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    La Piscine
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    195 critiques spectateurs

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    Christian B.
    Christian B.

    12 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2013
    Oui de grands acteurs , un beau décor , film à caractère psychologique , mais c'est mou , c'est long , 2 heures qui passent sans vraiment que le film fasse des étincelles , juste bien c'est tout
    Lotorski
    Lotorski

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2009
    Pour moi, il s'agit là d'un bon drame qui contient malheureusement quelques longueurs et qui jour quelquefois aux devinettes avec le spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film absolument magnifique, l'un des meilleurs de Jacques Deray. La musique, signée Michel Legrand, est superbe .
    Alain Delon et Romy Shneider : voila un couple légendaire qui joue à la perfection dans ce chef-d'oeuvre
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mai 2013
    Chef-d'oeuvre incontesté et incontestable du cinéma, "La piscine" est avant tout un film d'histoire entre deux acteurs de légende (Delon & Romy). Des retrouvailles timorées certes, mais la recomposition du duo le plus gracieux des années 60 et 70 avec une classe indéniable arrive au meilleur moment. Si l'on commence par Romy, qui a longtemps souffert de l'image poisseuse de "Sissi", on se rend compte à quel point cette femme a marqué de son empreinte le cinéma avec le réalisateur Luchino Visconti (ce dernier a pris Romy sous son aile) en 1961 au théâtre dans "Dommage qu'elle soit une putain". Evidemment, beaucoup de stress pour la jeune actrice mais elle voulait à tout prix faire du théâtre, c'était le moment opportun. Puis l'histoire avec Delon souffrait d'une dualité constante. Alain Delon, avec son charisme, avait entre les mains des rôles honorifiques. "Mélodie en sous-sol" ; "Le guépard" ; "Paris brûle-t-il ?". Dans un excès de confiance, il a délaissé subitement son amour, sa "Puppele". Incompréhension la plus totale. Le couple vole en éclats. Voyant Romy au plus mal, il décide lui même, quelques années plus tard, avec son autorité, de faire venir l'actrice à la carrière décousue, et de lui donner une chance unique, une sorte de "pardon". Symbole de l'histoire, le scénario est un peu à l'image du couple. La première scène envoie un esprit de liberté, sur une colline avec tout autour le silence. Delon allongé sur la piscine, décontracté. L'horizontalité du personnage avec le décor, l'horizon de la mer etc... tous ces éléments amènent une profonde sensation de bien-être. Le seul instant où les personnages seront ensemble, en toute intimité. La suite n'épouse que le huit-clos entre quatre individus, un duel moralement pervers et apathique rendu efficace grâce au lieu, coupé du monde. Des dialogues secs. Jacques Deray a fonctionné avec le minimaliste. Une réussite. A noter aussi le "jeu de regard", lors de la scène où tout le monde est réuni à table. un condensé de l'ambiance dans la villa. Ce film transpire le talent, l'histoire et l'audace. Faisons simple : Merci !
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    14 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 janvier 2024
    La beauté et la sensualité du couple Delon-Schneider, la villa sous le soleil, sa piscine (d'abord lieu de loisir spoiler: puis du drame,
    également lieu de métaphores) donnent le ton d'apparent bonheur et d'insouciance qui est celui du début du film. L'arrivée de l'ancien ami commun de Jean-Paul et Marianne, accompagné de sa fille, va progressivement modifier l'idylle du couple.
    L'ambiguité des regards et des mots, la nature incertaine des rapports entre les désormais quatre protagonistes (on ne sait pas si Marianne et Harry furent amants, si Pénélope est véritablement la fille d'Harry...) initient une action théatrale et un suspens sans éclat. Le germe, non encore identifié, de la discorde engendre une sentiment de malaise et l'on sent poindre le drame. De ce point de vue, la mise en scène de Deray est plutôt habile. Mais, quoique volontairement minimalistes, donc énigmatiques (pas de référence à leur passé), les personnages semblent manquer de matière, consécutivement peut-être, à un scénario qui, lui, manque de relief psychologique et dramatique. On s'en aperçoit particulièrement dans la dernière partie du film, lorsqu'à la suite spoiler: du geste fou, épidermique de Delon, le drame prend un tour policier assez banal qui décidera du sort des personnages et auquel, pourtant, on reste pratiquemnt indifférent.
    Stone cold steve austin
    Stone cold steve austin

