mitchum, James Caan et Arthur Hunnicutt reprennent les caractéristiques de ceux tenus jadis par Wayne, Martin, Nelson, Brennan. Calqué de la sorte, l’intérêt de ce récit est quelque peu bafoué mais « El Dorado » n’en demeure pas moins une bonne variation.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    916 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mars 2023
    L'histoire d'une camaraderie mais également d'une vengeance qui s'étire au long du récit.
    Le film vaut aussi par le duo des géants.
    On n'est pas dans les cow-boys et les indiens mais dans un récit âpre et captivant
    Fabien S.
    Fabien S.

    454 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2023
    Un très bon western de Howard Hawks des années 1960 avec John Wayne , Robert Mitchum et James Caan .
    rocky6
    rocky6

    26 abonnés 1 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2023
    Un très bon western signé Howard Hawks. Il met en scène John Wayne, Robert MItchum et un James Caan en début de carrière. John Wayne est un homme de main qui vient en aide à un ami shériff (Robert Mitchum) alcoolique qui doit affronter une bande de tueurs engagé par un riche propriétaire. John Wayne est parfait, tout en virilité et en force morale face à un Mitchum qui sait montrer les faiblesses d'un sheriff alcoolique. Hawks signe une belle mise en scène et le film est prenant. Un classique du western à voir ou revoir.
    Elgringo
    Elgringo

    1 abonné 72 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2023
    Howard Hawks nous offres un western comme je les aime avec un générique soigné. John Wayne est égal à lui même , Robert Mitchum toujours aussi bon , James caan , Michèle carey , Edward Asner , bref tous les acteurs sont excellents . C est bien filmé et le scénario tient la route . Des similitudes avec Rio bravo sont évidentes , mais cela n enlève rien a la qualité du film .
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Les héros sont vieillissants… La première scène du film met en scène un Robert Mitchum un peu bedonnant et un John Wayne un peu au-delà de la force de l’âge. Le premier va sombrer dans l’alcool et le deuxième va se retrouver avec une AAH pour cause de balle qui lui touche la colonne vertébrale. Vous ajoutez un jeune inexpérimenté (James Caan) et un vieillard (Arthur Hunnicutt) et vous obtenez une superbe équipe de « bras-cassés » qui va s’interposer entre un méchant rancher ambitieux et sa bande de mercenaires qui veulent s’en prendre à un clan familial pour une histoire de point d’eau. L’intérêt principal du film réside dans les rapports entre les quatre principaux personnages : ça se taquine, ça plaisante, ça se chambre. On sent que qu’Howard Hawks aime ses personnages qui sont pétris de valeurs et de principes. La dernière image du film est sympathique et symbolique, John Wayne et Robert Mitchum marchant côte-côte avec chacun sa béquille. Un très beau film sur les rapports humains.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1).
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    25 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2022
    Pas du tout une simple redite de Rio Bravo, il y a une filiation évidente (et assumé de toute façon) c'est clair (en terme de personnages plus ou moins équivalent notamment), mais ce El Dorado s'en éloigne sur plein d'aspect.

    C'est toujours superbement écrit que ce soit les personnages et leurs combats, évolutions, ou le fait qu'ils ne soit pas considérés comme des héros mais des types plein d'humanité et de sincérité, du fait qu'il soit d'autant plus imparfait et/ou vieillis, tous ayant quelque chose qui ne va pas, entre handicap (John Wayne), alcoolisme (Robert Mitchum) ou incapacité d'user du revolver (James Caan). Les dialogues ou la trame elle même du scénario (classique mais diablement efficace) ne sont pas laisser de côté niveau écriture.

    Je viens aussi de remarquer que le traitement des femmes chez Howard Hawks est vraiment super et diffère des autres western de l'époque. Lui qui a exploré plusieurs genre auparavant, allant du western donc, à la comédie musicale avec Marylin Monroe.

    Pour son avant dernier film Hawks réalise aussi plusieurs prises de vues et effets de mise en scène vraiment géniaux, créant une vraie tension dans les scènes d'actions (pour la plupart, car comment ne pas rire devant James Caan imitant un chinois dans l'assaut finale) bien plus nombreuse que dans Rio Bravo. C'est d'ailleurs là peut être la plus grosse différence avec le chef d'oeuvre d'Howard Hawks, l'intrigue prend presque le pas sur les personnages, en tout cas les deux cohabitent véritablement, là où les personnages mangaient l'histoire dans Rio Bravo.
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    3 abonnés 497 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mai 2022
    Un des chefs-d'œuvre d'Howard Hawks. Le film est presque parfait. Seules une ou deux transparences datent le film, ainsi que sa chanson générique, tout aussi kitsch en version originale qu'en version française. Et peut-être une ou deux saillies pittoresques de Buggle - Arthur Hunnicutt - (même défaut avec Stumpy - Walter Brennan - dans Rio Bravo (1959) mais plus léger ici, pas aussi balourd que dans Rio Bravo).
    Cet El Dorado vieilli beaucoup mieux que Rio Bravo dont il est un remake, une re-fabrication.
    Sur les cadrages, l'influence de la télévision se fait sentir. Les cadrages dégagent beaucoup plus d'ampleur, d'espaces et de profondeur sur Rio Bravo. Ici, les cadrages donnent plus le sentiment d'un film en chambre (les scènes dans la prison, les séquences de nuit qui restreignent tout au premier plan).
    Les personnages sont parfaitement écrits et tiennent bien malgré l'âge du film. La relation John Wayne et Robert Mitchum, mais aussi la relation de John Wayne avec le love interest, Charlene Holt, sont parfaites et plus réussis quand dans Rio Bravo où John Wayne n'est pas à l'aise face à Angie Dickinson. Ici sa relation avec Charlene Holt traite les deux personnages à égalité. Dans Rio Bravo, les duos avec John Wayne sont des shows d'Angie Dickinson et John Wayne n'est que faire valoir.
    La jeune génération est ici représentée par James Caan, efficace et juste en contrepoint des personnages de John Wayne et de Robert Mitchum. Beaucoup plus développé que le Colorado de Ricky Nelson de Rio Bravo.
    Le méchant, Christopher George, est moins caricatural que dans Rio Bravo. Sa relation avec John Wayne / Cole Thornton est un exemple de courtoisie professionnelle, chère à Howard Hawks, comme le dit Nelse McLeod lui-même dans le film.
    Autre variante, c'est le personnage de Michele Carey, inexistant dans Rio Bravo, qui rend El Dorado plus intéressant, qui campe un personnage clé dans les arcs dramatique du film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 décembre 2021
    Un film sur l'amitié, c'est ce que je retiens d'El Dorado. Il n'y a pas d'or malgré le nom mais on y revient, un peu comme la maison bleue en haut de la colline … et Mitchum et Wayne sont assez drôles en éclopés alcooliques, coolitude assurée. Par contre si vous cherchez de l'action il faudra repasser, c'était comme ça en 66 à El Dorado.
    Brino
    Brino