    10 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2022
    Qu’il fait bon être au bord de la piscine en ce moment. Il est donc temps de se plonger dans le classique de Jacques Deray avec les deux grosses stars françaises de l’époque : Alain Delon et Romy Schneider. Parmi la grande vague de films sur la bourgeoisie des années 60-70, « La Piscine » tient un rang de choix pour son cadre idyllique qu’est le sud de la France et sa somptueuse villa, qui met en valeur ce couple à l’écran flamboyant de classe et de beauté. Sous un soleil d’aplomb méditerranéen, les journées sont longues au bord de la piscine, paradisiaques mais monotones pour le couple qui cherche la nouveauté. L’heure est à la rêverie, à la paresse, et ainsi à la débauche. Dans cette quête d’instantané, de plaisir immédiat qui nous renvoie face à notre propre condition, la figure du couple conventionnel se brise en mille morceaux pour laisser place à une relation libre, faite de faux-semblants. La piscine en est le lieu de rassemblement, le catalyseur des relations amoureuses. Sous sa surface se cache l’hypocrisie de toute une bourgeoisie malade, qui, privilégiée financièrement, peine à trouver plaisir dans la morale et la simplicité de l’existence. Le réalisateur en dresse un portrait effarant, la beauté se transforme en jalousie, la jalousie se transforme en spectacle d’horreur. La piscine, cet endroit si calme d’apparence, si convoité par les uns et les autres, n’est qu’un prétexte à une histoire universelle de psychanalyse humaine. Le couple Delon/Schneider y est disséqué par le réalisateur sous toutes ses coutures. « La Piscine », formellement irréprochable, est l’histoire d’une époque insouciante à la dérive.
    Madjet L
    Madjet L

    3 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2017
    Film tourné il y a presque 50 ans et pourtant très proche de notre époque. Les boires et déboires, les passions et les déchirements qui s'entremêlement. Avec un duo Schneider et Delon au top et la méconnaissable mais superbe Jane Birkin, La Piscine a par instant des allures de pièce de théâtre avec une trame autours d'un bassin. Les scènes sont improvisées sans jamais couler au fond de l'eau à pic. Quel film!
    pinly
    pinly

    9 abonnés 232 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2009
    Un film joliment interprété par des acteurs parfaitement en harmonie avec leurs rôles. La jalousie, le malaise, la tension se font sentir. Cependant la fin est moins palpitante mais ce film est avant tout intéressant à voir pour le couple Delon-Schneider .. ainsi que pour Jane Birkin!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 avril 2014
    C'est autour de La Piscine qu'Alain Delon, Romy Schneider, Maurice Ronet et Jane Birkin se détectent, se séduisent, s'apprivoisent, se tourne les doigts et les sangs. La caméra de Jacques Deray, dans ce film unique de 1969, fait des merveilles. Elle capte les moindres mouvements, les moindres soupçons, ruminations intérieures, émotions férocement dissimulées de ces quatre personnages dont le sort est scellé par cette Piscine, juste resplendissante et éblouissante par son apparence. Si La Piscine entretient un célèbre pouvoir d'attraction c'est d'abord parce qu'Alain Delon et Romy Schneider ouvrent la partie dans une étreinte sensuelle sauvage, discrète et rugissante où les deux interprètes ressemblent aux deux plus royaux animaux du monde. Ils nous font miroiter l'image d'un amour harmonieux et fusionnel avant que le voile de cette inertie estivale et trop parfaite ne tombe pour que le visage de la jalousie ne fasse progressivement son entrée. Dans La Piscine, la monotonie s'avère silencieusement destructrice puisque la progression dramatique est nourrie par ce sentiment dérangeant d'envie, de dépit et de rivalité. Le personnage d'Alain Delon est, peut-être même plus que celui de Maurice Ronet, le véritable oiseau de mauvais augure car avant de ne répondre que par son indolence et sa nonchalance, Jean-Paul Le Roy semble souffrir d'une vacuité envahissante qui le pousse à faire l'expérience de sa propre mal être à travers la scène du meurtre (un punition discutable car sans faute commise ni justification concrète si ce ne sont les forces contradictoires qui traversent l'esprit de Le Roy à ce moment précis). Romy Schneider resplendit de mille feux, offre le meilleur de son charme et de son intensité d'actrice devant une Jane Birkin d'une présence céleste délicieuse, à la beauté et au comportement irréprochable mais jamais vraiment crédule. Là où le film de Deray est réellement marquant c'est qu'il laisse autant place au souvenir d'un lieu où on aurait tous voulu être aussi beaux et resplendissant que Delon et Schneider mais aussi au souvenir d'une lumière se dégradant intérieurement devant le spectateur et s'irradiant pour éradiquer la vision idéalisée de ce lieu sur les hauteurs de St-Tropez où la passivité était pourtant princière. Il est largement normal de ressortir du visionnage de La Piscine en ayant fait une fixation.
    rocky6
    rocky6