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 décembre 2021
    Pas trop fana des westerns "à la John Wayne", j'ai trouvé ce film très sympa et amusant, surtout grâce à la belle prestation de James Caan. Beaucoup trouvent que Rio Bravo était plus réussi... à chacun ses goûts...
    stans007
    stans007

    17 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mars 2021
    Un classique du western, picaresque et sentimental, trop propre et sans surprise. John Wayne donne l’impression d’avoir toujours envie de ch...
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2021
    Avec cette relecture de Rio Bravo, Howard Hawks met en scène un western assez prenant, malgré quelques longueurs, avec une bonne dose d'humour, porté par un casting solide.
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 728 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2021
    Cette relecture de Rio Bravo présente des variations par rapport au film originel qui manifestent le potentiel créatif d'Howard Hawks, capable de nuances qui mises bout à bout offrent une nouvelle œuvre à l'humour plus présent, au scénario plus ramifié et à la force féminine plus manifeste. Cependant, John Wayne devient un mercenaire sentimental dont les nouveaux adjuvants s'assimilent à des ersatz des précédents, jusque dans leurs surnoms (Mississippi remplaçant Colorado), même si les notions initiales d'individualisme fraternel et de défense de valeurs viriles sont évidemment conservées, emblématiques de l'esprit même du western, malgré une moindre recherche psychologique, la faute peut-être à l'absence de scènes d'amitié intime. Novateur dans la mise en scène d'un ocni entre reboot et suite, le réalisateur maintient sa maîtrise technique sans atteindre le charme de l'inégalable première mouture. Une curiosité divertissante néanmoins.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2023
    Sorti sept ans plus tard, El Dorado réécrit Rio Bravo en accentuant la fragilité de ses protagonistes principaux : soit un John Wayne cabossé que l’on fait tomber de cheval encore et encore, qui traîne la patte et souffre d’une paralysie partielle causée par une balle logée près de la colonne vertébrale ; un Robert Mitchum en shérif alcoolique qu’il faut ramener à la raison en lui jetant de l’eau au visage, en lui administrant une potion immonde composée d’épices et de poudre à canon ; un Arthur Hunnicutt en adjoint à ce point nostalgique des guerres contre les Indiens qu’il ne peut s’empêcher de décocher une flèche dans le dos d’un ennemi ; un James Caan enfin, jeune premier au chapeau fort laid qui ne sait pas tirer mais qui imite un Chinois à la perfection !
    Voilà donc une équipe plus boiteuse que celle de Rio Bravo, et Howard Hawks la suit dans son quotidien mouvementé : il ménage ainsi quelques séquences d’action fort bien menées, notamment celle de l’église où la fusillade se transforme en concert de cloches, d’autant plus efficaces qu’elles cassent un rythme volontiers lent qui démythifie quelque peu l’imagerie épique et grandiloquence de l’Ouest dans les westerns. Nous percevons d’ailleurs l’influence de la comédie, genre de prédilection du cinéaste, dans l’écriture des dialogues et la direction d’acteurs : les répliques fusent, la répartie s’avère percutante et donne lieu à des échanges mémorables ; un comique de répétition s’installe en parallèle, comme lorsqu’il s’agit d’envoyer encore et encore Mississipi en éclaireur ou de consulter le shérif sur son « plan ».
    Howard Hawks n’a pas son pareil pour insuffler, dans un genre qui commence ailleurs à être parodié – Sergio Leone a tourné sa Trilogie du dollar – une âme bon enfant qui exploite le comique sans tomber dans la pochade : il confère ainsi à ses personnages une profondeur et une authenticité qui font chaud au cœur. Notons que la lutte entre les partis oppose les tenants d’une modernité violente et amorale d’une part, les défenseurs d’une tradition que John Wayne, chantre des valeurs conservatrices, rappelle ardument à ce shérif qui ne fait pas honneur à son insigne. Un grand film qui procure un vrai plaisir de spectateur.
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