    26 abonnés 1 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2021
    Un huis clos autour d'une piscine qui arrive à nous captiver grâce au charisme fou de Romy Schneider et Alain Delon qui forment un couple ultra glamour. L'arrivée inopinée d'un ancien amant (Maurice Ronéo excellent) et de sa fille (Jane Birkin) va venir semer le trouble. Delon et Schneider sont au sommet de leur art et sont d'une beauté folle. Un film qui est devenu culte et qui reste une référence en terme de triangle amoureux. Les décors, cette magnifique villa avec piscine, servent très bien le film. A voir ou revoir.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2017
    Un film français marquant par sa sensualité… Loin de la Nouvelle Vague, parfois intello, les sens sont au cœur du film. Un film animal où le cérébral est laissé au placard mais qui ne prend pas le spectateur pour un idiot non plus, les personnages étant abordés dans leur complexité.
    Sandra Mézière dans son blog « In the mood for cinéma » écrit ces mots sur le film : « Ce film date de 1968: c’est déjà tout un programme. Il réunit Maurice Ronet, Alain Delon, Romy Schneider, Jane Birkin dans un huis-clos sensuel et palpitant: ce quatuor est déjà une belle promesse.
    Marianne (Romy Schneider) et Jean-Paul (Alain Delon) passent en effet des vacances en amoureux dans la magnifique villa qui leur a été prêtée sur les hauteurs de Saint-Tropez. L’harmonie est rompue lorsqu’arrive Harry (Maurice Ronet), ami de Jean-Paul et de Marianne chez lequel ils se sont d’ailleurs rencontrés, cette dernière entretenant le trouble sur la nature de ses relations passées avec Harry. Il arrive accompagné de sa fille de 18 ans, la gracile et nonchalante Pénélope (Jane Birkin).
    « La piscine » fait partie de ces films que l’on peut revoir un nombre incalculable de fois (du moins que je peux revoir un nombre incalculable de fois) avec le même plaisir pour de nombreuses raisons mais surtout pour son caractère intelligemment elliptique et son exceptionnelle distribution et direction d’acteurs.
    Dès les premières secondes, la sensualité trouble et la beauté magnétique qui émane du couple formé par Romy Schneider et Alain Delon, la langueur que chaque plan exhale plonge le spectateur dans une atmosphère particulière, captivante. La tension monte avec l’arrivée d’Harry et de sa fille, menaces insidieuses dans le ciel imperturbablement bleu de Saint-Tropez. Le malaise est palpable entre Jean-Paul et Harry qui rabaisse sans cesse le premier, par une parole cinglante ou un geste méprisant, s’impose comme si tout et tout le monde lui appartenait, comme si rien ni personne ne lui résistait.
    Pour tromper le langoureux ennui de l’été, un jeu périlleusement jubilatoire de désirs et de jalousies va alors commencer, entretenu par chacun des personnages, au péril du fragile équilibre de cet été en apparence si parfait et de leur propre fragile équilibre, surtout celui de Jean-Paul, interprété par Alain Delon qui, comme rarement, incarne un personnage vulnérable à la sensualité non moins troublante. L’ambiguïté est distillée par touches subtiles : un regard fuyant ou trop insistant, une posture enjôleuse, une main effleurée, une allusion assassine. Tout semble pouvoir basculer dans le drame d’un instant à l’autre. La menace plane. L’atmosphère devient de plus en plus suffocante.
    Dès le début tout tourne autour de la piscine : cette eau bleutée trompeusement limpide et cristalline autour de laquelle ils s’effleurent, se défient, s’ignorent, s’esquivent, se séduisent autour de laquelle la caméra virevolte, enserre, comme une menace constante, inéluctable, attirante et périlleuse comme les relations qui unissent ces 4 personnages. Harry alimente constamment la jalousie et la susceptibilité de Jean-Paul par son arrogance, par des allusions à sa relation passée avec Marianne que cette dernière a pourtant toujours niée devant Jean-Paul. Penelope va alors devenir l’instrument innocent de ce désir vengeur et ambigu puisqu’on ne sait jamais vraiment si Jean-Paul la désire réellement, s’il désire atteindre Harry par son biais, s’il désire attiser la jalousie de Marianne, probablement un peu tout à la fois, et probablement aussi se raccrochent-ils l’un à l’autre, victimes de l’arrogance, la misanthropie masquée et de la désinvolture de Harry. C’est d’ailleurs là que réside tout l’intérêt du film : tout insinuer et ne jamais rien proclamer, démontrer. Un dialogue en apparence anodin autour de la cuisine asiatique et de la cuisson du riz alors que Jean-Paul et Penelope reviennent d’un bain nocturne ne laissant guère planer de doutes sur la nature de ce bain, Penelope (dé)vêtue de la veste de Jean-Paul dans laquelle elle l’admirait de dos, enlacer Marianne, quelques jours auparavant, est particulièrement symptomatique de cet aspect du film, cette façon d’insinuer, cette sensualité trouble et troublante, ce jeu qui les dépasse. Cette scène entremêle savoureusement désirs et haines latents. Les regards de chacun : respectivement frondeurs, évasifs, provocants, dignes, déroutés… font que l’attention du spectateur est suspendue à chaque geste, chaque ton, chaque froncement de sourcil, accroissant l’impression de malaise et de fatalité inévitable.
    Aucun des 4 personnages n’est délaissé, la richesse de leurs psychologies, de la direction d’acteurs font que chacune de leurs notes est indispensable à la partition. La musique discrète et subtile de Michel Legrand renforce encore cette atmosphère trouble. Chacun des 4 acteurs est parfait dans son rôle : Delon dans celui de l’amoureux jaloux, fragile, hanté par de vieux démons, d’une sensualité à fleur de peau, mal dans sa peau même, Romy Schneider dans celui de la femme sublime séductrice dévouée, forte, provocante et maternelle, Jane Birkin dont c’est le premier film français dans celui de la fausse ingénue et Maurice Ronet dans celui de l’ « ami » séduisant et détestable, transpirant de suffisance et d’arrogance…et la piscine, incandescente à souhait, véritable « acteur ». Je ne vous en dirai pas plus pour ne pas lever le voile sur les mystères qui entourent ce film et son dénouement.
    Deray retrouvera ensuite Delon à 8 reprises notamment dans « Borsalino », « Flic story », « Trois hommes à abattre »… mais « La piscine » reste un film à part dans la carrière du réalisateur qui mettra en scène surtout un cinéma de genre.
    Neuf ans après « Plein soleil » de René Clément (que je vous recommande également), la piscine réunit donc de nouveau Ronet et Delon, les similitudes entres les personnages de ces deux films sont d’ailleurs nombreuses et le duel fonctionne de nouveau à merveille.
    Un chef d’œuvre dont le « Swimming pool » de François Ozon apparaissait comme une copie détournée, certes réussie mais moins que l’original, aucun cinéaste n’a réussi à susciter la même incandescence trouble.
    Un film sensuel porté par des acteurs magistraux, aussi fascinants que cette eau bleutée fatale, un film qui se termine par une des plus belles preuves d’amour que le cinéma ait inventé. A voir et à revoir. Plongez dans les eaux troubles de cette « piscine » sans attendre une seconde …à vos risques et périls. »
    Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
    Xavier D
    Xavier D

    47 abonnés 1 047 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2021
    Un été chaud et ensoleillé dans le sud de la France, à Saint Tropez, qui se refroidit au fur et à mesure du film. La beauté plastique d'Alain Delon et de Romy Schneider fait le tour d'une piscine sombre et meurtrière. La. Mise en scène est sublime et nous plonge dans l'effroi. Une histoire dingue, où il ne se passe rien, mais qui se construit comme un château de sable qui se désagrège. Du torse nue au pull over, de l'eau au whisky. Jane Birkin et Maurice Ronet. Jacques Deray. Un film excellent.
    Redzing
    Redzing

    919 abonnés 4 295 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juin 2012
    Un couple passant de paisibles vacances dans sa villa reçoit la visite d'un vieil ami, qui va faire monter la tension. Loin d'être un thriller, "La Piscine" est un drame très lent, où les relations entre personnages évoluent peu à peu. Cet effet, accentué par la mise en scène très sage de Jacques Deray et la BO presque inexistante, peut dérouter le spectateur. Mais le montage et la réalisation sont plus subtils qu'il n'y paraissent, et les acteurs très bon. Le couple sensuel Alain Delon / Romy Schneider, séparé à la ville, est par ailleurs la principale raison de découvrir le film.
    Michael R
    Michael R

    85 abonnés 1 168 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2016
    Fin drame psychologique ou objet de mode fin des 60's ? Je penche pour le second. Ce n'est pas tant du grand cinéma que de la belle photographie avec poses cinématographiques, images et son léchés. Alain Delon et Jane Birkin sont des gravures de mode, Romy Schneider est SUBLIME, la maison est un véritable catalogue arty, mais le reste... C'est aussi profond que la piscine est claire (sans compter le meurtre, d'une bêtise inouïe). Bref un bel objet collector.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 février 2016
    À condition d'aimer la plastique des acteurs on ne peut être que séduit par ce huit clos atypique. Acteurs qui par ailleurs font preuve d'un charme indéniable tout autant que d'une formidable interprétation ou finalement la plupart des sentiments sont exprimés sans mots. Les plans éblouissant de l'été cevenol sont efficaces et on a l'impression d'assister à un défilé de mannequin pendant la première grosse moitié du film ou la séduction est palpable dans chaque scène.
    En revanche si vous n'êtes pas séduit par les acteurs vous allez vous ennuyez sévères !!
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